Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 octobre 1922 28 octobre 1922
Description : 1922/10/28 (T22,N2191). 1922/10/28 (T22,N2191).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252489t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
7
N° 2191
Samedi 28 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE, ALLEMANDE. - Les mémoires de
PUES TF'' 7 Les mémoires de
?u^aU'me i (Frank{urter Zeitung). -7
Les r*n montre politique
d'exécutiJl ^ns : contre la politique
fUng) i (Deutsche Allgemeine Zei-
~) ; les Prestations en nature (Vor-
K&rts)- 'Par^cipation française à l'in-
dustrie amerl'aii-de (Deutsche Tageszei-
tung).
de AMERICAINE. - Les accoros navals
d n (Nell) York American).
- Les OUvriers américains et les
Soviets russes : une interview de M.
JChitchérine (James G- King junior
dans New York Evening Post).
SSE ANGLAISP T
r et ANGLAISE. - Le cabinet Bonar Law
f et ^opinion française (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
ORIGINES
e:,. RESPONSABILITÉS
LI}s 1\h, DE LA GUERRE
0pINlON DE GUILLAUME II. -
Vai,ôiSnage rjpLvMAND.E' - Ce livre, comme
la pUl' ; mais ,-,efPrit de Guillaume, a une
l i> este f„, s sa seule valeur. Car tout
t'fïn'^eur faux. Faux l'exposé de ce que
flriOJce eUr a fait et voulu faire comme
t0 , n des fait 6 kaiser fausse la présen-
e 1011 alts SUr lesquels il écrit faux
où j* les ri'ïlî1 il Juge les peuples, les
1 fausse la pose par
d e se Présenter comme le domi-
T6 ^LONT^F®1 du monde dont la
ere volonté fut rendue vaine parce
Sf,Hriû is de constitutionnel il plia de-
If One d'au e Ses conseiUers. Cette note
cc»rL> rrnati0n plus faux que le livre est
affirmation !.8&tisme. Aujourd'hui en-
)l*e,1r se Gï[^ de quatre ans, l'ancien
après un exil de quatre ans, l'ancien
^c'ivAr!,11 est L'i pla.ce toujours au premier
j nt une e capable d'observer ob-
l-Q 1 Une p.ersonne ou une chose.
allgue de GUillaume II est d'une
°Ué atitude épanche son âme dans
r^'e nlTle est rhétori.cien moyennement
e ept Pl Ote et vide, le style de
n et °0rïiédie 0S^ ^J0111,8 théâtral.
'°rS(ÎUe T?' mais un mauvais comé-
i,rlq,,, P8Jr exemple il s'efforce, à
l'aide de clichés conventionnels pleins d'un
respect feint, de diminuer le talent politique
de Bismarck; il se met - comme souvent -
en contradiction si nette avec les faits que
son talent d'histrion apparaît comme un
bousillage. Déjà, dans la lettre de Guil-
laume à François-Joseph, publiée il y a
quatre ans, où Guillaume explique la
retraite de Bismark, on voyait qu'il n'était
pas vraiment un homme. Son télé-
gramme au grand-duc de Weimar où il se
déclare aussi peiné que s'il eût perdu son
grand-père pour la deuxième fois, révélait
le même style- Cella concorde avec ce que
M. Chirol, l'ancien correspondant du Times
à Berlin raconte : la mère de l'Empereur
Guillaume lui aurait dit : « qu'il ne pouvait
jamais dire la vérité, même à lui-même ».
Ce livre a montré au monde le « roi en
caleçon » qui lui a tant nui, et on ne com-
prend pas qu'il ne se soit pas trouvé dans
l'entourage de Guillaume un ami pour lui
conseiller le silence dans l'intérêt de sa
bonne renommée.
FRANKFURTER ZEITUNG, 26.10 soir.
——— ———
LES RÉPARATIONS
f
CONTRE LA POLITIQUE D'EXECUTION.
