Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 décembre 1922 11 décembre 1922
Description : 1922/12/11 (T22,N2226). 1922/12/11 (T22,N2226).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252524t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
q" DES
tAin,: ÉTRANGÈRES
N°2226
Lundi 11 décembre 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
%cor
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, lntegrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
SOMMAIRE
1:. ALLE'\JA:\LJE. - Les propositions du
n ^nistère ., Cuno (Berliner Borsen-Cou-
l'ler, Vorwal>ts). — Les concessions
rupp en Russie méridionale (Deutsche
t Pageszeitung).
( '., ANGLAISE. — L'entrevue de Londres
1 (Times). Les mouvements anti-boll-
f GV|'
t v
1 K>S V, L" BELGE. - L'article de M. Lloyd
j rge sur les rapports franco-britan-
1 I n,<ï"es (Soi1»..
ITALIENNE. — L'entrevue de Londres
| (Corrip.rc della Sera).
!p0LlTlQUE GENEHALE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
d PROPOSITIONS DU MINISTERE
® ^'E » - Sous le titre : « SOLUTION MÉ*
blàNIE „ - Le ministre Hermes a fait envi
raÉter h ler la collaboration du Reich alle-
à une <( solution médiane ». Par so-
.ne> il faut entendre l'emprunt
Sit,,Iation le commande. L'Allemagne
£ * %èfe d l'étranger une aide pour recons-
P £ c^la n crédit et son économie; et pour
1U elle peut. faire de son côté tout
l' a h~
pu a. Peut. l'on redutse ses charges, que
r. que l'on réduise ses charges, que
! ~)~ ~~êt~~ paiements. Elle a besoin d'argent
Ln j br'ance. Donc, emprunt.
y r~
6 °n qui reste sans réponse est
elle-ci • COrnrUent et oombien ? En France,
iiSeiiibîe' qu'abusé par les discours de quel-
uts c'oollOnlistes allemands, on envisage
aiW d'une façon très ~imp!e. L'indus
de 20 eIhande lance et garantit un emprunt
de 20 au Inoins et peut-être de 40 milliards,
l'Amérique souscrit et le montant va dans
^issp j
la cisse des réparations. ','
ik °* devrait comprendre que si l'industrie
f !11]^and 6 possédait un crédit de 20 mil-
| ^s ou plus, il y a longtemps qu'elle en
I atjfNit aIt Usage pour sa propre recons-
r 'oj p
M^'hl;/1 Veut rester dans le domaine de
mOi dp e, le montant la modalité et l'em-
°ll! e "Prnprunt doivent être envisagés
bh r^tinn Ceux qui bénéficient des
tj )nt, ia s doivent être co-garants de l'em-
V* fl^em!»aT^,'e reslant pour la reconstitu-
r" "n ijpn^e doit être importante et il
n entre les trois objectifs prin-
cipaux : réparations, aide économique, ré-
forme du crédit..
La collaboration des industries allemande
et française est indispensahle, Mais l'esti-
mation des besoins doit se faire d'après
l'importance des garanties, du point de vue
économique, et non d'après la fiscalité des
réparations. - H. F.
BEB LINEB nOERSEN-CQURIER-
8.12, matin.
— On annonce maintenant qu'une note
est arrivée au gouvernement du Reich de-
mandant de la part de la commission des
réparations des informations complémen-
taires sur les intentions de l'Allemagne. Au-
tant qu'on le peut savoir par diverses in-
discrétions, le gouvernement du Reich
s'apprête à proposer un emprunt interna-
tional, lié à un emprunt antérieur, dont le
montant servirait pour partie aux besoins
propres de l'Allemagne (stabilisation du
mark), et l'autre partie aux demandes de
réparations de la France. Ce ne serait na-
turellement qu'une solution provisoire, et
on peut espérer que ce projet allemand peut
compter sur l'aide de l'Angleterre et qu'il
constituera la base d'un compromis entre les
puissances de l'Entente à Londres. Natu-
rellement la question des garanties jouera
un rôle essentiel ainsi que la question con-
nexe de la participation de l'industrie alle-
mande dans cette garantie.
Jusqu'ici l'industrie s'était dérobée de-
vant les sacrifices qu'on lui demandait. Le
gouvernement Cuno-Becker qui a des liens
si étroits avec l'industrie qu'on peut le dé-
signer comme la chair de sa chair, va mon-
trer maintenant s'il a la force de réaliser
une participation active, concrète de l'in-
dustrie à la politique qui cherche à exécu-
ter. Il va de soi que cela n'ira pas sans de
vives résistances au sein des deux partis
de droite et des groupes industriels dont les
intérêts divergent. Mai® si l'aile Stinnes,
qui jusqu'ici combattit si vivement la sta-
bilisation du mark et la politique dite d'exé-
cution du gouvernement précédent, se rallie
subitement au projet d'accord économique
entre la France et l'Allemagne (constitution
d'un trust minier, etc.), nous avons toutes
sortes de raisons économiques et politiques
qui doivent nous engager à suivre avec une
extrême défiance le déroulement de cette
affaire : tout règlement qui aura lieu
d'imposer des sacrifices à l'industrie lui as-
sure de nouveaux gains matériels et un ac-
croissement de force politique ne peut se
réaliser que sur le dos de la classe ouvrière,
qui a toujours supporté la charge principale
des réparations.
