Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 novembre 1922 28 novembre 1922
Description : 1922/11/28 (T22,N2215). 1922/11/28 (T22,N2215).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525131
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1. MINISTtR E
%g< DES
IPFAInES hRANGÈRES
N" 2215
Mardi 28 novembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMArRE
S ;
gne : - Le projet de l'Allema-
"er Tn deficit de l'exercice 1923 (Berli-
ner - Le ministère Cuno
devant - Le i-niiiisi.;ùre Culio
^'ant u Heischtag: le vote de con-
er Zeilung).
sSE ÂNr.
1 'L\ISE. - Le débouché bulgare
\7^ Westminstèr Gazette,
~'ch' ews). - Les îles de la mer Egée
graph al London dans Daily Tele-
jfT(lPh). - La Turquie et l'Entente
Morning n - La déciaration de
? st>- - La déclaration de
Chiir 'e principe de la porte ou-
vente esiïninster Gazette, Daily
Mail). J, T L;1 question de Mossoul (Daily
News -n qtieistion de Mossoul (Daity
'd'Un t, aily Chronicle). — Conclusion
(Afa»lrie de commerce russo-tchèque
, r Guardian).
PRESSE nu lFN" T
7" Les accords de Was-
L.^Ston t l',égailité navale (Corriére
^lla Sera)
P°UTIQ[JK HKNERALE
fcfc LES RÉPARATIONS
~T~?~ DE L'ALLEMAGNE. -
VJe Keich;S?RClCE 1923. i)ans sa ^;mce
gel d~ l:)~~sra~ a entendu l'exposé suivant du
], e 102;} pr'senté par le directeur Sachs.
\Ie PeUr'
vïç ^Pleu'nacco,u tumée du déficit pro-
~b~~j (le la dépréciation croissante
4 ^o-rinv lG' Le Projet présenté offre de
r'otr.s'tWi?n financière générale un ta-
K» U ^Prii,an*;' Le déficit total passe de
iiiii Le déficit total passe de
l[¡Qtk.s dS :3 a 890 milliards 10 miHiŒls
~n drmf 45 milliards, 8 seulement
1%) coiivet
for, erts Par le rendement de l'em-
O'Vii de cette année. Il reste donc
ill,i, r1 8 sans couvertuire. L'excédent
lûtes P°llr l'administration générale
V f'-'h ;i 'Sparu •L'équilibre au moins
~&]~ mais il disparaîtra devant
.11 4il e Vague de dépenses. Parmi les
'^ti0n<5i • réS^e, seule l'administra-
rrn eW 11118 de fer couvre ses frais.
îi 'trarl0n des Postes demande déjà
l&~ a. été'S c) e marks. Le moiratorium qui
a été c °nC(V. (lé au printemps demande,
'fiill'(i* 3 milliard® de marks-or 720
\eri fTiuf landises. Pour cela il fallait, à
VI la ^,réciation, 151 milliards 9 de
L'air\/ ^eiilen 1 concédé donnait donc
bi]( /':le une plus-value de 16 mil-
liard 9. Cela conduisit à émettre les Bons
du trésor à 6 mois. Pour les couvrir main-
tenant, il faut inscrire au budget une
somme de 298 milliards de marks-papier
ainsi que 101 milliards 5 pour les presta-
tions en nature, soit 264 milliards 5 de plus
que ne demandait l'exigence primitive de
3 milliards de marks-or.
Le gouvernement du Reich qui se place
sur le terrain des dernières notes aux al-
liés doit assumer la charge de rétablir l'é-
quilibre. Pour cela, il faut lui laisser plein
pouvoir de réaliser des économies, notam-
ment en réduisant le nombre des fonction-
naires et employés. Le Reichstng, doit le
comprendre et ne pas voter de nouvelles
dépenses non couvertes. Mais étant donnée
l'impossibilité de rétablir l'équilibre avec
un déficit non couvert de 600 milliards de
marks pour l'exécution du traité de paix,
le gouvernement a demandé à être complè-
tement affranchi pour plusieurs années de
tous les parements en argent et en nature
prescrits par le traité de Versailles. Parmi
ces dépenses, on peut ranger en premier
lieu les charges écrasantes de l'occupation.
L'orateur donne le détail de ces charges.
Nous avons en territoire occupé 140.000
hommes à entretenir, c'est-à-dire à loger,
payer, nourrir. Il faut ajouter les dépenses
pour les casernes nouvelles, les hangars
d'aviation, ouvrages d'art, maisons d'habi-
tation pour les officiers et écoles. Un géné-
ral français touche par mois 1 million
140.000 marks, un général anglais 4 mil-
lions 600 000 marks, et il faut ajouter les in- -
demnités pour enfants de 12.000 à 18.000
marks.
Les rentrées du budget sont évaluées à
438 milliards. On prévoit une plus-value de
150 milliards 8 pour les impôts et 139 mil-
liards 3 pour les taxes douanières et im-
pôts de consommation. Les dépenses cou-
rantes mon tient à 396 milliards, les dépen-
ses éventuelles à 41 milliards 3. Le budget
extraordinaire demande à l'emprunt 72 mil-
liards 9. Le budget ordinaire des Postes
accuse un déficit de 47 milliards 9 ; le bud-
get extraordinaire un déficit de 23 milliards
7. Le budget ordinaire des chemins de fer
du Reich s'équilibre, mais l'extraordinaire
réclame 131 milliards 9. Les dépenses con-
cernant l'exécution du traité de paix se
montent à 613 milliards 4. Le déficit se
monte donc à 567 milliards 6. Et le déficit
global à 890 milliards de marks comme on
l'a dit plus haut. On peut compter sur un
crédit de 391 milliards 5.
