Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-19
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 19 février 1923 19 février 1923
Description : 1923/02/19 (T23,N2282). 1923/02/19 (T23,N2282).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391153
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
llItDES
h., 'ËTRAKGËRE.
No 2282
Lundi 19 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
PRESSE ALLEMANDE. - La récente hausse du
'rrnania> Rote Fahue). — L' du
de Bote 7~e). - L'in-
^strie fj^nçaise et l'industrie alleman-
de (Arnold Rechberg dans Berliner Bör-
sen-Courier).
PRESSE ALLEMANDE. - Le'C'onfu'es panaméri-
ger). e Santagio-du-Chili (Public Led-
1)
I\tssE; ANG
Par 1 ISE. - Le transit du charbon
Par ja e britannique (Daily Tele-
V'Qph s"r'r/a!/ Times). — La résistance
;i'lerr1;,e i (Manchester Guardian).
E ,
~e AGNOLE. - Le haut-commissaire
iesna^1101' au Maroc : bruit d'une
k cJl.e franç'aise (Debate).
%; n,u
L'occupation de la Ruhr
(Mondo; Loncetto Pettinato dans Stam-
é
POLITIQUE GENERALE
-
LEs RÉPARATIONS
rSIt?l0N DE LA RUHR. -
~t "tl Par l'occupation de la
Q~ ~I&i~ d~: I{Uhl', la France contrôle dé-
i^s dir,60( 6rnen^ ou Par l'intermédiaire
sormais indirecternen t, six septièmes
~i~uct~ 'du charbon -et trods cin-
Ut'fj deg 011 du charbon et trois cin-
VoJîs iri bje -^!Xc°ui> plus ,qu'i! ne faut pour
bea sidérurg.ique sur le
8ç¡\J;r e,f' 'l'-e el. qUel puint saura-t-elle or-
c'O Ion des précieuses res-
sources conquises? Comment pourvoiera-t-
StK le inati,o,rl technique entre l'in-
et l'industrie sidétrur-
4in eritre Tière et l'industrie sidérur-
gique, entre ln^ustrie sidérurgique et
iS n,lïiéo an^ personnel dirigeant et la main-d'œuvre ?
Nw era „6S PrÔduits ? Autant de pro-
A avielli,r très prochain verra
ul toute prévision sur les
-Possihi les serait prématurée.
MONDO, 16.2.
ti",b~ ?
1) .0 considère à Paris l'oc-
ûe la Ruhr sous un angle nou-
veau. Un mot peut caractériser l'idée qu'on
s'en fait : point mort. L'opération n'a pas
échoué, et personne ne voudrait commet-
tre la légèreté de penser qu'elle a échoué.
On ne saurait considérer comme un échec
une opération qui a eu pour résultat d'en-
lever à l'Allemagne des atouts formidables.
Privée de ces atouts, l'Allemagne est un
adversaire beaucoup moins redoutable en
cas de guerre, et beaucoup moins capable
de résister à l'exécution des obligations con-
tractées par elle en 1918. Mais' de là à un
succès, il y a de la marge. C'est là un
premier point dont chacun se rend compte.
En prévision de la longue durée de l'occupa-
tion, la France prend ses précautions, notam-
ment en ce qui concerne l'appui allemand à la
Russie.
Les Allemands espèrent audacieusement
l'appui de Moscou qui, à la faveur de com-
plications en Orient et d'incidents entre
Hongrie et Roumanie, devrait se manifes-
ter d'ici deux ou trois mois, à l'époque du
dégel, sous forme d'une pression militaire
sur la frontière polonaise qui coïnciderait
avec une hypothétique action de l'Allema-
gne. Ce qui prouve que ces espoirs ne sont
pas complètement vains, ce sont les efforts
déployés, paraît-il, par le Quai d'Orsay
pour se rapprocher de la Russie, efforts
dont Franklin-Bouillon serait l'âme. Il fau-
drait relier à ces efforts les contacts franco-
russes bien connus de Lausanne et l'inti-
mité soudaine qui s'est établie ici entre cer-
tains membres du gouvernement et un ex-
ministre des Affaires étrangères de l'a Ré-
publique ukrainienne. Ce qui ne veut pas
dire. que les Russes abandonneront l'Al-
lemagne.