- PRESSE ALLEMANDE. - Chaque jour ap-
porte sur le marché des milliards nouveaux
de papier-monnaie. La dette du Reich s'ac-
croît d'heure en heure, la puissance d'achat
du mark faiblit. sans arrêt, la vie chère et
les misères qu'elle engendre font de plus en
plus sentir leur effet. Telles sont les consé-
quences immédiates de la politique d'exécu-
tion, et cependant le gouvernement exécute
de plus belle. Il achète devises sur devises
en vue des réparations, sans s'occuper de
l'effondrement du mark ; par son ordre, les
trains se succèdent sans interruption por-
tant notre charbon aux nations ennemies,
alors que l'Allemagne manque de combus-
tible. On livre aussi du bétail, du bois, des
machines, le tout au bénéfice de l'Entente,
sans autre souci des besoins de notre popu-
lation. C'est en vain qu'on cherche à résou-
dre l'énigme de cette politique. L'on se de-
mande même si nous allons poursuivre
l'exécution, sans but, et jusqu'à l'infini, avec
le vague espoir qu'un beau jour l'Entente
elle-même nous retiendra sur la pente en
nous disant : « C'est assez, vous êtes à bout
de forces ». On se souvient de ces paroles
énergiques : « Du pain, d'abord, les répa-
rations ensuite » ; imais c'est en vain que
l'on attend les actes. L'acceptation de l'ul-
timatum de Londres et la politique d'exé-
cution prise en soi peuvent jusqu'à un cer-
tain point se justifier. Il s'agissait en effet
de persuader au monde que les charges
qu'on voulait nous imposer étaient trop
lourdes pour nos forces véritables. En ce
sens, il faut inscrire au bénéfice de la poli-
tique d'exécution ce fait que chez nos enne-
mis mêmes l'opinion a changé à notre avan-
tage. Ce courant d'opinion nouveau se fit
sentir l'automne dernier à la suite de la
chute du mark, causée par l'exécution de
l'ultimatum de Londres. A ce moment, la
différence entre les prix en vigueur à l'in-
térieur de l'Allemagne et les prix du marché
mondial fut telle que l'industrie allemande
fit aux industries étrangères une concur-
rence que celles-ci jugèrent déplorable. En
même temps, l'Allemagne appauvrie cessait
de constituer un marché sur lequel les pro-
duits étrangers pussent s'écouler. Le résul-
tat de cet état de choses fut, chez nos adver-
saires mêmes, une profonde dépréciation
économique s'exprimant par le chômage
l'arrêt des exportations et la dépréciation
de leur monnaie. L'an dernier, à l'automne,
le gouvernement d'Empire aurait pu décla-
rer à bon droit : « Nous n'en pouvons faire
davantage ». Et, ce disant, il aurait dû en
finir une bonne fois avec la politique d'exé-
cution. Le moment eût été bien choisi, car à
cette époque l'étranger était sous l'impres-
sion de cette dépréciation du mark qu'il
n'aurait jamais prévue auparavant. Les cir-
constances politiques étaient également pour
nous ; car nos adversaires éprouvaient à
leurs dépens les conséquences funestes de
l'ultimatum. Naturellement, le gouverne-
ment allemand ne pouvait, pas s'attendre
que les hommes d'Etat ennemis fissent
d'eux-mêmes un acte de contrition., et pro-
cédassent à une revision des conditions
énoncées dans l'ultimatum. C'est pourquoi
il importait avant tout d'agir. Il se peut
qu'une telle attitude eût déterminé l'En-
tente à user de représailles militaires, c'eût
été vraisemblablement le cas pour la Fran-
ce, et encore est-il douteux que l'Angleterre
eût autorisé son alliée à s'assurer ainsi le
monopole du charbon sur le continent. Peut-
être aussi le refus de l'Allemagne eût-il été
le point de départ de nouvelles négociations
qui eussent abouti à une réduction des char-
ges des réparations.
