Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 novembre 1922 24 novembre 1922
Description : 1922/11/24 (T22,N2212). 1922/11/24 (T22,N2212).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252510s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
ICTÈRE
tylTh DEs
Pt¡Qts IITII.ANGÈII.ES
N° 2212
Vendredi 24 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits * caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
£ ~I V')\ t, lIe
SE AIIVN':'— La crise ministérielle
e It am Montag). — Le mi-
ri'stère CUno (Berlinelr Tageblatt, Vor-
Hrts)
SSE A.MÉ
Iciti ri - t\'1. Hoover et le parti
tiqU ,bhcUln (lV O1'ld) , — Les partis poli-
'lues UX tat-s-Unis : nécessité de
nouveaux f7 rouPement.s (Frank A. Mun-
Sey d aux groupements (Frank A. Mun-
Sey da««ne t,. A'a«on).
jop conférence de
13rtl LAISE. - Avant hl conference de
f /°ntièî'eo
Bruxels i/n aty Telegraph). - Les
de K es de la Turquie: la question
CUl10 h (Times).- Le ministère
'V Cu OVeslminster r;a.ette).
Ss IT\L \; -
E*- - L'aspect moral du pro-
blème de reparation (Gugiielmo Fer-
dans Secolo), -. Déclarations de.
de
f/i M|JSsolinaux journalistes italiens
h °ï>°lo Itaiia)..
f/ SU*SSE
(jol - L'Europe et les Turcs
Un nal de Genève).
>
POLITIQUE GENERALE
'■ t'A LES RÉPARATIONS
1 SP£C'I'.
Semb"]°?AL DU PROBLEME. -
risQUe T étrange, mais c'est ainsi:
i ^ttt niv G rie pl us. trouver la paix,
lri û-rries 0vl? que dans la guerre mon-
j'ietê |1^ice. ont été enflammées par l'idée
Peuplé1. précis(-'ment parce qu'on
\i,.Ce qu'î] , ans la guerre au nom de
p as paru suffisant aux
ù*^ hf1" eiUi^nVo'r Signée : ils ont voulu
~~e-~~t le droit offensé et
i M»Urs yenvCe" Si.n'tm la victoire aurait
yclIl Partielle et en partie inu-
et, lhrne .1' ,. à
r%.eri'ièrerr. n'ont pas réussi à im-
!le.¡Urs S'exasrnent cette justice, les vain-
1 exas Pèrellt, se sentent déçus et, au
f s ^v->; ericorp v6!1 il une réconciliation, ils
,. Q., 'l('ore nI
leUr.r^ Us comme si les vaincus
s(> d eUr'f" d,
leurrés e la part la plus pré;
'I~l. ,es P(, oire.
d 'S\¡ epara t.
vC»'1" d ,Ions ne sont pas une simple
et Dans resprit
|)iNtici!rhandes plus lésés par les inva-
H; sont \m rar'Ce et Belgique, les
., So. t h
1»Noi ,ali°n une question de justice,
V^nt si a-J0lt offensé. Voilà.
avei vi10 à ces deux peuples
d°H « dans 1 Angleterre et nialie,
doit S répartitiolls une question
avoir. ~ll,-trli.ions une question
Que peuvent les chiffres, les raisonne-
ments, les calculs du possible et de J'impos-
sible contre des raisons nées du ressenti-
ment de l'offense reçue ? Cet état d'âme
français et belge ressemble un peu à celui
qui nous fait souhaiter qu'un assassin soit
guillotiné. Nous savons que la mort du cou-
pable ne rendra pas la vie à l'assassiné,
mais sa mort nous semble une expiation né-
cessaire-pour apaiser notre sentiment de la
justice offensée.
Que l'Allemagne ne doive payer ni dans
la mesure, ni dans les termes formulés
dans les traités, c'est ce dont beaucoup de
gens commencent à se gendre compte en
France et en Belgique. Mais .peu importe.
Ils ne veulent pas renoncer à leurs droits,
même s'ils sont partîelle'I.P'eÏlt illusoires
L'Europe vit surtun vole ait, précisé-
ment à cause de la contradiction qui exj;¡,te
entre cet état d:âme et la réalité. Jusqu'ici
-"" on a pu, en Apposant
011 a avajf"comme on a pu, en'4!'pposa~t
que l'insolvabilité de'l'Allemagne était seu-
lement provisoire Tous les accords, toutes
les. conférences ont pour. but d'accorder d^s
ajournement et des moratoires à 1 Aile-*
magne en vue de lui donner le temps né-
cessaire pour s'acquitter de ses dettes.