Et contre un règlement de ce genre, la
Socialdemocratie saura, se défendre de toute
son énergie et de toute sa force.
VORWAERTS, 8.12, matin.
LENTREVUE DE LONDRES. — PRESSE
ITALIENNE. - Le Corriere della Sera examine
tous les changements survenus depuis le
traité de Versailles dans la situation rela-
tive de l'Entente et de l'Allemagne. L'Alle-
magne fait sans aucun doute preuve de
mauvaise volonté. Il faut l'obliger à payer
ce qu'elle doit en évitant les sanctions mi-
litaires.
Toute tentative, même théorique, de
faire abstraction de l'Allemagne dans la re-
construction de l'Europe future est évidem-
ment absurde. Quelle que soit l'opinion que
l'on a sur la fonction du germanisme dans
la pensée et dans le travail, il est certain
qu'on ne peut ni l'écraser ni l'éliminer. Il
y a des gens qui pensent, en France sur-
tout, qu'à la fin de 1918 on pouvait être plus
radicaux, et ils ont raison si l'on s'en tient
au seul passé. Mais il n'est aujourd'hui plus
temps, ou plutôt il serait temps encore
pour favoriser une révolution communiste,
dans l'Allemagne du Nord et une sécession
bavaroise. La conséquence la moins tragi-
que d'une telle manœuvre serait en peu de
temps la reconstruction d'une Allemagne
pangermaniste et belliqueuse autour de Mu-
nich et la condamnation, au destin de Ra-
thenau, de tous les éléments pacifiques et
reconstructeurs qui déjà aujourd'hui dans
l'Allemagne démocratique et républicaine
sont menacés d'extermination. Sans comp-
ter que pour nous autres Italiens ce' ne
serait pas très agréable de voir se contes
tionner précisément les zones du germa-
nisme qui sont à nos frontières
De toutes ces constatations il ressort clai-
rement que le but des hommes réunis à
Londres est de demander à l'Allemagne la
bourse, mais non la vie. Une décision rési-
gnée devant le sabotage allemand et incon-
cevable non seulement pour des raisons
matérielles et à cause du juste désir que la
France et l'Italie ont des réparations alle-
mandes, mais encore et surtout pour des
raisons d'autorité. L'Entente a déjà vu
échouer sa politique tortueuse, équivoque et
fragmentaire envers la Russie et la Tur-
quie. Si, au non possumus de l'Allemagne.
elle repond en baissant la tête, il ne lui
reste plus qu'à s'en remettre aux adversai-
res pour liquider dans le délai qui leur
conviendra ce qui nous reste de la victoire
Mais une décision de violence que tous les
alliés approuveraient est aussi invraisem-
blable et aurait sur la politique américaine
des répercussions qu'il n'est pas nécessaire
de préciser. Et la violence exercée seule-
ment par la France constituerait un bloc
antifrançais dont la force serait le secret de
l'avenir.
Le dilemme est, en apparence, désespéré.
On peut obliger l'Allemagne à paver en em-
ployant la force jusqu'à un certain point la
force en théorie, mais non en fait On le
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Lundi 11 décembre 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
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et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
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l'ler, Vorwal>ts). — Les concessions
rupp en Russie méridionale (Deutsche
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( '., ANGLAISE. — L'entrevue de Londres
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| (Corrip.rc della Sera).
!p0LlTlQUE GENEHALE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
LES ALLIÉS ET L'ALLEMAGNE
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® ^'E » - Sous le titre : « SOLUTION MÉ*
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.ne> il faut entendre l'emprunt
Sit,,Iation le commande. L'Allemagne
£ * %èfe d l'étranger une aide pour recons-
P £ c^la n crédit et son économie; et pour
1U elle peut. faire de son côté tout
l' a h~
pu a. Peut. l'on redutse ses charges, que
r. que l'on réduise ses charges, que
! ~)~ ~~êt~~ paiements. Elle a besoin d'argent
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y r~
6 °n qui reste sans réponse est
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iiSeiiibîe' qu'abusé par les discours de quel-
uts c'oollOnlistes allemands, on envisage
aiW d'une façon très ~imp!e. L'indus
de 20 eIhande lance et garantit un emprunt
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l'Amérique souscrit et le montant va dans
^issp j
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ik °* devrait comprendre que si l'industrie
f !11]^and 6 possédait un crédit de 20 mil-
| ^s ou plus, il y a longtemps qu'elle en
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r 'oj p
M^'hl;/1 Veut rester dans le domaine de
mOi dp e, le montant la modalité et l'em-
°ll! e "Prnprunt doivent être envisagés
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V* fl^em!»aT^,'e reslant pour la reconstitu-
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cipaux : réparations, aide économique, ré-
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BEB LINEB nOERSEN-CQURIER-
8.12, matin.
— On annonce maintenant qu'une note
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s'apprête à proposer un emprunt interna-
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montant servirait pour partie aux besoins
propres de l'Allemagne (stabilisation du
mark), et l'autre partie aux demandes de
réparations de la France. Ce ne serait na-
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puissances de l'Entente à Londres. Natu-
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