Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 octobre 1922 27 octobre 1922
Description : 1922/10/27 (T22,N2190). 1922/10/27 (T22,N2190).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252488d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
(h. DRs
PP!I1\ES I!TRANGÈRES
1
N° 2190
Vendredi 27 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PftESse Ai.r Ea -
Pa" 'Ll"'ANOE. - Les relations franco-
reitscheiH A et l'A llema,gne (Rudolf
OreJtscheid dans Vorwarts). - Les
prestatioIls en nature (Kolnische Zei-
lung).
p ES améRicaine - Les capitaux améri-
K s en Russie (Chicago Daily Tri-
de). r 8 Etats-Unis et l'Orient (W
"earst , anS New or'1 American).
b FIESSE ANGLAISE: - Lu Grande-Bretagne et
h es Détroits (Mo'ming Post).
lS« Les réparations : les pro-
- iets de >i„i
jets de règlement général (Meuse,
;\\™ration fip/, T Le cabinet Bonar Law
(Nation Belge, Indépendance Belge, Li-
Ire Belgique).
.c de .., La politique musul-
aIle de la France (Luis Araquistain
ans Sol) • i~
< ',e la rnosquéi>?6 de la première pierre
e la mOsquée de Paris (Sol).
"------ Paris (Sol).
POLITIQUE GENERALE
Er GRANDE"BRETAGNE
dî^ R £ i.a.m
QtItS tr FRANCO-BRITANNt-
SOCIAlIS - 7Îfî?AGNE- - UNE OPINION
de la. lslt.- - 7 sera la répercussion
NitiQie extérteurp H sur la
kn
~q~' ~rie~e~' de la GrandeBretagne ?
qS-' mfluera-t ï en Sur Attitude de l'An-
Nta l'An-
lie ? egard de la France et de l'Alle-
Ces jours derniers, ()ri a souvent pré,s-enté
les Ch ernlers on a Souvent pmsen e
arr*i. ÎI ''Allema QVec le départ du
^vait rep venait de perdre un
Qit ~~Mu ~6 que Lloyd George
traité de ^ersaiiio d'exécuter le
S avait en horreur les
eS Poin mCaré". Cet espoir vivait en
lui Qu& !a paix fi n ^ît par être rendue à
ition la Paixfrirait par être rendue à
^ti0n es'Seritieliû ai^ compte que la con-
êtq. Senrittii elle à la réalisation de son
(5t'' 'a l'evision de la politique fran-
^^tnpr.
!a'Se- lu f ^^UreiiRo/ ïllent,
lui Couronn ses efforts étaient
? -°8e ru S par le succès et ceux
- d e son. intervention quelque
jours ét et lsjf ur l'Allemagne ont tou-
n fs éu ^^cisif $z rl'A»emagne ont tou-
) ^'il ^Ver m en était la raison ?
observer devait aw n'était pas son maître
r égard aux conserva-
é|U'Se dSande^' mais ce n'est pas une
kH la°n s^if|sànnttf de sa dérobade et il
Il la. bon ander si la Politique qu'il suivait
A Londres, notamment dans les milieux
politiques bourgeois, on entend toujours dire
qu'il n'y a que deux routes à suivre pour
l'Angleterre : vivre en entretenant des rela-
tions supportables avec la France ou bien
s'abstenir, comme l'Amérique, d'interven-
tion dans les affaires européennes. Il n'y a
pas de troisième solution. Notamment on ne
peut songer à un conflit armé avec la
France, car l'opinion anglaise est unanime
à ce sujet : pas de guerre.
On reproche à Lloyd George de ne s'être
décidé pour aucun des deux termes de cette
alternative. Et non sans raison ! Il vou-
lait continuer à participer aux affaires du
continent, mais il ne sut pas s'entendre
avec la France. Il n'a pu réussir à influen-
cer la politique française dans un sens qui
lui fût favorable. A Paris, on avait l'impres-
sion d'être dupé et lésé par lui, et l'on
cherchait à faire échouer tout ce qui venait
de lui. Ainsi, non seulement il ne put rien
faire aboutir, mais encore il se vit toujours
forcé à reculer. Ses louvoiements perpé-
tuels aboutirent à un naufrage.
