Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 novembre 1922 25 novembre 1922
Description : 1922/11/25 (T22,N2213). 1922/11/25 (T22,N2213).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525116
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISr¡;;nE
~p. DES
¡PPAIIIES hnANGf.:nES
N° 2213
Samedi 25 novembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
les ALLEMANDE. - Lausanne et Bruxat-
des (Franhjurter Zeitung). — Le régime
des pays rhénans (Frankiurter lei-
p tung)
A\ct at - La France et l'accord
nnvaj de Washington (Daily Tele-
graph). - l ne interview de Lenine sur
lu situof■ '°n èeonomique en Russie (Ar-
thur n ariSome dans Manchester Guar-
dian).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LATJSAXIîm ET BRUXELLES. - Le
col-P esPoIldlant londonien de la Frankfurter
cession S(lle lie déterminer d'après les
cessio ns que la France a laites à la
relagne, à Lausanne, celles que
r^elics '• retayne tera à la France, à
Cs :
lu
('l'ilable raison de notre souci n'est
la',/' Pom- ]> Us|Qn d'un marché sur la base : li-
lJI' l'
ru,1f'e c.,ln,® 'e,"re dans les Détroits et pour
D0 r sur le Rhin.
20 novcmbre :
CUI'Zon len plutÓt de quoi il s'agit: lord
f '2011 a déClnré nettement aux Français
Q/r'1 aui--t Un entretien clair et une en-
tente sur les questions orientales avant la
Cf !'l^rence ^auS £ >nne ou bien qu'il n'y au-
h d Conférence- Donc, entente ou
f P°Ur soi. Qu'arrivera-t-il main-
f0 lit S[ ». Poincaré déclare avant la con-
em lM. PoinCaré déclare avant la con-
f,er'Ce de DI'uxeJ.1cs 8'Jf les réparations :
"e sur les exisenctiS françaises ou bien
1omS SG)j) <)
iir seul ? p n'est-ce pas précisément
Cur2on qui réclamait des mesures
th qlli S COntre les Turcs ? Ne fût-ce pas
]l|; "î'ù par|l1de sanction et qui força avec
av.. à garantir des sanctions
avant le cl6 à Lausanne pour !e cas où
r" lires - rt à Lausanne pour le cas où
S '"rcs ne se soumettraient pas ? — Le
s P„ 4
P,,Ip ~ill~lic, est très net, et à ce que l'on dit
O'1 oe,r(„- lns Français. La forte impres-
sion faite en Angleterre par le discours de
toi 'C'1Gnp nn d°nner à réfléchir et la prédi-
lrnit Orr¡"'I-' donner à réfléchir et la prédi-
antriv 1Se pour la Société des nations
e env,'sag.er à plus d'un Anglais
H>ibiIif de résoudre le problème en
1° 0sProvinces rhénanes à un ré-
la çs.
î I" SOC'iété. Dariac et Loucheur en-
,(!rv^i rit anf CTCn^ J'occupntion.
e QUp Lausanne constitue donc une
^re. ^ara*'on pour BruxeIles? On aie
eicore formuler un jugement d'après
le peu que l'on sait et il suffit peut-être pour
le moment de connaître la forme du danger
éventuel. Le danger a peut-être pu paraître
plus grand qu'il n'est en réalité aujourd'hui.
Il semble, en effet, que lord Curzan de-
mande moins aux Français en Orient qu'ils
ne craignaient. Depuis quelque temps, l'An-
gleterre était prête aux concessions, mais
elle ne voulait pas se les laisser extorquer
par Kemal Pacha. On sait que lord Curzon
et Poincaré se sont mis d'accord sur les li-
mites et la portée de la note du 23 septem-
bre et de l'accocd de Moudania et pour ne
plus faire de concessions territoriales à la
Turquie, ni en Thrace occidentale (ou les
Etats balkaniques ont des intérêts vitaux)
ni dans les îles de l'Egée (ce qui concerne
partiellement l'Italie), ni à Mossoul, ni sur-
tout en Syrie. C'est-à-dire que Londres ga-
rantit à la France la possession de la Syrie.
Et ce n'est pas le seul avantage de la coo-
pération anglo-française en Orient pour la
France ; mais cet exemple suffit pour mon-
trer que le compromis anglo-français ne
donne pas à la conférence un caractère ina-
mical. Et alors, M. Poincaré ne peut re-
tourner la formule à Bruxelles et meltre
l'Angleterre devant le danger d'une rupture.
