Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 décembre 1922 13 décembre 1922
Description : 1922/12/13 (T22,N2228). 1922/12/13 (T22,N2228).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252526n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
- N° 2228
Mercredi 13 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. - Les propositions du
ministère Cuno (Hamburger Fremden-
V' ^lf'n'' estfälische Zeitung).
Le rôle du ministre français à Mu-
Mp Ca (Kölnische Volks zeitung).
j~~ .ÙIÉRIUI:\E. - Les élections et la
Hr 1 'lciUe étrangère (X al ion-).
SSE, ANGLAISE. - Réparations et dettes
enteralliées (Daily Chronicle). — L'a-
gouvernement de la conférence de Londres
illj -Telegra-ph, Times, Mo min g Post,
Daily Chronicle). — Les Etats-Unis et
■p UrOPe le message présidentiel du
décembre {Times).
LITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
PROPOSITIONS DU MINISTERE
~t", Le chancelier Cuno a fait remet-
la conférence de Londres l'offre al-
de par l'ancien secrétaire d'Etat, Berg-
Il a voulu par là faire connaître l'in-
on du gouvernement, allemand de pra-
une politique active et a voulu en
temps enlever toute force à l'asser-
d'après laquelle on ne peut rien obte-
~iI. l'Allemagne que par des mesures de
~ainte. Le langage de Poincaré et de
~solini à Londres ne pouvait être ré-
~qu' l-l1 démontrant 1)(1.l' les nouvelles pro-
~ons ,ailtlernanLie:s que l'Allemagne peut
un sérieux effort pour satisfaire jus-
BBE~ hnlite du possible les vœux de la
ïg e chancelier Cuno va plus loin que
M~ jamais le chancelier Wirth. Le
gouvernament allemand offre à la France le
~ent total d'un emprunt extérieur de
milliards de marks-or pour l'aider à
des difficultés financières - qu'elle con-
~ac tuellement , et il semble qu'en se soit
de la disposition des Etats-Unis à
r-," cette somme dans l'intérêt de la
économique européenne. Il offre, en
la ~c du montant d'un emprunt
~eur Cest plus que les Français ne
~ent attendre, plus qu'ils n'espéraient
f durant l'été dernier lorsque la com-
~on des banquiers délibérait à Paris
la possibilité d'un emprunt internatio-
L'opinion publique française était prête
temps à revendiquer seulement une
de l'emprunt et à affecter le reste à la
dation du mark. Si la. France ne vou-
~B vraiment que le moyen de combler son
et de revenir à des finances saines,
ce projet allemand constituerait une tenta-
tive loyale en vue de réaliser une entente
franco-allemande et de sortir des dangers
qui menacent, les deux peuples.
Mais il n'en est pas ainsi. Le projet alle-
mand a été repoussé par Poincaré comme
base des délibérations de Londres.
Il a donc été rejeté parce que Poincaré
n'est pas l'homme qui veut une entente
germano-française, une solidarité de l'éco-
nomie germano-française. Tout ce qu'il dit
des choses économiques n'est qu'un camou-
flage destiné à cacher ses buts politiques se-
crets, de la rhétorique d'avocat.
HAAMBURGER FBEMDENBLATT,
- 11.12, soir.
- Autant qu'on en peut juger, le cabinet
Cuno a trouvé le courage de dire la vé-
rité. Il ne fait pas de grandes, promesses,
mais, indique les conditions auxquelles on
peut fournir des réparations. Mais même
si l'Allemagne et les. alliés lui faisaient
toutes les concessions, Poincaré n'abandon-
nerait rien de ses exigences. Poincaré ne
veut pas de concessions, ou bien il n'en
veut que si on lui donne en même temps
les garanties : la Ruhr. On peut douter
que l'Angleterre s'oppose à Poincaré. La
France et l'Italie ont trop donné à Lau-
sanne pour ne pas exiger maintenant des
contre-parties de l'Angleterre. Le compro-
mis qui est soumis, dès aujourd'hui à sa si-
gnature contiendra ces contre-prestations et
même si la Ruhr reste libre (autant qu'on
puisse encore parler de liberté) les pessi-
mistes se trouverent avoir eu raison.
