Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-01-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 janvier 1923 16 janvier 1923
Description : 1923/01/16 (T23,N2253). 1923/01/16 (T23,N2253).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6239086t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
PFMRES ÉTRANGÈRES
N° 2253
Mardi 16 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
lquv
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'occupation de la
Ruhr (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt). — Une déclaration de M. Pinker-
neil (Vossische Zeitung). — Le rappel
des ambassadeurs allemands (Berliner
Bôrsen-Courier).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'immigration aux
Etat-Unis (Chicago Daily News).
PRESSE anglaise. — L'occupation de la Ruhr
(Daily News, Morning Post, Daily Tele-
graph). — Le contrôle des charbonnages
de la Ruhr (Westminster Gazette, J. C.
Segrue daos Daily News). — L'industrie
allemande et le charbon britannique
(Daily News). — La protestation alle-
mande à Londres (Daily Telegraph). —
Les manifestations de Berlin (Daily Te-
- legraph).
PRESSE ITALIENNE. L'occupation de la Ruhr
(Idea Nationale, Corriere d'Italia, Gior-
nale d'Italia, Mondo, Nicolo Bonservizi
dans Popolo d'Italia).
Presse RUSSE. — Les intérêts russes à Me-
mel (lzvestia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. -
p R £ sse anglaise. — Sous le titre : « Le
flOInphe de M. Poincaré ». — M. Poincaré
a réussi là où échoua. M. Clemenceau. Ses
tees sont dans la Ruhr et le dernier des
rOis grands bassins houillers de l'Allema-
grle est désormais aux mains de la France.
Léxtermination économique de l'Allemagne,
visée par les grands consortiums français
,e liacier et du charbon, dont M. Poincaré
fut pendant vingt ans le conseiller juridique
et dont l'influence servit à l'élever à la
résidence de la République, semble en
l' llIlie) voie d'accomplissement, ainsi que
l'effondrement politique et le démembre-
ment de l'Allemagne. On n'a rien vu de pa-
reil depuis l'époque où Napoléon enjambait
peUiInOnde et jetait les principautés et les
puissances aux pieds de la France.
l\~ Le précédent n'est rien moins que rassu-
rant L'Europe n'aime pas les dictateurs qui
enjambent le monde, qu'il s'agisse d'em-
pereurs allemands ou d'empereurs français,
voire de présidents français, et l'Europe finit
toujours par l'emporter. La puissance de
Napoléon semblait la plus invulnérable que
le monde eût jamais vue et cependant l'in-
tervalle fut bref entre Iéna et Leipzig, Wa-
terloo et Saint-Hélène. Il est permis de re-
commander cette réflexion à M. Poincaré.
L'existence de l'Europe n'est pas une af-
faire d'aujourd'hui ou de demain. C'est une
longue suite d'événements qui comporte un
grand nombre d'étranges revirements et le
succès du crime d'une génération peut sem-
bler à la génération suivante une défaite
tragique. Bismarck pensait avoir remporté
un succès triomphant à Paris, en 1871, mais
cinquante ans. plus tard on s'aperçut que
c'était une erreur plutôt lamentable. Com-
parée à la « paix » de ces quatre dernières
années, l'action de Bismarck n'avait rien
d'excessif, mais le boomerang revint avec
précision. Le chancelier de fer lui-même,
au moment de la victoire, éprouva certains
doutes quant à la sagesse de son acte.
« Nous avons obtenu, écrivait-il à sa fem-
me, des choses qui nous feront, je le crains,
plus de mal que de bien ».
