Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 octobre 1922 23 octobre 1922
Description : 1922/10/23 (T22,N2186). 1922/10/23 (T22,N2186).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252484r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
f' MIN, ST,ÈRE
DES
tPPAIQES hRANGÈRES
N° 2186
Lundi 23 octobre 1922.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
LANfE* - La démission du ca-
IOet Lin George (Frankfurter Zei-
tung, Zeit Ge'r¡nania Berliner Tage-
FTES>SE intérêts français en
ANGLAISE. - Les intèrèts françaIs en
Turquie un ménioranduffi de la Cham-
bre de ?rn'meroe française à Constan-
Dailu T J D.. H. Loch dans
tinopie lCaPltaine D. H. Loch dans
Telegraph). — Les répercussions
d'un. r3^Chernent éventuel franco-
i ^so-t{yai,!l Telegraph). - La dé-
QnClatlOn des aocortls italo-grecs pour
jt le I)off Olstériene unday Times, Daily Tele-
''ESse BEIGE — ra démission du cabinet
i Lloyc] George (Peuple, Soir, Journal de
liège) (I)eîiple, Soir, J Ô iirnai de
V ÏTAI
( PRESSE ITALIENNE - Un discours de M. NitU
°-"oZo)- - La dénonciation
cies aoco,rrl« lt,al°-S'X'ecs pour le Dodéca-
na, popolo d'Italia, Cor-
Here d'itati(l ; Koberto Forges Davan-
P 1 ùans Res ta del Carlino).
p del C~W~o ).
°yd Geo™ La démission du cabinet
,Wolksrecht, Journal de
n a*e^e le Lausanne, Basler
^Qchricht,>
le lten, Berner Tagblatt).
ï>0|^TlQfJK GENERALE
LÎIS PR°3HE ORIENT
Lus INTPTS FRANÇAIS EN TUR-
NM0RAXU(,M DE LA CHAMBRE
J?lME^CE NÇAISE DE CONSTANTINOPLE. -
Q DE CONSTANTINOPLE,.-
Coh0anLinop,ie 1L°ctob're : Il règne
fret" see l'agitation dans la colonie
tIfJfbbr e de P°° n!tantinoPle- Un grand
te e de résid
Ile¡'çaots resldents français et de com-
a-nts sont t r0S "'quiets au su j et de
^'U'°ri fuiurp que peut avoir sur leur
gOtl\'ern futu're la Politique turque du
eî(Prir^enient f ran^a^S' Ces inquiétudes,
^Ue danst iangage plus ener-
diD,.- qtle Conforme aux usages de la
e' »nt fni,
rné nt' fait récemment l'objet d'un
lvcll lldljr1 rédigé par le président de la
e, %com„"?"* française et approu-
Ss "e »u de/ excePtions près, par les
"re<î lorsque Ce fut une cons-
l0l;sque le haut com-
f Pl ais apprit ce qui se préparait
d'une source turque, paraît-il ; car les au-
teurs du document. en question avaient l'in-
tention de renvoyer au ministère du Com-
merce à Paris. Aussi s'est-on efforcé de
faire disparaître ce mémorandum, dont les
auteurs ont été sévèrement blàmés ; finale-
ment, un démenti a été inséré dans un jour-
nal français d'ici. Résolus, toutefois, à faire
connaître en France les vues des Français
établis à Constantinople, certains membres
de la colonie française se sont occupés d'ex-
pédier à Paris des copies du document.
