Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-04-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 avril 1923 28 avril 1923
Description : 1923/04/28 (T23,N2339). 1923/04/28 (T23,N2339).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391724
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MµINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2339
Samedi 28 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -+ Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE'. - Les intentions de
l'Allemagne (Vorwärts, Deutsche Ta-
geszeitung). — La chute du mark et la
grande industrie allemande (Vorwärts ;
Dr Félix Pinner dans Berliner Tage-
blatt). -
PRESSE AMÉRICAINE. — L'attitude de la Gran-
de-Bretagne et les relations franco-bri-
tanniques (Chicago Daily Tribune).. —
La coopération éventuelle des Etats-
Unis (Beatrice. Baskerville dans
World).—La nouvelle loi de recrutement
en France (Washington Post). — Le
progrès de la flotte commerciale alle-
mande (New York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — La situation dans la
Ruhr (Daily Telegraph). — Les inten-
tions de l'Allemagme (Morning Post,
- Daily Telegraph). — Les relations fran-
co-britanniques (Westminster Gazette).
— Le discours de M. Goodenough à
l'Association, des banquiers américains
(Timesj.
PRESSE ITALIENNE. —Les intentions de l'Al-
lemagne (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DANS LA RHUR. -
CORRESPONDANCE ANGLAISE. — De Dusseldorf,
26 avril : Dix-neuf trains de coke acheminés
vers la France, six trains de charbon ache-
minés vers la Belgique., et sept péniches de
coke et de charbon dirigées sur Ruhort par
le canal Rhin-Hernie, c'est là sans doute un
record en ce qui concerne les transports
quotidiens de combustible de la Ruhr. Les
Français concentrent tous leurs efforts sur
le coke et obtiennent environ 60 du chiffre
des livraisons effectuées avant l'occupation.
Personne ne peut prévoir ce qui se passera
lorsque les stocks de charbon et de coke se-
ront épuisés. Les conseils d'ouvriers de Rhé-
hie et de Westphalie, dont lé nombre at-
teint 300, ont pris une grave décision dans
leur congrès d'Essen. Ils ont décidé de cons-
tituer dans chaque mine un comité, qui aura
charge de répartir le stock de charbon exis-
tant entre les ouvriers et le personnel admi-
nistratif, et d'interrompre complètement la
production. Cette résolution n'est pas accep-
tée, d'ailleurs, par les 4 syndicats de mi-
neurs, qui y voient une tentative des ex-
trémistes pour imposer la grève générale.
et transformer la résistance passive en ré-
sistance active. A leur avis, cette modifi-
cation ne pourrait que favoriser les Fran-
çais ; ils ajoutent qu'il n'y a pas de troupes
dans les mines et qu'on ne peut prétendre,
par conséquent, que les mineurs travaillent
sous la menace des baïonnettes.
Les communistes changent de tactique.
Jusqu'à présent ils se contentaient de ful-
miner contre les capitalistes allemands,
mais, sans doute à la suite de nouveaux
ordres, ils manifestent une hostilité crois-
sante contre la France. Le nombre des chô-
meurs augmente considérablement dans
l'industrie métallurgique, et en particulier
dans la région. de Bochum.
Les journaux locaux sont remplis d'arti-
cles inspirés par Berlin ; on y révèle un fait
intéressant touchant l'offre supposée de
l'Allemagne, présentée à la conférence de
Paris, en janvier, par M. Bergmann.
On dit dans certains milieux que le gou-
vernement allemand se préparerait aujour-
d'hui à renouveler cette offre. Le correspon-
dant berlinois. des Dûsseldorfer Nachrichten
reconnaît, et c'est la première fois qu'on
fait cet aveu, que l'offre écrite n'est arrivée
à Paris qu'après la conférence. La Düssel-
dorfer Zeitung déclare d'autre part que,
quelle que soit la teneur de l'offre éventuelle
du gouvernement allemand, il ne saurait
être question d'abandonner la,. résistance
passive dans la. Ruhr. Des fonctionnaires
français, qui assurent connaître la pensée
de M. Poincaré à ce sujet, affirment ici
qu'aucune conversation ne peut s'engager
tant que la résistance passive continue. —
(Du correspondant particulier.)