Cette phrase, avec la terrible confirma-
tion que lui a donnée le temps, devrait
être présente à l'esprit de la France aujour-
d'hui. A vrai dire, nous savons d'ailleurs
que la fraction la plus sage de l'opinion
française s'en préocupe déjà. De leur point
de vue différent, des personnalités telles que
M. Loucheur et M. Barbusse ont mis en
garde leurs compatriotes contre la folle po-
litique de vengeance qui atteint aujourd'hui
son comble. Ils ne se laissent pas induire
par la puissance militaire écrasante de la
France dans l'erreur de croire qu'il lui soit
possible d'imposer à l'Europe d'une ma-
nière durable une paix de violence. Ils
voient, dans les signes et dans les présages
qui acompagnent cette aventure désespérée
dans le domaine de l'inconnu, la menace
d'événements terribles. Déjà, elle a rompu
l'alliance avec la Grande-Bretagne qui per-
mit à la France de remporter la victoire
qu'elle exploite aujourd'hui d'une manière
si cruelle. Elle a soulevé en Amérique, nous
dit le correspondant du Times à Was-
hington, tant de colère et d'indignation que
le gouvernement a procédé au rappel des
quelques troupes qu'il maintenait - encore
dans les territoires/ occupés. Elle a rendu
plus inévitable que jamais la consolidation
des peuples allemand et russe dans une ca-
maraderie faite d'amertume à l'égard du
pays qui est le principal auteur de leurs
souffrances. Quelle sera la situation de la
France lorsque, désillusionnée et en fail-
lite. elle aura en face d'elle les deux peu-
ples les plus puissants du continent, unis
par les souvenirs communs de la violence et
de l'injustice dont ils ont eu à souffrir et
qu'elle se sera aliéné par le coup de dé
imprudent qui visait à la dictature écono-
mique et militaire, tout le monde anglo-
américain qui l'avait soutenue à l'heure du
danger ? — A. G. G[ardiner].
DAILY NEWS, 13.1.
— L'opposition du gouvernement britan-
nique à la politique des gages et à l'exten-
sion de l'occupation de l'Allemagne qu'elle
entraine, a été déclarée déjà avec la plus
grande franchise et dans les conditions de
publicité les plus larges. M. poincaré lui-
même a fait une allusion courtoise à la
loyauté et à la droiture avec lesquelles le
premier ministre a fait ressortir nettement
les points de vue essentiellement différents
des deux gouvernements. On est d'autant
plus surpris de constater qu'un organe im-
portant de l'opinion française « note avec
satisfaction que les Anglais n'ont pas pro-
testé contre l'action de la France dans le
bassin de la Ruhr. » En réalité, la protes-
tation britannique a été beaucoup plus vi-
goureuse, par anticipation, que la protesta-
tion formellement émise par le gouverne-
ment des Etats-Unis ; et nous ne pouvons
que répéter une fois de plus l'avertissement
que parce que nous avons scrupuleusement
observé les obligations de la courtoisie et
de l'amitié, ce n'est pas une raison pour
que l'opinion française se méprenne sur ce
qu'est et sera l'attitude de notre pays. C'est
l'attitude d'un créancier désireux de mettre
son débiteur dans une situation où il
pourra, avec le temps, payer ce qu'il doit.
M. Lloyd George discute aujourd'hui cette
attitude, dans son sixième article. Il se
peut qu'elle soit mal interprétée à l'étran-
ger, comme l'ont été déjà tant de déclara-
tions britanniques sur ce sujet, et qu'on y
voie une tendance favoraible à l'Allemagne.
C'est là une erreur dans laquelle tombent
habituellement les commentateurs français,
et l'Allemagne est naturellement toujours à
l'affût d'une expression d'opinion anglaise
qui se prête à cette fausse interprétation.
La simple vérité est que ni le gouvernement
de M. Lloyd George, ni son successeur, ni
aucun autre gouvernement, britannique,
n'a jamais, ni ne pouvait jamais soutenir la
thèse que l'Allemagne! ne doit pas être punie.
Ce que l'on désapprouve en Angleterre,
c'est l'application de pénalités qui détrui-
sent l'espoir d'obtenir des réparations. Est-
il quelqu'un pour s'imaginer, par exemple,
que c'est par sympathie pour les popula-
tions du bassin de la Ruhr, dans la triste
situation à laquelle elles sont réduites au-
jourd'hui, que'nous désapprouvons l'action
de la France ? Ces populations n'ont pas
subi, au cours des événements des deux
derniers jours, la centième partie des humi-
liations, et certainement aucune des bruta-
DES
PFMRES ÉTRANGÈRES
N° 2253
Mardi 16 janvier 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
lquv
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — L'occupation de la
Ruhr (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt). — Une déclaration de M. Pinker-
neil (Vossische Zeitung). — Le rappel
des ambassadeurs allemands (Berliner
Bôrsen-Courier).
