Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 décembre 1922 09 décembre 1922
Description : 1922/12/09 (T22,N2225). 1922/12/09 (T22,N2225).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252523d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
tPFAIRES ÉTRANGÈRES
N 0 2225
Samedi 9 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrats.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
V
~SE ALLEMANDE. - Les projets du minis-
ere Cuno : l'offre allemande à la Fran-
c: (Vossische Zeitung, Hamburger
remdenblattj Vorwärts).
)JIIF.SSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
reconstruction de l'Europe : les vues du
^i.nistère du Commerce américain (New
0l'k Evening Post). - L'étude des lan-
gues étrangères aux Etats-Unis (New
*°rit Tribune)
"FIFSCR,^ ANGLAISE. J. - L'entrevue des pre-
: rniers ministres à Londres (Times). —
La. France et la Ruhr (Daily Chronicle).
- Le régime des Détroits (Daily Tele-
9,raph, Westminster Gazette, Daily
hi'onicle). - La rédaction du Times
(Daily Express).
î>n ESSE BELGE. - L'entrevue des premiers
Ministres à Londres (Neptune).
--'-- ————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'- LES PROJETS DU MINISTERE CUNO.
OFFHE ALLEMANDE A LA FRANCE. - NÉGO-
CIATIO '"JS DU GOUVERNEMENT AVEC L'INDUSTRIE.
dç aoUnces du Reichstag, qui allait jus-
qu'aii 4 ^^-embre, pour élaborer un plan
estin e à obtenir, d'accord avec les alliés,
ent complet sur la question des
Pépoj, a 1°ns" A -ces délibérations ont seule-
Uient. Part jusqu'ici, pour les questions
!listr IP.aJes, le chancelier du Reich, le mi-
Histre s Affaires étrangères, le ministre
ûes p!. nances Reich et le ministre de
l'Êcon0rri*.e d'Empire, c'est-à-dire le cabinet.
étroit
J!Q;~ net étroit est entré ensuite en pour-
torler avec des représentants éminents de
à sOn S ne allemande pour gagner l'industrie
gOCia.rnouveau projet de réparation. Les né-
§Ocjati nS sont restées strictement confi-
^etl^eu el et à nôtre connaissance, rien n'a
été conclu, si bien qu'on ne connaît pas en-
core les Parti(,,u lirit,és du p~ro j et. Mais l'idée
1 du projet. Mais l'idée
e est et reste d'obtenir, en négo-
ei Qilt avpc les alliés, qu'on limite et fixe les
OhlI. gat"Ons de réparation de l'Allemagne à
Pfect q~ul Soit compatible avec la faculté
Etant d de l'Allemagne.
kt,~nt donné que les négociations entre le
Q1.1strie er,nent et les représentants de l'in-
aune part, et au sein du cabinet
d'autre part, n'ont pas reçu de conclusion,
on ne peut donner de nouvelles précises sur
la forme des propositions du gouvernement
aux alliés. La seule chose certaine est que
le gouvernement ne peut pas attendre passi-
vement ce qui sera décidé à Londres ou à
Bruxelles sur l'Allemagne.
VOSSISCHE ZEITUNG, 7.12, matin.
— On éprouve un soulagement en appre-
nant que le chancelier du Reich Cuno a pro-
fité des vacances du Reichstag pour élabo-
rer un vaste plan sur l'ensemble des répa-
rations et qu'il n'attendra pas les mains
dans les poches ce qui sera décidé à Lon-
dres ou à Bruxelles. Le gouvernement est
à même de présenter un projet. Ce qui nous
paraît le plus important du point de vue
politique, c'est que les efforts du gouverne-
ment allemand tendent à venir en aide aux
finances françaises qui se trouvent dans
une situation très djffkÜe- - surtout par la
faute des premiers ministères d'après-
guerre qui se livrèrent à un gaspillage
inouï dans leur confiance en la capacité de
paiement de l'Allemagne.
