Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 novembre 1922 17 novembre 1922
Description : 1922/11/17 (T22,N2206). 1922/11/17 (T22,N2206).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62525042
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
•Ministère
P(?i tb DES
PAIRES trllANGhES
N° 2206
Vendredi 17 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.—La situation du ca.bi--
net Wncawf:\,7~ situation du cabi-
- .« rwarts)- - La démis-
'0J1 du cahîn ^Virth [Vossische Zei-
Kol»S LZeilung, Kolnische
COq1 i^e^
p. yLa prohibition de l'al-
Pri/'S l\iew }: ork Evening Posi).
SE: A
E Glaise La Turquie et les puis-
Yo/.v (Tlrnes, Yorkshire POS!, Glas-
St\irth fm •; La démission du cabi-
r lrth Wally News \11 estminster
ette) y News* Westminster
San ITA1-1ENNE. — T n t
Slh, '- 1:", E. - La Turquie et les puis,
"-lICes (T
L'Italie et lord Cur-
11essaggero). -——.
POLl'rIQUE GENERALE
LE: PROCHE ORIENT
QIJ orient
4î?E ET LES PUISSANCES. -
%M,Et Co.NST,,lN?PLE Alors que la
ton ^riéralp8^111101106 beau,coup plus
Je «u point plus
opie de vue diplomatique, à
Constantinopl Po~int diplomatique, a
e e mêmp la situation reste très
"11,L rè
Nbre et très rr>« On donne à en-
que na-ante- On donne à en-
1(: lit Jes (iAlnieres dépêches officiel-
,eroil'e Us rassurantes On a. des raisons
et rapPort, - survenue dans
e| croi'^ e que j, '1?!°raton survenue dans
'"sfa Port'S entm, Angleterre et la France
et tn/1 (] (' ceirtains jc>u~rnaux an(ilais
%- frv i,~ t.
°nt rl c®rfains journaux anglais
rï 8 0111. TJifoduit une impression con-
p,rès ou Ul^s intelligents, qui sui-
h°rre8t^ ncJaïit 6 n les affaires euro-
ttt fies. Nea,
v, Qt'rilettem les dépêches de notre
!Jiiions à Constantinople ne
T, gUère de nous bercer d'il-
^1, dit-il, seront peut-être
An ^e.sup,d assumer le contrôle mi-
litaire d e la vin„ rnême sans être renforcés
par le 'r°upe«s sans être renforcé
QUi U1 se trouvent à Ismidt,
s* Iq, h 'Ve asiatiaU des Détroits. Ils pour-
!lVenCt C,liVementîIpeurs préparatifs ; leurs
suivent activem ""lit 1-eui-s préparatifs ; leurs
i>i!sn' „ ,au tari té des alliés de
~viennent chaque jour plus des alliés de~
, x sont ^°ur plus audacieux et
fi>erh eiïlent ;eux qui affirment que le
f1. 4 1 COl1ié el A.ngora n'attendra pas la
J^r c°nféro^ n^0ra n'attendra pas la
Lausanne pour ba-
t>, ^Stw^Wètempf}t x cette autorité. Notre
Co - déclarer que la si-
CS ^1 qui SP P,, de nous Préparer au dénoue-
'$, - Pfodirlra dans les quinze jours
L
tout au plus. La note de Rafet pacha, re-
mise hier aux hauts- commissaires alliés,
n'est pas faite pour dissiper ces sombres
prédictions. Le ton nettement arrogant et
agressif de cette note contraste fortement
avec les assurances pacifiques données à
notre correspondant de Paris par Ismet
pacha.
Il faut ajouter, cependant, que Ismet
pacha aurait parlé sur un autre ton au re
présentant d'un journal français, auquel il
aurait déclaré que la Turquie doit se débar-
rasser surtout des capitulations. Il est à
noter, à ce propos, que les droits des Amé-
ricains assurés par les capitulations sont
un des points sur lesquels les observateurs
officiels des Etats-Unis sont chargés d'in-
sister à Lausanne. Au point où en sont les
choses, il n'est que trop à craindre que les
généraux alliés, à Constantinople, ne se
trouvent, d'un instant à l'autre, en présence
d'une situation critique à laquelle il leur
faudra parer rapidement et avec fermeté.