L'Angleterre a maintenant à choisir :
maintenir l'Entente plus ou moins cordiale
ou laisser l'Europe à elle-même.
Les deux solutions ont des partisans dans
tous les groupes et le Labour se montre
partisan de laisser les affaires européennes
à la Société des nations. Les événements
donneront la solution et la France commet-
trait une erreur fatale en se croyant sûre,
après le départ de Lloyd George, de l'appui
anglais pour tous ses désirs en Europe et
en Asie Mineure.
Quels avantages l'Allemagne peut-elle tirer de
la nouvelle situation ?
Tout d'abord, il est évident que rien ne
serait plus dangereux que de miser sur
l'un des deux chevaux : l'anglais ou le
français. J'ai entendu dire par un homme
qui joue un rôle important dans la politi-
que étrangère anglaise : « Ce serait terrible
de faire choisir l'Allemagne entre l'Angle-
terre et la France ». Cette personnalité re-
présentant, avec beaucoup d'autres, cette
idée que le mieux pour nous serait que
l'Angleterre vécût dans les meilleurs termes
avec la France, afin qu'elle pût exercer une
action plus efficace sur la politique de la
France envers l'Allemagne.
Ce succès, ajoutait-on, serait d'autant
plus probable qu'on ferait plus d'efforts du
côté allemand pour se rendre maître des
difficultés financières à l'intérieur et pour
arriver à un rapprochement économique
avec la France. L'Angleterre ne redoute
pas que ses intérêts en soient lésés.
Je ne me cache pas d'avoir eu l'idée que
l'isolement complet de l'Angleterre pourrait
nous servir en ce qu'il engagerait peut-être
les Français à nous faire des concessions
pour se gagner l'Allemagne. Mais à mon
avis, la première voie est la meilleure et
dans la faible mesure de nos moyens nous
devons contribuer à la faire adopter.
Au surplus, nous sommes condamnés à
l'attente. — Rudolf Breitscheid.
VORWAERTS, 23.10, soir.
—— Omo ———
LES RÉPARATIONS
LES PRESTATIONS EN NATURE. —
LES NÉGOCIATIONS LUBERSAC-STINNES. — D'Es-
sen, 25 octobre : Les nouvelles négociations
entre Stinnes et le marquis de Lubersac à
Berlin se sont poursuivies aussi cordiale-
ment que les premières. Le principal objet
de la discussion portait sur Les catégories
de matériel à livrer. Le groupe Stinnes
avait reçu des Français des listes énumé-
rant les matériaux désirés. Là dessus, les
Français ont examiné des échantillons et
pour cela sont venus à Essen. La question
de prix se trouve réglée par là même. On
espère approvisionner à bref délai les terri-
toires dévastés du nord de la France. Il est
faux qu'il y ait des divergences fondamen-
tales dans les négociations et que l'on ait
retardé l'application pratique de l'accord.
Est également fausse l'information parve-
nue de Berlin au Petit Parisien disant que
Lubersac serait revenu à Berlin pour négo-
cier, et que les accords entre Stinnes et Lu-
bersac seraient remis en question. Il est
évident qu'un accord de ce genre comporte
des difficultés de fond et de forme, mais
l'exécution du traité ne sera nullement re-
tardée par là.
KŒLNISCHE ZEITUNG, 25.10 soir.
LES PROJETS DE REGLEMENT GENE-
RAL. — PRESSE BELGE. — Le projet français,
que M. Barthou a présenté à la commission
des réparations ces jours derniers, a été
accueilli, chez nous, avec faveur par les mi-
lieux compétents, comme par M. Theunis et
la majorité de ses collaborateurs, dont MM.
Nerijean et Berryer.
