Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 novembre 1922 11 novembre 1922
Description : 1922/11/11 (T22,N2202)-1922/11/13. 1922/11/11 (T22,N2202)-1922/11/13.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252500d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
Ictère
- DES-
Es étrangères
N°2202
Samedi 11-Lundi 13 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
VE -
l°ires ZT*- r"e des terri-
fOires rh : 'e discours de M. Lou-
(:henr à *i lam'bre, le 7 novembre
(Vossi ta ChO,mbre, le 7 novembre
Un0, Frankfurter Zei-
l^ny, Var lv> "rts) î les délais d'évacua
l'nE ^°n AMÉ orwarts).
PRESSE AMÈRICAINE. — Le voyage de M. CIe-
t {'l'VI X Etats-Unis : une préten-
GW 11 nia^échad Foch (New
^°rh TrihUne' World, New York Tl-
Les 'Et !?ston Evening Transcript). —
Età/fc TJnis et le pétrole (F. Wile
^ns aslungton Post).
LANGUI
8aoces /^E' - La Turquie et les puis-
ces (Tirnes, Daily News, Daily
Press ) *
-------- —
POLITIQUE GENERALE
-
t J:'R.c\NCE ET ALLEMAGNE
LU'CIIME DES TERRITOIRES RHE-
.11\~nIH;: LE DISCOL'HS DE M. LOUCHEUR
cs- rv"iliR: "es DEPUTÉs" 7 NOVEMBRE). -
Disons suite que tous les 'projets
tend crentlon d'un régIme partlcu-
"If,,\. r le t" 't régime purticu-
lier pour le terHt rhénan s,ont irreme-
,finn lent e rhénan sont irrémé-
Il.!t()f'[¿ Olstes fr"Lllc.ais quli avec l'aide des
l' es f,anÇais quii, avec l'aide des
daà iép-
pays du Reich. Le apport secret du
ri kl, ,eICI>* Bullelin n° 2198, page 2],
l'fésii nt de la commission des finances de
1 ^^ihre riîes a^aires rhénanes, fait
le VOl*r de Sfvj efler des projets français.
rapport Dariac n'a pas été publié jus"
l)rendra SI 'Ni. Loucheur le connaît,
.I(¡ql)d Pour a ne se trouve pas un Al-
jet dn t, envlsa!!e:r sans mefianoe tout
destiné à !!lnger quoi que ce soil
l,. Pays rhénans. Toute
,.
tr.€ faite l nn, s'immiscer dans les af-
es <Ülemandes sera. repoussee
\'OSS erhand et tout Rhénan.
ISCIJB ZEITUNG. 8.11. matin.
"I)e h
paris 8 "eptembre : On devra lire
'rQ cé
:'r°iW^eritiori V en ^!lema,gne le discours
hi0T
z~f - A la Cambre par M. Lou-
Lnn^v leur a posé officiellement
eà la succession de Poincaré.
? çfin V^Uure 'a succession de Poincaré.
qu'on ne Prisse encore parler d'un
V^ent 0 fain de la situation du
le\!>.; ,~!' nctllled, pourtant, dans les
po,litiq'Ues, cette impression s'ac-
centue que le cabinet Poincaré pourrait ne
plus durer très longtemps.
M. Loucheur a donc exposé hier un pro-
gramme et il a obtenu un succès extra-
ordinaire. Les propositions qu'il a faites
pour résoudre le problème des réparations
et la crise financière ont trouvé alternative-
ment l'approbation des droites et des gau-
ches. M. Loucheur qui a su offrir avec une
étonnante habileté quelque chose à tous les
partis, réussit à se faire applaudir par
rextreme-gauche comme pair les droites.
M. Loucheur commença par une vive cri-
tique de la politique de réparation du gou-
vernement et ce fut la première fois qu'au
Parlement français le problème des répa-
rations fut présenté sous une forme aussi
juste par un non-socialiste. M. Loucheur a
eu le courage de déclarer que l'Allemagne
était en banqueroute et qu'on pouvait tout
au plus attendre d'elle les livraisons en na-
ture. Il a exposé que les conditions proba-
bles à la stabilisation du mark étaient une
balance de commerce, et des comptes acti-
ve. Il obtint l'approbation des gauches en
combattant de front la thèse de Poincaré
réclamant la reconstruction de la France
d'abord, et faisant passer l'Europe ensuite.
Mais la résignation de M. Loucheur dans la
question des réparations ne va pas sans
concessions aux vœux des nationalis-
tes de droite. Il est aussi partisan d'un
territoire rhenan autonome, réclamé selon
lui pour la sécurité de la France. Mais il re-
pousse l'annexion de la rive gauche du Rhin.
La ressemblance entre ce projet et le pro-
jet Darinc doit d'autant plus nous engager
à être sur nos gardes que Loucheur enve-
loppe habilement son programme de larges
concessions de la. France dans :1a question
des réparations.
FRANKFURTER ZEITUNG, 9.11, matin.
— L'ancien et probablement futur mi-
nistre français Loucheur a tenu à la tribune
de la Chambre un discours de politique éco-
nomique, contestable en de nombreux
points, mais qui apparaît raisonnable sur
d'autres et qui, en tout cas, se distingue
avec avantage des déclamations dépourvues
de sens que l'on entend trop souvent. Pour-
tant, dans ce discours, certaines idées sur
la constitution future des provinces rhé-
nanes doivent d'autant plus être réfutées,
qu'elles semblent, d'apparence, plus con.
ciliantes que le point de vue de Poincaré.
Le fait exposé par Loucheur ne soulèvera
pas moins les passions nationalistes en Al-
lemagne que les théories barbares de Poin-
caré. Tout d'abord, nous nous permettons de
remarquer que l'apostrophe acclamée par
l'auditoire de Loucheur : « Le Rhin aux
Rhénans ! » touche à une question qui ne
regarde pas plus la Chambre française que
la question irlandaise n'est de la compétence
du Reichstag.
Même les politiciens français de gauche
ne peuvent s'empêcher de traiter la ques-
tion rhénane comme une affaire française et
d'imaginer les soi-disant oppositions entre
le pays rhénan et la Prusse.
Qu'ils nous permettent de leur dire que
tout le peuple allemand et la socialdemocra-
tie en particulier considèrent ces manifes-
tations comme des immixtions intolérables
dans nos affaires intérieures, immixtions
qui ont un effet plus désastreux que le plus
étroit contrôle financier.
M. Smeets peut, avec l'or français, avoir
recruté quelques centaines de réactionnai-
res ; il sera toujours considéré par plus de
99 du peuple allemand et 100 des pro-
létaires allemands comme un traître qui ne
peut agir que sous la garde des baïonnettes
françaises.
C'est pourquoi le plan fantaisiste d'une
Il garde internationale avec un contingent
en majorité français » ne peut être envisagé
en Allemagne que comme une tentative dé-
guisée de la France pour éterniser son
occupation armée sur la rive gauche du
Rhin.
VORWAERTS, 9.11, matin.
« LES DÉLAIS D'ÉVACUATION. — POINCARÉ NE
CONNAIT PAS LE TRAITÉ DE PAIX )) [SOUS ces ti-
tres]. — Si les informations arrivées de
Paris sur la séance de lia Chambre d'hier
sont exactes, le président du Conseil Poin-
caré aurait interrompu le discours de l'an-
cien ministre Loucheur par cette remarque
que « les délais d'occupation pour le ter-
ritoire rhénan ne commencent à courir
qu'à partir de d'exécution du traité de
paix ».
Les Polilisch Parlamentarische Nach-
richten écrivent à ce sujet, après s'être
informées auprès des autorités compéten-
tes :
Cette conception de Poincaré est absolu-
ment insoutenable et en opposition abso-
lue avec le point de vue de l'Allemagne qui
s'appuie sur l'article 428 du traité de paix.
D'après cet article, afin d'assurer l'exécu-
tion des obligations allemandes, les terri-
toires allemands à l'ouest du Rhin y com-
pris les têtes de ponts doivent être occu-
pés par les troupes des puissances alliées
pendant des délais déterminés après la
mise en vigueur dru: traité de paix. Le mo-
ment de la mise on vigueur du traité est
donné clairement, par le premier protocole
signé après la ratification du traité par
l'Allemagne et trois des principales puis-
sances alliées.
Ce moment est bien \I.e point de départ de
la mise en vigueur du traité, des délais et
de leur calcul. Ce protocole fut réalisé le
10 janvier 1920. Ce jour-là le traité entra
- DES-
Es étrangères
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Samedi 11-Lundi 13 novembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
VE -
l°ires ZT*- r"e des terri-
fOires rh : 'e discours de M. Lou-
(:henr à *i lam'bre, le 7 novembre
(Vossi ta ChO,mbre, le 7 novembre
Un0, Frankfurter Zei-
l^ny, Var lv> "rts) î les délais d'évacua
l'nE ^°n AMÉ orwarts).
PRESSE AMÈRICAINE. — Le voyage de M. CIe-
t {'l'VI X Etats-Unis : une préten-
GW 11 nia^échad Foch (New
^°rh TrihUne' World, New York Tl-
Les 'Et !?ston Evening Transcript). —
Età/fc TJnis et le pétrole (F. Wile
^ns aslungton Post).
LANGUI
8aoces /^E' - La Turquie et les puis-
ces (Tirnes, Daily News, Daily
Press ) *
-------- —
POLITIQUE GENERALE
-
t J:'R.c\NCE ET ALLEMAGNE
LU'CIIME DES TERRITOIRES RHE-
.11\~nIH;: LE DISCOL'HS DE M. LOUCHEUR
cs- rv"iliR: "es DEPUTÉs" 7 NOVEMBRE). -
Disons suite que tous les 'projets
tend crentlon d'un régIme partlcu-
"If,,\. r le t" 't régime purticu-
lier pour le terHt rhénan s,ont irreme-
,finn lent e rhénan sont irrémé-
Il.!t()f'[¿ Olstes fr"Lllc.ais quli avec l'aide des
l' es f,anÇais quii, avec l'aide des
daà iép-
pays du Reich. Le apport secret du
ri kl, ,eICI>* Bullelin n° 2198, page 2],
l'fésii nt de la commission des finances de
1 ^^ihre riîes a^aires rhénanes, fait
le VOl*r de Sfvj efler des projets français.
rapport Dariac n'a pas été publié jus"
l)rendra SI 'Ni. Loucheur le connaît,
.I(¡ql)d Pour a ne se trouve pas un Al-
jet dn t, envlsa!!e:r sans mefianoe tout
destiné à !!lnger quoi que ce soil
l,. Pays rhénans. Toute
,.
tr.€ faite l nn, s'immiscer dans les af-
es <Ülemandes sera. repoussee
\'OSS erhand et tout Rhénan.
ISCIJB ZEITUNG. 8.11. matin.
"I)e h
paris 8 "eptembre : On devra lire
'rQ cé
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z~f - A la Cambre par M. Lou-
Lnn^v leur a posé officiellement
eà la succession de Poincaré.
? çfin V^Uure 'a succession de Poincaré.
qu'on ne Prisse encore parler d'un
V^ent 0 fain de la situation du
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centue que le cabinet Poincaré pourrait ne
plus durer très longtemps.
M. Loucheur a donc exposé hier un pro-
gramme et il a obtenu un succès extra-
ordinaire. Les propositions qu'il a faites
pour résoudre le problème des réparations
et la crise financière ont trouvé alternative-
ment l'approbation des droites et des gau-
ches. M. Loucheur qui a su offrir avec une
étonnante habileté quelque chose à tous les
partis, réussit à se faire applaudir par
rextreme-gauche comme pair les droites.
M. Loucheur commença par une vive cri-
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juste par un non-socialiste. M. Loucheur a
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était en banqueroute et qu'on pouvait tout
au plus attendre d'elle les livraisons en na-
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bles à la stabilisation du mark étaient une
balance de commerce, et des comptes acti-
ve. Il obtint l'approbation des gauches en
combattant de front la thèse de Poincaré
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d'abord, et faisant passer l'Europe ensuite.
Mais la résignation de M. Loucheur dans la
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tes de droite. Il est aussi partisan d'un
territoire rhenan autonome, réclamé selon
lui pour la sécurité de la France. Mais il re-
pousse l'annexion de la rive gauche du Rhin.
La ressemblance entre ce projet et le pro-
jet Darinc doit d'autant plus nous engager
à être sur nos gardes que Loucheur enve-
loppe habilement son programme de larges
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FRANKFURTER ZEITUNG, 9.11, matin.
— L'ancien et probablement futur mi-
nistre français Loucheur a tenu à la tribune
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nomique, contestable en de nombreux
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d'autres et qui, en tout cas, se distingue
avec avantage des déclamations dépourvues
de sens que l'on entend trop souvent. Pour-
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la constitution future des provinces rhé-
nanes doivent d'autant plus être réfutées,
qu'elles semblent, d'apparence, plus con.
ciliantes que le point de vue de Poincaré.
Le fait exposé par Loucheur ne soulèvera
pas moins les passions nationalistes en Al-
lemagne que les théories barbares de Poin-
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l'auditoire de Loucheur : « Le Rhin aux
Rhénans ! » touche à une question qui ne
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la question irlandaise n'est de la compétence
du Reichstag.
Même les politiciens français de gauche
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étroit contrôle financier.
M. Smeets peut, avec l'or français, avoir
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99 du peuple allemand et 100 des pro-
létaires allemands comme un traître qui ne
peut agir que sous la garde des baïonnettes
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C'est pourquoi le plan fantaisiste d'une
Il garde internationale avec un contingent
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guisée de la France pour éterniser son
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Rhin.
VORWAERTS, 9.11, matin.
« LES DÉLAIS D'ÉVACUATION. — POINCARÉ NE
CONNAIT PAS LE TRAITÉ DE PAIX )) [SOUS ces ti-
tres]. — Si les informations arrivées de
Paris sur la séance de lia Chambre d'hier
sont exactes, le président du Conseil Poin-
caré aurait interrompu le discours de l'an-
cien ministre Loucheur par cette remarque
que « les délais d'occupation pour le ter-
ritoire rhénan ne commencent à courir
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paix ».
Les Polilisch Parlamentarische Nach-
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informées auprès des autorités compéten-
tes :
Cette conception de Poincaré est absolu-
ment insoutenable et en opposition abso-
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l'Allemagne et trois des principales puis-
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