S'ils sont unis et résolus, le risque de voir
se produire cette éventualité sera diminué.
Mais s'ils paraissent même - hésiter, s'il se
manifeste un semblant quelconque de dé-
saccord à Lausanne le danger sera plus
grand; les kemalistes seront poussés à
adopter des mesures extrêmes et il n'est
que trop à prévoir que les horreurs de
Smyrne se reproduiront à Constantinople,
avec son innombrable population d'Armé-
niens, de Grecs et d'Européens occidentaux.
Les Turcs sont sur le point d'assumer en
Europe de très grandes responsabilités avec
l'assentiment des alliés. Ils ne pourront sup-
porter le poids de ces responsabilités
qu'avec l'appui financier et économique des
alliés. Il leur era impossible d'obtenir cet
appui, il leur sera impossible de sauver
leur pays épuisé, à moins que les préten-
tions exagérées d'Angora ne soient repous-
sées. Et il ne sera possible de repousser ces
prétentions sans avoir recours à la force,
si les ailliés, en allant à Lausanne, absolu-
ment unis au point de vue de la politique à
suivre et des méthodes à adopter. - (Ed.)
TIMES, 16.11.
- La presse britannique, sans distinction de
parti, souhaite que les alliés manifestent leur
solidarité avant l'ouverture de la conférence de
Lausanne. La Yorksliire Post croit que dés con-
versations personnelles entre les chefs de go-
vernement dissiperont aisément les malentendus
récents.
Un libre et complet échange de vues
s'impose, afin d'éviter la dispersion des
efforts des alliés et l'aveu de leur désu-
nion, en présence des délégués turcs à
Lausanne. Peu importe d'ailleurs quel
sera le lieu choisi pour ces entretiens pré-
liminaires. La note officieuse française
publiée hier nous apporte une nouvelle ras-
surante ; eMe affinme qu^ le gouvernement
français ne tolérera aucune violation de
la convention de Moudania par la Tur-
quie. Comme on en fait La remarque à Lon-
dres, les divergences qui ont apparu ré-
cemment entre les alliés sont des divergen-
ces de détail plutôt que de principe ; elles
s'effaceront très rapidement dès que des
échanges de vues personnels pourront
avoir lieu. Il faut recourir à tous les
moyens susceptibles d'établir une entente
complète entre les alliés, puisque c'est
avant tout par une ouverture aussi pro-
che que possible de la conférence' de Lau-
sanne, où les allié se présenteraient soli-
daires, qu'on pourra écarter la menace
d'une catastrophe à Constantinople.
YORKSHIRE POST, 14.11.
- Mêmes appréciations du Glasgow Herald :
M. Poincaré semblait penser que les al-
liés s'étaient mis déjà d'accord sur les
grandes lignes du règlement oriental et que
dans ces conditions une discussion nou-
velle serait superflue. Avec tout le respect
que mérite l'opinion du président du Con-
seil français, nous ferons remarquer que la
situation s'est considérablement modifiée
depuis les conversations de Paris, et qu'un
examen d'ensemble s'impose. Existe-t-il un
accord définitif entre les alliés, touchant
l'avenir de la Thrace occidentale, les fron-
tières de Syrie, les prétentions turques sur
Mossoul ou l'abolition des capitulations ?.
La désunion des alliés a été la cause de
tous les désastres qui se sont produits en
Orient depuis quatre ans.
GLASGOW HERALD, 14.11.