L'éventualité d'une conflagration venant
de l'Est reste donc toujours à envisager.
Cette éventualité est le passif de l'opéra-
tion. dont l'affaiblissement de l'Allemagne
est l'actif. Voilà ce qui permet de dire que
jusqu'à nouvel ordre on en est à un point
mort. Il s'agit pour l'instant pour les deux
adversaires d'exécuter les travaux néces-
saires pour jouer une nouvelle partie. Ne
serait-ce pas le moment indiqué pour ten-
ter une transaction ?
Les déclarations officielles et officieuses
de la France et de l'Angleterre semblent
exclure cette possibilité. Mais les Français
recevraient probablement assez volontiers
une lettre du genre de celle que Sixte de
Bourbon, en 1917, avait reçue de l'empe-
reur Charles de Habsbourg et montrée à
M. Poincaré. — Concetto Pettinato.
STAMPA, 16.2.
LE TRANSIT DU CHARBON PAR LA
ZONE BRITANNIQUE. — Disons-le très
franchement, nous comprenons parfaite-
ment les raisons qui ont poussé les Fran-
çais à faire cette requête. Les Allemands
poursuivant leur politique de « résistance
passive » se sont engagés dans la voie d'un
sabotage général des chemins de fer de la
Ruhr. Ils s'enhardissent de jour en jour,
tandis que les autorités françaises, ainsi
que le signale un télégramme de notre cor-
respondant spécial à Düsseldorf. s'abs-
tiennent encore de mettre à exécution leur
menace de condamner à mort les saboteurs
reconnus coupables par les conseils de
guerre français. Le réseau de la Ruhr peut
se trouver immobilisé d'un instant à l'au-
tre ; aussi les Français sont-ils très dési-
reux soit d'être autorisés à se servir libre-
ment des lignes traversant la zone britan-
nique, soit de voir garantir par les auto-
rités militaires britanniques la sécurité du
transit des trains transportant leurs trou-
pes. C'est pourquoi, nous le répétons, il est
tout naturel que les Français demandent
un droit de circulation générale sur ce que
l'on peut appeler les chemins de fer de
Cologne. Mais voyons l'autre côté de la
question. C'est la Grande-Bretagne seule
qui est responsable aux termes du traité
de Versailles, de l'administration de la
zone britannique. Il ne peut pas y avoir de
condominium. Nous avons souvent fait
l'expérience de ce système et jamais il a
abouti à des tiraillements. Si nous accor-
dons aux Français le libre usage des che-
mins de fer, le sabotage de la Ruhr s'éten-
dra en toute probabilité à la zone britan-
nique et ce seront nos soldats qui seront
chargés de le réprimer. Les effectifs bri-
tanniques qui se trouvent sur le Rhin sont
trop peu nombreux pour suffire à cette tâ-
che et y suffiraient-ils que ce n'est pas notre
affaire. Le gouvernement britannique est
résolu à ne participer en aucune manière
à l'aventure de la Ruhr qu'il juge inop-
portune et mal conçue. L'expérience faite
par les Français depuis leur entrée dans
la Ruhr a fortement confirmé le gouverne-
ment britannique dans son opinion quant à
la sagesse dont il a fait preuve en se te-
nant à l'écart. Mais il prévoyait dès le dé-
but le caractère délicat de la situation qui
allait se produire et il a dû s'attendre que
les difficultés en s'accentuant rendissent
tôt ou tard la situation intolérable. Nous
ne disons pas que ce moment soit arrivé.
Mais il est manifestement possible qu'il
vienne. Le gouvernement britannique ne
saurait transiger sur le principe de sa neu-
tralité, au sens réel et non pas seulement
• juridique du terme ef à parler très fran-
chement. si nous ne pouvons garder la
neutralité en restant sur le Rhin. il faut
garder notre neutralité et nous en retirer.