La France cherche des garanties, en pre-
mier lieu pour que l'Allemagne ne se re-
lève pas, surtout militairement. Tout le
reste passe au second plan pour Les milieux
dirigeants de Paris. Ainsi pense le repré-
sentant de l'idée impérialiste Raymond
Poincaré, qui fut surnommé « la guerre >•
et qui maintenant mérite le surnom de
« l'occupation ».
RHEINISCH WESTFAELISCHE ZEITUNG
- 11.12, soir.
REPARATIONS ET DETTES INTERAL-
LIEES. — OPINION ANGLAISE. — Sous le titre :
« BONS ET MAUVAIS ARGUMENTS AU SUJET DES
DETTES ». — Nous ne nous refusons nulle-
ment à discuter ces deux problèmes (répa-
rations allemandes et dettes interalliées)
conjointement ; ce serait, nous semble-t-il,
la méthode la plus pratique. Mais nous re-
poussons absolument la suggestion suivant
laquelle la France, serait fondée à nous de-
mander d'annuler notre créance sur elle, à
condition qu'elle voulût bien se rallier dans
une certaine mesure à notre point de vue
au sujet des réparations allemandes. Eh
réalite notre politique est d'obtenir de l'Al-
lemagne pour - les alliés, y compris la
France, le maximum de paiements possi-
ble. Nous prétendons. — et sur ce point à
peu près toutes les autorités financières en
dehors de la France sont de notre avis --
que l'on obtiendrait, plus d'argent, de notre
manière que de la manière préconisée par
les Français et que la France a intérêt,
autant que nous, à adopter la procédure que
nous préconisons, Dans ces conditions
pourquoi demanderait-on au contribuable
britannique d'acheter au contribuable fran-
çais son consentement à une opération qui
serait, tout bénéfice pour lui ?
Le seul motif véritable qui puisse nous
pousser à annuler nos créances sur nos
alliés, qu'il s'agisse de la France, de l'Ita-
lie ou de tout autre, est. de favoriser la paix
et la prospérité de l'Europe. Mais dans la
mesure où nous ferions, en vue du bien gé-
néral, ce lourd sacrifice — à supposer que
les paiements que nous devons faire nous-
mêmes aux Etats-Unis nous laissassent les
moyens de le consentir —" nous devrions
pouvoir demander à nos amis quelques se-
cnhccs en échange. La France, par exem-
ple, devrait commencer par abandonner son
programme de constructions de sous-ma-
rins, car il ne peut être question pour nous
de mettre de l'argent dans sa poche, afin
de lui permettre de le dépenser à cons-
truire des armes offensives qui ne peuvent
viser que la marine marchande britanni-
que. Tout est de savoir si la France est
disposée à poursuivre en Europe des des-
seins pacifiques ou agressifs. Dans sa ré-
ponse à M. Lloyd George, M. Poincaré af-
firmé qu'en France aucun parti ne désire
annexer la rive gauche du Rhin. Ceux qui
ont suivi de près les négociations de 1919, à
Paris, savent bien avec quelle insistance
les Français revendiquaient à ce moment-
là la frontière du Rhin, et nul de nous n'a
oublié la protestation publique et véhémente
du maréchal Foch lorsque le traité fut signé
sans réaliser cette demande. — (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 11.12.
L'AJOURNEMENT DE LA CONFERENCE
DE LONDRES. — PRESSE ANGLAISE. — Sous
le titre : « LES VUES DE M. POINCARÉ ». —
J'ai tout lieu de croire que les vues de M.
Poincaré au sujet des conversations et des
résultats obtenus peuvent se résumer
ainsi : Personnellement, il aurait pu conti-
nuer les pourparlers et il y était tout dispo-
sé, mais il se rend parfaitement compte des
raisons qui ont obligé M. Bonar Law à de-
mander l'ajournement. Il reconnaît qu'il
n'a pas été pris de décisions, mais il con-
sidère que l'exposé de leurs points de vue
respectifs fait par les premiers ministres
a été d'une très grande utilité., M. Poincaré
se réserve liberté, entière de s'en tenir à
son plan, qu'il n'a pas encore fait connaître
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
- N° 2228
Mercredi 13 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
SSE ALLEMANDE. - Les propositions du
ministère Cuno (Hamburger Fremden-
V' ^lf'n'' estfälische Zeitung).
