Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-03-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 mars 1923 20 mars 1923
Description : 1923/03/20 (T23,N2307). 1923/03/20 (T23,N2307).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391405
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MlNlSTÈRE
~t DES
MES ÉTRANGÈRES
N° 2307
Mardi 20 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOM MAIRE
V;.sSE AI LEmande- — La résistance alleman-
de , les bruits de médiation (Hermann
p. ^linike j dans Acht Uttr Abendblatt ;
Kölniche Zeitung). — L'attribution r de
Hna a la Pologne (Frankfurter Zei-
¡¿/lg). 0
!(KsSe ANGLAISE. - L'occupation de la
Huh (Manchester Guardian). — Répa-
Hons et sécurité (Observer ; Wilson
U ^rris dans Daily News). — La résis-
la^ allemande : les bruits de média-
tif) î1 (DailU Telegraph) : un voyage du
-
aident Ebert (Léonard Spray dans
I)aily Chronicle). - Un complot révolu-
tio nnaire bavarois (Times).
SE EspAGNOLE. — Après le Congrès de la
v, esse latine (Debate).
'âi;' ITALIENNE. — L'occupation de la Ruhr
Paca)
tampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
t'o
^^upation DE LA RUHR.— PRESSE
*-' Sous le titre. : « La France et
, al1 »• - Si M. Poincaré s'est heur-
dails lln° certaine mesure à l'opposition
iltlssi" de M. Mussolini, il ai eu à compter
* M. T les préoccupations économiques
'olt Qu réunis. Car, bien que la Belgique
u. fiS' aussi intéressée que la Fran-
Ce û C SUrer la sécurité de ses frontières,
ce e„tintéressée, d'autre part, au moins
rjl ^U° l'Angleterre à assurer la sécu-
.\1llitr{'¡ Son commerce. On n'a pas fait con-
1 Peints précis de divergence en-
tre M.Theunis et M. Poincaré, mais on re-
%rt,aj, 8én'éralement , que l'entrevue récente
été, re ier's ministres à 1 Bruxelles a
!lé Vot le vif désir qu'ont les Belges
réaii s'e'r un peu plus vite quelques-uns
av nta^c's économiques que l'oocupa-
• clev?lt Primitivement assurer à la Bel-
gique. M. ^>0'ncai"é s'est naturellement trou-
fer VT!1 présence d'un dilemme. Empê-
de tuhe de prendre son bénéfice sous
(i 6 s6curité et de suprématie militaire,
il était nVlte Par la Belgique à montrer
»8 cW°^ou,rs déclaré pouvoir le faire
it l'éSis(t Précisément, sous ce rapport que
1 5 r^ist a^ce 'allemande a déjoué son calcu'
Tant que durera cette résistance, il est
impossible que l'occupation paie ses frais,
à plus forte raison qu'elle accuse un béné-
fice. Cependant M. Poincaré est disposé à
faire de son mieux en important de la main-
d'œuvre (de Pologne, d'Italie, d'Espagne) et
en la faisant travailler sous une protection
militaire qui, dans les conditions actuelles,
se chiffre par seize hommes de troupe par
ouvrier. Si cela représente la véritable me-
sure de la difficulté de l'exploitation écono-
mique, on comprend que M. Poincaré ne
soit pas hostile à l'idée d'entamer des né-
gociations avec l'Allemagne. Avec le con-
sentement de l'Allemagne il est encore pos-
sible d'obtenir, tôt ou tard, des réparations
plus ou moins considérables. Si, de son
côté, l'Allemagne peut résister aux clameurs
nationalistes qui se font plus pressantes et
se départir de son attitude intransigeante
au point de faire aux Alliés des propositions
précises pendant que les troupes françaises
occupent encore son territoire, il y a plus
de chances aujourd'hui qu'il n'y en a eu
depuis longtemps que ces propositions
soient étudiées dans un esprit raisonnable.
- (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 17.3.