Ces dissentiments intimes sont, d'ailleurs,
d'importance secondaire. Le côté véritable-
ment mtérossant de l'affaire est qu'elle té-
moigne du fait que la masse des Français
ayant des intérêts, commerciaux ou au-
tres à Constantinople, s'accorde pleinement
avec les Anglais d'ici quant aux effets cala-
miteux qui ne manqueront pas de se pro-
duire sur tous les goupements étrangers, si
satisfaction est donnée aux demandes ké-
malistes visant l'abolition des capitulations,
et si, en un mot, le traité de paix n'empê-
che pas, d'une manière générale, la réalisa-
tion de leurs ambitieux projets nationalis-
tes. Les extraits suivants du mémoran-
dum français que désapprouvent, dans les
milieux commerciaux et industriels fran-
çais, les seuls représentants de la haute fi-
nance, expriment très nettement ces ap-
préhensions; :
« Les Turcs se croyant aujourd'hui la
« plus grande puissance militaire du monde,
parce que l'armée grecque a. fui en désor
« dre devant eux, sont remplis d'un orgueil
« démesuré et prétendent dicter leurs con-
« ditions. La France et l'Italie ont procla-
« mé si ouvertement leur résolution de ne
« jamais se battre contre les Tures, qu'elles
« ont perdu tout prestige auprès de ce peu-
« ple belliqueux, dont elles s'aliènent le res-
« pect par leurs cajoleries. »
En parlant des capitulations, le document
déclare que, étant donnés le caractère et la
législation des Turcs, il est impossible aux
Européens de vivre en Turquie sans les ca-
pitulations et crue si elles sont abolies, tous
ceux qui défendent ici les intérêts de la
France devront quitter le paysi Après un
certain nombre de commentaires librement
exprimés au sujet des magistrats turcs, il
est déclaré que les garanties juridiques exis-
tantes doivent rester en vigueur jusqu'à ce
que des réformes aient été effectuées, met-
tons d'ici une Quinzaine d'années. Le para-
graphe suivant signale les dangers que pré-
senterait la restitution à la Turquie de son
entière liberté économique.
Les Turcs auraient l'intention d'imposer
des droits d'exportation très élevés sur les
matières premières, dont l'Angleterre et la
France sont les principaux acheteurs, et de
rendre la Turquie « sèche », ce qui serait
particulièrement nuisible aux intérêts de la
France. Si la « prohibition », telle qu'elle est
appliquée déjà en Asie Mineure, était éten-
due à la Turque d'Europe, il en résulterait
pour le commerce des vins de France une
perte annuelle d'environ 15 millions de
francs. Après avoir fait observer que si la
Frapee est aujourd'hui la meilleure amie de
la Turquie, cette amitié peut parfaitement
se porter ailleurs demain, le document con-
clut ainsi :
« On ne saurait se fier à des assurances
«verbales, même lorsqu'elles débordent de
« bons sentiments. Il faut obtenir des do-
« cuments écrits et d'un caractère précis.
« Mais même si tous les buts que nous pré-
« conisons sont atteints, l'avenir économi-
« que de la France en Turquie s'annonce
« sous les couleurs les plus sombres. »
Il n'y a guère lieu d'être surpris qu'un
mémorandum exprimant' des sentiments
aussi peu orthodoxes ne soit pas pour plaire
aux milieux officiels français, mais on croit
savoir qii'îl s'en' prépare un nouveau qui
serait, cette fois, envoyé à M. Poincaré. —
(Du capitaine D. H. Loch.)
DAILY TELEGRAPH, 20.10.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE, — LES RÉPERCUSSIONS D'UN ÉVENTUEL
RAPPROCHEMENT FRANCO-HUSSO-TUHC, — La
dernière suggestion émanant de Paris au
sujet de, la conférence du Proche Orient
propose que celle-ci se réunisse à Lugano
dans la première quinzaine de novembre. Il
tombe sous le sens, toutefois, qu'un ajour-
nement sera plus nécessaire encore qu'au-
paravant, en raison de la crise ministé-
rielle qui s'est produite en Angleterre et qui
pourrait bien, dans les circonstances ac-
tuelles, modifier jusqu'à un certain point la
politique étrangère suivie jusqu'ici dans le
Proche Orient et dans nos relations géné-
rales avec le continent. Toujours est-il que
de toute façon la politique étrangère britan-
nique devra être définie à nouveau quel que
soit le nouveau premier ministre. En ce qui
concerne M. Boriar Law, on a déjà reçu, par
sa lettre, quelque indication sur l'orienta-
tion probable de cette politique sous sa
direction. Mais tant parmi les conserva-
teurs que parmi les libéraux, il y a des
courants contraires marquant ctez les uns
comme chez les autres soit une tendance
vers une coopération plus étroite avec l'Eu-
rope et la tendance opposée qui les porte à
éviter de se laisser mêler aux querelles du
continent et à concentrer leur attention sur
les affaires et les intérêts de l'Empire de
l'Amérique et du Proche Orient, plutôt que
sur les affaires européennes.
