Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 novembre 1922 14 novembre 1922
Description : 1922/11/14 (T22,N2203). 1922/11/14 (T22,N2203).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252501t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINisFÊRF
A|?p. DES
RES ÉTRANGÈRES
N°2203
Mardi 14 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait*,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
p ALLEMANDE. - Le discours de M.
~er T au Sénat, le 9 novembre (Ber-
liner Tageblatt, Vorwärts). - L'élar-
gissefn, traité de Rapallo (Frank-
■ turior Zeltunn)
lilt S p AISE. - M Lloyd George et la
O. e ally Chronicle). — Le Proche
Orient *es divergences franco-britan-
niqUe ,ç tn<^ay Times, Daily Tele-
tjranh rp- Times, Daily Tele-
Huian,.- Daily Chronicle). — La
po dal [e et la Petite Entente (corres-
dance de Vienne au Daily Tele-
VraPh)
POLITIQUE GENERALE.
LES RÉPARATIONS
Sï^ VSCQUHS DE M. POINCARE AU
À B.t (9 NOVEMBRE). - PRESSE ALLEMANDE.
On TL0N'S ET DETTES INTERALLIÉES. —
orl Peut Voir d a Ils le (liscours de Poincaré,
Peut 0Jr ïr.ari,s discours de Poincaré,
, 118 Une certaine mesure, une réponse très
fJrornpte noo pas de l'ensemble des créan-
l'épa renL pASen^s dans la commission des
Je.g Pra. Ions, mais de la France aux nouvel-
PfODo Slns demandes. Il nous faut
ex^tiiner si cette réponse nous permet d'es-
DréS.id le sUcces pour nos propositions. Le
~M. du 'COnseil déclare que le plan
fél'ell aLs d'emprunt sera discuté à la con-
f fTeHce de pruxeU&s. <_ela peut vouloir dire
, °~e.s. ~ela peut vouloir dire
Paree ()1Jip de choses ou très peu. Beaucoup
la Fr aVec
^rancA ?^'end plus d'une collaboration
S6s
alliés que d'une action isolée et
Mr 'ql"l Sait que lord Curzon a déclaré
son h. ern'er di:scoufls qu'il voulait être
îî^1, » pmJ"e la France et l'Allemagne. Peu
gré to Daooe qu'en dépit de tout et mal-
ranCe les assurances données que la
Pr arlee rle'st , Pas impérialiste et ne veut
du diSc anbr J'Allemagne, le ton général
des discour S c?rn,Ine des débats a comporté
la, QLIU,,iolls à la contrainte, aux sanctions,
,. d'une prise de gages au cas
u les aj&S ne baient pas de suffisantes
°>Cession
dii ut ce a
to»uqu? le chef du gouvernement a
,>nt a 'es Propositions de la France
>, lrH<$(]p èane des réparations d'après des
de pVl3e et des tendances tout diffé-
"lt. de Ce
> an eux représentés dans les propo-
ç On Il' ernandes
eOh~1 a. pn-",
1 rUer eu un mot hier pour la re
d iluctl-Gn , POur la nécessité de résoudre
^int-é AtS du crédit et des réparations
ais on a de l'économie intemationale,
ena. on Parlé à mille reprises du droit
de la France. Poincaré n'a pas parlé des
suggestions qui sont à la base du pro-
gramme de réparation de l'Allemagne et de
l'Angleterre : moratorium de deux ans, ré-
duction de la somme globale avant l'arri-
vée de ce terme, renonciation à l'hypothè-
que générale de l'art. 248. Comment, l'ose-
rait-il devant les hommes du bloc national
qui ne parlent jamais aux applaudissements
de toute la Chambre que des gages du ter
ritoire rhénan et de la Rnihr ?
Pourtant, on peut penser qu'il n'a peut-
être ipais uiÍ tout ce qu'il pense. Les atta-
ques de Tardieu et Loucheur, les deux as-
pirants à la succession, l'obligent à un lan-
gage énergique. Il y a une partie du dis-
cours — on peut la qualifier de partie prin-
cipale — où la juste conception de la poli-
tique de réparation de Poincaré apparaît ;
pensée que nous partageons en lui souhai
tant le succès. C'est le passage où Poin-
caré parie-du règlement de la question des
dettes de guerre interalliées à Bruxelles et
donne à'entendre que si la France obtient
un succès dans cette question à la confé-
rence elle se montrera plus disposée à s'en-
tendre avec l'Allemagne. Il a choisi une
forme de menace et un geste qui lui valu-
rent les applaudissements de l'assemblée.
