Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-12-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 décembre 1922 08 décembre 1922
Description : 1922/12/08 (T22,N2224). 1922/12/08 (T22,N2224).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525220
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
~"Msr~
DES
Es ÉÎHANGKKES
N" 2224
Vendredi 8 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les article,
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1 ¡ ESfANDE' - La France et le Rhin
(Oit0 Hôtzsch dans Kreuz-Zeitung). —
.OUvel ambassadeur de France à
erhn : la remise des lettres de créance
de M. de Margerie (Berliner Lokal-An-
-eiger) t
l)ét AMEIUCAINE. - Les Etats-Unis et les
pétr GS de Sakhaline (A. W. Fox dans
p aShington Post).
ntSSE
ANGLAISE. — La prochaine entrevue
de n res (Times). — Les Etats-Unis
et jeg reparations (Daily Telegraph). —
t llvenir de la Mésopotamie : l'impor-
tanc de Moss.oul (Perceval London
dans r oz
V J rele0™Ph).
ALIENNE. - Les relations italo-you-
x gosja s (Tribuna, Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
t. LES RÉPARATIONS
b4 l~l~
°fAINE ENTREVUE DE LON-
•%?' ^pF A?*'GLAISE. — Il est néoes-
saire que ie Point de vue anglai,s soit bien
e PûIJli de vue anglais soit bien
• en France. L'Angleterre ne
ent envep^p11^ (ïue l'011 6,0 montre in-
, 1~~-estir~ tn ; elle ne désire
0" 1 oi)ligation qui incombe à
'Ve dpr^I>are'r les terribles ravages
^lia^Sne ^ement commis. Il faut que
Igée Pa~ mise dans le cas d'être
'•ffo Pav 6r jusqu'à l'extrême limite de
ta ^cité. Q Sie rend compte en Angle-
~p~ ai;rement peut-être qu'en
l'Q PIe qU"II Ce n est Pas une affaire aussi
'We qu'il rf lil mit sembler de tirer de
ft cle l'An 0ïna^lle que, s'il est néces-
lie Cette er Sllr elle une pression, il faut
l0n so-it prudemment calcu-
Wil PliJSise en résulter pour les
'Jfl enéflee et non pas de nouvelles
11 l'Ai?U est nécessaire, puisque
m1 bon *Jîe ^lonfTl^116 n'apportera jamais
8 acquitter, de mettre en
pro Pre l. ntérê,t si l'on veut qu'un
6 0n's quelconqoo soit produc-
ir^f|' ^CCon m ,iraile et Progressive .D'au-
pqrt, e e s'en rendent très bien
compte les meilleurs amis que nous ayons
en France, la Grande-Bretagne a souffert
cruellement de la guerre. Le fait que nous
avons réussi à équilibrer nos budgets au
prix d'impôts écrasants, comme on n'en a
jamais vus de pareils, est trop souvent con-
sidéré à tort dans d'autres pays comme un
indice d'une puissance financière plus
grande que n'est réellement la nôtre.
Une longue dépression financière et un
chômage prolongé retardent notre relève-
ment et la reprise du commerce est pour
nous une nécessité impérieuse. Notre well-
being (prospérité) dépend, en grande partie,
du rétablisement des conditions économi-
ques normales en Europe. Le point de vue
des milieux industriels et commerciaux bri-
tanniques en ce qui concerne la crise ac-
tuelle est résumé dans la résolution votée
hier par l'association des chambres de com-
merce britanniques, où sont recommandés :
un moratoire pour l'Allemagne ; la fixation
des réparations à un total que l'Allemagne
puisse payer dans un nombre raisonnable
d'années ; un accord entre les alliés au su-
jet de la forme à donner, le cas échéant, à
la pression qui devra être exercée sur l'Al-
lemagne ; enfin, un emprunt international
pour l'Allemagne, garanti par un contrôle
international des douanes maritimes et au-
tres de l'Allemagne. Pour nous, autant quo
pour la France, ou pour l'Italie, le problème
des réparations est un problème très grave.
Nous désirons vivement une solution par
laquelle les revendications françaises soient
satisfaites au plus haut degré compatible
avec le relèvement rapide de l'Europe. Nous
désirons une solution qui soit un puissant
facteur du relèvement général, et non une
occasion de prolonger les hostilités et de
plonger l'Europe plus profondément dans
le chaos. En prenant vigoureusement une
initiative qui puisse sauver l'Europe des
dangers qui vont en s'aggravant, l'Entente
remplira ses fonctions les plus hautes. Il
faut que ce soit une Entente entre égaux,
ayant les uns envers les autres des ména-
gements dans l'accomplissement d'une
mission élevée. - (Ed.)
TIMES, 7.12.
L'ATTITUDE DES ETATS-UNIS. - C'est
peut-être une coïncidence, mais dans ce
cas une coïncidence des plus remarquables,
qu'à la veille de la conférence interalliée
les ambassadeurs américains en Allemagne
et en Belgique soient venus à Londres. Ce
qui n'a sûrement pas été le fait du hasard,
c'est le discours des plus frappants, pro-
noncé lundi par M. Harvey au sujet de ce
qu'on peut attendre de cette conférence.