Il se pourrait bien plutôt que les kemalistes
en tendant trop l'arc ne contribuassent
principalement à réaliser l'union des al-
liés. Cela aussi peut constituer une leçon
pour Bruxelles.
FRANKFURTER ZEITUNG, 23.11, soir.
.4> ———
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LA FRANCE ET L'ACCORD NAVAL DE
WASHINGTON. — SUR LES PRÉTENDUES DÉ-
CLARATIONS DE M. G. LEYGUES.
Se référant aux prétendues déclarations de
M. Georges Leygues à la Chicago Tribune, le
Daily Telegraph écrit :
En présence de telles déclarations il faut
toujours se demander si ceux qui - non
seulement en France, mais ailleurs — cri-
tiquent le traité naval, ont étudié ses clau-
ses et les obligations qu'il implique. Se
rendent-ils compte que, tout en limitant le
tonnage en ff capital ships » et en navires
porte-avions que chaque pays peut possé
der, il laisse toute puissance signataire libre
de construire autant de croiseurs, de tor-
pilleurs, et de sous-marins qu'il lui plaît ?
Les seules réserves consistent dans le fait
qu'aucun croiseur ne peut avoir un déplace-
ment de plus de 10.(H) tonnes, ni porter
aucune artillerie plus lourde que le canon
de 8 pouces, et que les sous-marins ne peu-
vent pas être employés comme le faisaient
les Allemands — clause à laquelle les re-
présentants français ont en fin de compte
donné leur plein assentiment. Si bien qu'en
fait il est laissé à la France, aussi bien
qu'aux autres puissances signataires, une
très large mesure de liberté, à un moment
où de nombreuses autorités, aussi bien en
France que chez nous, condamnent les gros
navires comme inutiles et se prononcent
pour le développement du sous-marin et de
l'aéroplane. Si leur opinion est exacte -
et nulle part cette opinion ne trouve des
soutiens plus résolus que de l'autre côté du
détroit — qu'importe-t-il à la France que
son tonnage de capital ships soit le même
que celui de l'Ilalie ? Ni la France, ni l'Ita-
lie n'est tenue pour le moment, ni même
en ce qui concerne cette catégorie d'ici plu-
sieurs années, à détruire une seule unité
en service, et en fait leurs flottes de com-
bat sont déjà au-dessous du niveau convenu
à Washington. La France a six cuirassés
- car le France s'est perdu an mois d'août
— et sur aucun de ces navires n'ont pu
être mis à profit les enseignements de la
bataille du Jutland ; de même l'Italie, de-
puis la perte du Léonard de Vinci, ne pos-
sède plus que cinq unités — toutes, elles
aussi, d'un type antérieur au Jutland. Dans
leurs présentes difficultés financières, au-
cun de ces deux pays — on peut le remar-
quer sans aucune pensée d'offense - ne
se trouve en état, et il en sera de même
sans doute pèndant bien des années, de
supporter une dépense qui peut se monter
h environ 6 ou 8 millions de livres sterling
par cuirassé et, d'ailleurs, s'ils disposaient
de telles sommes, ils pourraient bien s'aper-
cevoir qu'ils ont besoin de navires auxiliai-
res de divers types plutôt que de cuirassés
ou de croiseurs. Car c'est avec les croi-
seurs, les torpilleurs et les sous-marins
qu'on défend de la manière la plus efficace
les lignes de communications.
Nous hésitons à croire que les Français
rejettent le traité naval, malgré ce que l'on
rapporte à ce sujet, car il est très mani-
festement favorable aux intérêts français
et italiens. Seules des cinq signataires, ces
deux puissances ne sont pas tenues à des
sacrifices substantiels. Les Etats-Unis dé-
montent trente « capilal ships » achevés ou
en construction ; la Grande-Bretagne vingt.