K? danger éclatera le jour îwl l'insolva-
bilité de l'Allemagne devra être reconnue
officiellement comme étant definitive.
Ce. jour-là. viendra tôt ou tard, et peut-
être plus tôt qu'on ne pense. Qu'arrivera-
i-il ce jour-là ?.C'est l'énigme de l'avenir.
Et par malheur on ne - voit pas clairement,
au moine pour l'instant, ce qu'on pourrait
faire pour conjurer ce danger.
Peilt-être y aurait-il pourtant, avantage à
ce que les autres peuples fussent persuadés
que les réparations sont, pour la Frallc.e et
que les réparations sont, pour la France et
pour la Belgique, non seulement une ques-
tion d'argent, mais aussi une question mo-
rale. En comprenant cet état d'âme, les au-
tres Etats pourraient au moins s'abstenir
d'argumellts et de procédés qui, tout en
étant dictés par le désir de réconcilier es
anciens ennemis, irritent plus encore les
blessures trop fraîches de celui des deux
adversaires qui a été attaqué. - Guglielmo
Ferrera-
SECOLO, 22.11.
AVANT LA CONFERENCE DE BRUXEL-
LES - LA DITE ET LE PROGRAMME. - Il n'a
pas encore été décidé si les ministres bel-
les MM. Theunis et Jaspar, qui sont partis
lier de Bruxelles pour aller conférer à Pa-
ris avec M Poincaré au sujet des répara-
lions, viendront à Londres passer le
'l'eek-end comme on s'y attendait, géneia-
ement. afin de discuter le même problème
avec M Bonar-Law. On ne paraissait pas
avoir non plus, dans les milieux britan-
niques et italiens de Londres, si le désir
exprimé par lui de se rencontrer sous peu
avec le premier ministre britannique en vue
du même objet, obligerait nécessairement
M. Mussolini à venir d'ici peu de temps en
Angleterre. Il semblerait que rien n'ait été
fixé au sujet de la date même de la confé-
rence qu'il est question de réunir à Bruxel-
les sur les réparations et les dettes de
guerre. On avait parlé d'abord dans les mi-
lieux alliés du 5 décembre ; aujourd'hui
on parle du 15 décembre, ce qui nous met-
trait trop près des fêtes de Noël.
C'est pourquoi on doute dans certains mi-
lieux, bien que M. Poincaré en proclame
l'urgence, que la conférence plénière primi-
tivement envisagée puisse se tenir avant le
nouvel an. Certains sont même portés à
croire qu'il sera nécessaire d'attendre jus-
qu'à ce que l'on connaisse les résultats des
missions de consolidation britannique et
alliées à Washington, ce qui nous reporte-
rait, par exemple, jusqu'en février.
Mais l'accord actuel entre la Belgique et
l'Allemagne au sujet des réparations expire
vers le premier de l'an, date à laquelle la
question d'un moratoire pour le Reich
redeviendra critique. Il est assez difficile,
dans ces conditions, de voir comment il
serait possible quoi qu'il en soit des dettes
de guerre, de retarder jusqu'à la nouvelle
année les négociations relatives aux répa-
rations, surtout étant donnée la situation
instable actuelle du mark.
Les vues générales de M. Mussolini sur
ce sujet, comme sur tant d'autres, sont
nettes et pratiques. Il convient, pense-t-H,
de ramener le montait de l'indemnité à un
chiffre pratique; mais cela fait, il ne faudra
pas hésiter à obliger l'Allemagne à faire
bonneur à ses engagements. Le nouveau
gouvernement italien n'a aucune illusion
quant, aux tours de passe-passe auxquels se
livre le Reich dans le domaine des répara-
tions et des autres problèmes financiers et
économiques analogues. Il se rend parfai-
tement. compte de la manière dont l'Alle-
magne, au moyen de ses institutions finan-
cières a contribué à la dépréciation de
l'unité monétaire italienne, ainsi que de cer-
taines autres devises étrangères, en jetant
sur le marché, à Amsterdam, des quantités
énormes de lire et par l'entremise d'Ams-
terdam, à Londres, à New-York et ailleurs.