Il posa cette alternative : concessions dans
la question des dettes de guerre ou bien ac-
tion isolée contre l'Allemagne. Mais ce
n'est point cette menace, c'est la demande
d'abandon de la dette de la part des alliés
qui constitue l'essentiel de son programme
de réparation.
Dans les discussions de ces derniers
temps, chez nous on a un peu négligé ce
point et c'est assez naturel. Car il s'agit
d'une question qui ne nous touche de près
quoique indirectement, mais dont nous
n'avons pas à nous occuper. Mais nous
avons toutes sortes de raisons de sotihaiter
qu'à Bruxelles cette question fasse un
progrès. peut-être les chances se sont-elles
accrues depuis le départ de lord Balfour. Et
peut-être doit-on penser que le succès des
démocrates dans les élections américaines
exercera une influence favorable.
En résumé en dépit du ton général du
discours et de la symphonie des sanctions
qui a résonne hier au Palais du Luxem-
bourg, la « politique efficace » que le Sénat
croit avoir mise à son ordre du jour et la
politique efficace dont M. Poincaré souhaite
le succès dans son cœur ne sont peut-être
pas identiques. — J. S.
T'EUTANER TAGERLATT, 10.11, soir.
— Sous le titre : (c POINCARÉ CONTRE LA
RAISON ». — Contre la raison économique
qui s'est mise lentement en marche avec
les négociations de Berlin, deux adversai-
res se sont déjà levés pour prendre la pa-
role : Stinnes à Berlin et Poincaré à Pa-
ris. On pourrait concéder au président du
Conseil français que l'opinion publique fran-
çaise, inquiète de la chute du franc, res-
sent plus fortement le besoin d'obtenir
promptement des paiements ; mais le suc-
cès tactique de M. Poincaré n'a été obtenu
qu'aux dépens de la situation politique, et
la situation économique s'en ressentira.
M. Poincaré lui-même, qui n'est que ju-
riste et non économiste, devrait compren-
dre peu à peu que ses discours ne profi-
tent qu'à cette noble société qui trouve son
profit à précipiter de plus en plus la chute
du mark et aussi du franc. Espérons que
les membres français de la commission
des réparations, dont l'attitude à Berlin fut
une réfutation pure et simple des repro-
ches adressés par Poinoaré à l'Allemagne,
revenus à Paris trouveront encore le coura-
ge d'édùailrer sur les choses économiques
leuir président du Conseil, qui en a un pro-
fond besoin, à en juger par sa dernière pro.
duction.
VORWAERTS, 10.11.
M. LLOYD GEORGE ET LA FRANCE. —
Les brèves allusions faites par M. Bonar
Law au problème des réparations dans son
discours de GuHJdhaJl [le 9 novembre] mon.
trent que son point de vue ne se distingue
pas de celui de M. Lloyd George. Il y a
tout au plus pour les séparer une différence
de tempérament.
Pourquoi supposerait-on que M. Lloyd
George fut jamais indifférent à la valeur
de l'amitié avec la France ? Personne n'a
fait de plus grands sacrifices pour la pré-
server. Un de ses plus vieux amis dans la
presse lui a précisément reproché d'avoir
trop sacrifié au maintien de l'Entente : à
Gênes notamment, il fut invité de façon
pressante à rompre avec la France ; il re-
fusa et pourtant les Français voient en lui
encore leur ennemj. Il a parlé certainement
à la France avec une franchise qui a déplu
à certains de ses critiques. Mais est-ce qu'il
ne devait pas cette sincérité à son pays
aussi bien qu'à notre amitié avec la
France ? Entre amis, les concessions réci-
proques s'imposent ; les hommes politiques,
qui prétendent que nous avons toutes les
obligations tandis que la France n'en a au-
cune, sont les pires ennemis de l'Entente.
DAILY CHRONICLE. 11.11
——— ———
ALLEMAGNE ET RUSSIE
L'ELARGISSEMENT DU TRAITE DE
RAPALLO. [Cf. Bulletin n° 2199, p. 1]. —
LE COMTE BROCKDORFF-RANTZAU A MOSCOU.