DAILY TELEGRAPH, 27.4.
LES INTENTIONS DE L'ALLEMAGNE.
— PRESSE ITALIENNE. - Sous le titre : « Opti-
misme prématuré ». - Après le discours de
lord Curzon. bien des coeurs en Europe se
sont ouverts à l'espérance : à l'espérance
d'une 'solution prochaine et pacifique du con-
flit franco-allemand. On parle avec insis-
tance, à Berlin comme à Londres, d'une
offre .allemande imminente ; on espère
que sur cette offre, grâce à la bonne volonté
française et à l'intérêt amical de l'Angle-
terre (et, certainement aussi,' de l'Italie)
pourra s'engager une discussion sérieuse.
Il est permis d'espérer, c'est un devoir et
une nécessité. Mais l'espoir ne doit pas
empêcher une observation et une apprécia-
tion exacte de la réalité.
Même si l'Allemagne faisait une offre que la
France estimerait pouvoir accepter, même si la
question des. réparations se trouvait réglée dans
son ensemble, toutes les difficultés n'en seraient
pas pour cela écartées.
Le plus difficile resterait encore à faire et
ce serait de s'accorder sur les conditions
politico-territoriales qui accompagneraient la
mise en vigueur de l'accord lui-même. L'oc-
cupation rhénane et, plus encore, celle de'
la- Ruhr constituent la véritable pierre
d'achoppement.
Non seulement le gouvernement français-
est résolu à maintenir son occupation de la
Rhénanie pendant les quinze ans prévus par
le traité de Versailles (ces quinze ans qui
selon l'absurde thèse de M. Poincaré, n'ont
pas encore commencé à courir) ; mais elle a
également proclamé d'une façon formelle et
répétée que la Ruhr ne sera totalement éva-
cuée qu'après le paiement total des répara-
tions. Cette exigence est doublement en con-
tradiction avec le traité de Versailles qui ne
prévoit pas d'autre occupation que celle de
la Rhénanie et qui fixe le terme de cette,
occupation à quinze ans, en subordonnant
l'évacuation à l'acquittement des obligations
qui incombent à l'Allemagne durant cette
période, mais non pas au paiement total de
l'indemnité. Mais la France de Poincaré
nous, l'avons dit plus d'une fois, a réduit le
traité de Versailles à l'état de chiffon de pa-
pier et elle n'entend pas respecter ses obli-
gations internationales.
S'il est extrêmement difficile au gouver-
nement de Berlin d'accepter un nouveau
plan de réparations qui représenterait pour
lui, à la différence du précédent, un enga-
gement volontaire, alors même que l'occu-
pation rhénane ne dépasserait pas les quinze
ans prévus, si l'on peut à peine supposer
qu'il aocepte la thèse poincariste selon la-
quelle les quinze années n'ont pas encore
commencé à courir, on ne peut absolument
concevoir qu'il renonce à réclamer l'évacua-
tion de la Ruhr aussitôt après la conclusion
de l'accord, ou tout au plus après les pre-
miers paiements, et qu'il accepte de la lais-
ser aux mains des Français jusqu'à l'ex-
tinction totale de sa dette. Il n'est pas un
gouvernement allemand, fût-il communiste,
qui accepterait jamais une chose pareille.
Mais ce n'est pas tout. Même en admet-
tant l'impossible, même en supposant
que l'Allemagne admette les absurdes de-
mandes de la France, on n'aurait pas fait
un pas de plus vers la solution effective du
problème. Ces conditions que, dans notre
folle hypothèse, l'Allemagne accepterait, les
banquiers internationaux les repousseraient.
Il ne faut pas oublier, en effet, que le paie-
ment des réparations ne dépend plus seule-
ment de l'Allemagne, mais de la finance in-
ternationale. C'est uniquement grâce à des
emprunts internationaux faits par l'Alle-
magne que la France peut espérer toucher
son indemnité, même réduite à 26 milliards.
