Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 février 1923 16 février 1923
Description : 1923/02/16 (T23,N2280). 1923/02/16 (T23,N2280).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62391138
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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F*» DES -
ÉTRANGÈRES
N° 2280
Vendredi 16 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
de Ai
- résistance alleman-
l0l^r'a!rnme français « d'hégémo-
m-n^^entalei » (\v aller Schotte
11% Péf;ess'/,sche Jahrbûcher).
: l'oe - La, Grandei-Bretagne et
[ tiorxg l0 ?nj de la Ruhr : les déclara-
~ss) S de * Law à la Chambre
it ûeisi Onm ^ïlu'rie's le 13 février et l'amen-
^filent ÏVestlibéraux - (Daily Telegraph,
^cLtis n •? Gazette : H. \W. Harris
ÏÏorniJ1 n N&Ws ; lord Sydenham dans
'- -IloM'n ,-POst ; YÜ'rlishire Post). — Le
du chaTbon dans la zone britan-
i Wdr.pl rnislsion M. Le Trocquer à
r es()rning Post, Daily Mail,
t év trru'Y/¡ster Gazette). — Dissolution
^venWii des syndieiaits des charbons
(Manchester Guardian). ebarboiis
f.:ss'£. Gardian ).
IR^CHIENN'5- - Unei interview du
E géiiéraj^'dendorff (Reichspost).
du SP î SNï LE" La Ruhr et le cliari§'e
du r. - La (Ruhr et le change
L anc (Luis Oïlariaga dans Sotl,. -
ITALIENNE. — « Démocratie et dicta-
» (G. FiSraieroi dans Secolo).
POLITIQUE GENERALE
I LES RÉPARATIONS
BRETAGNE, ET L'OCCU-
bt M. 1^ RUHR. - LES DÉCLARA-
AR LAW A LA CHAMBRE DES
HO FÉVRIER) ET L'AMENDEMENT DES
rédacteur diplomatique du
ratl, f ! aWirï]?ie que les paroles de M.
Er~ M Chaiïlbre des Communes ont
di t~s les partis.
j re les déclarations minis-
èt? ^61^attendues avec plus d'im-
e et térêt par le corps, diploma-
c'elles Prononcées mardi dernier
JJ)J~ ïiïiieT unmstre. La réticence ob-
- lèll'ij i Bon,n Law et son entourage
litr d:e, la conférence de Paris
e Ors à mettre à l'épreuve l'atten-
alliés. Dans certains cas, 'la ré-
« Vj5nement britannique était
d^1 l'indice que sa politique
1, c-onfé r ence une cer-
i otra -ation Cette- illusion est au-
■com p-lètement dissipée. Deux
ne OIlt frappé les diplomates
011rs des débats parlementaires
de mardi, d'une part la netteté des critiques
de M. Bonar Law touchant l'expérience
française dans la Ruhr, et de l'autre, l'ab-
sence complète d'un opposition sérieuse à
son point die vue dans aucun parti, à leur
surprise, aucune voix influente ne s'est éle-
vée en faveur d'une coopération avec la
France et la Belgique dans la Ruhr.
DAILY TELEGRAPH, 15.2.
^iS§4WÏ &'% '<*."*• ••"="*"
— A ,1a suite de M. Asquith et de lord Grey,
toute la presse libérale conclut à la nécessité
d'une intervention de la Société des nations.
La Westminster Gazette, se félicite de la dé-
cision prise par les libéraux indépendants et les
libéraux nationaux de présenter d'un commun
accord un amendement à l'adresse. Cet amen-
dement porte les signatures de sir John Simon.