Les commissions proposent d agréer le
projet. Le Reichsrat s'est rallié à cette pro-
position.
BERLINER TAGEBLATT, 26.11, matin.
-—— ———
FRANCE ET ITALIE
LES ACCORDS DE WASHINGTON ET
L'EGALITE NAVALE. — A la suite des dé-
clarations attribuées à M. Gèorges Leygues
et qui ont été depuis démenties, le Corriere
della Sera invoque les raisons techniques et
les raisons morales qui justifient l'égalité
navale entre la France et l'Italie :
Il est bon qu'on ait démenti les déclara-
tions attribuées à M. Georges Leygues,
d'après lesquelles le Parlement français
ne devrait pas approuver et n'approuvera
pas les accords de Washington sur la limi-
tation des armements navals. Toutefois
il faut bien admettre que les accords de
Washington passent en France un mauvais
quart d'heure.
Ces accords ont eu une signification mul-
tiple qui a permis de considérer la longue et
laborieuse discussion d'où ils sortirent com-
me la plus sérieuse opération de paix effec-
tuée depuis l'armistice. Le conflit armé en-
tre l'Amérique et le Japon fut rendu impro-
bable ; la rivalité anglo-américaine s'atté-
nua ; l'espoir d'un retour de l'Amérique à la
collaboration mondiale réapparut ; ces ré-
sultats concrets, bien que circonscrits, fi-
rent regarder avec confiance vers un ave-
nir assez proche, où un organisme mieux
pourvu que la Conférence de la Haye ou
que la Ligue des Nations d'hier et d'aujour-
d'hui réduirait équitablement les arme-
ments de tous, et non pas seulement sur
mer et où une autorité internationale pré-
viendrait en quelque manière les conflits
menaçants.
1 Tous ces résultats ou presque tous se-
raient irréparablement compromis par un
refus de la France, d'autant que son adhé-
sion n'est pas seulement indispensable
pour l'équilibre dans la Méditerranée et
dans l'Atlantique, mais encore pour celui
du Pacifique.
Quels motifs pressants pourraient pous-
ser la France à une mesure aussi risquée ?
Il est évident, et nous l'avons dit, que la
France peut compter sur les sympathies
italiennes et sur celle des autres pays tant
qu'elle montre l'impossibilité de se fier les
yeux fermés à l'Allemagne ; mais qu'elle
risque de rester isolée si elle se laisse ins-
pirer par des préoccupations occultes ou
par des aspirations plus aventureuses.
La France est tout particulièrement mécontente
de l'égalité navale proclamée à Washington
entre elle et l'Italie.
On trouve cette égalité injuste ; on mur-
mure que l'orgueil français fut blessé à
Washington. Et certainement, pouvons-
nous dire quant à nous, il ne fut pas blessé
pour la réduction en soi des armements
puisque l'Angleterre elle-même consentît
à une réduction ; il fut blessé parce que la
réduction appliquée à la France la place
%g< DES
IPFAInES hRANGÈRES
N" 2215
Mardi 28 novembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMArRE
S ;
gne : - Le projet de l'Allema-
"er Tn deficit de l'exercice 1923 (Berli-
ner - Le ministère Cuno
devant - Le i-niiiisi.;ùre Culio
^'ant u Heischtag: le vote de con-
er Zeilung).
sSE ÂNr.
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\7^ Westminstèr Gazette,
~'ch' ews). - Les îles de la mer Egée
graph al London dans Daily Tele-
jfT(lPh). - La Turquie et l'Entente
Morning n - La déciaration de
? st>- - La déclaration de
Chiir 'e principe de la porte ou-
vente esiïninster Gazette, Daily
Mail). J, T L;1 question de Mossoul (Daily
News -n qtieistion de Mossoul (Daity
'd'Un t, aily Chronicle). — Conclusion
(Afa»lrie de commerce russo-tchèque
, r Guardian).
PRESSE nu lFN" T
7" Les accords de Was-
L.^Ston t l',égailité navale (Corriére
^lla Sera)
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fcfc LES RÉPARATIONS
~T~?~ DE L'ALLEMAGNE. -
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gel d~ l:)~~sra~ a entendu l'exposé suivant du
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\Ie PeUr'
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~b~~j (le la dépréciation croissante
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r'otr.s'tWi?n financière générale un ta-
K» U ^Prii,an*;' Le déficit total passe de
iiiii Le déficit total passe de
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~&]~ mais il disparaîtra devant
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L'air\/ ^eiilen 1 concédé donnait donc
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le gouvernement a demandé à être complè-
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Nous avons en territoire occupé 140.000
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140.000 marks, un général anglais 4 mil-
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Les rentrées du budget sont évaluées à
438 milliards. On prévoit une plus-value de
150 milliards 8 pour les impôts et 139 mil-
liards 3 pour les taxes douanières et im-
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rantes mon tient à 396 milliards, les dépen-
ses éventuelles à 41 milliards 3. Le budget
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tre l'Amérique et le Japon fut rendu impro-
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La France est tout particulièrement mécontente
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nous dire quant à nous, il ne fut pas blessé
pour la réduction en soi des armements
puisque l'Angleterre elle-même consentît
à une réduction ; il fut blessé parce que la
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