La finance anglaise et américaine ne prê-
tera ni trente, ni vingt, ni dix, ni cinq mil-
liards à l'Allemagne tant que la France, par
son occupation de la Ruhr, désorganisera
l'économie allemande, tant que la France ne
renoncera pas à tenir suspendue sur l'Al-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2339
Samedi 28 avril 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. -+ Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE'. - Les intentions de
l'Allemagne (Vorwärts, Deutsche Ta-
geszeitung). — La chute du mark et la
grande industrie allemande (Vorwärts ;
Dr Félix Pinner dans Berliner Tage-
blatt). -
PRESSE AMÉRICAINE. — L'attitude de la Gran-
de-Bretagne et les relations franco-bri-
tanniques (Chicago Daily Tribune).. —
La coopération éventuelle des Etats-
Unis (Beatrice. Baskerville dans
World).—La nouvelle loi de recrutement
en France (Washington Post). — Le
progrès de la flotte commerciale alle-
mande (New York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — La situation dans la
Ruhr (Daily Telegraph). — Les inten-
tions de l'Allemagme (Morning Post,
- Daily Telegraph). — Les relations fran-
co-britanniques (Westminster Gazette).
— Le discours de M. Goodenough à
l'Association, des banquiers américains
(Timesj.
PRESSE ITALIENNE. —Les intentions de l'Al-
lemagne (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DANS LA RHUR. -
CORRESPONDANCE ANGLAISE. — De Dusseldorf,
26 avril : Dix-neuf trains de coke acheminés
vers la France, six trains de charbon ache-
minés vers la Belgique., et sept péniches de
coke et de charbon dirigées sur Ruhort par
le canal Rhin-Hernie, c'est là sans doute un
record en ce qui concerne les transports
quotidiens de combustible de la Ruhr. Les
Français concentrent tous leurs efforts sur
le coke et obtiennent environ 60 du chiffre
des livraisons effectuées avant l'occupation.
Personne ne peut prévoir ce qui se passera
lorsque les stocks de charbon et de coke se-
ront épuisés. Les conseils d'ouvriers de Rhé-
hie et de Westphalie, dont lé nombre at-
teint 300, ont pris une grave décision dans
leur congrès d'Essen. Ils ont décidé de cons-
tituer dans chaque mine un comité, qui aura
charge de répartir le stock de charbon exis-
tant entre les ouvriers et le personnel admi-
nistratif, et d'interrompre complètement la
production. Cette résolution n'est pas accep-
tée, d'ailleurs, par les 4 syndicats de mi-
neurs, qui y voient une tentative des ex-
trémistes pour imposer la grève générale.
et transformer la résistance passive en ré-
sistance active. A leur avis, cette modifi-
cation ne pourrait que favoriser les Fran-
çais ; ils ajoutent qu'il n'y a pas de troupes
dans les mines et qu'on ne peut prétendre,
par conséquent, que les mineurs travaillent
sous la menace des baïonnettes.
Les communistes changent de tactique.
Jusqu'à présent ils se contentaient de ful-
miner contre les capitalistes allemands,
mais, sans doute à la suite de nouveaux
ordres, ils manifestent une hostilité crois-
sante contre la France. Le nombre des chô-
meurs augmente considérablement dans
l'industrie métallurgique, et en particulier
dans la région. de Bochum.
Les journaux locaux sont remplis d'arti-
cles inspirés par Berlin ; on y révèle un fait
intéressant touchant l'offre supposée de
l'Allemagne, présentée à la conférence de
Paris, en janvier, par M. Bergmann.
On dit dans certains milieux que le gou-
vernement allemand se préparerait aujour-
d'hui à renouveler cette offre. Le correspon-
dant berlinois. des Dûsseldorfer Nachrichten
reconnaît, et c'est la première fois qu'on
fait cet aveu, que l'offre écrite n'est arrivée
à Paris qu'après la conférence. La Düssel-
dorfer Zeitung déclare d'autre part que,
quelle que soit la teneur de l'offre éventuelle
du gouvernement allemand, il ne saurait
être question d'abandonner la,. résistance
passive dans la. Ruhr. Des fonctionnaires
français, qui assurent connaître la pensée
de M. Poincaré à ce sujet, affirment ici
qu'aucune conversation ne peut s'engager
tant que la résistance passive continue. —
(Du correspondant particulier.)
DAILY TELEGRAPH, 27.4.