En tout cas une chotsie était sûre : c'est
qu'une continuation de la politique d'exécu-
tion devait nous causer le plus grave pré-
judice. Le problème revenait donc à exami-
ner si les mesures d'ordre militaire prises
par l'Entente devaient avoir sur la valeur
de notre monnaie une influence plus fâ-
cheuse que celle qu'exerçait à la longue la
politique d'exécution sur les finances publi-
ques et sur 'la situation économique. Il eût
fallu aussi examiner si la politique d'exécu-
tion devait vraiment avoir pour effet de
détourner la France de ses buts impéria-
listes. Mais la politique d'exécution sans
fin, ni terme, sans autre perspective
7
N° 2191
Samedi 28 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE, ALLEMANDE. - Les mémoires de
PUES TF'' 7 Les mémoires de
?u^aU'me i (Frank{urter Zeitung). -7
Les r*n montre politique
d'exécutiJl ^ns : contre la politique
fUng) i (Deutsche Allgemeine Zei-
~) ; les Prestations en nature (Vor-
K&rts)- 'Par^cipation française à l'in-
dustrie amerl'aii-de (Deutsche Tageszei-
tung).
de AMERICAINE. - Les accoros navals
d n (Nell) York American).
- Les OUvriers américains et les
Soviets russes : une interview de M.
JChitchérine (James G- King junior
dans New York Evening Post).
SSE ANGLAISP T
r et ANGLAISE. - Le cabinet Bonar Law
f et ^opinion française (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
ORIGINES
e:,. RESPONSABILITÉS
LI}s 1\h, DE LA GUERRE
0pINlON DE GUILLAUME II. -
Vai,ôiSnage rjpLvMAND.E' - Ce livre, comme
la pUl' ; mais ,-,efPrit de Guillaume, a une
l i> este f„, s sa seule valeur. Car tout
t'fïn'^eur faux. Faux l'exposé de ce que
flriOJce eUr a fait et voulu faire comme
t0 , n des fait 6 kaiser fausse la présen-
e 1011 alts SUr lesquels il écrit faux
où j* les ri'ïlî1 il Juge les peuples, les
1 fausse la pose par
d e se Présenter comme le domi-
T6 ^LONT^F®1 du monde dont la
ere volonté fut rendue vaine parce
Sf,Hriû is de constitutionnel il plia de-
If One d'au e Ses conseiUers. Cette note
cc»rL> rrnati0n plus faux que le livre est
affirmation !.8&tisme. Aujourd'hui en-
)l*e,1r se Gï[^ de quatre ans, l'ancien
après un exil de quatre ans, l'ancien
^c'ivAr!,11 est L'i pla.ce toujours au premier
j nt une e capable d'observer ob-
l-Q 1 Une p.ersonne ou une chose.
allgue de GUillaume II est d'une
°Ué atitude épanche son âme dans
r^'e nlTle est rhétori.cien moyennement
e ept Pl Ote et vide, le style de
n et °0rïiédie 0S^ ^J0111,8 théâtral.
'°rS(ÎUe T?' mais un mauvais comé-
i,rlq,,, P8Jr exemple il s'efforce, à
l'aide de clichés conventionnels pleins d'un
respect feint, de diminuer le talent politique
de Bismarck; il se met - comme souvent -
en contradiction si nette avec les faits que
son talent d'histrion apparaît comme un
bousillage. Déjà, dans la lettre de Guil-
laume à François-Joseph, publiée il y a
quatre ans, où Guillaume explique la
retraite de Bismark, on voyait qu'il n'était
pas vraiment un homme. Son télé-
gramme au grand-duc de Weimar où il se
déclare aussi peiné que s'il eût perdu son
grand-père pour la deuxième fois, révélait
le même style- Cella concorde avec ce que
M. Chirol, l'ancien correspondant du Times
à Berlin raconte : la mère de l'Empereur
Guillaume lui aurait dit : « qu'il ne pouvait
jamais dire la vérité, même à lui-même ».
Ce livre a montré au monde le « roi en
caleçon » qui lui a tant nui, et on ne com-
prend pas qu'il ne se soit pas trouvé dans
l'entourage de Guillaume un ami pour lui
conseiller le silence dans l'intérêt de sa
bonne renommée.
FRANKFURTER ZEITUNG, 26.10 soir.
——— ———
LES RÉPARATIONS
f
CONTRE LA POLITIQUE D'EXECUTION.