— (Ed.)
'1- (Ed.) DAILY TELEGRAPH, 17.2.
h., 'ËTRAKGËRE.
No 2282
Lundi 19 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
PRESSE ALLEMANDE. - La récente hausse du
'rrnania> Rote Fahue). — L' du
de Bote 7~e). - L'in-
^strie fj^nçaise et l'industrie alleman-
de (Arnold Rechberg dans Berliner Bör-
sen-Courier).
PRESSE ALLEMANDE. - Le'C'onfu'es panaméri-
ger). e Santagio-du-Chili (Public Led-
1)
I\tssE; ANG
Par 1 ISE. - Le transit du charbon
Par ja e britannique (Daily Tele-
V'Qph s"r'r/a!/ Times). — La résistance
;i'lerr1;,e i (Manchester Guardian).
E ,
~e AGNOLE. - Le haut-commissaire
iesna^1101' au Maroc : bruit d'une
k cJl.e franç'aise (Debate).
%; n,u
L'occupation de la Ruhr
(Mondo; Loncetto Pettinato dans Stam-
é
POLITIQUE GENERALE
-
LEs RÉPARATIONS
rSIt?l0N DE LA RUHR. -
~t "tl Par l'occupation de la
Q~ ~I&i~ d~: I{Uhl', la France contrôle dé-
i^s dir,60( 6rnen^ ou Par l'intermédiaire
sormais indirecternen t, six septièmes
~i~uct~ 'du charbon -et trods cin-
Ut'fj deg 011 du charbon et trois cin-
VoJîs
bea sidérurg.ique sur le
8ç¡\J;r e,f' 'l'-e el. qUel puint saura-t-elle or-
c'O Ion des précieuses res-
sources conquises? Comment pourvoiera-t-
StK le inati,o,rl technique entre l'in-
et l'industrie sidétrur-
4in eritre Tière et l'industrie sidérur-
gique, entre ln^ustrie sidérurgique et
iS n,lïiéo an^
Nw era „6S PrÔduits ? Autant de pro-
A avielli,r très prochain verra
ul toute prévision sur les
-Possihi les serait prématurée.
MONDO, 16.2.
ti",b~ ?
1) .0 considère à Paris l'oc-
ûe la Ruhr sous un angle nou-
veau. Un mot peut caractériser l'idée qu'on
s'en fait : point mort. L'opération n'a pas
échoué, et personne ne voudrait commet-
tre la légèreté de penser qu'elle a échoué.
On ne saurait considérer comme un échec
une opération qui a eu pour résultat d'en-
lever à l'Allemagne des atouts formidables.
Privée de ces atouts, l'Allemagne est un
adversaire beaucoup moins redoutable en
cas de guerre, et beaucoup moins capable
de résister à l'exécution des obligations con-
tractées par elle en 1918. Mais' de là à un
succès, il y a de la marge. C'est là un
premier point dont chacun se rend compte.
En prévision de la longue durée de l'occupa-
tion, la France prend ses précautions, notam-
ment en ce qui concerne l'appui allemand à la
Russie.
Les Allemands espèrent audacieusement
l'appui de Moscou qui, à la faveur de com-
plications en Orient et d'incidents entre
Hongrie et Roumanie, devrait se manifes-
ter d'ici deux ou trois mois, à l'époque du
dégel, sous forme d'une pression militaire
sur la frontière polonaise qui coïnciderait
avec une hypothétique action de l'Allema-
gne. Ce qui prouve que ces espoirs ne sont
pas complètement vains, ce sont les efforts
déployés, paraît-il, par le Quai d'Orsay
pour se rapprocher de la Russie, efforts
dont Franklin-Bouillon serait l'âme. Il fau-
drait relier à ces efforts les contacts franco-
russes bien connus de Lausanne et l'inti-
mité soudaine qui s'est établie ici entre cer-
tains membres du gouvernement et un ex-
ministre des Affaires étrangères de l'a Ré-
publique ukrainienne. Ce qui ne veut pas
dire. que les Russes abandonneront l'Al-
lemagne.