LES INTENTIONS DE L'ALLEMAGNE.
— PRESSE ITALIENNE. - Sous le titre : « Opti-
misme prématuré ». - Après le discours de
lord Curzon. bien des coeurs en Europe se
sont ouverts à l'espérance : à l'espérance
d'une 'solution prochaine et pacifique du con-
flit franco-allemand. On parle avec insis-
tance, à Berlin comme à Londres, d'une
offre .allemande imminente ; on espère
que sur cette offre, grâce à la bonne volonté
française et à l'intérêt amical de l'Angle-
terre (et, certainement aussi,' de l'Italie)
pourra s'engager une discussion sérieuse.
Il est permis d'espérer, c'est un devoir et
une nécessité. Mais l'espoir ne doit pas
empêcher une observation et une apprécia-
tion exacte de la réalité.
Même si l'Allemagne faisait une offre que la
France estimerait pouvoir accepter, même si la
question des. réparations se trouvait réglée dans
son ensemble, toutes les difficultés n'en seraient
pas pour cela écartées.
Le plus difficile resterait encore à faire et
ce serait de s'accorder sur les conditions
politico-territoriales qui accompagneraient la
mise en vigueur de l'accord lui-même. L'oc-
cupation rhénane et, plus encore, celle de'
la- Ruhr constituent la véritable pierre
d'achoppement.
Non seulement le gouvernement français-
est résolu à maintenir son occupation de la
Rhénanie pendant les quinze ans prévus par
le traité de Versailles (ces quinze ans qui
selon l'absurde thèse de M. Poincaré, n'ont
pas encore commencé à courir) ; mais elle a
également proclamé d'une façon formelle et
répétée que la Ruhr ne sera totalement éva-
cuée qu'après le paiement total des répara-
tions. Cette exigence est doublement en con-
tradiction avec le traité de Versailles qui ne
prévoit pas d'autre occupation que celle de
la Rhénanie et qui fixe le terme de cette,
occupation à quinze ans, en subordonnant
l'évacuation à l'acquittement des obligations
qui incombent à l'Allemagne durant cette
période, mais non pas au paiement total de
l'indemnité. Mais la France de Poincaré
nous, l'avons dit plus d'une fois, a réduit le
traité de Versailles à l'état de chiffon de pa-
pier et elle n'entend pas respecter ses obli-
gations internationales.
S'il est extrêmement difficile au gouver-
nement de Berlin d'accepter un nouveau
plan de réparations qui représenterait pour
lui, à la différence du précédent, un enga-
gement volontaire, alors même que l'occu-
pation rhénane ne dépasserait pas les quinze
ans prévus, si l'on peut à peine supposer
qu'il aocepte la thèse poincariste selon la-
quelle les quinze années n'ont pas encore
commencé à courir, on ne peut absolument
concevoir qu'il renonce à réclamer l'évacua-
tion de la Ruhr aussitôt après la conclusion
de l'accord, ou tout au plus après les pre-
miers paiements, et qu'il accepte de la lais-
ser aux mains des Français jusqu'à l'ex-
tinction totale de sa dette. Il n'est pas un
gouvernement allemand, fût-il communiste,
qui accepterait jamais une chose pareille.
Mais ce n'est pas tout. Même en admet-
tant l'impossible, même en supposant
que l'Allemagne admette les absurdes de-
mandes de la France, on n'aurait pas fait
un pas de plus vers la solution effective du
problème. Ces conditions que, dans notre
folle hypothèse, l'Allemagne accepterait, les
banquiers internationaux les repousseraient.
Il ne faut pas oublier, en effet, que le paie-
ment des réparations ne dépend plus seule-
ment de l'Allemagne, mais de la finance in-
ternationale. C'est uniquement grâce à des
emprunts internationaux faits par l'Alle-
magne que la France peut espérer toucher
son indemnité, même réduite à 26 milliards.
La finance anglaise et américaine ne prê-
tera ni trente, ni vingt, ni dix, ni cinq mil-
liards à l'Allemagne tant que la France, par
son occupation de la Ruhr, désorganisera
l'économie allemande, tant que la France ne
renoncera pas à tenir suspendue sur l'Al-
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