Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-02-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 février 1923 10 février 1923
Description : 1923/02/10 (T23,N2275). 1923/02/10 (T23,N2275).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239108z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
;-.:' MINISTERE
DES
MRES ÉTRANGÈRES
N° 2275
Samedi 10 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-- résistance aUeman-
do a-'V,\1ANnE- - La résistance alleman-
de (Vossische lei/ung; Morusdans AYdt-
'lill/l('). - J)('clnentions (]r ?\l. (:unn Ù
un journaliste américain (Berliner Ta-
la Il
n,,hr ";RICA1NK. — I/oc^upation de la
\[0).(T Une déclaration de Miss Anne
et ) nr!< TImes. - Le. pétro-
(1 et le - (;aoutf;liouc : la concurrence, an-
'l'icaine y„r).
RE:-i.- îl YiGL\ISE. - L' occupation de la Ruhr
, )1I1[¡f C/~(~6[/ Ironie c. Jlanchcstcr Guardian).
S'ijp"(j) !0uPes britanniques de Colo-
s"ivrnp V ExPrCs's)- - La situation a
Post n eslminsirr Gazctlei Murning
iiraph) a'^ irS' I >m('s> Daily Telc-
!(1'aph). '-', , ,
1>l!r"SSE itvl
S-'^lovp11 ANE\— Les accords italo-vou-
de rntif8 pt 'da-Margtierita : le projet
ntir "on (Popolg (j'Italia).
PolITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^sseC^ATI0N DE LA RUHR. -
«:Jtl.ltl'e AISE' - * Il Y a aujourd'hui
les que l'tirniôo française sous
la du général Dégoutté a envahi la
/^r. t»en° s imaginait, en v aMant, que
a ■coriirnic S1°n -cl'ingénielll'S des mines.
POUrt"lit d(~ ,t'
oi0v/U' ostensiblement protéger,
°tlrrait nr eriI ? direction de l'industrie
j0haitjon* or pour le compte de
d" nCf' ('ett idée est depuis longtemps
>1*0. '6 f l' ~]j Ce <{III f'()Il('f'!'l1e les n"].)(\rullOnS,
] - (e}" -
J de pinVasion a té que la !''rance et
l.^Gl8'kn;ie (]U* auparavant recevaient en-
bOf) ch exce(lent de CO.COO tonnes de char-
bot, chaa,~
>0r) ch arn,0 °Ur' n ont reçu pour ainsi dire
ch-,rk
D~,SP clepllis. En 28 jours il n'a
de ni s que l'équivalent d'une demi-
llrr>ée uti riû r «vraison «
es
J' -'c pend - -',
l'A,,"1 en ^agrie relativement au paiement des
tû Paration» ^llormément diminué. Il a été
Uij rn^^ Cari^me lui servait à la pro-
"{]Clion e des coups dont il
de S° r^iever de longtemps. Si les
d ('.tCes L
^Ul ,font envahie avaient seules
ere, nn (,
Créan0 S sur l',\llemagne. elles pour-
iv 'eilt' dire pent-être. qu'après tout. c'est
leu r affaire. Mais ce n'est pas
le cas La Grande-Bretagne aussi est créan-
cière de l'Allemagne pour une somme très
élevée, et c'est, en même temps qu'un actif
français, un actif britannique que la poli-
tique française est en voie de détruire de
gaieté de cœur, et cela pour des motifs qui
n'ont rien de commun avec une tentative
loyale de recouvrement d'une créance.
L'humeur actuelle du gouvernement
français semble consister à entasser violen-
ces sur violences. Hier, ses troupes de la
Ruhr ont étendu la zone occupée, de ma-
nière à comprendre un nouveau groupe de
villes au sud de Barmen et d'Elberfeld. Les
expulsions de fonctionnaires allemands
continuent sans se ralentir et il est sérieu-
sement question aujourd'hui d'expulser tout
le personnel des chemins de fer, soit, en
comptant les familles, de 300 à 400.000 per-
sonnes. C'est un état d'esprit voisin de la
folie.
Aucun véritable ami de la France ne peut
s'empêcher de la voir avec tristesse s'en-
gager dans une telle voie. Mais nous avons
à songer à quelque chose de plus, impor-
tant pour nous-mêmes que l'amitié de la
France ; à savoir la prospérité, l'avenir,
l'existence même de la Grande-Breta.gne.
Car notre paix et notre liberté dépendent
toutes deux de la paix et de la liberté du
continent, et la politique de la Ruhr s'at-
taque à l'une et à l'autre.
Si la prospérité de la France et celle de
la Grande-Bretagne étaient réellement op-
posées l'une à l'autre, on pourrait abandon-
ner tout espoir de trouver une solution.