- PRESSE ALLEMANDE. - Chaque jour ap-
porte sur le marché des milliards nouveaux
de papier-monnaie. La dette du Reich s'ac-
croît d'heure en heure, la puissance d'achat
du mark faiblit. sans arrêt, la vie chère et
les misères qu'elle engendre font de plus en
plus sentir leur effet. Telles sont les consé-
quences immédiates de la politique d'exécu-
tion, et cependant le gouvernement exécute
de plus belle. Il achète devises sur devises
en vue des réparations, sans s'occuper de
l'effondrement du mark ; par son ordre, les
trains se succèdent sans interruption por-
tant notre charbon aux nations ennemies,
alors que l'Allemagne manque de combus-
tible. On livre aussi du bétail, du bois, des
machines, le tout au bénéfice de l'Entente,
sans autre souci des besoins de notre popu-
lation. C'est en vain qu'on cherche à résou-
dre l'énigme de cette politique. L'on se de-
mande même si nous allons poursuivre
l'exécution, sans but, et jusqu'à l'infini, avec
le vague espoir qu'un beau jour l'Entente
elle-même nous retiendra sur la pente en
nous disant : « C'est assez, vous êtes à bout
de forces ». On se souvient de ces paroles
énergiques : « Du pain, d'abord, les répa-
rations ensuite » ; imais c'est en vain que
l'on attend les actes. L'acceptation de l'ul-
timatum de Londres et la politique d'exé-
cution prise en soi peuvent jusqu'à un cer-
tain point se justifier. Il s'agissait en effet
de persuader au monde que les charges
qu'on voulait nous imposer étaient trop
lourdes pour nos forces véritables. En ce
sens, il faut inscrire au bénéfice de la poli-
tique d'exécution ce fait que chez nos enne-
mis mêmes l'opinion a changé à notre avan-
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sentir l'automne dernier à la suite de la
chute du mark, causée par l'exécution de
l'ultimatum de Londres. A ce moment, la
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mondial fut telle que l'industrie allemande
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rence que celles-ci jugèrent déplorable. En
même temps, l'Allemagne appauvrie cessait
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duits étrangers pussent s'écouler. Le résul-
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saires mêmes, une profonde dépréciation
économique s'exprimant par le chômage
l'arrêt des exportations et la dépréciation
de leur monnaie. L'an dernier, à l'automne,
le gouvernement d'Empire aurait pu décla-
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davantage ». Et, ce disant, il aurait dû en
finir une bonne fois avec la politique d'exé-
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cette époque l'étranger était sous l'impres-
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n'aurait jamais prévue auparavant. Les cir-
constances politiques étaient également pour
nous ; car nos adversaires éprouvaient à
leurs dépens les conséquences funestes de
l'ultimatum. Naturellement, le gouverne-
ment allemand ne pouvait, pas s'attendre
que les hommes d'Etat ennemis fissent
d'eux-mêmes un acte de contrition., et pro-
cédassent à une revision des conditions
énoncées dans l'ultimatum. C'est pourquoi
il importait avant tout d'agir. Il se peut
qu'une telle attitude eût déterminé l'En-
tente à user de représailles militaires, c'eût
été vraisemblablement le cas pour la Fran-
ce, et encore est-il douteux que l'Angleterre
eût autorisé son alliée à s'assurer ainsi le
monopole du charbon sur le continent. Peut-
être aussi le refus de l'Allemagne eût-il été
le point de départ de nouvelles négociations
qui eussent abouti à une réduction des char-
ges des réparations.
En tout cas une chotsie était sûre : c'est
qu'une continuation de la politique d'exécu-
tion devait nous causer le plus grave pré-
judice. Le problème revenait donc à exami-
ner si les mesures d'ordre militaire prises
par l'Entente devaient avoir sur la valeur
de notre monnaie une influence plus fâ-
cheuse que celle qu'exerçait à la longue la
politique d'exécution sur les finances publi-
ques et sur 'la situation économique. Il eût
fallu aussi examiner si la politique d'exécu-
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