— (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 23.11.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
DECLARATIONS DE M. MUSSOLINI
AUX JOURNALISTES ITALIENS. — « Je puis VOUS
dire que j'ai eu aujourd'hui deux entretiens
importants, en dehors des nombreuses et
rapides conversations avec des journalistes
étrangers qui s'intéressent au phénomène
tylTh DEs
Pt¡Qts IITII.ANGÈII.ES
N° 2212
Vendredi 24 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits * caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
£ ~I V')\ t, lIe
SE AIIVN':'— La crise ministérielle
e It am Montag). — Le mi-
ri'stère CUno (Berlinelr Tageblatt, Vor-
Hrts)
SSE A.MÉ
Iciti ri - t\'1. Hoover et le parti
tiqU ,bhcUln (lV O1'ld) , — Les partis poli-
'lues UX tat-s-Unis : nécessité de
nouveaux f7 rouPement.s (Frank A. Mun-
Sey d aux groupements (Frank A. Mun-
Sey da««ne t,. A'a«on).
jop conférence de
13rtl LAISE. - Avant hl conference de
f /°ntièî'eo
Bruxels i/n aty Telegraph). - Les
de K es de la Turquie: la question
CUl10 h (Times).- Le ministère
'V Cu OVeslminster r;a.ette).
Ss IT\L \; -
E*- - L'aspect moral du pro-
blème de reparation (Gugiielmo Fer-
dans Secolo), -. Déclarations de.
de
f/i M|JSsolinaux journalistes italiens
h °ï>°lo Itaiia)..
f/ SU*SSE
(jol - L'Europe et les Turcs
Un nal de Genève).
>
POLITIQUE GENERALE
'■ t'A LES RÉPARATIONS
1 SP£C'I'.
Semb"]°?AL DU PROBLEME. -
risQUe T étrange, mais c'est ainsi:
i ^ttt niv G rie pl us. trouver la paix,
lri û-rries 0vl? que dans la guerre mon-
j'ietê |1^ice. ont été enflammées par l'idée
Peuplé1. précis(-'ment parce qu'on
\i,.Ce qu'î] , ans la guerre au nom de
p as paru suffisant aux
ù*^ hf1" eiUi^nVo'r Signée : ils ont voulu
~~e-~~t le droit offensé et
i M»Urs yenvCe" Si.n'tm la victoire aurait
yclIl Partielle et en partie inu-
et, lhrne .1' ,. à
r%.eri'ièrerr. n'ont pas réussi à im-
!le.¡Urs S'exasrnent cette justice, les vain-
1 exas Pèrellt, se sentent déçus et, au
f s ^v->; ericorp v6!1 il une réconciliation, ils
,. Q., 'l('ore nI
leUr.r^ Us comme si les vaincus
s(> d eUr'f" d,
leurrés e la part la plus pré;
'I~l. ,es P(, oire.
d 'S\¡ epara t.
vC»'1" d ,Ions ne sont pas une simple
et Dans resprit
|)iNtici!rhandes plus lésés par les inva-
H; sont \m rar'Ce et Belgique, les
., So. t h
1»Noi ,ali°n une question de justice,
V^nt si a-J0lt offensé. Voilà.
avei vi10 à ces deux peuples
d°H « dans 1 Angleterre et nialie,
doit S répartitiolls une question
avoir. ~ll,-trli.ions une question
Que peuvent les chiffres, les raisonne-
ments, les calculs du possible et de J'impos-
sible contre des raisons nées du ressenti-
ment de l'offense reçue ? Cet état d'âme
français et belge ressemble un peu à celui
qui nous fait souhaiter qu'un assassin soit
guillotiné. Nous savons que la mort du cou-
pable ne rendra pas la vie à l'assassiné,
mais sa mort nous semble une expiation né-
cessaire-pour apaiser notre sentiment de la
justice offensée.
Que l'Allemagne ne doive payer ni dans
la mesure, ni dans les termes formulés
dans les traités, c'est ce dont beaucoup de
gens commencent à se gendre compte en
France et en Belgique. Mais .peu importe.
Ils ne veulent pas renoncer à leurs droits,
même s'ils sont partîelle'I.P'eÏlt illusoires
L'Europe vit surtun vole ait, précisé-
ment à cause de la contradiction qui exj;¡,te
entre cet état d:âme et la réalité. Jusqu'ici
-"" on a pu, en Apposant
011 a avajf"comme on a pu, en'4!'pposa~t
que l'insolvabilité de'l'Allemagne était seu-
lement provisoire Tous les accords, toutes
les. conférences ont pour. but d'accorder d^s
ajournement et des moratoires à 1 Aile-*
magne en vue de lui donner le temps né-
cessaire pour s'acquitter de ses dettes.
K? danger éclatera le jour îwl l'insolva-
bilité de l'Allemagne devra être reconnue
officiellement comme étant definitive.
