Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 mai 1923 05 mai 1923
Description : 1923/05/05 (T24,N2345). 1923/05/05 (T24,N2345).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670178
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2345
Samedi 5 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'offre allemande (von
Gerlach dans Welt am Montag) ; Gcr-
mania, Kölnische Volkszeitung).
I RESSE AMÉRICAINE. - L'agitation sur le con-
tinent africain (New York Times). —
Les élections de printemps aux Etats-
Unis (New York Herald, New York
Evening Post). — La défense du canal
de Panama (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE.— L'offre allemande (West-
minster Gazette).
PRESSE HOLLANDAISE. — L'offre allemande
(Algemeen Handelsblad, Nieuwe Rot-
damsche Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'offre allemande
(Stampa.).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OFFRE ALLEMANDE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Pour la Westminster Gazette (3 mai),
la France en refusant l'offre allemande renonce-
rait à tout espoir de réparations, car l'exploita-
tion de la Ruhr ne peut même pas couvrir les
dépenses journalières. Le gouvernement britan-
nique a le devoir de faire connaître en termes
Précis son jugement sur la note allemande, et
d'indiquer dans sa réponse « en quoi l'offre alle-
mande est inférieure à ce que les alliés croient
avoir le droit de demander et le moyen d'impo-
ser ».
- Le même journal demande, le lendemain,
que l'Angleterre se sépare expressément d'une
Politique française qui tendrait à prolonger indé-
finiment l'occupation de la Rhénanie :
La France, à en juger par les commentai-
res de la presse parisienne, est mécontente
de l'offre allemande et fermement résolue à
la repousser tout entière. Cette manifesta-
tion d'opinion aurait été plus impression-
nante si la presse française n'avait claire-
ment laissé entendre, avant même que leur
contenu fût connu, que les propositions al-
lemandes ne seraient pas examinées. Si au-
cune discussion ne doit s'engager, nous
avons le droit de connaître quelle est l'al-
ternative envisagée par la France. C'est
probablement la prolongation de l'occupa-
tion de la Ruhr. Mais, à moins que cette
occupation ne doive être permanente, il fau-
dra bien qu'à un moment donné la France
se décide h examiner les propositions alle-
mandes. Elles seront sans doute moins sa-
tisfaisantes, si les deux adversaires conti-
nuent de ruiner les ressources de l'Allema-
gne. Depuis quatre ans, la France a dé-
pensé beaucoup d'argent, mais elle n'a pas
obtenu le paiement d'une portion de sa
créance.
Personne ne saurait, parler avec enthou-
siasme des propositions allemandes. Elles
fixent, en effet, la capacité de paiement de
l'Allemagne non seulement très au-dessous
du chiffre, d'ailleurs excessif, adopté par la
conférence de Paris, mais encore à un chif-
fre inférieur au montant très modéré arrêté
par nos experts de la Trésorerie. Remar-
quons pourtant que l'offre de l'Allemagne
n'a. pas un caractère fixe ; elle est sujette
aux modifications dont pourrait décider le
comité d'experts auquel l'Allemagne accepte
de s'en remettre. En d'autres termes, la
note allemande n'est destinée, à notre avis,
qu'à ouvrir la porte aux négociations et au
marchandage. A ce titre, elle mérite mieux
qu'une exécution sommaire.
Naturellement, notre gouvernement n'a
pu décider encore de sa réponse aux avan-
ces allemandes, mais il ne doit pas laisser
exclusivement ce soin à la France et à la
Belgique. Le discours de lord Curzon nous
oblige à lui seul à prendre position, quand
bien même nous ne serions pas intéressés
intimement à la prospérité de l'Europe cen-
trale, par le fait même des répercussions
qu'elle exerce sur notre commerce et nos
intérêts généraux. La question de la paix
occupe la première place. L'Allemagne
donne son adhésion à tout arrangement ten-
dant à garantir la paix, pourvu que les obli-
gations assumées le soient à titre récipro-
que. Comment la. France pourrait-elle re-
pousser cette proposition, si ce n'est parce
qu'elle désire rester une puissance forte-
ment militarisée au milieu de voisins désar-
més ? C'est là une situation que l'Europe ne
pourra jamais accepter. Les nations ne sau-
raient pas plus souscrire à la demande que
Pertinax exprime sans détours dans cette
phrase : cc Ce que nous voulons obtenir,
c'est une barrière que l'Allemagne — même
une Allemagne agressive — ne puisse fran-
chir. » Il s'agit là, le sens n'est pas douteux,
de détacher de l'Allemagne à titre perma-
nent, certains territoires, et d'en chasser la
population allemande. Si la France est bien
animée de telles intentions, il ne nous reste
qu'à lui signifier que nous refusons de faire
un seul pas avec elle dans cette voie. —
(Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 4.5.