cinq et encore cinq en 1925, et le Japon
seize. Ces trois pays vont jeter à la fer-
raille — et nous avons déjà commencé -
en vue d'effectuer une limilation des arme-
ments navals, une série de navires pour les-
quels leur fortune publique a engagé une
énorme dépense ; et, la plupart de ces na-
vires sont supérieurs en puissance à n'im-
porte quelle unité battant pavillon français
ou italien. Ces trois puissances vont plus
loin encore dans la voie du sacrifice ; elles
ont consenti à réduire la construction des
gros navires jusqu'à 1936. Quant au reste
la France et l'Italie peuvent, comme les
autres pays, dépenser autant qu'il leur plaît
en croiseurs, torpilleurs et sous-marins
~p. DES
¡PPAIIIES hnANGf.:nES
N° 2213
Samedi 25 novembre 1922
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
les ALLEMANDE. - Lausanne et Bruxat-
des (Franhjurter Zeitung). — Le régime
des pays rhénans (Frankiurter lei-
p tung)
A\ct at - La France et l'accord
nnvaj de Washington (Daily Tele-
graph). - l ne interview de Lenine sur
lu situof■ '°n èeonomique en Russie (Ar-
thur n ariSome dans Manchester Guar-
dian).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LATJSAXIîm ET BRUXELLES. - Le
col-P esPoIldlant londonien de la Frankfurter
cession S(lle lie déterminer d'après les
cessio ns que la France a laites à la
relagne, à Lausanne, celles que
r^elics '• retayne tera à la France, à
Cs :
lu
('l'ilable raison de notre souci n'est
la',/' Pom- ]> Us|Qn d'un marché sur la base : li-
lJI' l'
ru,1f'e c.,ln,® 'e,"re dans les Détroits et pour
D0 r sur le Rhin.
20 novcmbre :
CUI'Zon len plutÓt de quoi il s'agit: lord
f '2011 a déClnré nettement aux Français
Q/r'1 aui--t Un entretien clair et une en-
tente sur les questions orientales avant la
Cf !'l^rence ^auS £ >nne ou bien qu'il n'y au-
h d Conférence- Donc, entente ou
f P°Ur soi. Qu'arrivera-t-il main-
f0 lit S[ ». Poincaré déclare avant la con-
em lM. PoinCaré déclare avant la con-
f,er'Ce de DI'uxeJ.1cs 8'Jf les réparations :
"e sur les exisenctiS françaises ou bien
1omS SG)j) <)
iir seul ? p n'est-ce pas précisément
Cur2on qui réclamait des mesures
th qlli S COntre les Turcs ? Ne fût-ce pas
]l|; "î'ù par|l1de sanction et qui força avec
av.. à garantir des sanctions
avant le cl6 à Lausanne pour !e cas où
r" lires - rt à Lausanne pour le cas où
S '"rcs ne se soumettraient pas ? — Le
s P„ 4
P,,Ip ~ill~lic, est très net, et à ce que l'on dit
O'1 oe,r(„- lns Français. La forte impres-
sion faite en Angleterre par le discours de
toi 'C'1Gnp nn d°nner à réfléchir et la prédi-
lrnit Orr¡"'I-' donner à réfléchir et la prédi-
antriv 1Se pour la Société des nations
e env,'sag.er à plus d'un Anglais
H>ibiIif de résoudre le problème en
1° 0sProvinces rhénanes à un ré-
la çs.
î I" SOC'iété. Dariac et Loucheur en-
,(!rv^i rit anf CTCn^ J'occupntion.
e QUp Lausanne constitue donc une
^re. ^ara*'on pour BruxeIles? On aie
eicore formuler un jugement d'après
le peu que l'on sait et il suffit peut-être pour
le moment de connaître la forme du danger
éventuel. Le danger a peut-être pu paraître
plus grand qu'il n'est en réalité aujourd'hui.
Il semble, en effet, que lord Curzan de-
mande moins aux Français en Orient qu'ils
ne craignaient. Depuis quelque temps, l'An-
gleterre était prête aux concessions, mais
elle ne voulait pas se les laisser extorquer
par Kemal Pacha. On sait que lord Curzon
et Poincaré se sont mis d'accord sur les li-
mites et la portée de la note du 23 septem-
bre et de l'accocd de Moudania et pour ne
plus faire de concessions territoriales à la
Turquie, ni en Thrace occidentale (ou les
Etats balkaniques ont des intérêts vitaux)
ni dans les îles de l'Egée (ce qui concerne
partiellement l'Italie), ni à Mossoul, ni sur-
tout en Syrie. C'est-à-dire que Londres ga-
rantit à la France la possession de la Syrie.
Et ce n'est pas le seul avantage de la coo-
pération anglo-française en Orient pour la
France ; mais cet exemple suffit pour mon-
trer que le compromis anglo-français ne
donne pas à la conférence un caractère ina-
mical. Et alors, M. Poincaré ne peut re-
tourner la formule à Bruxelles et meltre
l'Angleterre devant le danger d'une rupture.