Ce projet contient, en effet, d'excellentes
propositions et les principes qui en sont à
la base doivent être approuvés. On a l'im-
pression, en prenant connaissance du pro-
jet français, qu'on va, enfin, entrer dans la
voie des réalisations, les différents gouver-
nements alliés étant d'accord sur les buts à
atteindre.
MEUSE [de Liège], 26.10.
— La commission des réparations, dont
le plus grand souci est de durer et non
d'aboutir — ces messieurs touchent de plan-
tureuses indemnités en marks-or — va
faire, à Berlin, une enquête bien inutile.
Elle nous rapportera un nouveau projet boi-
(h. DRs
PP!I1\ES I!TRANGÈRES
1
N° 2190
Vendredi 27 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PftESse Ai.r Ea -
Pa" 'Ll"'ANOE. - Les relations franco-
reitscheiH A et l'A llema,gne (Rudolf
OreJtscheid dans Vorwarts). - Les
prestatioIls en nature (Kolnische Zei-
lung).
p ES améRicaine - Les capitaux améri-
K s en Russie (Chicago Daily Tri-
de). r 8 Etats-Unis et l'Orient (W
"earst , anS New or'1 American).
b FIESSE ANGLAISE: - Lu Grande-Bretagne et
h es Détroits (Mo'ming Post).
lS« Les réparations : les pro-
- iets de >i„i
jets de règlement général (Meuse,
;\\™ration fip/, T Le cabinet Bonar Law
(Nation Belge, Indépendance Belge, Li-
Ire Belgique).
.c de .., La politique musul-
aIle de la France (Luis Araquistain
ans Sol) • i~
< ',e la rnosquéi>?6 de la première pierre
e la mOsquée de Paris (Sol).
"------ Paris (Sol).
POLITIQUE GENERALE
Er GRANDE"BRETAGNE
dî^ R £ i.a.m
QtItS tr FRANCO-BRITANNt-
SOCIAlIS - 7Îfî?AGNE- - UNE OPINION
de la. lslt.- - 7 sera la répercussion
NitiQie extérteurp H sur la
kn
~q~' ~rie~e~' de la GrandeBretagne ?
qS-' mfluera-t ï en Sur Attitude de l'An-
Nta l'An-
lie ? egard de la France et de l'Alle-
Ces jours derniers, ()ri a souvent pré,s-enté
les Ch ernlers on a Souvent pmsen e
arr*i. ÎI ''Allema QVec le départ du
^vait rep venait de perdre un
Qit ~~Mu ~6 que Lloyd George
traité de ^ersaiiio d'exécuter le
S avait en horreur les
eS Poin mCaré". Cet espoir vivait en
lui Qu& !a paix fi n ^ît par être rendue à
ition la Paixfrirait par être rendue à
^ti0n es'Seritieliû ai^ compte que la con-
êtq. Senrittii elle à la réalisation de son
(5t'' 'a l'evision de la politique fran-
^^tnpr.
!a'Se- lu f ^^UreiiRo/ ïllent,
lui Couronn ses efforts étaient
? -°8e ru S par le succès et ceux
- d e son. intervention quelque
jours ét et lsjf ur l'Allemagne ont tou-
n fs éu ^^cisif $z rl'A»emagne ont tou-
) ^'il ^Ver m en était la raison ?
observer devait aw n'était pas son maître
r égard aux conserva-
é|U'Se dSande^' mais ce n'est pas une
kH la°n s^if|sànnttf de sa dérobade et il
Il la. bon ander si la Politique qu'il suivait
A Londres, notamment dans les milieux
politiques bourgeois, on entend toujours dire
qu'il n'y a que deux routes à suivre pour
l'Angleterre : vivre en entretenant des rela-
tions supportables avec la France ou bien
s'abstenir, comme l'Amérique, d'interven-
tion dans les affaires européennes. Il n'y a
pas de troisième solution. Notamment on ne
peut songer à un conflit armé avec la
France, car l'opinion anglaise est unanime
à ce sujet : pas de guerre.