PRESSE ITALIENNE. - Sous le titre : « Les
dernières cartes ». — L'affaire de la Ruhr
est, proche de la faillite, non seulement par
suite de la résistance allemande, mais en-
core et surtout à cause de l'opposition an-
glaise, américaine et même belge aux des-
seins de la France. La presse américaine
seins de la France. La presse américaine
quelques jours, les événements de la Ruhr
avec une insolite sévérité de langage, ac-
cusant d'une façon nette et explicite la
France de brutalités contre les citoyens al-
lemands coupables d'avoir défendu leur pa-
trie. Quand on pense à la grande force
qu'a été pour la France sa renommée de
nation chevaleresque et humaine, on com-
prendra combien peuvent lui nuire ces juge-
ments. nouveaux portés sur elle, ces ac-
cusations d'impérialisme.
Le gouvernement belge désire et veut
que le problème des réparations ne de-
vienne pas une arme politique pour la
France, mais soit ramené à ses origines. M.
Poincaré et M. Cuno essaient de porter leur
politique jusqu'à ses extrêmes conséquen-
ces ; le premier propose un schéma de paie-
ment et demande au gouvernement alle-
mand des garanties permettant, pour de
longues années, à la France d'intervenir
dans la politique intérieure du Reich et d'oc-
cuper les territoires rhénans. M. Cuno se
déclare prêt à payer sous peu une grosse
somme, à condition que les territoires oc-
cupés soient évacués tout de suite, les com-
missions de contrôle supprimées et le pro-
blème des réparations résolu une fois pour
toutes. M. Poincaré revendique pour les
gouvernements français, belge et allemand
et pour les institutions où la France do-
mine, comme par exemple la commission
des réparations, le droit d'établir le chiffre
de la dette et les modalités de paiement ;
M. Cuno demande que tous les signataires
du traité de Versailles, en particulier l'An-
gléterre et les Etats-Unis, se réunissent
pour discuter la question. L'un et l'autre
entendent que le traité soit revisé, le gou-
vernement français pour obtenir la souve-
raineté ou au moins la neutralité contrôlée
par la France de la rive gauche du Rhin ;
le gouvernement allemand pour se délivrer
des commissions alliées et pour reconqué-
rir son indépendance tant sur la Ruhr qu'en
Rhénanie. Le jeu est serré et ne durera plus
longtemps.
EPOCA [de Rome], 17.3.
REPARATIONS ET SECURITE. — UNE
DÉCLARATION DE LORD ROBERT CECIL. — * Lord
Robert Cecil qui est rentré à Londres mar-
di, venant, de Paris, et qui s'embarque mer-
credi pour les Etats-Unis où il participera à
une série de manifestations organisées par
l'American Foreign Policy Association, a
bien voulu faire part à un représentant de
l'Observer de ses vues sur la situation fran-
co-allemande.
« Quelqu'un me disait l'autre jour, a dé-
claré lord Robert Cecil que le principal
effet de l'occupation de la Ruhr a été d'ajou-
ter une question de plus aux problèmes, si
nombreux déjà, que comportent les répara-
tions. c'est-à-dire la question de savoir com-
ment retirer les troupes d'occupation. Fran-
chement il est encore impossible de conce-
voir quel a pu être en réalité le but des
Français et à plus forte raison du gouver-
nement belge, avec ses traditions de modé-
ration et d'amitié pour l'Angleterre, en s'en-
gageant dans cette aventure. ,
« Il n'en est que plus essentiel pour la
Grande-Bretagne d'aborder tout le problè-
me dans un esprit de large compréhension
du point de vue français et belge. Nous
pouvons déplorer l'action de la France.
mais il nous est possible, en tout état de
cause, de comprendre ses sentiments. Elle
a besoin des réparations et elle y a droit.