J'apprends d'une source américaine que les
circonstances dans lesquelles fut prononcé
ce discours ont été elles-mêmes insolites.
L ambassadeur américain avait primitive-
ment l'intention de traiter un sujet tout à
fait différent, mais ce projet fut modifié à
la dernière heure, vraisemblablement au
reçu, soit de certaines informations, soit
de certaines instructions. Malheureusement,
comme on ne s'attendait à aucune déclara-
tion d'une importance aussi universelle le
discours de M. Harvey n'a pas été reproduit
d'une façon aussi complète qu'il aurait pji
l'être, et certains passages des plus impor-
tants et des plus significatifs ont été omis,
tel le passage où l'ambassadeur faisait ob-
server que s'il se peut que l'Amérique ne
puisse pas influencer certaines décisions
qui pourront être prises à la prochaine con-
férence, il pourrait se trouver d'autres déci-
sions contre lesquelles l'Amérique serait obli-
gée de pendre position. On est disposé à voir
dans cette phrase un avertissement contre
les mesures de coercition que l'on sait être
préconisées dans certains milieux alliés.
Aux yeux des Américains la récente déci-
sion du président Harding de maintenir sur
le Rhin un détachement américain a cer-
tainement été prise en partie afin de mar-
quer l'intérêt que continue de porter l'Amé-
rique à une solution des affaires allemandes.
- (Du correspondant diplomatique)
DAILY TELEGRAPH, 7.12.
LA FRANGE ET LE RHIN. — On n'a pas
dit officiellement ce qu'on avait décidé dans les
délibérations de l'Elysée. Mais cela a suffi a
provoquer une nouvelle chute du mark. Diverses
nuances décèlent les intentions de M. Poincaré.
Pour des raisons générales et particulières nous
prenons cette fois la menace très au sérieux. • jn
peut opposer à Poincaré l'homme de l'entente
économique, ainsi qu'il s'est désigné à Zurich,
Loucheur.
Mais au fond, Poincaré et Loucheur ne
sont pas si différents. Poincaré agit aussi
aux ordres des grands groupements in-
fluents de financiers et d'industriels (dans
maints journaux français on le désigne peu
courtoisement comme leur « agent »), de
l'alliance entre le chauvinisme national et
le grand capital, qui ne se soucie pas de la
chute du franc parce qu'il croit pouvoir sur-
monter la crise et établir sa suprématie en
Europe centrale en s'adjugeant la rive gau-
che du Rhin et le charbon de la Ruhr.
Et il semble que Poincaré soit disposé à
aller de l'avant avec ou sans les alliés. par-
ce qu'il a besoin d'un succès personnel. Il y
aura bientôt un an qu'il est au pouvoir, et il
a déçu les espérances, il n'a obtenu aucun
succès. Il est aujourd'hui prisonnier de sa
majorité à la Chambre. Il est certain
d'avoir l'opinion dirigeante de la France
derrière lui s'il fait une démarche pour
DES
Es ÉÎHANGKKES
N" 2224
Vendredi 8 décembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les article,
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1 ¡ ESfANDE' - La France et le Rhin
(Oit0 Hôtzsch dans Kreuz-Zeitung). —
.OUvel ambassadeur de France à
erhn : la remise des lettres de créance
de M. de Margerie (Berliner Lokal-An-
-eiger) t
l)ét AMEIUCAINE. - Les Etats-Unis et les
pétr GS de Sakhaline (A. W. Fox dans
p aShington Post).
ntSSE
ANGLAISE. — La prochaine entrevue
de n res (Times). — Les Etats-Unis
et jeg reparations (Daily Telegraph). —
t llvenir de la Mésopotamie : l'impor-
tanc de Moss.oul (Perceval London
dans r oz
V J rele0™Ph).
ALIENNE. - Les relations italo-you-
x gosja s (Tribuna, Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
t. LES RÉPARATIONS
b4 l~l~
°fAINE ENTREVUE DE LON-
•%?' ^pF A?*'GLAISE. — Il est néoes-
saire que ie Point de vue anglai,s soit bien
e PûIJli de vue anglais soit bien
• en France. L'Angleterre ne
ent envep^p11^ (ïue l'011 6,0 montre in-
, 1~~-estir~ tn ; elle ne désire
0" 1 oi)ligation qui incombe à
'Ve dpr^I>are'r les terribles ravages
^lia^Sne ^ement commis. Il faut que
Igée Pa~ mise dans le cas d'être
'•ffo Pav 6r jusqu'à l'extrême limite de
ta ^cité. Q Sie rend compte en Angle-
~p~ ai;rement peut-être qu'en
l'Q PIe qU"II Ce n est Pas une affaire aussi
'We qu'il rf lil mit sembler de tirer de
ft cle l'An 0ïna^lle que, s'il est néces-
lie Cette er Sllr elle une pression, il faut
l0n so-it prudemment calcu-
Wil PliJSise en résulter pour les
'Jfl enéflee et non pas de nouvelles
11 l'Ai?U est nécessaire, puisque
m1 bon *Jîe ^lonfTl^116 n'apportera jamais
8 acquitter, de mettre en
pro Pre l. ntérê,t si l'on veut qu'un
6 0n's quelconqoo soit produc-
ir^f|' ^CCon m ,iraile et Progressive .D'au-
pqrt, e e s'en rendent très bien
compte les meilleurs amis que nous ayons
en France, la Grande-Bretagne a souffert
cruellement de la guerre. Le fait que nous
avons réussi à équilibrer nos budgets au
prix d'impôts écrasants, comme on n'en a
jamais vus de pareils, est trop souvent con-
sidéré à tort dans d'autres pays comme un
indice d'une puissance financière plus
grande que n'est réellement la nôtre.