M1. Pringle, de M. Vivian Philips d'une part,
de M. Fisher, de sir Robert Hutehinson et de
M. Hilton Young de l'autre ; il préconise la no-
mination d'une commission d'experts choisie
par la Société des nations et chargée de dé-
terminer les capacités de l'Allemagne ainsi que
les meilleures méthodes de jugement ; des dé-
marches devraient être tentées auprès de rAmé-
rique pour obtenir qui'elle fût représentée à l'a
Commission
Il s'agit là d'un effort commun des libé-
raux pour arracher l 'Europe à une situa-
tion périlleuse. Le plan suggéré tout en fa-
cilitant la paix assuré que l'Allemagne
paiera dans toute la limite de ses ressour-
ces. Nous nous réjouissons que la pre-
mière manifestation commune des libéraux
soit en faveur de la Société des nations. La
Société a souffert de l'hésitation des hom-
mes d'Etat à lui confier les tâches les plus
importantes, ce n'est que de cette façon
pourtant que nous saurons si elle peut de-
venir un instrument de', politique interna-
tionale assez puissant pour délivrer le
monde des anciennes jalousies et suspi-
cions.
WESTMINSTER GAZETTE, 15.2.
— M. Wilson Harris recherche dans le Daily
News comment il serait possible de vaincre l'hos-
tilité de la France à une intervention de la So-
ciété des nations :
La question d'une action de la Société
des nations en ce qui concerne la Ruhr va
être discutée immédiatement à propos de
l'amendement déposé par les libéraux.
L'intervention de la Société a déjà été
proposée à la Chambre des Communes par
M. Asquith et M. Ramsay, Mac Donald et
à la Chambre des Lords par lord Grey de
Fallodon.
Il est malheureusement exact qu'à l'heu-
re actuelle la France, comme M. Bonar
Law et lord Curzon l'ont fait remarquer,
n'accepterait, pas l'intervention de la So-
ciété. Les raisons de ce refus s'expliquent
clairement. Les propositions relatives à une
intervention de la Société ont toujours eu
jusqu'à présent un caractère abstrait : elles
étaient, conçues de telle sorte que la France
pouvait objecter, à juste titre, que la mé-
diation de la Société aurait pour seul résul-
tat de retarder encore l'heure où ses légi-
times revendications recevront satisfaction.
La France demande, avant tout, la restau-
ration de ses régions dévastées. Sur ce
point, tout le monde est d'accord en Angle-
terre, et la majorité des Allemands n'est
sans doute pas d'un avis différent. Si une
solution était assurée à cet égard, M. Poin-
caré pourrait, de bonne grâce, retirer les
troupes d'occupation de la Ruhr. La Société
des nations devrait offrir de se charger de
la reconstitution des régions dévastées à la
satisfaction entière de la France et aux frais
de l'Allemagne. - H. W. Harris.
DAILY NEWS, 15.2.
- LonD SYDENHAM, dans une lettre à la Mor-
ning Post, fait allusion au projet de nomination
d'une commission d'experts, mentionné dans
l'amendement libéral ; il juge l'idée séduisante
mais inefficace.
Toutes les ressources effectives de l'Alle-
magne ont été transférées secrètement à
l'étranger ; seul l'interrogatoire, sous la foi
du serment, d'un grand nombre de ban-
quiers permettrait d'établir le montant exact
de la richesse allemande et de déterminer
les lieux où elle est déposée. Les Allemands
ont créé volontairement une sélection finan-
cière qui favorise leurs procédés d'évasion.
La dépréciation du mark et l'emploi de la
planche à billets ont permis de supprimer la
dette extérieure et de consacrer des som-
mes importantes au développement du com-
merce et de l'industrie. Le produit des ven-
tes faites au dehors demeure dans les ban-
ques étrangères en dollars et en sterling.
ans ces conditions, deux mesures seulement
permettront d'assurer le paiement de répa-
rations substantielles, la saisie des doua-
nes, maritimes et l'occupation de le Ruhr.
Dans ces conditions, deux mesures seulement
Lord Sydenham.
MORNING POST, 15.2.
— La conservatrice Yorkshire. Post croit qu'un
appel à la Société des nations serait prématuré.
En agissant dans la Ruhr la France a cherché
avant tout à sauvegarder, sa sécurité; une offre
de garantie anglo-américaine pourrait apaiser
les inquiétudes qu'elle éprouve pour l'avenir.
Dans les discours prononcés hier par les
hommes d'Etat libéraux il n'est rien qui
puisse blesser des oreilles françaises. M.