Après tout, les régions dévastées du nord
de la France témoignèrent d'une manière
plus frappante sur n'importe quelles tra-
ces laissées chez nous de ce que la guerre
a vraiment été. J'avoue que si j'étais Fran-
çais, il me serait difficile de trouver le
repos tant que n'auraient pas été éffacés
tous les vestiges de cette dévastation et que
le danger d'une troisième invasion alleman-
de n'aurait pas été conjuré.
« Cela ne signifie pas que je veuille- jus-
~t DES
MES ÉTRANGÈRES
N° 2307
Mardi 20 mars 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOM MAIRE
V;.sSE AI LEmande- — La résistance alleman-
de , les bruits de médiation (Hermann
p. ^linike j dans Acht Uttr Abendblatt ;
Kölniche Zeitung). — L'attribution r de
Hna a la Pologne (Frankfurter Zei-
¡¿/lg). 0
!(KsSe ANGLAISE. - L'occupation de la
Huh (Manchester Guardian). — Répa-
Hons et sécurité (Observer ; Wilson
U ^rris dans Daily News). — La résis-
la^ allemande : les bruits de média-
tif) î1 (DailU Telegraph) : un voyage du
-
aident Ebert (Léonard Spray dans
I)aily Chronicle). - Un complot révolu-
tio nnaire bavarois (Times).
SE EspAGNOLE. — Après le Congrès de la
v, esse latine (Debate).
'âi;' ITALIENNE. — L'occupation de la Ruhr
Paca)
tampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
t'o
^^upation DE LA RUHR.— PRESSE
*-' Sous le titre. : « La France et
, al1 »• - Si M. Poincaré s'est heur-
dails lln° certaine mesure à l'opposition
iltlssi" de M. Mussolini, il ai eu à compter
* M. T les préoccupations économiques
'olt Qu réunis. Car, bien que la Belgique
u. fiS' aussi intéressée que la Fran-
Ce û C SUrer la sécurité de ses frontières,
ce e„tintéressée, d'autre part, au moins
rjl ^U° l'Angleterre à assurer la sécu-
.\1llitr{'¡ Son commerce. On n'a pas fait con-
1 Peints précis de divergence en-
tre M.Theunis et M. Poincaré, mais on re-
%rt,aj, 8én'éralement , que l'entrevue récente
été, re ier's ministres à 1 Bruxelles a
!lé Vot le vif désir qu'ont les Belges
réaii s'e'r un peu plus vite quelques-uns
av nta^c's économiques que l'oocupa-
• clev?lt Primitivement assurer à la Bel-
gique. M. ^>0'ncai"é s'est naturellement trou-
fer VT!1 présence d'un dilemme. Empê-
de tuhe de prendre son bénéfice sous
(i 6 s6curité et de suprématie militaire,
il était nVlte Par la Belgique à montrer
»
it l'éSis(t Précisément, sous ce rapport que
1 5 r^ist a^ce 'allemande a déjoué son calcu'
Tant que durera cette résistance, il est
impossible que l'occupation paie ses frais,
à plus forte raison qu'elle accuse un béné-
fice. Cependant M. Poincaré est disposé à
faire de son mieux en important de la main-
d'œuvre (de Pologne, d'Italie, d'Espagne) et
en la faisant travailler sous une protection
militaire qui, dans les conditions actuelles,
se chiffre par seize hommes de troupe par
ouvrier. Si cela représente la véritable me-
sure de la difficulté de l'exploitation écono-
mique, on comprend que M. Poincaré ne
soit pas hostile à l'idée d'entamer des né-
gociations avec l'Allemagne. Avec le con-
sentement de l'Allemagne il est encore pos-
sible d'obtenir, tôt ou tard, des réparations
plus ou moins considérables. Si, de son
côté, l'Allemagne peut résister aux clameurs
nationalistes qui se font plus pressantes et
se départir de son attitude intransigeante
au point de faire aux Alliés des propositions
précises pendant que les troupes françaises
occupent encore son territoire, il y a plus
de chances aujourd'hui qu'il n'y en a eu
depuis longtemps que ces propositions
soient étudiées dans un esprit raisonnable.