L'emprunt que l'on cherche à réaliser à
Berlin ne servirait pas seulement à stabi-
liser le mark, mais encore, comme le
souhaitent les Français, à couvrir le déficit
de la France. C'est une part d'une impor-
tance politique considérable que le chance-
lier du Reich; Cuino, s'efforce d'obtenir de
l'industrie la garantie du service des inté-
rêts de l'emprunt, On pouvait prévoir
d'après les déclarations de la presse fran-
çaise que Poincaré reprendrait à Londres
les vieilles plaintes contre l'industrie alle-
mande qui se refuse à tous paiements et les
empêche délibérément Le geste du chance-
lier Cuno rend d'avance ces plaintes vaines.
Le projet de l'Allemagne se trouve aidé
par ce fait que les partenaires de Poincaré
à Londres sont tous contre lui. Ils ne veu-
lent pas qu'à Londres on se borne à dis-
cuter les idées favorites de la France. Ils
veulent un règlement, définitif ou du moins
à longue échéance.
HAMbURGER FREMDENBLATT,
7.12, soir.
- Le Vorwaerts, matin, cite le passage sui-
vant de la Zeit, « organe officiel du parti au pou-
voir » :
(e Il n'est pas encore possible au gou-
vernement de donner des informations sur
la teneur de ces projets et on n'a pas encore
décidé si le cabinet ferait une démarche
dans le sens indiqué, avant la conférence de
Londres D'après ce qui a été dit jusqu'ici,
on peut estimer qu'il s'agit de proposer un
plan qui permette la collaboration des for-
ces économiques allemandes avec la France
et qui non seulement fixe la somme des ré-
parations, mais encore en mobilise les
moyens pour la France et pour l'Allemagne.
On doit attendre la décision du cabinet.
Etant donné, l'extrême danger de la situa-
tion extérieure, il est au moins souhaitable
que de notre côté on fasse un effort pour
diriger sur d'autres voies l'évolution qui se
manifeste en France. »
L'importance de cet article nous semble
extraordinaire. En cette situation critique,
on partie d'entente avec des mots plus,
pressants qu'on en lut jamais dans les
journaux socialistes. En lisant l'organe po-
pulaire, on a l'impression qu'au sein du
gouvernement subsistent deux courants
dont l'un s'en tient à l'expectative, tandis
que l'autre veut déployer une extraordinaire
activité dans le sens de raccord. Et l'on se
pose cette énigme : Si le parti populaire
adopte l'attitude active avec l'énergie dé-
ployée par son organe, pourquoi cette ma-
nifestation ?
VORWAERTS, 7.12, matin.
LENTREVUE DES PREMIERS MINIS-
TRES A LONDRES. - PRESSE ANGLAISE. ---
De Paris, 6 décembre : Est-il besoin de fe
dire, que si les conversations de Londres
restent stériles, il sera porté une atteinte
funeste aux espoirs de réparations et à
l'amitié franco-britannique ? C'est pourquoi,
malgré le regrettable esprit, de doute qui se
manifeste en France à la veille de la ren-
contre entre M. Poincaré et M. Bonar Law,
il convient de s'efforcer sincèrement d'ajus-
ter des points de vue qui semblent assu-
rément très éloignés l'un tte, l'autre. A vrai
dire, il y a une tendance générale à considé-
rer le gouvernement Bonar Law comme
moins favorable qu'on ne le pensait tout
d'abord à ce que l'on estime être les intérêts
français. Les excellentes dispositions du
gouvernement britannique envers la France-
ne sauraient être mises en doute, mais la
question immédiate est de savoir comment
ces dispositions pourront se traduire par
une politique agissante. Il se produit une
forte réaction par rapport aux jugements
antérieurs et on commence à comprendre
que l'Angleterre ne saurait approuver cer-
tains actes envisagés dans les milieux po-
litiques français.
Je ne voudrais pas, cependant, faire de la
situation un tableau plus noir qu'il ne con-
vient, aussi est-il bon de noter en passant
un ou deux signes plus favorables. D'une
part, j'apprends de source officieuse que
M. Barthou, et, il y a lieu de le supposer,
M. Poincaré aussi, sont disposés à certai-
nes conditions à laisser ramener l'indem-
nité allemande à un chiffre ne dépassant
pas 40 milliards de marks-or. Il y a là cer-
tainement progrès par rapport aux calculs
antérieurs et on peut y voir la preuve que
DES
tPFAIRES ÉTRANGÈRES
N 0 2225
Samedi 9 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - U est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrats.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
V
~SE ALLEMANDE. - Les projets du minis-
ere Cuno : l'offre allemande à la Fran-
c: (Vossische Zeitung, Hamburger
remdenblattj Vorwärts).