Mais que la liquidation de la crise orien-
.tale soit ou ne soit pas considérée par le
prochain gouvernement. comme annonçant la
fin d'une époquealiplomatique, il faut espé-
rer que nous aurons comme représentants-
DES
tPPAIQES hRANGÈRES
N° 2186
Lundi 23 octobre 1922.
bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
LANfE* - La démission du ca-
IOet Lin George (Frankfurter Zei-
tung, Zeit Ge'r¡nania Berliner Tage-
FTES>SE intérêts français en
ANGLAISE. - Les intèrèts françaIs en
Turquie un ménioranduffi de la Cham-
bre de ?rn'meroe française à Constan-
Dailu T J D.. H. Loch dans
tinopie lCaPltaine D. H. Loch dans
Telegraph). — Les répercussions
d'un. r3^Chernent éventuel franco-
i ^so-t{yai,!l Telegraph). - La dé-
QnClatlOn des aocortls italo-grecs pour
jt le I)o
''ESse BEIGE — ra démission du cabinet
i Lloyc] George (Peuple, Soir, Journal de
liège) (I)eîiple, Soir, J Ô iirnai de
V ÏTAI
( PRESSE ITALIENNE - Un discours de M. NitU
°-"oZo)- - La dénonciation
cies aoco,rrl« lt,al°-S'X'ecs pour le Dodéca-
na, popolo d'Italia, Cor-
Here d'itati(l ; Koberto Forges Davan-
P 1 ùans Res ta del Carlino).
p del C~W~o ).
°yd Geo™ La démission du cabinet
,Wolksrecht, Journal de
n a*e^e le Lausanne, Basler
^Qchricht,>
le lten, Berner Tagblatt).
ï>0|^TlQfJK GENERALE
LÎIS PR°3HE ORIENT
Lus INTPTS FRANÇAIS EN TUR-
NM0RAXU(,M DE LA CHAMBRE
J?lME^CE NÇAISE DE CONSTANTINOPLE. -
Q DE CONSTANTINOPLE,.-
Coh0anLinop,ie 1L°ctob're : Il règne
fret" see l'agitation dans la colonie
tIfJfbbr e de P°° n!tantinoPle- Un grand
te e de résid
Ile¡'çaots resldents français et de com-
a-nts sont t r0S "'quiets au su j et de
^'U'°ri fuiurp que peut avoir sur leur
gOtl\'ern futu're la Politique turque du
eî(Prir^enient f ran^a^S' Ces inquiétudes,
^Ue danst iangage plus ener-
diD,.- qtle Conforme aux usages de la
e' »nt fni,
rné nt' fait récemment l'objet d'un
lvcll lldljr1 rédigé par le président de la
e, %com„"?"* française et approu-
Ss "e »u de/ excePtions près, par les
"re<î lorsque Ce fut une cons-
l0l;sque le haut com-
f Pl ais apprit ce qui se préparait
d'une source turque, paraît-il ; car les au-
teurs du document. en question avaient l'in-
tention de renvoyer au ministère du Com-
merce à Paris. Aussi s'est-on efforcé de
faire disparaître ce mémorandum, dont les
auteurs ont été sévèrement blàmés ; finale-
ment, un démenti a été inséré dans un jour-
nal français d'ici. Résolus, toutefois, à faire
connaître en France les vues des Français
établis à Constantinople, certains membres
de la colonie française se sont occupés d'ex-
pédier à Paris des copies du document.