Asquith, tout en désapprouvant l'occupation
de la Ruhr aussi vigoureusement que
l'avaient fait les membres du gouverne-
F*» DES -
ÉTRANGÈRES
N° 2280
Vendredi 16 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
de Ai
- résistance alleman-
l0l^r'a!rnme français « d'hégémo-
m-n^^entalei » (\v aller Schotte
11% Péf;ess'/,sche Jahrbûcher).
: l'oe - La, Grandei-Bretagne et
[ tiorxg l0 ?nj de la Ruhr : les déclara-
~ss) S de * Law à la Chambre
it ûeisi Onm ^ïlu'rie's le 13 février et l'amen-
^filent ÏVestlibéraux - (Daily Telegraph,
^cLtis n •? Gazette : H. \W. Harris
ÏÏorniJ1 n N&Ws ; lord Sydenham dans
'- -IloM'n ,-POst ; YÜ'rlishire Post). — Le
du chaTbon dans la zone britan-
i Wdr.pl rnislsion M. Le Trocquer à
r es()rning Post, Daily Mail,
t év trru'Y/¡ster Gazette). — Dissolution
^venWii des syndieiaits des charbons
(Manchester Guardian). ebarboiis
f.:ss'£. Gardian ).
IR^CHIENN'5- - Unei interview du
E géiiéraj^'dendorff (Reichspost).
du SP î SNï LE" La Ruhr et le cliari§'e
du r. - La (Ruhr et le change
L anc (Luis Oïlariaga dans Sotl,. -
ITALIENNE. — « Démocratie et dicta-
» (G. FiSraieroi dans Secolo).
POLITIQUE GENERALE
I LES RÉPARATIONS
BRETAGNE, ET L'OCCU-
bt M. 1^ RUHR. - LES DÉCLARA-
AR LAW A LA CHAMBRE DES
HO FÉVRIER) ET L'AMENDEMENT DES
rédacteur diplomatique du
ratl, f ! aWirï]?ie que les paroles de M.
Er~ M Chaiïlbre des Communes ont
di t~s les partis.
j re les déclarations minis-
èt? ^61^attendues avec plus d'im-
e et térêt par le corps, diploma-
c'elles Prononcées mardi dernier
JJ)J~ ïiïiieT unmstre. La réticence ob-
- lèll'ij i Bon,n Law et son entourage
litr d:e, la conférence de Paris
e Ors à mettre à l'épreuve l'atten-
alliés. Dans certains cas, 'la ré-
« Vj5nement britannique était
d^1 l'indice que sa politique
1, c-onfé r ence une cer-
i otra -ation Cette- illusion est au-
■com p-lètement dissipée. Deux
ne OIlt frappé les diplomates
011rs des débats parlementaires
de mardi, d'une part la netteté des critiques
de M. Bonar Law touchant l'expérience
française dans la Ruhr, et de l'autre, l'ab-
sence complète d'un opposition sérieuse à
son point die vue dans aucun parti, à leur
surprise, aucune voix influente ne s'est éle-
vée en faveur d'une coopération avec la
France et la Belgique dans la Ruhr.
DAILY TELEGRAPH, 15.2.
^iS§4WÏ &'% '<*."*• ••"="*"
— A ,1a suite de M. Asquith et de lord Grey,
toute la presse libérale conclut à la nécessité
d'une intervention de la Société des nations.
La Westminster Gazette, se félicite de la dé-
cision prise par les libéraux indépendants et les
libéraux nationaux de présenter d'un commun
accord un amendement à l'adresse. Cet amen-
dement porte les signatures de sir John Simon.