)JIIF.SSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
reconstruction de l'Europe : les vues du
^i.nistère du Commerce américain (New
0l'k Evening Post). - L'étude des lan-
gues étrangères aux Etats-Unis (New
*°rit Tribune)
"FIFSCR,^ ANGLAISE. J. - L'entrevue des pre-
: rniers ministres à Londres (Times). —
La. France et la Ruhr (Daily Chronicle).
- Le régime des Détroits (Daily Tele-
9,raph, Westminster Gazette, Daily
hi'onicle). - La rédaction du Times
(Daily Express).
î>n ESSE BELGE. - L'entrevue des premiers
Ministres à Londres (Neptune).
--'-- ————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'- LES PROJETS DU MINISTERE CUNO.
OFFHE ALLEMANDE A LA FRANCE. - NÉGO-
CIATIO '"JS DU GOUVERNEMENT AVEC L'INDUSTRIE.
dç aoUnces du Reichstag, qui allait jus-
qu'aii 4 ^^-embre, pour élaborer un plan
estin e à obtenir, d'accord avec les alliés,
ent complet sur la question des
Pépoj, a 1°ns" A -ces délibérations ont seule-
Uient. Part jusqu'ici, pour les questions
!listr IP.aJes, le chancelier du Reich, le mi-
Histre s Affaires étrangères, le ministre
ûes p!. nances Reich et le ministre de
l'Êcon0rri*.e d'Empire, c'est-à-dire le cabinet.
étroit
J!Q;~ net étroit est entré ensuite en pour-
torler avec des représentants éminents de
à sOn S ne allemande pour gagner l'industrie
gOCia.rnouveau projet de réparation. Les né-
§Ocjati nS sont restées strictement confi-
^etl^eu el et à nôtre connaissance, rien n'a
été conclu, si bien qu'on ne connaît pas en-
core les Parti(,,u lirit,és du p~ro j et. Mais l'idée
1 du projet. Mais l'idée
e est et reste d'obtenir, en négo-
ei Qilt avpc les alliés, qu'on limite et fixe les
OhlI. gat"Ons de réparation de l'Allemagne à
Pfect q~ul Soit compatible avec la faculté
Etant d de l'Allemagne.
kt,~nt donné que les négociations entre le
Q1.1strie er,nent et les représentants de l'in-
aune part, et au sein du cabinet
d'autre part, n'ont pas reçu de conclusion,
on ne peut donner de nouvelles précises sur
la forme des propositions du gouvernement
aux alliés. La seule chose certaine est que
le gouvernement ne peut pas attendre passi-
vement ce qui sera décidé à Londres ou à
Bruxelles sur l'Allemagne.
VOSSISCHE ZEITUNG, 7.12, matin.
— On éprouve un soulagement en appre-
nant que le chancelier du Reich Cuno a pro-
fité des vacances du Reichstag pour élabo-
rer un vaste plan sur l'ensemble des répa-
rations et qu'il n'attendra pas les mains
dans les poches ce qui sera décidé à Lon-
dres ou à Bruxelles. Le gouvernement est
à même de présenter un projet. Ce qui nous
paraît le plus important du point de vue
politique, c'est que les efforts du gouverne-
ment allemand tendent à venir en aide aux
finances françaises qui se trouvent dans
une situation très djffkÜe- - surtout par la
faute des premiers ministères d'après-
guerre qui se livrèrent à un gaspillage
inouï dans leur confiance en la capacité de
paiement de l'Allemagne.