— L'élargissement du traité de Rapallo, étendu
aux Républiques alliées (Ukraine. Etats du
Caucase. République d'Extrême-Orient'. s'est
imposé devant la persistance d'un état de
A|?p. DES
RES ÉTRANGÈRES
N°2203
Mardi 14 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait*,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
p ALLEMANDE. - Le discours de M.
~er T au Sénat, le 9 novembre (Ber-
liner Tageblatt, Vorwärts). - L'élar-
gissefn, traité de Rapallo (Frank-
■ turior Zeltunn)
lilt S p AISE. - M Lloyd George et la
O. e ally Chronicle). — Le Proche
Orient *es divergences franco-britan-
niqUe ,ç tn<^ay Times, Daily Tele-
tjranh rp- Times, Daily Tele-
Huian,.- Daily Chronicle). — La
po dal [e et la Petite Entente (corres-
dance de Vienne au Daily Tele-
VraPh)
POLITIQUE GENERALE.
LES RÉPARATIONS
Sï^ VSCQUHS DE M. POINCARE AU
À B.t (9 NOVEMBRE). - PRESSE ALLEMANDE.
On TL0N'S ET DETTES INTERALLIÉES. —
orl Peut Voir d a Ils le (liscours de Poincaré,
Peut 0Jr ïr.ari,s discours de Poincaré,
, 118 Une certaine mesure, une réponse très
fJrornpte noo pas de l'ensemble des créan-
l'épa renL pASen^s dans la commission des
Je.g Pra. Ions, mais de la France aux nouvel-
PfODo Slns demandes. Il nous faut
ex^tiiner si cette réponse nous permet d'es-
DréS.id le sUcces pour nos propositions. Le
~M. du 'COnseil déclare que le plan
fél'ell aLs d'emprunt sera discuté à la con-
f fTeHce de pruxeU&s. <_ela peut vouloir dire
, °~e.s. ~ela peut vouloir dire
Paree ()1Jip de choses ou très peu. Beaucoup
la Fr
^rancA ?^'end plus d'une collaboration
S6s
alliés que d'une action isolée et
Mr 'ql"l Sait que lord Curzon a déclaré
son h. ern'er di:scoufls qu'il voulait être
îî^1, » pmJ"e la France et l'Allemagne. Peu
gré to Daooe qu'en dépit de tout et mal-
ranCe les assurances données que la
Pr arlee rle'st , Pas impérialiste et ne veut
du diSc anbr J'Allemagne, le ton général
des discour S c?rn,Ine des débats a comporté
la, QLIU,,iolls à la contrainte, aux sanctions,
,. d'une prise de gages au cas
u les aj&S ne baient pas de suffisantes
°>Cession
dii ut ce a
to»uqu? le chef du gouvernement a
,>nt a 'es Propositions de la France
>, lrH<$(]p èane des réparations d'après des
de pVl3e et des tendances tout diffé-
"lt. de Ce
> an eux représentés dans les propo-
ç On Il' ernandes
eOh~1 a. pn-",
1 rUer eu un mot hier pour la re
d iluctl-Gn , POur la nécessité de résoudre
^int-é AtS du crédit et des réparations
ais on a de l'économie intemationale,
ena. on Parlé à mille reprises du droit
de la France. Poincaré n'a pas parlé des
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gramme de réparation de l'Allemagne et de
l'Angleterre : moratorium de deux ans, ré-
duction de la somme globale avant l'arri-
vée de ce terme, renonciation à l'hypothè-
que générale de l'art. 248. Comment, l'ose-
rait-il devant les hommes du bloc national
qui ne parlent jamais aux applaudissements
de toute la Chambre que des gages du ter
ritoire rhénan et de la Rnihr ?
Pourtant, on peut penser qu'il n'a peut-
être ipais uiÍ tout ce qu'il pense. Les atta-
ques de Tardieu et Loucheur, les deux as-
pirants à la succession, l'obligent à un lan-
gage énergique. Il y a une partie du dis-
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cipale — où la juste conception de la poli-
tique de réparation de Poincaré apparaît ;
pensée que nous partageons en lui souhai
tant le succès. C'est le passage où Poin-
caré parie-du règlement de la question des
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un succès dans cette question à la confé-
rence elle se montrera plus disposée à s'en-
tendre avec l'Allemagne. Il a choisi une
forme de menace et un geste qui lui valu-
rent les applaudissements de l'assemblée.
Il posa cette alternative : concessions dans
la question des dettes de guerre ou bien ac-
tion isolée contre l'Allemagne. Mais ce
n'est point cette menace, c'est la demande
d'abandon de la dette de la part des alliés
qui constitue l'essentiel de son programme
de réparation.
Dans les discussions de ces derniers
temps, chez nous on a un peu négligé ce
point et c'est assez naturel. Car il s'agit
d'une question qui ne nous touche de près
quoique indirectement, mais dont nous
n'avons pas à nous occuper. Mais nous
avons toutes sortes de raisons de sotihaiter
qu'à Bruxelles cette question fasse un
progrès. peut-être les chances se sont-elles
accrues depuis le départ de lord Balfour. Et
peut-être doit-on penser que le succès des
démocrates dans les élections américaines
exercera une influence favorable.
En résumé en dépit du ton général du
discours et de la symphonie des sanctions
qui a résonne hier au Palais du Luxem-
bourg, la « politique efficace » que le Sénat
croit avoir mise à son ordre du jour et la
politique efficace dont M. Poincaré souhaite
le succès dans son cœur ne sont peut-être
pas identiques. — J. S.
T'EUTANER TAGERLATT, 10.11, soir.
— Sous le titre : (c POINCARÉ CONTRE LA
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res se sont déjà levés pour prendre la pa-
role : Stinnes à Berlin et Poincaré à Pa-
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Conseil français que l'opinion publique fran-
çaise, inquiète de la chute du franc, res-
sent plus fortement le besoin d'obtenir
promptement des paiements ; mais le suc-
cès tactique de M. Poincaré n'a été obtenu
qu'aux dépens de la situation politique, et
la situation économique s'en ressentira.
M. Poincaré lui-même, qui n'est que ju-
riste et non économiste, devrait compren-
dre peu à peu que ses discours ne profi-
tent qu'à cette noble société qui trouve son
profit à précipiter de plus en plus la chute
du mark et aussi du franc. Espérons que
les membres français de la commission
des réparations, dont l'attitude à Berlin fut
une réfutation pure et simple des repro-
ches adressés par Poinoaré à l'Allemagne,
revenus à Paris trouveront encore le coura-
ge d'édùailrer sur les choses économiques
leuir président du Conseil, qui en a un pro-
fond besoin, à en juger par sa dernière pro.
duction.
VORWAERTS, 10.11.
M. LLOYD GEORGE ET LA FRANCE. —
Les brèves allusions faites par M. Bonar
Law au problème des réparations dans son
discours de GuHJdhaJl [le 9 novembre] mon.
trent que son point de vue ne se distingue
pas de celui de M. Lloyd George. Il y a
tout au plus pour les séparer une différence
de tempérament.
Pourquoi supposerait-on que M. Lloyd
George fut jamais indifférent à la valeur
de l'amitié avec la France ? Personne n'a
fait de plus grands sacrifices pour la pré-
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presse lui a précisément reproché d'avoir
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Gênes notamment, il fut invité de façon
pressante à rompre avec la France ; il re-
fusa et pourtant les Français voient en lui
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à la France avec une franchise qui a déplu
à certains de ses critiques. Mais est-ce qu'il
ne devait pas cette sincérité à son pays
aussi bien qu'à notre amitié avec la
France ? Entre amis, les concessions réci-
proques s'imposent ; les hommes politiques,
qui prétendent que nous avons toutes les
obligations tandis que la France n'en a au-
cune, sont les pires ennemis de l'Entente.
DAILY CHRONICLE. 11.11
——— ———
ALLEMAGNE ET RUSSIE
L'ELARGISSEMENT DU TRAITE DE
RAPALLO. [Cf. Bulletin n° 2199, p. 1]. —
LE COMTE BROCKDORFF-RANTZAU A MOSCOU.
— L'élargissement du traité de Rapallo, étendu
aux Républiques alliées (Ukraine. Etats du
Caucase. République d'Extrême-Orient'. s'est
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