— Le Daily News (3 mai) émet, avant tout
contre la note allemande des critiques de forme.
La présentation défectueuse des propositions de
Berlin rappelle, à ce titre, celle du plan britan-
nique en janvier dernier. L'Allemagne donne
l'impression (probablement erronée) qu'elle re-
vient à la formule « pas de négociations avant.
l'évacuation et n'apporte pas de précisions suf-
fisantes sur la question de la sécurité.
Nous avions lieu d'espérer que l'Allema
gne porterait son offre un peu au delà de
30 milliards, car la somme proposée ne
couvrirait pas même le minimum irréduc-
tible de la France, soit 26 milliards et la
quote-part de la Belgique et. de l'Italie, sans
parler de la Grande-Bretagne qui, selon les
paroles de lord Curzon, n'a nullement re-
noncé à participer au produit des répara-
tions. En résumé. l'offre allemande pour-
rait être acceptée par la Grande-Bretagne,
la Belgique et l'Italie. La politique adoptée
actuellement par la France ne parait pas,
selon toute vraisemblance, devoir lui pro-
curer un centime de plus que ce que lui
offre aujourd'hui l'Allemagne. Mais on se
leurrerait en supposant qu'elle consentira à
négocier sur la base de la nouvelle note-
Les Allemands, de leur côté, n'ont pas fa-
cilité, comme ils l'auraient pu, la démons-
tration que le refus de la France atteste
de sa part une intransigeance obstinée. -
(Ed.)
DAILY. NEWS, 3.5.
PRESSE ITALIENNE. — Dans la journée d'au-
jourd'hui, le maréchal Foch sera à Varso-
vie, accueilli par le gouvernement polonais
en seigneur et maître. La Pologne ne célè-
bre pas seulement en ce jour l'anniversaire
de la Constitution de 1791, sage constitu-
tion inspirée par un libéralisme raisonna-
ble et équilibré, mais qui arriva trop tard
pour sauver l'indépendance polonaise. Elie
inaugure également le monument à Ponia-
towski, « maréchal de France sous le pre-
mier Empire », comme soulignent les jour-
naux français, qui donnent une grande im-
portance à ce fait et à tout le voyage de
Foch. Le maréchal se rendra de Varsovie
à Prague et de là à Belgrade : autrement
dit, il cherchera à relier et à réunir en un
faisceau, selon les visées politiques de
Poincaré. et selon ses propres visées mi-
litaires, les armées de la Petite Entente, à
la frontière allemande et italienne.
C'est au milieu de ces préparatifs mili-
taires et dans le cadre politique de l'in-
transigeance française la plus absolue (la
Belgique, et pour cause, serait d'une autre
opinion, mais elle ne compte pas) que doit
être placée la nouvelle offre allemande. Le
gouvernement de Cuno a donc un certain
mérite d'avoir résisté aux suggestions des
nationalistes allemands qui voulaient pro-
longer le silence. Hâtons-nous de dire, et
nous l'avions d'ailleurs déjà dit à l'avance,
que ç'aurait été une grave erreur de la part
du Chancelier de céder à ces suggestions,
bien que la politique française ait fait et
fasse tout pour les renforcer.