- (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 17.3.
PRESSE ITALIENNE. - Sous le titre : « Les
dernières cartes ». — L'affaire de la Ruhr
est, proche de la faillite, non seulement par
suite de la résistance allemande, mais en-
core et surtout à cause de l'opposition an-
glaise, américaine et même belge aux des-
seins de la France. La presse américaine
seins de la France. La presse américaine
quelques jours, les événements de la Ruhr
avec une insolite sévérité de langage, ac-
cusant d'une façon nette et explicite la
France de brutalités contre les citoyens al-
lemands coupables d'avoir défendu leur pa-
trie. Quand on pense à la grande force
qu'a été pour la France sa renommée de
nation chevaleresque et humaine, on com-
prendra combien peuvent lui nuire ces juge-
ments. nouveaux portés sur elle, ces ac-
cusations d'impérialisme.
Le gouvernement belge désire et veut
que le problème des réparations ne de-
vienne pas une arme politique pour la
France, mais soit ramené à ses origines. M.
Poincaré et M. Cuno essaient de porter leur
politique jusqu'à ses extrêmes conséquen-
ces ; le premier propose un schéma de paie-
ment et demande au gouvernement alle-
mand des garanties permettant, pour de
longues années, à la France d'intervenir
dans la politique intérieure du Reich et d'oc-
cuper les territoires rhénans. M. Cuno se
déclare prêt à payer sous peu une grosse
somme, à condition que les territoires oc-
cupés soient évacués tout de suite, les com-
missions de contrôle supprimées et le pro-
blème des réparations résolu une fois pour
toutes. M. Poincaré revendique pour les
gouvernements français, belge et allemand
et pour les institutions où la France do-
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de la dette et les modalités de paiement ;
M. Cuno demande que tous les signataires
du traité de Versailles, en particulier l'An-
gléterre et les Etats-Unis, se réunissent
pour discuter la question. L'un et l'autre
entendent que le traité soit revisé, le gou-
vernement français pour obtenir la souve-
raineté ou au moins la neutralité contrôlée
par la France de la rive gauche du Rhin ;
le gouvernement allemand pour se délivrer
des commissions alliées et pour reconqué-
rir son indépendance tant sur la Ruhr qu'en
Rhénanie. Le jeu est serré et ne durera plus
longtemps.
EPOCA [de Rome], 17.3.
REPARATIONS ET SECURITE. — UNE
DÉCLARATION DE LORD ROBERT CECIL. — * Lord
Robert Cecil qui est rentré à Londres mar-
di, venant, de Paris, et qui s'embarque mer-
credi pour les Etats-Unis où il participera à
une série de manifestations organisées par
l'American Foreign Policy Association, a
bien voulu faire part à un représentant de
l'Observer de ses vues sur la situation fran-
co-allemande.
« Quelqu'un me disait l'autre jour, a dé-
claré lord Robert Cecil que le principal
effet de l'occupation de la Ruhr a été d'ajou-
ter une question de plus aux problèmes, si
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Français et à plus forte raison du gouver-
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ration et d'amitié pour l'Angleterre, en s'en-
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« Il n'en est que plus essentiel pour la
Grande-Bretagne d'aborder tout le problè-
me dans un esprit de large compréhension
du point de vue français et belge. Nous
pouvons déplorer l'action de la France.
mais il nous est possible, en tout état de
cause, de comprendre ses sentiments. Elle
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Après tout, les régions dévastées du nord
de la France témoignèrent d'une manière
plus frappante sur n'importe quelles tra-
ces laissées chez nous de ce que la guerre
a vraiment été. J'avoue que si j'étais Fran-
çais, il me serait difficile de trouver le
repos tant que n'auraient pas été éffacés
tous les vestiges de cette dévastation et que
le danger d'une troisième invasion alleman-
de n'aurait pas été conjuré.
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