Le rôle du ministre français à Mu-
Mp Ca (Kölnische Volks zeitung).
j~~ .ÙIÉRIUI:\E. - Les élections et la
Hr 1 'lciUe étrangère (X al ion-).
SSE, ANGLAISE. - Réparations et dettes
enteralliées (Daily Chronicle). — L'a-
gouvernement de la conférence de Londres
illj -Telegra-ph, Times, Mo min g Post,
Daily Chronicle). — Les Etats-Unis et
■p UrOPe le message présidentiel du
décembre {Times).
LITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
PROPOSITIONS DU MINISTERE
~t", Le chancelier Cuno a fait remet-
la conférence de Londres l'offre al-
de par l'ancien secrétaire d'Etat, Berg-
Il a voulu par là faire connaître l'in-
on du gouvernement, allemand de pra-
une politique active et a voulu en
temps enlever toute force à l'asser-
d'après laquelle on ne peut rien obte-
~iI. l'Allemagne que par des mesures de
~ainte. Le langage de Poincaré et de
~solini à Londres ne pouvait être ré-
~qu' l-l1 démontrant 1)(1.l' les nouvelles pro-
~ons ,ailtlernanLie:s que l'Allemagne peut
un sérieux effort pour satisfaire jus-
BBE~ hnlite du possible les vœux de la
ïg e chancelier Cuno va plus loin que
M~ jamais le chancelier Wirth. Le
gouvernament allemand offre à la France le
~ent total d'un emprunt extérieur de
milliards de marks-or pour l'aider à
des difficultés financières - qu'elle con-
~ac tuellement , et il semble qu'en se soit
de la disposition des Etats-Unis à
r-," cette somme dans l'intérêt de la
économique européenne. Il offre, en
la ~c du montant d'un emprunt
~eur Cest plus que les Français ne
~ent attendre, plus qu'ils n'espéraient
f durant l'été dernier lorsque la com-
~on des banquiers délibérait à Paris
la possibilité d'un emprunt internatio-
L'opinion publique française était prête
temps à revendiquer seulement une
de l'emprunt et à affecter le reste à la
dation du mark. Si la. France ne vou-
~B vraiment que le moyen de combler son
et de revenir à des finances saines,
ce projet allemand constituerait une tenta-
tive loyale en vue de réaliser une entente
franco-allemande et de sortir des dangers
qui menacent, les deux peuples.
Mais il n'en est pas ainsi. Le projet alle-
mand a été repoussé par Poincaré comme
base des délibérations de Londres.
Il a donc été rejeté parce que Poincaré
n'est pas l'homme qui veut une entente
germano-française, une solidarité de l'éco-
nomie germano-française. Tout ce qu'il dit
des choses économiques n'est qu'un camou-
flage destiné à cacher ses buts politiques se-
crets, de la rhétorique d'avocat.
HAAMBURGER FBEMDENBLATT,
- 11.12, soir.
- Autant qu'on en peut juger, le cabinet
Cuno a trouvé le courage de dire la vé-
rité. Il ne fait pas de grandes, promesses,
mais, indique les conditions auxquelles on
peut fournir des réparations. Mais même
si l'Allemagne et les. alliés lui faisaient
toutes les concessions, Poincaré n'abandon-
nerait rien de ses exigences. Poincaré ne
veut pas de concessions, ou bien il n'en
veut que si on lui donne en même temps
les garanties : la Ruhr. On peut douter
que l'Angleterre s'oppose à Poincaré. La
France et l'Italie ont trop donné à Lau-
sanne pour ne pas exiger maintenant des
contre-parties de l'Angleterre. Le compro-
mis qui est soumis, dès aujourd'hui à sa si-
gnature contiendra ces contre-prestations et
même si la Ruhr reste libre (autant qu'on
puisse encore parler de liberté) les pessi-
mistes se trouverent avoir eu raison.