Non seulement le gouvernement de Cu-
no a résisté à la tentation de prolonger son
silence, mais aussi à celle, plus subtile et
plus insidieuse de ne pas formuler d'offre
précise ou d'en faire une inférieure à celle
du projet Bergmann en donnant cette rai-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2345
Samedi 5 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'offre allemande (von
Gerlach dans Welt am Montag) ; Gcr-
mania, Kölnische Volkszeitung).
I RESSE AMÉRICAINE. - L'agitation sur le con-
tinent africain (New York Times). —
Les élections de printemps aux Etats-
Unis (New York Herald, New York
Evening Post). — La défense du canal
de Panama (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE.— L'offre allemande (West-
minster Gazette).
PRESSE HOLLANDAISE. — L'offre allemande
(Algemeen Handelsblad, Nieuwe Rot-
damsche Courant).
PRESSE ITALIENNE. — L'offre allemande
(Stampa.).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OFFRE ALLEMANDE. — PRESSE AN-
GLAISE. — Pour la Westminster Gazette (3 mai),
la France en refusant l'offre allemande renonce-
rait à tout espoir de réparations, car l'exploita-
tion de la Ruhr ne peut même pas couvrir les
dépenses journalières. Le gouvernement britan-
nique a le devoir de faire connaître en termes
Précis son jugement sur la note allemande, et
d'indiquer dans sa réponse « en quoi l'offre alle-
mande est inférieure à ce que les alliés croient
avoir le droit de demander et le moyen d'impo-
ser ».
- Le même journal demande, le lendemain,
que l'Angleterre se sépare expressément d'une
Politique française qui tendrait à prolonger indé-
finiment l'occupation de la Rhénanie :
La France, à en juger par les commentai-
res de la presse parisienne, est mécontente
de l'offre allemande et fermement résolue à
la repousser tout entière. Cette manifesta-
tion d'opinion aurait été plus impression-
nante si la presse française n'avait claire-
ment laissé entendre, avant même que leur
contenu fût connu, que les propositions al-
lemandes ne seraient pas examinées. Si au-
cune discussion ne doit s'engager, nous
avons le droit de connaître quelle est l'al-
ternative envisagée par la France. C'est
probablement la prolongation de l'occupa-
tion de la Ruhr. Mais, à moins que cette
occupation ne doive être permanente, il fau-
dra bien qu'à un moment donné la France
se décide h examiner les propositions alle-
mandes. Elles seront sans doute moins sa-
tisfaisantes, si les deux adversaires conti-
nuent de ruiner les ressources de l'Allema-
gne. Depuis quatre ans, la France a dé-
pensé beaucoup d'argent, mais elle n'a pas
obtenu le paiement d'une portion de sa
créance.
Personne ne saurait, parler avec enthou-
siasme des propositions allemandes. Elles
fixent, en effet, la capacité de paiement de
l'Allemagne non seulement très au-dessous
du chiffre, d'ailleurs excessif, adopté par la
conférence de Paris, mais encore à un chif-
fre inférieur au montant très modéré arrêté
par nos experts de la Trésorerie. Remar-
quons pourtant que l'offre de l'Allemagne
n'a. pas un caractère fixe ; elle est sujette
aux modifications dont pourrait décider le
comité d'experts auquel l'Allemagne accepte
de s'en remettre. En d'autres termes, la
note allemande n'est destinée, à notre avis,
qu'à ouvrir la porte aux négociations et au
marchandage. A ce titre, elle mérite mieux
qu'une exécution sommaire.