L'emprunt que l'on cherche à réaliser à
Berlin ne servirait pas seulement à stabi-
liser le mark, mais encore, comme le
souhaitent les Français, à couvrir le déficit
de la France. C'est une part d'une impor-
tance politique considérable que le chance-
lier du Reich; Cuino, s'efforce d'obtenir de
l'industrie la garantie du service des inté-
rêts de l'emprunt, On pouvait prévoir
d'après les déclarations de la presse fran-
çaise que Poincaré reprendrait à Londres
les vieilles plaintes contre l'industrie alle-
mande qui se refuse à tous paiements et les
empêche délibérément Le geste du chance-
lier Cuno rend d'avance ces plaintes vaines.
Le projet de l'Allemagne se trouve aidé
par ce fait que les partenaires de Poincaré
à Londres sont tous contre lui. Ils ne veu-
lent pas qu'à Londres on se borne à dis-
cuter les idées favorites de la France. Ils
veulent un règlement, définitif ou du moins
à longue échéance.
HAMbURGER FREMDENBLATT,
7.12, soir.
- Le Vorwaerts, matin, cite le passage sui-
vant de la Zeit, « organe officiel du parti au pou-
voir » :
(e Il n'est pas encore possible au gou-
vernement de donner des informations sur
la teneur de ces projets et on n'a pas encore
décidé si le cabinet ferait une démarche
dans le sens indiqué, avant la conférence de
Londres D'après ce qui a été dit jusqu'ici,
on peut estimer qu'il s'agit de proposer un
plan qui permette la collaboration des for-
ces économiques allemandes avec la France
et qui non seulement fixe la somme des ré-
parations, mais encore en mobilise les
moyens pour la France et pour l'Allemagne.
On doit attendre la décision du cabinet.
Etant donné, l'extrême danger de la situa-
tion extérieure, il est au moins souhaitable
que de notre côté on fasse un effort pour
diriger sur d'autres voies l'évolution qui se
manifeste en France. »
L'importance de cet article nous semble
extraordinaire. En cette situation critique,
on partie d'entente avec des mots plus,
pressants qu'on en lut jamais dans les
journaux socialistes. En lisant l'organe po-
pulaire, on a l'impression qu'au sein du
gouvernement subsistent deux courants
dont l'un s'en tient à l'expectative, tandis
que l'autre veut déployer une extraordinaire
activité dans le sens de raccord. Et l'on se
pose cette énigme : Si le parti populaire
adopte l'attitude active avec l'énergie dé-
ployée par son organe, pourquoi cette ma-
nifestation ?
VORWAERTS, 7.12, matin.
LENTREVUE DES PREMIERS MINIS-
TRES A LONDRES. - PRESSE ANGLAISE. ---
De Paris, 6 décembre : Est-il besoin de fe
dire, que si les conversations de Londres
restent stériles, il sera porté une atteinte
funeste aux espoirs de réparations et à
l'amitié franco-britannique ? C'est pourquoi,
malgré le regrettable esprit, de doute qui se
manifeste en France à la veille de la ren-
contre entre M. Poincaré et M. Bonar Law,
il convient de s'efforcer sincèrement d'ajus-
ter des points de vue qui semblent assu-
rément très éloignés l'un tte, l'autre. A vrai
dire, il y a une tendance générale à considé-
rer le gouvernement Bonar Law comme
moins favorable qu'on ne le pensait tout
d'abord à ce que l'on estime être les intérêts
français. Les excellentes dispositions du
gouvernement britannique envers la France-
ne sauraient être mises en doute, mais la
question immédiate est de savoir comment
ces dispositions pourront se traduire par
une politique agissante. Il se produit une
forte réaction par rapport aux jugements
antérieurs et on commence à comprendre
que l'Angleterre ne saurait approuver cer-
tains actes envisagés dans les milieux po-
litiques français.
Je ne voudrais pas, cependant, faire de la
situation un tableau plus noir qu'il ne con-
vient, aussi est-il bon de noter en passant
un ou deux signes plus favorables. D'une
part, j'apprends de source officieuse que
M. Barthou, et, il y a lieu de le supposer,
M. Poincaré aussi, sont disposés à certai-
nes conditions à laisser ramener l'indem-
nité allemande à un chiffre ne dépassant
pas 40 milliards de marks-or. Il y a là cer-
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