La France cherche des garanties, en pre-
mier lieu pour que l'Allemagne ne se re-
lève pas, surtout militairement. Tout le
reste passe au second plan pour Les milieux
dirigeants de Paris. Ainsi pense le repré-
sentant de l'idée impérialiste Raymond
Poincaré, qui fut surnommé « la guerre >•
et qui maintenant mérite le surnom de
« l'occupation ».
RHEINISCH WESTFAELISCHE ZEITUNG
- 11.12, soir.
REPARATIONS ET DETTES INTERAL-
LIEES. — OPINION ANGLAISE. — Sous le titre :
« BONS ET MAUVAIS ARGUMENTS AU SUJET DES
DETTES ». — Nous ne nous refusons nulle-
ment à discuter ces deux problèmes (répa-
rations allemandes et dettes interalliées)
conjointement ; ce serait, nous semble-t-il,
la méthode la plus pratique. Mais nous re-
poussons absolument la suggestion suivant
laquelle la France, serait fondée à nous de-
mander d'annuler notre créance sur elle, à
condition qu'elle voulût bien se rallier dans
une certaine mesure à notre point de vue
au sujet des réparations allemandes. Eh
réalite notre politique est d'obtenir de l'Al-
lemagne pour - les alliés, y compris la
France, le maximum de paiements possi-
ble. Nous prétendons. — et sur ce point à
peu près toutes les autorités financières en
dehors de la France sont de notre avis --
que l'on obtiendrait, plus d'argent, de notre
manière que de la manière préconisée par
les Français et que la France a intérêt,
autant que nous, à adopter la procédure que
nous préconisons, Dans ces conditions
pourquoi demanderait-on au contribuable
britannique d'acheter au contribuable fran-
çais son consentement à une opération qui
serait, tout bénéfice pour lui ?
Le seul motif véritable qui puisse nous
pousser à annuler nos créances sur nos
alliés, qu'il s'agisse de la France, de l'Ita-
lie ou de tout autre, est. de favoriser la paix
et la prospérité de l'Europe. Mais dans la
mesure où nous ferions, en vue du bien gé-
néral, ce lourd sacrifice — à supposer que
les paiements que nous devons faire nous-
mêmes aux Etats-Unis nous laissassent les
moyens de le consentir —" nous devrions
pouvoir demander à nos amis quelques se-
cnhccs en échange. La France, par exem-
ple, devrait commencer par abandonner son
programme de constructions de sous-ma-
rins, car il ne peut être question pour nous
de mettre de l'argent dans sa poche, afin
de lui permettre de le dépenser à cons-
truire des armes offensives qui ne peuvent
viser que la marine marchande britanni-
que. Tout est de savoir si la France est
disposée à poursuivre en Europe des des-
seins pacifiques ou agressifs. Dans sa ré-
ponse à M. Lloyd George, M. Poincaré af-
firmé qu'en France aucun parti ne désire
annexer la rive gauche du Rhin. Ceux qui
ont suivi de près les négociations de 1919, à
Paris, savent bien avec quelle insistance
les Français revendiquaient à ce moment-
là la frontière du Rhin, et nul de nous n'a
oublié la protestation publique et véhémente
du maréchal Foch lorsque le traité fut signé
sans réaliser cette demande. — (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 11.12.
L'AJOURNEMENT DE LA CONFERENCE
DE LONDRES. — PRESSE ANGLAISE. — Sous
le titre : « LES VUES DE M. POINCARÉ ». —
J'ai tout lieu de croire que les vues de M.
Poincaré au sujet des conversations et des
résultats obtenus peuvent se résumer
ainsi : Personnellement, il aurait pu conti-
nuer les pourparlers et il y était tout dispo-
sé, mais il se rend parfaitement compte des
raisons qui ont obligé M. Bonar Law à de-
mander l'ajournement. Il reconnaît qu'il
n'a pas été pris de décisions, mais il con-
sidère que l'exposé de leurs points de vue
respectifs fait par les premiers ministres
a été d'une très grande utilité., M. Poincaré
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