On reproche à Lloyd George de ne s'être
décidé pour aucun des deux termes de cette
alternative. Et non sans raison ! Il vou-
lait continuer à participer aux affaires du
continent, mais il ne sut pas s'entendre
avec la France. Il n'a pu réussir à influen-
cer la politique française dans un sens qui
lui fût favorable. A Paris, on avait l'impres-
sion d'être dupé et lésé par lui, et l'on
cherchait à faire échouer tout ce qui venait
de lui. Ainsi, non seulement il ne put rien
faire aboutir, mais encore il se vit toujours
forcé à reculer. Ses louvoiements perpé-
tuels aboutirent à un naufrage.
L'Angleterre a maintenant à choisir :
maintenir l'Entente plus ou moins cordiale
ou laisser l'Europe à elle-même.
Les deux solutions ont des partisans dans
tous les groupes et le Labour se montre
partisan de laisser les affaires européennes
à la Société des nations. Les événements
donneront la solution et la France commet-
trait une erreur fatale en se croyant sûre,
après le départ de Lloyd George, de l'appui
anglais pour tous ses désirs en Europe et
en Asie Mineure.
Quels avantages l'Allemagne peut-elle tirer de
la nouvelle situation ?
Tout d'abord, il est évident que rien ne
serait plus dangereux que de miser sur
l'un des deux chevaux : l'anglais ou le
français. J'ai entendu dire par un homme
qui joue un rôle important dans la politi-
que étrangère anglaise : « Ce serait terrible
de faire choisir l'Allemagne entre l'Angle-
terre et la France ». Cette personnalité re-
présentant, avec beaucoup d'autres, cette
idée que le mieux pour nous serait que
l'Angleterre vécût dans les meilleurs termes
avec la France, afin qu'elle pût exercer une
action plus efficace sur la politique de la
France envers l'Allemagne.
Ce succès, ajoutait-on, serait d'autant
plus probable qu'on ferait plus d'efforts du
côté allemand pour se rendre maître des
difficultés financières à l'intérieur et pour
arriver à un rapprochement économique
avec la France. L'Angleterre ne redoute
pas que ses intérêts en soient lésés.
Je ne me cache pas d'avoir eu l'idée que
l'isolement complet de l'Angleterre pourrait
nous servir en ce qu'il engagerait peut-être
les Français à nous faire des concessions
pour se gagner l'Allemagne. Mais à mon
avis, la première voie est la meilleure et
dans la faible mesure de nos moyens nous
devons contribuer à la faire adopter.
Au surplus, nous sommes condamnés à
l'attente. — Rudolf Breitscheid.
VORWAERTS, 23.10, soir.
—— Omo ———
LES RÉPARATIONS
LES PRESTATIONS EN NATURE. —
LES NÉGOCIATIONS LUBERSAC-STINNES. — D'Es-
sen, 25 octobre : Les nouvelles négociations
entre Stinnes et le marquis de Lubersac à
Berlin se sont poursuivies aussi cordiale-
ment que les premières. Le principal objet
de la discussion portait sur Les catégories
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pour cela sont venus à Essen. La question
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espère approvisionner à bref délai les terri-
toires dévastés du nord de la France. Il est
faux qu'il y ait des divergences fondamen-
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Est également fausse l'information parve-
nue de Berlin au Petit Parisien disant que
Lubersac serait revenu à Berlin pour négo-
cier, et que les accords entre Stinnes et Lu-
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tardée par là.
KŒLNISCHE ZEITUNG, 25.10 soir.
LES PROJETS DE REGLEMENT GENE-
RAL. — PRESSE BELGE. — Le projet français,
que M. Barthou a présenté à la commission
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accueilli, chez nous, avec faveur par les mi-
lieux compétents, comme par M. Theunis et
la majorité de ses collaborateurs, dont MM.
Nerijean et Berryer.
Ce projet contient, en effet, d'excellentes
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la base doivent être approuvés. On a l'im-
pression, en prenant connaissance du pro-
jet français, qu'on va, enfin, entrer dans la
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MEUSE [de Liège], 26.10.
— La commission des réparations, dont
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