Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 octobre 1922 21 octobre 1922
Description : 1922/10/21 (T22,N2185). 1922/10/21 (T22,N2185).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252483b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÊIIE
tpj)., DES
ÉTRANGÈRES
N° 2185
Samedi 21 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
SOMMAIRE
EfXr)E' - Le voyage de M. Her-
l'lot enR 0 h T
Yes:.eitung).' - La démission du cabi-
net Llovri r eoi'"e {Kôlnische Volkszei-
tunq KOlnische Zeitung).
PrlF:SSF: 6 Zeitung).
-'. , AMEIUCAI:'-IE. - Les mômoires de
G ulllatl"'lle Il (New York Tribune). -
r,ibun^ -
If Nantie • marine rnar-
- ""e probesrtation des airma-
linis (YVashington Post). — Les Etats"
alfaires fd'Orient (Boston
l » Etentng TranscriPt).
VssE •,
V avant Le Proche Orient :
eren-Ce die la paix (Man-
Rester r /a , les divergences
^9Jico-hritoan^ l°s divergences£
- - a dé-
y George (Daily Chro-
n'c,e, Mnrm]° Pas t, Daily Telegraph,
• llailll Express, P M News). - Laoom-
J0sition du fulur cabinet britannique
estrninsterG Cal:)inet britannique
OLITIQUE genekale
ORIGINES
El RESPO,\|SAB1L|TÉS
Lîs r.tEl\1 DE LA GUERRE
1 ,CIRES DE GUILLAUME II. -
'- la Guerre f. (( LE PROFITEUR DE DOORN ».
!>0(UR , §uerre fn t
Une calamité mondiale
génér-fitir,^ prés'ente ; elle a tué des
s û' h orrirrin ,
d10-rnrnes elle a répandu la mi"
•taPw î les indivfn T et les nations, elle a
lritl°cen 6s b°ns el t les mauvais. Mais les
Qui nn Offert éprouveraient
il\,,, , une Cpri satisfaction si le t
fvait VOUI cer aIne satisfaction SI le sor
f.l tro.[J'e'd' U Que ceux dies responsables de
IQ ^e de iqi des responsables de
e ^u9;ruTn'punis-p,us
t les autres. La justice,
t. tlS¡ ]le la justice poétique aurait
^«o>aPpelle M' Justice poétique aurait
î> « i^^nique » sa PUIssance; mais la jus-
jn.1,0e « TvvAf^ ve souvent, hélas!
Nr i]p ® j^i^r JUe » et il en est ainsi
tu Ph ne est a 111 SI
CUn '10mme ne supporte
th^its
th 0llrd farrio rn-rnis de plus soff-nb!res
î1 h(>n,rïle n'a aU responsabilité, au-
i^U r, • de plus sombres
il criminel n'a nullle-
Qnci s'est Soustrait au paiement
*oiSe$ollQ Ieq!Ue 16 pklS hu'mble
eVebu s SUjets dOit supporter et il
~t Hri^' Sllr le terrain littéraire, le plus
grand profiteur de la guerre ! Dans un
traité que l'Allemagne, elle-même, a signé,
Guillaume Hohenzollern est accusé d'avoir
commis « une suprême offense contre la
moralité internationale et l'inviolabilité des
traités » ; il devait être jugé, on devait lui
rappeler les nombreux actes criminels qu'il
a commis, en tant que seigneur de la guerre
en Allemagne ; or, il n'a pas été jugé, il
est au contraire dans un luxueux exil en
Hollande, après avoir réussi, lui, l'homme
le plus riche de l'Allemagne, l'homme qui
a voulu la guerre, à emporter ses riches-
ses bien avant que le mark ait effectué ses
derniers bonds. Il a sauvé sa propre for-
tune et il a laissé à Ebert le soin de payer
les dettes allemandes.
Qu'il ait pu trouver un abri pour sa per-
sonne et ses biens ; qu'il ait pu échapper à
la justice et se libérer, par la fuite, du far-
deau de l'impôt et qu'il puisse maintenant
recevoir une « commission » qui dépasse
toutes celles qui ont été accordées jusqu'à
présent aux auteurs « à la mode », « com-
mission » qui lui est payée, ne l'oublions
pas, au cours du dollar, voilà, en vérité,
le plus lamentable déni de justice que l'on
connaisse! Lloyd George a l'intention de
donner le produit de la vente de ses mé-
moires aux œuvres de charité ; mais Guil-
laume, lui, s'emparera de la recette jus-
qu'au dernier sou et il est probaole que
les Etats-Unis, l'Angleterre ou la France
ne recevront pas un centime à titre de aie-
ment des dettes allemandes.
La route est pénible pour ceux qui com-
mettent des méfaits, ont dit les plus grands
écrivains ; mais le kaiser a trouvé le moyen
de tirer un bénéfice de ses crimes, et l'on
éprouve un véritable sentiment de colère et
de dégoût, quand on songe que ceux aux-
quels sa « suprême offense » a causé '('os
pires souffrances ne pourront même joint
revendiquer une part « de la recette .i en
paiement des dommages causés pu: dr-s
crimes demeurés impunis ! - (Ed.)
NEW ,YORK TRIBUNE, >7.9.