Une longue dépression financière et un
chômage prolongé retardent notre relève-
ment et la reprise du commerce est pour
nous une nécessité impérieuse. Notre well-
being (prospérité) dépend, en grande partie,
du rétablisement des conditions économi-
ques normales en Europe. Le point de vue
des milieux industriels et commerciaux bri-
tanniques en ce qui concerne la crise ac-
tuelle est résumé dans la résolution votée
hier par l'association des chambres de com-
merce britanniques, où sont recommandés :
un moratoire pour l'Allemagne ; la fixation
des réparations à un total que l'Allemagne
puisse payer dans un nombre raisonnable
d'années ; un accord entre les alliés au su-
jet de la forme à donner, le cas échéant, à
la pression qui devra être exercée sur l'Al-
lemagne ; enfin, un emprunt international
pour l'Allemagne, garanti par un contrôle
international des douanes maritimes et au-
tres de l'Allemagne. Pour nous, autant quo
pour la France, ou pour l'Italie, le problème
des réparations est un problème très grave.
Nous désirons vivement une solution par
laquelle les revendications françaises soient
satisfaites au plus haut degré compatible
avec le relèvement rapide de l'Europe. Nous
désirons une solution qui soit un puissant
facteur du relèvement général, et non une
occasion de prolonger les hostilités et de
plonger l'Europe plus profondément dans
le chaos. En prenant vigoureusement une
initiative qui puisse sauver l'Europe des
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remplira ses fonctions les plus hautes. Il
faut que ce soit une Entente entre égaux,
ayant les uns envers les autres des ména-
gements dans l'accomplissement d'une
mission élevée. - (Ed.)
TIMES, 7.12.
L'ATTITUDE DES ETATS-UNIS. - C'est
peut-être une coïncidence, mais dans ce
cas une coïncidence des plus remarquables,
qu'à la veille de la conférence interalliée
les ambassadeurs américains en Allemagne
et en Belgique soient venus à Londres. Ce
qui n'a sûrement pas été le fait du hasard,
c'est le discours des plus frappants, pro-
noncé lundi par M. Harvey au sujet de ce
qu'on peut attendre de cette conférence.
J'apprends d'une source américaine que les
circonstances dans lesquelles fut prononcé
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L ambassadeur américain avait primitive-
ment l'intention de traiter un sujet tout à
fait différent, mais ce projet fut modifié à
la dernière heure, vraisemblablement au
reçu, soit de certaines informations, soit
de certaines instructions. Malheureusement,
comme on ne s'attendait à aucune déclara-
tion d'une importance aussi universelle le
discours de M. Harvey n'a pas été reproduit
d'une façon aussi complète qu'il aurait pji
l'être, et certains passages des plus impor-
tants et des plus significatifs ont été omis,
tel le passage où l'ambassadeur faisait ob-
server que s'il se peut que l'Amérique ne
puisse pas influencer certaines décisions
qui pourront être prises à la prochaine con-
férence, il pourrait se trouver d'autres déci-
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gée de pendre position. On est disposé à voir
dans cette phrase un avertissement contre
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préconisées dans certains milieux alliés.
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le Rhin un détachement américain a cer-
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quer l'intérêt que continue de porter l'Amé-
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- (Du correspondant diplomatique)
DAILY TELEGRAPH, 7.12.
LA FRANGE ET LE RHIN. — On n'a pas
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Pour des raisons générales et particulières nous
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peut opposer à Poincaré l'homme de l'entente
économique, ainsi qu'il s'est désigné à Zurich,
Loucheur.
Mais au fond, Poincaré et Loucheur ne
sont pas si différents. Poincaré agit aussi
aux ordres des grands groupements in-
fluents de financiers et d'industriels (dans
maints journaux français on le désigne peu
courtoisement comme leur « agent »), de
l'alliance entre le chauvinisme national et
le grand capital, qui ne se soucie pas de la
chute du franc parce qu'il croit pouvoir sur-
monter la crise et établir sa suprématie en
Europe centrale en s'adjugeant la rive gau-
che du Rhin et le charbon de la Ruhr.
Et il semble que Poincaré soit disposé à
aller de l'avant avec ou sans les alliés. par-
ce qu'il a besoin d'un succès personnel. Il y
aura bientôt un an qu'il est au pouvoir, et il
a déçu les espérances, il n'a obtenu aucun
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