Mais il n'en est rien. La France est un
pays agricole et elle souffre beaucoup moins
que nous de la désorganisation et la misère
de l'Europe. Elle ne laisse pas néanmoins
d'en ressentir le contre-coup ; nous n'en
voulons pour preuve que son bilan natio-
nal. Le grand cri des hommes d'Etat qui la
gouvernent a été qu'elle est obligée de pé-
nétrer dans la Ruhr afin de se procurer de
l'argent et d'échapper à la banqueroute.
N'est-il pas devenu évident que c'est seu-
lement en quittant la Ruhr qu'elle pourra
atteindre l'un ou l'autre de ces buts ?
Il est nécessaire d'avoir pour l'orgueil na-
tional d'une grande puissance les plus
grands ménagements. Mais si l'attitude de
complaisance adoptée par nous lorsque
M. Poincaré a violé le traité comportait
quelque avantage, c'était précisément de
permettre à notre gouvernement, si la
France échouait, comme elle l'a fait, dans
son entreprise, dr l'aider sans blesser son
amour-propre à revenir sur ses pas et à
sortir du gâchis. Le moment ne semble-t-il
pas venu pour nous d offrir nos services
dans ce sens ?'
Et si cette offre est définitivement refn-
sée, ne convient-il pas, même s'il ne nous
est pas donné de sauver la France, de nous
mettre du moins en devoir de nous sauver
nous-mêmes. — (Ed.)
DAILY CHROMCLE, 8.2.
— Sous le titre : « La nécessité de parler
franchement )L - Le comte Beauchamp
avait peut-être raison de déclarer hier que
les libéraux avaient eu tort de ne pas parler
franchement, il y a longtemps, dès le mo-
ment où il devint évident que la politique
française était incompatible avec la paix,
avec la reprise du commerce, et 'avec le
paiement des réparations. Quoi qu'il en
soit, il s'en faut que tous les libéraux aient
eu an même degré leur franc-parler. Mais
la question plus pratique est de savoir s'ils
ont suffisamment leur franc-parler aujour-
d'hui, et si en parlant franchement ils peu-
vent éliminer le caractère « bienveillant »
de la neutralité à l'égard d'une politique qui
leur déplaît souverainement pour toutes les
raisons d'opportunité et de justice. Peuvent-
ils obtenir la revision du traité de Versail-
les et peuvent-ils substituer la Société des
nations au gouvernement français, à peu
près exempt de tout contrôle, dans une
question qui n'intéresse pas' la France seu-
lement, ni même les seuls alliés, mais tous
les Etats civilisés du monde ? Jusqu'ici les
libéraux n'ont pas eu grand chose à criti-
quer dans la politique d'un gouvernement
tory envers la France et l'opinion virtuel-
lement unanime que soutient M. Bonar Law
est probablement la raison pour laquelle les
critiques à l'égard de la France n'ont pas
été plus violentes. Mais il devient de plus
en plus évident que l'attitude de M. Bonar
Law ne saurait satisfaire les libéraux dont
la neutralité n'est pas teintée de « bienveil-
lance ». Ils désirent, plus ardemment peut-
être que M. Bonar Law lui-même, se tenir
en dehors de la vendetta franco-allemande ;
c'est pourquoi ils voient, plus clairement
que lui, que le seul moyen de ne pas s'y
trouver mêlés est de rendre d'une façon per-
manente ces deux pays justiciables d'une
autorité plus haute que la leur, c'est-à-dire
de la Société des nations. C'est en cela que
M. Bonar Law n'a pas été à la hauteur de
sa tâche. Le Conseil de la Société a tenu
une séance, il a envisagé la question des
réparations et il a passé outre. Et l'Angle-
terre qui a exercé son « droit amical » d'ap-
peler l'attention de la Société sur la possi-
bilité d'une guerre dans le Proche Orient,
a consenti à fermer les yeux sur ce qui est
virtuellement, une guerre à sa porte même.
Il est possible de défendre cette cécité simu-
lée en disant, que la France elle-même de-
mandera sous peu à la Société des nations
de tirer pour elle les marrons' du feu et
i
DES
MRES ÉTRANGÈRES
N° 2275
Samedi 10 février 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-- résistance aUeman-
do a-'V,\1ANnE- - La résistance alleman-
de (Vossische lei/ung; Morusdans AYdt-
'lill/l('). - J)('clnentions (]r ?\l. (:unn Ù
un journaliste américain (Berliner Ta-
la Il
n,,hr ";RICA1NK. — I/oc^upation de la
\[0).(T Une déclaration de Miss Anne
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(1 et le - (;aoutf;liouc : la concurrence, an-
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!(1'aph). '-', , ,
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S-'^lovp11 ANE\— Les accords italo-vou-
de rntif8 pt 'da-Margtierita : le projet
ntir "on (Popolg (j'Italia).
PolITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
^sseC^ATI0N DE LA RUHR. -
«:Jtl.ltl'e AISE' - * Il Y a aujourd'hui
les que l'tirniôo française sous
la du général Dégoutté a envahi la
/^r. t»en° s imaginait, en v aMant, que
a ■coriirnic S1°n -cl'ingénielll'S des mines.
POUrt"lit d(~ ,t'
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°tlrrait nr eriI ? direction de l'industrie
j0haitjon* or pour le compte de
d" nCf' ('ett idée est depuis longtemps
>1*0. '6 f l' ~]j Ce <{III f'()Il('f'!'l1e les n"].)(\rullOnS,
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de ni s que l'équivalent d'une demi-
llrr>ée uti riû r «vraison «
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J' -'c pend - -',
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n'ont rien de commun avec une tentative
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L'humeur actuelle du gouvernement
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ces sur violences. Hier, ses troupes de la
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nière à comprendre un nouveau groupe de
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continuent sans se ralentir et il est sérieu-
sement question aujourd'hui d'expulser tout
le personnel des chemins de fer, soit, en
comptant les familles, de 300 à 400.000 per-
sonnes. C'est un état d'esprit voisin de la
folie.
Aucun véritable ami de la France ne peut
s'empêcher de la voir avec tristesse s'en-
gager dans une telle voie. Mais nous avons
à songer à quelque chose de plus, impor-
tant pour nous-mêmes que l'amitié de la
France ; à savoir la prospérité, l'avenir,
l'existence même de la Grande-Breta.gne.
Car notre paix et notre liberté dépendent
toutes deux de la paix et de la liberté du
continent, et la politique de la Ruhr s'at-
taque à l'une et à l'autre.
Si la prospérité de la France et celle de
la Grande-Bretagne étaient réellement op-
posées l'une à l'autre, on pourrait abandon-
ner tout espoir de trouver une solution.
Mais il n'en est rien. La France est un
pays agricole et elle souffre beaucoup moins
que nous de la désorganisation et la misère
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d'en ressentir le contre-coup ; nous n'en
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l'argent et d'échapper à la banqueroute.
N'est-il pas devenu évident que c'est seu-
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atteindre l'un ou l'autre de ces buts ?
Il est nécessaire d'avoir pour l'orgueil na-
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M. Poincaré a violé le traité comportait
quelque avantage, c'était précisément de
permettre à notre gouvernement, si la
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son entreprise, dr l'aider sans blesser son
amour-propre à revenir sur ses pas et à
sortir du gâchis. Le moment ne semble-t-il
pas venu pour nous d offrir nos services
dans ce sens ?'
Et si cette offre est définitivement refn-
sée, ne convient-il pas, même s'il ne nous
est pas donné de sauver la France, de nous
mettre du moins en devoir de nous sauver
nous-mêmes. — (Ed.)
DAILY CHROMCLE, 8.2.
— Sous le titre : « La nécessité de parler
franchement )L - Le comte Beauchamp
avait peut-être raison de déclarer hier que
les libéraux avaient eu tort de ne pas parler
franchement, il y a longtemps, dès le mo-
ment où il devint évident que la politique
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paiement des réparations. Quoi qu'il en
soit, il s'en faut que tous les libéraux aient
eu an même degré leur franc-parler. Mais
la question plus pratique est de savoir s'ils
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d'hui, et si en parlant franchement ils peu-
vent éliminer le caractère « bienveillant »
de la neutralité à l'égard d'une politique qui
leur déplaît souverainement pour toutes les
raisons d'opportunité et de justice. Peuvent-
ils obtenir la revision du traité de Versail-
les et peuvent-ils substituer la Société des
nations au gouvernement français, à peu
près exempt de tout contrôle, dans une
question qui n'intéresse pas' la France seu-
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les Etats civilisés du monde ? Jusqu'ici les
libéraux n'ont pas eu grand chose à criti-
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tory envers la France et l'opinion virtuel-
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est probablement la raison pour laquelle les
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en plus évident que l'attitude de M. Bonar
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c'est pourquoi ils voient, plus clairement
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autorité plus haute que la leur, c'est-à-dire
de la Société des nations. C'est en cela que
M. Bonar Law n'a pas été à la hauteur de
sa tâche. Le Conseil de la Société a tenu
une séance, il a envisagé la question des
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peler l'attention de la Société sur la possi-
bilité d'une guerre dans le Proche Orient,
a consenti à fermer les yeux sur ce qui est
virtuellement, une guerre à sa porte même.
Il est possible de défendre cette cécité simu-
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mandera sous peu à la Société des nations
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