L'éventualité d'une conflagration venant
de l'Est reste donc toujours à envisager.
Cette éventualité est le passif de l'opéra-
tion. dont l'affaiblissement de l'Allemagne
est l'actif. Voilà ce qui permet de dire que
jusqu'à nouvel ordre on en est à un point
mort. Il s'agit pour l'instant pour les deux
adversaires d'exécuter les travaux néces-
saires pour jouer une nouvelle partie. Ne
serait-ce pas le moment indiqué pour ten-
ter une transaction ?
Les déclarations officielles et officieuses
de la France et de l'Angleterre semblent
exclure cette possibilité. Mais les Français
recevraient probablement assez volontiers
une lettre du genre de celle que Sixte de
Bourbon, en 1917, avait reçue de l'empe-
reur Charles de Habsbourg et montrée à
M. Poincaré. — Concetto Pettinato.
STAMPA, 16.2.
LE TRANSIT DU CHARBON PAR LA
ZONE BRITANNIQUE. — Disons-le très
franchement, nous comprenons parfaite-
ment les raisons qui ont poussé les Fran-
çais à faire cette requête. Les Allemands
poursuivant leur politique de « résistance
passive » se sont engagés dans la voie d'un
sabotage général des chemins de fer de la
Ruhr. Ils s'enhardissent de jour en jour,
tandis que les autorités françaises, ainsi
que le signale un télégramme de notre cor-
respondant spécial à Düsseldorf. s'abs-
tiennent encore de mettre à exécution leur
menace de condamner à mort les saboteurs
reconnus coupables par les conseils de
guerre français. Le réseau de la Ruhr peut
se trouver immobilisé d'un instant à l'au-
tre ; aussi les Français sont-ils très dési-
reux soit d'être autorisés à se servir libre-
ment des lignes traversant la zone britan-
nique, soit de voir garantir par les auto-
rités militaires britanniques la sécurité du
transit des trains transportant leurs trou-
pes. C'est pourquoi, nous le répétons, il est
tout naturel que les Français demandent
un droit de circulation générale sur ce que
l'on peut appeler les chemins de fer de
Cologne. Mais voyons l'autre côté de la
question. C'est la Grande-Bretagne seule
qui est responsable aux termes du traité
de Versailles, de l'administration de la
zone britannique. Il ne peut pas y avoir de
condominium. Nous avons souvent fait
l'expérience de ce système et jamais il a
abouti à des tiraillements. Si nous accor-
dons aux Français le libre usage des che-
mins de fer, le sabotage de la Ruhr s'éten-
dra en toute probabilité à la zone britan-
nique et ce seront nos soldats qui seront
chargés de le réprimer. Les effectifs bri-
tanniques qui se trouvent sur le Rhin sont
trop peu nombreux pour suffire à cette tâ-
che et y suffiraient-ils que ce n'est pas notre
affaire. Le gouvernement britannique est
résolu à ne participer en aucune manière
à l'aventure de la Ruhr qu'il juge inop-
portune et mal conçue. L'expérience faite
par les Français depuis leur entrée dans
la Ruhr a fortement confirmé le gouverne-
ment britannique dans son opinion quant à
la sagesse dont il a fait preuve en se te-
nant à l'écart. Mais il prévoyait dès le dé-
but le caractère délicat de la situation qui
allait se produire et il a dû s'attendre que
les difficultés en s'accentuant rendissent
tôt ou tard la situation intolérable. Nous
ne disons pas que ce moment soit arrivé.
Mais il est manifestement possible qu'il
vienne. Le gouvernement britannique ne
saurait transiger sur le principe de sa neu-
tralité, au sens réel et non pas seulement
• juridique du terme ef à parler très fran-
chement. si nous ne pouvons garder la
neutralité en restant sur le Rhin. il faut
garder notre neutralité et nous en retirer.
— (Ed.)
'1- (Ed.) DAILY TELEGRAPH, 17.2.
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