Ces dissentiments intimes sont, d'ailleurs,
d'importance secondaire. Le côté véritable-
ment mtérossant de l'affaire est qu'elle té-
moigne du fait que la masse des Français
ayant des intérêts, commerciaux ou au-
tres à Constantinople, s'accorde pleinement
avec les Anglais d'ici quant aux effets cala-
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duire sur tous les goupements étrangers, si
satisfaction est donnée aux demandes ké-
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et si, en un mot, le traité de paix n'empê-
che pas, d'une manière générale, la réalisa-
tion de leurs ambitieux projets nationalis-
tes. Les extraits suivants du mémoran-
dum français que désapprouvent, dans les
milieux commerciaux et industriels fran-
çais, les seuls représentants de la haute fi-
nance, expriment très nettement ces ap-
préhensions; :
« Les Turcs se croyant aujourd'hui la
« plus grande puissance militaire du monde,
parce que l'armée grecque a. fui en désor
« dre devant eux, sont remplis d'un orgueil
« démesuré et prétendent dicter leurs con-
« ditions. La France et l'Italie ont procla-
« mé si ouvertement leur résolution de ne
« jamais se battre contre les Tures, qu'elles
« ont perdu tout prestige auprès de ce peu-
« ple belliqueux, dont elles s'aliènent le res-
« pect par leurs cajoleries. »
En parlant des capitulations, le document
déclare que, étant donnés le caractère et la
législation des Turcs, il est impossible aux
Européens de vivre en Turquie sans les ca-
pitulations et crue si elles sont abolies, tous
ceux qui défendent ici les intérêts de la
France devront quitter le paysi Après un
certain nombre de commentaires librement
exprimés au sujet des magistrats turcs, il
est déclaré que les garanties juridiques exis-
tantes doivent rester en vigueur jusqu'à ce
que des réformes aient été effectuées, met-
tons d'ici une Quinzaine d'années. Le para-
graphe suivant signale les dangers que pré-
senterait la restitution à la Turquie de son
entière liberté économique.
Les Turcs auraient l'intention d'imposer
des droits d'exportation très élevés sur les
matières premières, dont l'Angleterre et la
France sont les principaux acheteurs, et de
rendre la Turquie « sèche », ce qui serait
particulièrement nuisible aux intérêts de la
France. Si la « prohibition », telle qu'elle est
appliquée déjà en Asie Mineure, était éten-
due à la Turque d'Europe, il en résulterait
pour le commerce des vins de France une
perte annuelle d'environ 15 millions de
francs. Après avoir fait observer que si la
Frapee est aujourd'hui la meilleure amie de
la Turquie, cette amitié peut parfaitement
se porter ailleurs demain, le document con-
clut ainsi :
« On ne saurait se fier à des assurances
«verbales, même lorsqu'elles débordent de
« bons sentiments. Il faut obtenir des do-
« cuments écrits et d'un caractère précis.
« Mais même si tous les buts que nous pré-
« conisons sont atteints, l'avenir économi-
« que de la France en Turquie s'annonce
« sous les couleurs les plus sombres. »
Il n'y a guère lieu d'être surpris qu'un
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aux milieux officiels français, mais on croit
savoir qii'îl s'en' prépare un nouveau qui
serait, cette fois, envoyé à M. Poincaré. —
(Du capitaine D. H. Loch.)
DAILY TELEGRAPH, 20.10.
L'ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETA-
GNE, — LES RÉPERCUSSIONS D'UN ÉVENTUEL
RAPPROCHEMENT FRANCO-HUSSO-TUHC, — La
dernière suggestion émanant de Paris au
sujet de, la conférence du Proche Orient
propose que celle-ci se réunisse à Lugano
dans la première quinzaine de novembre. Il
tombe sous le sens, toutefois, qu'un ajour-
nement sera plus nécessaire encore qu'au-
paravant, en raison de la crise ministé-
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pourrait bien, dans les circonstances ac-
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politique étrangère suivie jusqu'ici dans le
Proche Orient et dans nos relations géné-
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de toute façon la politique étrangère britan-
nique devra être définie à nouveau quel que
soit le nouveau premier ministre. En ce qui
concerne M. Boriar Law, on a déjà reçu, par
sa lettre, quelque indication sur l'orienta-
tion probable de cette politique sous sa
direction. Mais tant parmi les conserva-
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les affaires et les intérêts de l'Empire de
l'Amérique et du Proche Orient, plutôt que
sur les affaires européennes.
Mais que la liquidation de la crise orien-
.tale soit ou ne soit pas considérée par le
prochain gouvernement. comme annonçant la
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