Naturellement, notre gouvernement n'a
pu décider encore de sa réponse aux avan-
ces allemandes, mais il ne doit pas laisser
exclusivement ce soin à la France et à la
Belgique. Le discours de lord Curzon nous
oblige à lui seul à prendre position, quand
bien même nous ne serions pas intéressés
intimement à la prospérité de l'Europe cen-
trale, par le fait même des répercussions
qu'elle exerce sur notre commerce et nos
intérêts généraux. La question de la paix
occupe la première place. L'Allemagne
donne son adhésion à tout arrangement ten-
dant à garantir la paix, pourvu que les obli-
gations assumées le soient à titre récipro-
que. Comment la. France pourrait-elle re-
pousser cette proposition, si ce n'est parce
qu'elle désire rester une puissance forte-
ment militarisée au milieu de voisins désar-
més ? C'est là une situation que l'Europe ne
pourra jamais accepter. Les nations ne sau-
raient pas plus souscrire à la demande que
Pertinax exprime sans détours dans cette
phrase : cc Ce que nous voulons obtenir,
c'est une barrière que l'Allemagne — même
une Allemagne agressive — ne puisse fran-
chir. » Il s'agit là, le sens n'est pas douteux,
de détacher de l'Allemagne à titre perma-
nent, certains territoires, et d'en chasser la
population allemande. Si la France est bien
animée de telles intentions, il ne nous reste
qu'à lui signifier que nous refusons de faire
un seul pas avec elle dans cette voie. —
(Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 4.5.
— Le Daily News (3 mai) émet, avant tout
contre la note allemande des critiques de forme.
La présentation défectueuse des propositions de
Berlin rappelle, à ce titre, celle du plan britan-
nique en janvier dernier. L'Allemagne donne
l'impression (probablement erronée) qu'elle re-
vient à la formule « pas de négociations avant.
l'évacuation et n'apporte pas de précisions suf-
fisantes sur la question de la sécurité.
Nous avions lieu d'espérer que l'Allema
gne porterait son offre un peu au delà de
30 milliards, car la somme proposée ne
couvrirait pas même le minimum irréduc-
tible de la France, soit 26 milliards et la
quote-part de la Belgique et. de l'Italie, sans
parler de la Grande-Bretagne qui, selon les
paroles de lord Curzon, n'a nullement re-
noncé à participer au produit des répara-
tions. En résumé. l'offre allemande pour-
rait être acceptée par la Grande-Bretagne,
la Belgique et l'Italie. La politique adoptée
actuellement par la France ne parait pas,
selon toute vraisemblance, devoir lui pro-
curer un centime de plus que ce que lui
offre aujourd'hui l'Allemagne. Mais on se
leurrerait en supposant qu'elle consentira à
négocier sur la base de la nouvelle note-
Les Allemands, de leur côté, n'ont pas fa-
cilité, comme ils l'auraient pu, la démons-
tration que le refus de la France atteste
de sa part une intransigeance obstinée. -
(Ed.)
DAILY. NEWS, 3.5.
PRESSE ITALIENNE. — Dans la journée d'au-
jourd'hui, le maréchal Foch sera à Varso-
vie, accueilli par le gouvernement polonais
en seigneur et maître. La Pologne ne célè-
bre pas seulement en ce jour l'anniversaire
de la Constitution de 1791, sage constitu-
tion inspirée par un libéralisme raisonna-
ble et équilibré, mais qui arriva trop tard
pour sauver l'indépendance polonaise. Elie
inaugure également le monument à Ponia-
towski, « maréchal de France sous le pre-
mier Empire », comme soulignent les jour-
naux français, qui donnent une grande im-
portance à ce fait et à tout le voyage de
Foch. Le maréchal se rendra de Varsovie
à Prague et de là à Belgrade : autrement
dit, il cherchera à relier et à réunir en un
faisceau, selon les visées politiques de
Poincaré. et selon ses propres visées mi-
litaires, les armées de la Petite Entente, à
la frontière allemande et italienne.
C'est au milieu de ces préparatifs mili-
taires et dans le cadre politique de l'in-
transigeance française la plus absolue (la
Belgique, et pour cause, serait d'une autre
opinion, mais elle ne compte pas) que doit
être placée la nouvelle offre allemande. Le
gouvernement de Cuno a donc un certain
mérite d'avoir résisté aux suggestions des
nationalistes allemands qui voulaient pro-
longer le silence. Hâtons-nous de dire, et
nous l'avions d'ailleurs déjà dit à l'avance,
que ç'aurait été une grave erreur de la part
du Chancelier de céder à ces suggestions,
bien que la politique française ait fait et
fasse tout pour les renforcer.
Non seulement le gouvernement de Cu-
no a résisté à la tentation de prolonger son
silence, mais aussi à celle, plus subtile et
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