PRESSE AMÉRICAINE. — L'immigration aux
Etat-Unis (Chicago Daily News).
PRESSE anglaise. — L'occupation de la Ruhr
(Daily News, Morning Post, Daily Tele-
graph). — Le contrôle des charbonnages
de la Ruhr (Westminster Gazette, J. C.
Segrue daos Daily News). — L'industrie
allemande et le charbon britannique
(Daily News). — La protestation alle-
mande à Londres (Daily Telegraph). —
Les manifestations de Berlin (Daily Te-
- legraph).
PRESSE ITALIENNE. L'occupation de la Ruhr
(Idea Nationale, Corriere d'Italia, Gior-
nale d'Italia, Mondo, Nicolo Bonservizi
dans Popolo d'Italia).
Presse RUSSE. — Les intérêts russes à Me-
mel (lzvestia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'OCCUPATION DE LA RUHR. -
p R £ sse anglaise. — Sous le titre : « Le
flOInphe de M. Poincaré ». — M. Poincaré
a réussi là où échoua. M. Clemenceau. Ses
tees sont dans la Ruhr et le dernier des
rOis grands bassins houillers de l'Allema-
grle est désormais aux mains de la France.
Léxtermination économique de l'Allemagne,
visée par les grands consortiums français
,e liacier et du charbon, dont M. Poincaré
fut pendant vingt ans le conseiller juridique
et dont l'influence servit à l'élever à la
résidence de la République, semble en
l' llIlie) voie d'accomplissement, ainsi que
l'effondrement politique et le démembre-
ment de l'Allemagne. On n'a rien vu de pa-
reil depuis l'époque où Napoléon enjambait
peUiInOnde et jetait les principautés et les
puissances aux pieds de la France.
l\~ Le précédent n'est rien moins que rassu-
rant L'Europe n'aime pas les dictateurs qui
enjambent le monde, qu'il s'agisse d'em-
pereurs allemands ou d'empereurs français,
voire de présidents français, et l'Europe finit
toujours par l'emporter. La puissance de
Napoléon semblait la plus invulnérable que
le monde eût jamais vue et cependant l'in-
tervalle fut bref entre Iéna et Leipzig, Wa-
terloo et Saint-Hélène. Il est permis de re-
commander cette réflexion à M. Poincaré.
L'existence de l'Europe n'est pas une af-
faire d'aujourd'hui ou de demain. C'est une
longue suite d'événements qui comporte un
grand nombre d'étranges revirements et le
succès du crime d'une génération peut sem-
bler à la génération suivante une défaite
tragique. Bismarck pensait avoir remporté
un succès triomphant à Paris, en 1871, mais
cinquante ans. plus tard on s'aperçut que
c'était une erreur plutôt lamentable. Com-
parée à la « paix » de ces quatre dernières
années, l'action de Bismarck n'avait rien
d'excessif, mais le boomerang revint avec
précision. Le chancelier de fer lui-même,
au moment de la victoire, éprouva certains
doutes quant à la sagesse de son acte.
« Nous avons obtenu, écrivait-il à sa fem-
me, des choses qui nous feront, je le crains,
plus de mal que de bien ».