Il se pourrait bien plutôt que les kemalistes
en tendant trop l'arc ne contribuassent
principalement à réaliser l'union des al-
liés. Cela aussi peut constituer une leçon
pour Bruxelles.
FRANKFURTER ZEITUNG, 23.11, soir.
.4> ———
LA POLITIQUE FRANÇAISE
LA FRANCE ET L'ACCORD NAVAL DE
WASHINGTON. — SUR LES PRÉTENDUES DÉ-
CLARATIONS DE M. G. LEYGUES.
Se référant aux prétendues déclarations de
M. Georges Leygues à la Chicago Tribune, le
Daily Telegraph écrit :
En présence de telles déclarations il faut
toujours se demander si ceux qui - non
seulement en France, mais ailleurs — cri-
tiquent le traité naval, ont étudié ses clau-
ses et les obligations qu'il implique. Se
rendent-ils compte que, tout en limitant le
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de construire autant de croiseurs, de tor-
pilleurs, et de sous-marins qu'il lui plaît ?
Les seules réserves consistent dans le fait
qu'aucun croiseur ne peut avoir un déplace-
ment de plus de 10.(H) tonnes, ni porter
aucune artillerie plus lourde que le canon
de 8 pouces, et que les sous-marins ne peu-
vent pas être employés comme le faisaient
les Allemands — clause à laquelle les re-
présentants français ont en fin de compte
donné leur plein assentiment. Si bien qu'en
fait il est laissé à la France, aussi bien
qu'aux autres puissances signataires, une
très large mesure de liberté, à un moment
où de nombreuses autorités, aussi bien en
France que chez nous, condamnent les gros
navires comme inutiles et se prononcent
pour le développement du sous-marin et de
l'aéroplane. Si leur opinion est exacte -
et nulle part cette opinion ne trouve des
soutiens plus résolus que de l'autre côté du
détroit — qu'importe-t-il à la France que
son tonnage de capital ships soit le même
que celui de l'Ilalie ? Ni la France, ni l'Ita-
lie n'est tenue pour le moment, ni même
en ce qui concerne cette catégorie d'ici plu-
sieurs années, à détruire une seule unité
en service, et en fait leurs flottes de com-
bat sont déjà au-dessous du niveau convenu
à Washington. La France a six cuirassés
- car le France s'est perdu an mois d'août
— et sur aucun de ces navires n'ont pu
être mis à profit les enseignements de la
bataille du Jutland ; de même l'Italie, de-
puis la perte du Léonard de Vinci, ne pos-
sède plus que cinq unités — toutes, elles
aussi, d'un type antérieur au Jutland. Dans
leurs présentes difficultés financières, au-
cun de ces deux pays — on peut le remar-
quer sans aucune pensée d'offense - ne
se trouve en état, et il en sera de même
sans doute pèndant bien des années, de
supporter une dépense qui peut se monter
h environ 6 ou 8 millions de livres sterling
par cuirassé et, d'ailleurs, s'ils disposaient
de telles sommes, ils pourraient bien s'aper-
cevoir qu'ils ont besoin de navires auxiliai-
res de divers types plutôt que de cuirassés
ou de croiseurs. Car c'est avec les croi-
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les lignes de communications.
Nous hésitons à croire que les Français
rejettent le traité naval, malgré ce que l'on
rapporte à ce sujet, car il est très mani-
festement favorable aux intérêts français
et italiens. Seules des cinq signataires, ces
deux puissances ne sont pas tenues à des
sacrifices substantiels. Les Etats-Unis dé-
montent trente « capilal ships » achevés ou
en construction ; la Grande-Bretagne vingt.
cinq et encore cinq en 1925, et le Japon
seize. Ces trois pays vont jeter à la fer-
raille — et nous avons déjà commencé -
en vue d'effectuer une limilation des arme-
ments navals, une série de navires pour les-
quels leur fortune publique a engagé une
énorme dépense ; et, la plupart de ces na-
vires sont supérieurs en puissance à n'im-
porte quelle unité battant pavillon français
ou italien. Ces trois puissances vont plus
loin encore dans la voie du sacrifice ; elles
ont consenti à réduire la construction des
gros navires jusqu'à 1936. Quant au reste
la France et l'Italie peuvent, comme les
autres pays, dépenser autant qu'il leur plaît
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