M1. Pringle, de M. Vivian Philips d'une part,
de M. Fisher, de sir Robert Hutehinson et de
M. Hilton Young de l'autre ; il préconise la no-
mination d'une commission d'experts choisie
par la Société des nations et chargée de dé-
terminer les capacités de l'Allemagne ainsi que
les meilleures méthodes de jugement ; des dé-
marches devraient être tentées auprès de rAmé-
rique pour obtenir qui'elle fût représentée à l'a
Commission
Il s'agit là d'un effort commun des libé-
raux pour arracher l 'Europe à une situa-
tion périlleuse. Le plan suggéré tout en fa-
cilitant la paix assuré que l'Allemagne
paiera dans toute la limite de ses ressour-
ces. Nous nous réjouissons que la pre-
mière manifestation commune des libéraux
soit en faveur de la Société des nations. La
Société a souffert de l'hésitation des hom-
mes d'Etat à lui confier les tâches les plus
importantes, ce n'est que de cette façon
pourtant que nous saurons si elle peut de-
venir un instrument de', politique interna-
tionale assez puissant pour délivrer le
monde des anciennes jalousies et suspi-
cions.
WESTMINSTER GAZETTE, 15.2.
— M. Wilson Harris recherche dans le Daily
News comment il serait possible de vaincre l'hos-
tilité de la France à une intervention de la So-
ciété des nations :
La question d'une action de la Société
des nations en ce qui concerne la Ruhr va
être discutée immédiatement à propos de
l'amendement déposé par les libéraux.
L'intervention de la Société a déjà été
proposée à la Chambre des Communes par
M. Asquith et M. Ramsay, Mac Donald et
à la Chambre des Lords par lord Grey de
Fallodon.
Il est malheureusement exact qu'à l'heu-
re actuelle la France, comme M. Bonar
Law et lord Curzon l'ont fait remarquer,
n'accepterait, pas l'intervention de la So-
ciété. Les raisons de ce refus s'expliquent
clairement. Les propositions relatives à une
intervention de la Société ont toujours eu
jusqu'à présent un caractère abstrait : elles
étaient, conçues de telle sorte que la France
pouvait objecter, à juste titre, que la mé-
diation de la Société aurait pour seul résul-
tat de retarder encore l'heure où ses légi-
times revendications recevront satisfaction.
La France demande, avant tout, la restau-
ration de ses régions dévastées. Sur ce
point, tout le monde est d'accord en Angle-
terre, et la majorité des Allemands n'est
sans doute pas d'un avis différent. Si une
solution était assurée à cet égard, M. Poin-
caré pourrait, de bonne grâce, retirer les
troupes d'occupation de la Ruhr. La Société
des nations devrait offrir de se charger de
la reconstitution des régions dévastées à la
satisfaction entière de la France et aux frais
de l'Allemagne. - H. W. Harris.
DAILY NEWS, 15.2.
- LonD SYDENHAM, dans une lettre à la Mor-
ning Post, fait allusion au projet de nomination
d'une commission d'experts, mentionné dans
l'amendement libéral ; il juge l'idée séduisante
mais inefficace.
Toutes les ressources effectives de l'Alle-
magne ont été transférées secrètement à
l'étranger ; seul l'interrogatoire, sous la foi
du serment, d'un grand nombre de ban-
quiers permettrait d'établir le montant exact
de la richesse allemande et de déterminer
les lieux où elle est déposée. Les Allemands
ont créé volontairement une sélection finan-
cière qui favorise leurs procédés d'évasion.
La dépréciation du mark et l'emploi de la
planche à billets ont permis de supprimer la
dette extérieure et de consacrer des som-
mes importantes au développement du com-
merce et de l'industrie. Le produit des ven-
tes faites au dehors demeure dans les ban-
ques étrangères en dollars et en sterling.
ans ces conditions, deux mesures seulement
permettront d'assurer le paiement de répa-
rations substantielles, la saisie des doua-
nes, maritimes et l'occupation de le Ruhr.
Dans ces conditions, deux mesures seulement
Lord Sydenham.
MORNING POST, 15.2.
— La conservatrice Yorkshire. Post croit qu'un
appel à la Société des nations serait prématuré.
En agissant dans la Ruhr la France a cherché
avant tout à sauvegarder, sa sécurité; une offre
de garantie anglo-américaine pourrait apaiser
les inquiétudes qu'elle éprouve pour l'avenir.
Dans les discours prononcés hier par les
hommes d'Etat libéraux il n'est rien qui
puisse blesser des oreilles françaises. M.
Asquith, tout en désapprouvant l'occupation
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