PRESSE ITALIENNE. - L'espoir d'arriver À
un accord entre alliés et Turcs à Constan-
tinople, grâce à des concessions réciproques
diminue de plus en plus. Le dilemme : où
s'en aller ou se faire respecter se pose avec
une clarté crue. S'en aller, c'est céder aux
injonctions turques et détruire tout prestige
européen dans le Levant; se faire respecter
c'est exiger le respect des traités jusqu'à la
conclusion de la conférence. Adopter cette
seconde méthode est possible, mais à deux
conditions : une solidarité complète entre
les alliés ; avoir à sa disposition des forces
militaires suffisantes pour appuyer une ao
tion politque d'énergie.
Jusqu'ici les puissances n'ont pas choisi
avec décision la route Et suivre. Leur incer-
titude a fait croître gigantesquement les
prétentions turques. Chaque jour qui passe
les kemadistes débarquent d'Asie sur la rive
d'Europe, par petits groupes, des noyaux
de gendarmes et arment la population de
P(?i tb DES
PAIRES trllANGhES
N° 2206
Vendredi 17 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE.—La situation du ca.bi--
net Wncawf:\,7~ situation du cabi-
- .« rwarts)- - La démis-
'0J1 du cahîn ^Virth [Vossische Zei-
Kol»S LZeilung, Kolnische
COq1 i^e^
p. yLa prohibition de l'al-
Pri/'S l\iew }: ork Evening Posi).
SE: A
E Glaise La Turquie et les puis-
Yo/.v (Tlrnes, Yorkshire POS!, Glas-
St\irth fm •; La démission du cabi-
r lrth Wally News \11 estminster
ette) y News* Westminster
San ITA1-1ENNE. — T n t
Slh, '- 1:", E. - La Turquie et les puis,
"-lICes (T
L'Italie et lord Cur-
11essaggero). -——.
POLl'rIQUE GENERALE
LE: PROCHE ORIENT
QIJ orient
4î?E ET LES PUISSANCES. -
%M,Et Co.NST,,lN?PLE Alors que la
ton ^riéralp8^111101106 beau,coup plus
Je «u point plus
opie de vue diplomatique, à
Constantinopl Po~int diplomatique, a
e e mêmp la situation reste très
"11,L rè
Nbre et très rr>« On donne à en-
que na-ante- On donne à en-
1(: lit Jes (iAlnieres dépêches officiel-
,eroil'e Us rassurantes On a. des raisons
et rapPort, - survenue dans
e| croi'^ e que j, '1?!°raton survenue dans
'"sfa Port'S entm, Angleterre et la France
et tn/1 (] (' ceirtains jc>u~rnaux an(ilais
%- frv i,~ t.
°nt rl c®rfains journaux anglais
rï 8 0111. TJifoduit une impression con-
p,rès ou Ul^s intelligents, qui sui-
h°rre8t^ ncJaïit 6 n les affaires euro-
ttt fies. Nea,
v, Qt'rilettem les dépêches de notre
!Jiiions à Constantinople ne
T, gUère de nous bercer d'il-
^1, dit-il, seront peut-être
An ^e.sup,d assumer le contrôle mi-
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par le 'r°upe«s sans être renforcé
QUi U1 se trouvent à Ismidt,
s* Iq, h 'Ve asiatiaU des Détroits. Ils pour-
!lVenCt C,liVementîIpeurs préparatifs ; leurs
suivent activem ""lit 1-eui-s préparatifs ; leurs
i>i!sn' „ ,au tari té des alliés de
~viennent chaque jour plus des alliés de~
, x sont ^°ur plus audacieux et
fi>erh eiïlent ;eux qui affirment que le
f1. 4 1 COl1ié el A.ngora n'attendra pas la
J^r c°nféro^ n^0ra n'attendra pas la
Lausanne pour ba-
t>, ^Stw^Wètempf}t x cette autorité. Notre
Co - déclarer que la si-
CS ^1 qui SP P,, de nous Préparer au dénoue-
'$, - Pfodirlra dans les quinze jours
L
tout au plus. La note de Rafet pacha, re-
mise hier aux hauts- commissaires alliés,
n'est pas faite pour dissiper ces sombres
prédictions. Le ton nettement arrogant et
agressif de cette note contraste fortement
avec les assurances pacifiques données à
notre correspondant de Paris par Ismet
pacha.