Cette phrase, avec la terrible confirma-
tion que lui a donnée le temps, devrait
être présente à l'esprit de la France aujour-
d'hui. A vrai dire, nous savons d'ailleurs
que la fraction la plus sage de l'opinion
française s'en préocupe déjà. De leur point
de vue différent, des personnalités telles que
M. Loucheur et M. Barbusse ont mis en
garde leurs compatriotes contre la folle po-
litique de vengeance qui atteint aujourd'hui
son comble. Ils ne se laissent pas induire
par la puissance militaire écrasante de la
France dans l'erreur de croire qu'il lui soit
possible d'imposer à l'Europe d'une ma-
nière durable une paix de violence. Ils
voient, dans les signes et dans les présages
qui acompagnent cette aventure désespérée
dans le domaine de l'inconnu, la menace
d'événements terribles. Déjà, elle a rompu
l'alliance avec la Grande-Bretagne qui per-
mit à la France de remporter la victoire
qu'elle exploite aujourd'hui d'une manière
si cruelle. Elle a soulevé en Amérique, nous
dit le correspondant du Times à Was-
hington, tant de colère et d'indignation que
le gouvernement a procédé au rappel des
quelques troupes qu'il maintenait - encore
dans les territoires/ occupés. Elle a rendu
plus inévitable que jamais la consolidation
des peuples allemand et russe dans une ca-
maraderie faite d'amertume à l'égard du
pays qui est le principal auteur de leurs
souffrances. Quelle sera la situation de la
France lorsque, désillusionnée et en fail-
lite. elle aura en face d'elle les deux peu-
ples les plus puissants du continent, unis
par les souvenirs communs de la violence et
de l'injustice dont ils ont eu à souffrir et
qu'elle se sera aliéné par le coup de dé
imprudent qui visait à la dictature écono-
mique et militaire, tout le monde anglo-
américain qui l'avait soutenue à l'heure du
danger ? — A. G. G[ardiner].
DAILY NEWS, 13.1.
— L'opposition du gouvernement britan-
nique à la politique des gages et à l'exten-
sion de l'occupation de l'Allemagne qu'elle
entraine, a été déclarée déjà avec la plus
grande franchise et dans les conditions de
publicité les plus larges. M. poincaré lui-
même a fait une allusion courtoise à la
loyauté et à la droiture avec lesquelles le
premier ministre a fait ressortir nettement
les points de vue essentiellement différents
des deux gouvernements. On est d'autant
plus surpris de constater qu'un organe im-
portant de l'opinion française « note avec
satisfaction que les Anglais n'ont pas pro-
testé contre l'action de la France dans le
bassin de la Ruhr. » En réalité, la protes-
tation britannique a été beaucoup plus vi-
goureuse, par anticipation, que la protesta-
tion formellement émise par le gouverne-
ment des Etats-Unis ; et nous ne pouvons
que répéter une fois de plus l'avertissement
que parce que nous avons scrupuleusement
observé les obligations de la courtoisie et
de l'amitié, ce n'est pas une raison pour
que l'opinion française se méprenne sur ce
qu'est et sera l'attitude de notre pays. C'est
l'attitude d'un créancier désireux de mettre
son débiteur dans une situation où il
pourra, avec le temps, payer ce qu'il doit.
M. Lloyd George discute aujourd'hui cette
attitude, dans son sixième article. Il se
peut qu'elle soit mal interprétée à l'étran-
ger, comme l'ont été déjà tant de déclara-
tions britanniques sur ce sujet, et qu'on y
voie une tendance favoraible à l'Allemagne.
C'est là une erreur dans laquelle tombent
habituellement les commentateurs français,
et l'Allemagne est naturellement toujours à
l'affût d'une expression d'opinion anglaise
qui se prête à cette fausse interprétation.
La simple vérité est que ni le gouvernement
de M. Lloyd George, ni son successeur, ni
aucun autre gouvernement, britannique,
n'a jamais, ni ne pouvait jamais soutenir la
thèse que l'Allemagne! ne doit pas être punie.
Ce que l'on désapprouve en Angleterre,
c'est l'application de pénalités qui détrui-
sent l'espoir d'obtenir des réparations. Est-
il quelqu'un pour s'imaginer, par exemple,
que c'est par sympathie pour les popula-
tions du bassin de la Ruhr, dans la triste
situation à laquelle elles sont réduites au-
jourd'hui, que'nous désapprouvons l'action
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