——— ———
LES ÉVÉNEMENTS DE RUSSIE
LE VOYAGE DE M. HERRIOT. —
PRESSE ALLEMANDE. - L'agitation causée par
la conclusion de l'accord de Rapallo ne fut,
on le sait. nulle part plus considérable qu'à
Paris et dans les milieux de la. délégation
française à Gênes. Par tons les moyens on
essaya de noircir la politique allemande et,
comme le .crime commis par la délégation
allemande ne semblait pas suffisant, des
journalistes fantaisistes inventèrent des
conventions miltaires et politiques secrètes,
conclues, prétendait-on, sous le couvert de
l'accord économique de Rapallo. Nous vou-
lons croire que la presse anglaise était de
benne foi en prenant au sérieux l'agitation
faite par Paris. Le voyage d'Herriot en
Russie semble pourtant avoir ouvert peu à
peu les yeux aux Anglais sur la tactique
inaugurée par la politique française en
Orient, d'autant que l'échec d'Urquhart,
dans son effort pour obtenir des concessions
en faveur des grandes firmes anglaises in-
téressées au commerce avec la Russie, a
coïncidé avec la mission du maire de Lyon.
En outre, la politique parallèle du Quai
d'Orsay à l'égard des kemalistes et des bol-
cheviks n'a pas pu passer inaperçue à
Londres.
On comprend d'autant mieux l'agitation
que provoque cette politique dans l'opinion
publique anglaise, que l'assurance donnée
par la France sur le caractère purement
privé au voyage d'Herriot paraît de plus en
plus invraisemblable.
Le revirement très net qui s'est manifesté
dans la presse gouvernementale de Paris à
l'égard des bolcheviks a dû éclairer
Londres, de même que certaines déclara-
tions faites par Herriot à des représentants
de la presse à Varsovie. Il a bien affirmé
qu'il ne pouvait provisoirement s'agir pour
la France de la reconnaissance. de jure de
la Russie des soviets, mais unique'lrienf\:le
renouer des relations intelleotuelles et éco-
nomiques ; pourtant il déclarait aussitôt que
la France devait entretenir une délégation à
Moscou et que la Russie des soviets devait
avoir des représentants à Paris : cela con-
duirait à aplanir les différends subsistant
actuellement entre la France et la Russie
des soviets. Une information qui nous
arrive de la capitale tchèque, où Herriot
passa à son retour, prétend qu'on, envisage-
rait l'envoi du marquis de Lubersac comme
représentant officiel de la France à Moscou.
De toutes façons, l'attitude de la France in-
dique suffisamment qu'on est disposé à
Paris à évincer l'allié britannique non seu-
lement dans le domaine économique, mais
aussi dans le domaine politique.
La politique française travaille aujour-
d'hui ouvertement à isoler l'Angleterre, et
l'Angleterre se trouve ainsi payée d'avoir
aveuglément employé toute sa puissance,
durant la guerre mondiale, à détruire l'équi-
libre européen et à établir l'hégémonie de la
France sur le continent.
GERMANIA, 18.10, soir.
« LE RAPPROCHEMENT FRANCO-RUSSE H rsous
ce titre]. - De Moscou, 18 octobre : La
presse russe publie quotidiennement des in-
formations sur le revirement de l'opinion
publique en France en faveur de la Russie,
informations surmontées de grandes man-
chettes : » Le rapprochement qui vient ». -
tpj)., DES
ÉTRANGÈRES
N° 2185
Samedi 21 octobre 1922.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque
SOMMAIRE
EfXr)E' - Le voyage de M. Her-
l'lot enR 0 h T
net Llovri r eoi'"e {Kôlnische Volkszei-
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PrlF:SSF: 6 Zeitung).
-'. , AMEIUCAI:'-IE. - Les mômoires de
G ulllatl"'lle Il (New York Tribune). -
r,ibun^ -
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VssE •,
V avant Le Proche Orient :
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Rester r /a , les divergences
^9Jico-hritoan^ l°s divergences£
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J0sition du fulur cabinet britannique
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ORIGINES
El RESPO,\|SAB1L|TÉS
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fvait VOUI cer aIne satisfaction SI le sor
f.l tro.[J'e'd' U Que ceux dies responsables de
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jn.1,0e « TvvAf^ ve souvent, hélas!
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moralité internationale et l'inviolabilité des
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en Allemagne ; or, il n'a pas été jugé, il
est au contraire dans un luxueux exil en
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le plus riche de l'Allemagne, l'homme qui
a voulu la guerre, à emporter ses riches-
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Qu'il ait pu trouver un abri pour sa per-
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présent aux auteurs « à la mode », « com-
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le plus lamentable déni de justice que l'on
connaisse! Lloyd George a l'intention de
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moires aux œuvres de charité ; mais Guil-
laume, lui, s'emparera de la recette jus-
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les Etats-Unis, l'Angleterre ou la France
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NEW ,YORK TRIBUNE, >7.9.
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En outre, la politique parallèle du Quai
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On comprend d'autant mieux l'agitation
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De toutes façons, l'attitude de la France in-
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aussi dans le domaine politique.
La politique française travaille aujour-
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GERMANIA, 18.10, soir.
« LE RAPPROCHEMENT FRANCO-RUSSE H rsous
ce titre]. - De Moscou, 18 octobre : La
presse russe publie quotidiennement des in-
formations sur le revirement de l'opinion
publique en France en faveur de la Russie,
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