Il faut ajouter, cependant, que Ismet
pacha aurait parlé sur un autre ton au re
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aurait déclaré que la Turquie doit se débar-
rasser surtout des capitulations. Il est à
noter, à ce propos, que les droits des Amé-
ricains assurés par les capitulations sont
un des points sur lesquels les observateurs
officiels des Etats-Unis sont chargés d'in-
sister à Lausanne. Au point où en sont les
choses, il n'est que trop à craindre que les
généraux alliés, à Constantinople, ne se
trouvent, d'un instant à l'autre, en présence
d'une situation critique à laquelle il leur
faudra parer rapidement et avec fermeté.
S'ils sont unis et résolus, le risque de voir
se produire cette éventualité sera diminué.
Mais s'ils paraissent même - hésiter, s'il se
manifeste un semblant quelconque de dé-
saccord à Lausanne le danger sera plus
grand; les kemalistes seront poussés à
adopter des mesures extrêmes et il n'est
que trop à prévoir que les horreurs de
Smyrne se reproduiront à Constantinople,
avec son innombrable population d'Armé-
niens, de Grecs et d'Européens occidentaux.
Les Turcs sont sur le point d'assumer en
Europe de très grandes responsabilités avec
l'assentiment des alliés. Ils ne pourront sup-
porter le poids de ces responsabilités
qu'avec l'appui financier et économique des
alliés. Il leur era impossible d'obtenir cet
appui, il leur sera impossible de sauver
leur pays épuisé, à moins que les préten-
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sées. Et il ne sera possible de repousser ces
prétentions sans avoir recours à la force,
si les ailliés, en allant à Lausanne, absolu-
ment unis au point de vue de la politique à
suivre et des méthodes à adopter. - (Ed.)
TIMES, 16.11.
- La presse britannique, sans distinction de
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nion, en présence des délégués turcs à
Lausanne. Peu importe d'ailleurs quel
sera le lieu choisi pour ces entretiens pré-
liminaires. La note officieuse française
publiée hier nous apporte une nouvelle ras-
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s'effaceront très rapidement dès que des
échanges de vues personnels pourront
avoir lieu. Il faut recourir à tous les
moyens susceptibles d'établir une entente
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avant tout par une ouverture aussi pro-
che que possible de la conférence' de Lau-
sanne, où les allié se présenteraient soli-
daires, qu'on pourra écarter la menace
d'une catastrophe à Constantinople.
YORKSHIRE POST, 14.11.
- Mêmes appréciations du Glasgow Herald :
M. Poincaré semblait penser que les al-
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grandes lignes du règlement oriental et que
dans ces conditions une discussion nou-
velle serait superflue. Avec tout le respect
que mérite l'opinion du président du Con-
seil français, nous ferons remarquer que la
situation s'est considérablement modifiée
depuis les conversations de Paris, et qu'un
examen d'ensemble s'impose. Existe-t-il un
accord définitif entre les alliés, touchant
l'avenir de la Thrace occidentale, les fron-
tières de Syrie, les prétentions turques sur
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La désunion des alliés a été la cause de
tous les désastres qui se sont produits en
Orient depuis quatre ans.
GLASGOW HERALD, 14.11.
PRESSE ITALIENNE. - L'espoir d'arriver À
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s'en aller ou se faire respecter se pose avec
une clarté crue. S'en aller, c'est céder aux
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européen dans le Levant; se faire respecter
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conclusion de la conférence. Adopter cette
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Jusqu'ici les puissances n'ont pas choisi
avec décision la route Et suivre. Leur incer-
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prétentions turques. Chaque jour qui passe
les kemadistes débarquent d'Asie sur la rive
d'Europe, par petits groupes, des noyaux
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