Ce. jour-là. viendra tôt ou tard, et peut-
être plus tôt qu'on ne pense. Qu'arrivera-
i-il ce jour-là ?.C'est l'énigme de l'avenir.
Et par malheur on ne - voit pas clairement,
au moine pour l'instant, ce qu'on pourrait
faire pour conjurer ce danger.
Peilt-être y aurait-il pourtant, avantage à
ce que les autres peuples fussent persuadés
que les réparations sont, pour la Frallc.e et
que les réparations sont, pour la France et
pour la Belgique, non seulement une ques-
tion d'argent, mais aussi une question mo-
rale. En comprenant cet état d'âme, les au-
tres Etats pourraient au moins s'abstenir
d'argumellts et de procédés qui, tout en
étant dictés par le désir de réconcilier es
anciens ennemis, irritent plus encore les
blessures trop fraîches de celui des deux
adversaires qui a été attaqué. - Guglielmo
Ferrera-
SECOLO, 22.11.
AVANT LA CONFERENCE DE BRUXEL-
LES - LA DITE ET LE PROGRAMME. - Il n'a
pas encore été décidé si les ministres bel-
les MM. Theunis et Jaspar, qui sont partis
lier de Bruxelles pour aller conférer à Pa-
ris avec M Poincaré au sujet des répara-
lions, viendront à Londres passer le
'l'eek-end comme on s'y attendait, géneia-
ement. afin de discuter le même problème
avec M Bonar-Law. On ne paraissait pas
avoir non plus, dans les milieux britan-
niques et italiens de Londres, si le désir
exprimé par lui de se rencontrer sous peu
avec le premier ministre britannique en vue
du même objet, obligerait nécessairement
M. Mussolini à venir d'ici peu de temps en
Angleterre. Il semblerait que rien n'ait été
fixé au sujet de la date même de la confé-
rence qu'il est question de réunir à Bruxel-
les sur les réparations et les dettes de
guerre. On avait parlé d'abord dans les mi-
lieux alliés du 5 décembre ; aujourd'hui
on parle du 15 décembre, ce qui nous met-
trait trop près des fêtes de Noël.
C'est pourquoi on doute dans certains mi-
lieux, bien que M. Poincaré en proclame
l'urgence, que la conférence plénière primi-
tivement envisagée puisse se tenir avant le
nouvel an. Certains sont même portés à
croire qu'il sera nécessaire d'attendre jus-
qu'à ce que l'on connaisse les résultats des
missions de consolidation britannique et
alliées à Washington, ce qui nous reporte-
rait, par exemple, jusqu'en février.
Mais l'accord actuel entre la Belgique et
l'Allemagne au sujet des réparations expire
vers le premier de l'an, date à laquelle la
question d'un moratoire pour le Reich
redeviendra critique. Il est assez difficile,
dans ces conditions, de voir comment il
serait possible quoi qu'il en soit des dettes
de guerre, de retarder jusqu'à la nouvelle
année les négociations relatives aux répa-
rations, surtout étant donnée la situation
instable actuelle du mark.
Les vues générales de M. Mussolini sur
ce sujet, comme sur tant d'autres, sont
nettes et pratiques. Il convient, pense-t-H,
de ramener le montait de l'indemnité à un
chiffre pratique; mais cela fait, il ne faudra
pas hésiter à obliger l'Allemagne à faire
bonneur à ses engagements. Le nouveau
gouvernement italien n'a aucune illusion
quant, aux tours de passe-passe auxquels se
livre le Reich dans le domaine des répara-
tions et des autres problèmes financiers et
économiques analogues. Il se rend parfai-
tement. compte de la manière dont l'Alle-
magne, au moyen de ses institutions finan-
cières a contribué à la dépréciation de
l'unité monétaire italienne, ainsi que de cer-
taines autres devises étrangères, en jetant
sur le marché, à Amsterdam, des quantités
énormes de lire et par l'entremise d'Ams-
terdam, à Londres, à New-York et ailleurs.
— (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 23.11.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
DECLARATIONS DE M. MUSSOLINI
AUX JOURNALISTES ITALIENS. — « Je puis VOUS
dire que j'ai eu aujourd'hui deux entretiens
importants, en dehors des nombreuses et
rapides conversations avec des journalistes
étrangers qui s'intéressent au phénomène
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1" Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0" La Grande Collecte La Grande Collecte /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "GCGen1"
- Auteurs similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"Arts de la marionnette Arts de la marionnette /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Pam1" Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0" La Grande Collecte La Grande Collecte /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "GCGen1"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252510s/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252510s/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252510s/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252510s/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252510s
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252510s
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252510s/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest