Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-11-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 novembre 1922 03 novembre 1922
Description : 1922/11/03 (T22,N2195). 1922/11/03 (T22,N2195).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252493q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 MINISTÈRE
DES
ÉTRANGÈRES
N° 2195
Vendredi 3 novembre 1922.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
l>"EfE «-U:il„' l' )E
- La commission des ré-
dations a Berlin (Germania). - Le
gouvern fasciste (Berliner Tage-
blatt \/norr w^). r~~e-
r
PRESSE ANGLAISE. 6 La conférence de Lau-
sarme (n •,
et les ; T?kijrL'es (Dai/y r~~r.). -
P°tamie /n Uts anglais et la Méso-
1 de Waily Express). — Déclara-
's'1Gs sur la situation de
'M).
K Europe (,ïVll. ,lles)-
E BELGE'' Le gouvernement fasciste
l-X'A'e §iè6" ^re Belgique, Peuple).
P|'ESSE IT Liure tïclgique, Petiple).
eiste Le gouvernement fas-
Cl. ste (r,v,! nale d Ualia, Corriere d'Ita-
ha). ,
-------
t — ~————————————
POLITIQUE GENERALE
tA LES RÉPARATIONS
DES REPARATIONS
il\et l, N. - L ISsue des délibérations
l' u. COI.'
UlLS réparation sera pour
tu. agne d
VuuPe déciSiVP
es n mip i- 'Les questions qui seront
«es ]i. ÏÏ's-ci intér ^SSenl .Profondément notre
\'1 8-CI ?" devra tenter de régler
Vie ,i(ÏUe Ct u:on°nnque. Sur ce point,
4ucun d°ute rio ~!"~ 'Suii- ce point.
il! Out -
dans 1 osprit du peuple
allemand. On comprend donc ce deslr d-ap-
~r.~P~tiy~,~ Possible quelles sont
J^tives a ef 11égociations et à quels
"^ripll0rits on "]n '™' «-atlcndre à la suite des
,l'elien Ma peut c°mPi'éhensible que soit
11"1 d'autn0
d la vertn part il est nécessaire de
fGrnfui(jer , de Patience et d'attendre
\ll'e S'" , .- e l'I'snllat qu'on puisse ré-
SifÎUo PUbl' lésoV Yl-n,t-'rét national. Une niu-
nt HJ'. *Cc0111Pagilement ne peut
iiirlre au 68 de négociations confi-
Stie,,^s Par mtn'e-(:ette recommandation
?Ubliq( e. Cette recommandation
eirpJ PectlOn 1 ,.
î/^r i ^ais eli esse a toute l'opinion
vuue ion pressP elie Vaut particulièrement
n'a Pas besoin de dire
'liSQb' P^ avam iCOns^nce de leur res-
en qUe 1 affaire est trop
h, 6tlt ail erïland n t UU ohjet de spéculation.
ti°Ur ,Gr s raisnn ÓVidentes, le gouverne-
^Ul rien «lire sur sa tac-
fasSe raut pas
J J et Sllr le Contenu des négociations.
-
fqut des q Ile détc^m-ces, f car l'opinion
'c*iass€ aux nouvelles
«
pourrait ainsi se trouver soumise à des in-
fluences étrangères et entraînée sur de fausses
voies. Lorsque les événements seront réalisés,
il y aura suffisamment occasion de discussion.
En attendant, le silence est le premier de-
voir des journalistes.
G £lL\LL\Lt, 31.10, matin.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA CONFERENCE DE LAUSANNE. -
UNE POLITIQUE FRANCO-BRITANNIQUE. - Bien
que l'ouverture de la conférence de Lau-
sanne reste fixée au 13 novembre, la crise
italienne, ainsi que la notre et que les ob-
jections de détail soulevées par les Turcs,
rendent très probable un léger ajourne-
ment. D'après nos informations, M. Mus-
solini, qui a pris provisoirement la direc-
tion de la Consulta, aurait l'intention de
nommer un ministre des Affaires étrangè-
res, mais le nombre des diplomates italiens
de carrière actuellement en fonctions et
possédant les tendances marquées vers le
nationalisme, qui sont une condition sine
qua non, est très limité. Sous ce rapport,
la démission du comte Sforza est aussi
significative qu'elle est peut-être coura-
geuse. U serait peut-être prématuré de
dire que les Turcs regretteront son absence
de la conférence de Lausanne. Il convient
d'attendre la publication des noms des dé-
légués italiens choisis par M. Mussolini,
avant de se laisser aller à un optimisme
niiplrnn«np à ep, sujet.
Cependant M. Stambouliski se réjouira de
l'invitation supplémentaire que lui ont
adressée les ministres à Sofia des puissan-
ces invitantes ; la Bulgarie, sans être ad-
mise sur un pied d'égalité absolue à la con-
férence de paix proprement dite. sera ad-
mise à faire valoir ses revendications rela-
tives à un débouché économique sur la mer
Egée. Il est à prévoir, toutefois, que la dé-
légation bulgare ne manquera pas de profi-
ter de l'occasion pour exposer le projet si
cher à M. Stambouliski. d'une Thrace au-
tonome ( comprenant à la fois la Thrace Oc-
cidentale et la Thrace Orientale), projet qui
n'est fait pour plaire ni aux Turcs, ni aux
voisins serbes et roumains de la Bulgarie.
Los fascistes italiens accorderont-ils à
M. Stambouliski l'appui promis par M.
Schanzer ? Ils ont toujours été bien dispo-
sés envers les « irréguliers » hongrois,
mais peut-être le communisme bulgare ré-
pugnera-t-il à l'esprit fasciste.
Pendant ce temps, des pourparlers offi-
cieux s'échangent entre Londres et Paris
au sujet de la procédure et du programme
de la conférence de Lausanne et de certai-
nes solutions à donner aux questions qui
feront l'objet des débats. C'est à ce propos
que l'ambassadeur français a rendu visite
au Foreign Office hier. J'ai des raisons de
croire que la conversation a porté sur la
nécessité d'exiger que les Turcs se confor-
ment strictement aux stipulations militai-
res de la convention de Moudania en atten-
dant la conclusion définitive de la paix. On
donne à entendre dans certains milieux
français que par suite du changement de
cabinet en Angleterre, le gouvernement
français est très désireux de voir s'effec-
tuer un rapprochement anglo-français et
l'unité du front entre les deux pays par
rapport aux principaux problèmes interna-
tionaux qui auraient été obscurcis depuis
quelques mois par des dissentiments per-
sonnels. Le désir d'une entente harmo-
nieuse sera naturellement bien accueilli en
Grande-Bretagne, mais les dissentiments
dont il s'agit étaient déterminés surtout par
d'importants différends politiques, et si on
veut que ces différends soient réglés d'une
manière satisfaisante et durable, il faudra
crue l'attitude de la France dans le Proche
Orient subisse des modifications très con-
sidérables.
Il se peut que, d'une part, les appels adres-
ses à M. Poincaré par les groupements com-
merciaux- français du Levant et de l'autre
l'état de l'opinion publique américaine fa- ,
cilitent une nouvelle orientation de la poli-
tique du gouvernement et du parlement
français, par exemple en ce qui concerne les
capitulations, la protection des minorités et
même la question des Détroits.
LES INTÉRÊTS AMÉRICAINS. - Le principe
de la « porte ouverte » sur lequel insiste M.
Hughes, implique de sa part le refus de re-
connaître la validité des privilèges économi-
ques ou de la situation de priorité revendi-
quées dans certaines régions par la France
et l'Italie, non seulement en vertu de l'accord
tripartite mais aux termes de leurs ac-
cords secrets avec la Turquie d'octobre 1921
et de mars 1922 respectivement.
L'ATTITUDE DE LA SUÈDE ET DE LA BELGIQUE.
- Mais ce n'est pas seulement l'Amérique
- dont l'exemple sera peut-être suivi par la
Hollande et par la Suède - qui demande
que ses intérêts économiques et la sécurité
de ses nationaux soient dûment pris en
considération et sauvegardés. Outre les
puissances déjà invitées, d'autres signatai-
res du traité de Sèvres désirent participer à
la conférence de Lausanne. Le gouverne-
ment belge, par exemple, vient de faire sa-
voir aux puissances invitantes que, en rai-
son des intérêts économiques très impor-
tants de la Belgique dans le Proche Orient,
il désire être représenté lorsque seront dis-
cutés soit des questions de finance, de com-
merce et de douane, soit des problèmes ju-
ridiques se rapportant aux capitulations.
D'autre part, l'opinion catholique belge,
sous la direction du cardinal Mercier, in-
siste pour que la question d'un foyer natio-
DES
ÉTRANGÈRES
N° 2195
Vendredi 3 novembre 1922.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
l>"EfE «-U:il„' l' )E
- La commission des ré-
dations a Berlin (Germania). - Le
gouvern fasciste (Berliner Tage-
blatt \/norr w^). r~~e-
r
PRESSE ANGLAISE. 6 La conférence de Lau-
sarme (n •,
et les ; T?kijr
P°tamie /n Uts anglais et la Méso-
1 de Waily Express). — Déclara-
's'1Gs sur la situation de
'M).
K Europe (,ïVll. ,lles)-
E BELGE'' Le gouvernement fasciste
l-X'A'e §iè6" ^re Belgique, Peuple).
P|'ESSE IT Liure tïclgique, Petiple).
eiste Le gouvernement fas-
Cl. ste (r,v,! nale d Ualia, Corriere d'Ita-
ha). ,
-------
t — ~————————————
POLITIQUE GENERALE
tA LES RÉPARATIONS
DES REPARATIONS
il\et l, N. - L ISsue des délibérations
l' u. COI.'
UlLS réparation sera pour
tu. agne d
VuuPe déciSiVP
es n mip i- 'Les questions qui seront
«es ]i. ÏÏ's-ci intér ^SSenl .Profondément notre
\'1 8-CI ?" devra tenter de régler
Vie ,i(ÏUe Ct u:on°nnque. Sur ce point,
4ucun d°ute rio ~!"~ 'Suii- ce point.
il! Out -
dans 1 osprit du peuple
allemand. On comprend donc ce deslr d-ap-
~r.~P~tiy~,~ Possible quelles sont
J^tives a ef 11égociations et à quels
"^ripll0rits on "]n '™' «-atlcndre à la suite des
,l'elien Ma peut c°mPi'éhensible que soit
11"1 d'autn0
d la vertn part il est nécessaire de
fGrnfui(jer , de Patience et d'attendre
\ll'e S'" , .- e l'I'snllat qu'on puisse ré-
SifÎUo PUbl' lésoV Yl-n,t-'rét national. Une niu-
nt HJ'. *Cc0111Pagilement ne peut
iiirlre au 68 de négociations confi-
Stie,,^s Par mtn'e-(:ette recommandation
?Ubliq( e. Cette recommandation
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î/^r i ^ais eli esse a toute l'opinion
vuue ion pressP elie Vaut particulièrement
n'a Pas besoin de dire
'liSQb' P^ avam iCOns^nce de leur res-
en qUe 1 affaire est trop
h, 6tlt ail erïland n t UU ohjet de spéculation.
ti°Ur ,Gr s raisnn ÓVidentes, le gouverne-
^Ul rien «lire sur sa tac-
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J J et Sllr le Contenu des négociations.
-
fqut des q Ile détc^m-ces, f car l'opinion
'c*iass€ aux nouvelles
«
pourrait ainsi se trouver soumise à des in-
fluences étrangères et entraînée sur de fausses
voies. Lorsque les événements seront réalisés,
il y aura suffisamment occasion de discussion.
En attendant, le silence est le premier de-
voir des journalistes.
G £lL\LL\Lt, 31.10, matin.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA CONFERENCE DE LAUSANNE. -
UNE POLITIQUE FRANCO-BRITANNIQUE. - Bien
que l'ouverture de la conférence de Lau-
sanne reste fixée au 13 novembre, la crise
italienne, ainsi que la notre et que les ob-
jections de détail soulevées par les Turcs,
rendent très probable un léger ajourne-
ment. D'après nos informations, M. Mus-
solini, qui a pris provisoirement la direc-
tion de la Consulta, aurait l'intention de
nommer un ministre des Affaires étrangè-
res, mais le nombre des diplomates italiens
de carrière actuellement en fonctions et
possédant les tendances marquées vers le
nationalisme, qui sont une condition sine
qua non, est très limité. Sous ce rapport,
la démission du comte Sforza est aussi
significative qu'elle est peut-être coura-
geuse. U serait peut-être prématuré de
dire que les Turcs regretteront son absence
de la conférence de Lausanne. Il convient
d'attendre la publication des noms des dé-
légués italiens choisis par M. Mussolini,
avant de se laisser aller à un optimisme
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Cependant M. Stambouliski se réjouira de
l'invitation supplémentaire que lui ont
adressée les ministres à Sofia des puissan-
ces invitantes ; la Bulgarie, sans être ad-
mise sur un pied d'égalité absolue à la con-
férence de paix proprement dite. sera ad-
mise à faire valoir ses revendications rela-
tives à un débouché économique sur la mer
Egée. Il est à prévoir, toutefois, que la dé-
légation bulgare ne manquera pas de profi-
ter de l'occasion pour exposer le projet si
cher à M. Stambouliski. d'une Thrace au-
tonome ( comprenant à la fois la Thrace Oc-
cidentale et la Thrace Orientale), projet qui
n'est fait pour plaire ni aux Turcs, ni aux
voisins serbes et roumains de la Bulgarie.
Los fascistes italiens accorderont-ils à
M. Stambouliski l'appui promis par M.
Schanzer ? Ils ont toujours été bien dispo-
sés envers les « irréguliers » hongrois,
mais peut-être le communisme bulgare ré-
pugnera-t-il à l'esprit fasciste.
Pendant ce temps, des pourparlers offi-
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quelques mois par des dissentiments per-
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Grande-Bretagne, mais les dissentiments
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d'importants différends politiques, et si on
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Il se peut que, d'une part, les appels adres-
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l'état de l'opinion publique américaine fa- ,
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tique du gouvernement et du parlement
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capitulations, la protection des minorités et
même la question des Détroits.
LES INTÉRÊTS AMÉRICAINS. - Le principe
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et l'Italie, non seulement en vertu de l'accord
tripartite mais aux termes de leurs ac-
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et de mars 1922 respectivement.
L'ATTITUDE DE LA SUÈDE ET DE LA BELGIQUE.
- Mais ce n'est pas seulement l'Amérique
- dont l'exemple sera peut-être suivi par la
Hollande et par la Suède - qui demande
que ses intérêts économiques et la sécurité
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la conférence de Lausanne. Le gouverne-
ment belge, par exemple, vient de faire sa-
voir aux puissances invitantes que, en rai-
son des intérêts économiques très impor-
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il désire être représenté lorsque seront dis-
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merce et de douane, soit des problèmes ju-
ridiques se rapportant aux capitulations.
D'autre part, l'opinion catholique belge,
sous la direction du cardinal Mercier, in-
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