Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 octobre 1922 18 octobre 1922
Description : 1922/10/18 (T22,N2182). 1922/10/18 (T22,N2182).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524803
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MLNLSTÈRE
DI&S
PFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2182
Mercredi 18 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
f>nEssI>
— Prestations en na-
ture (AH red Lansburgh dans Bank).
Le mont.ant des réparations : un
Prieur de D • Koester, ministre de l'in-
térieur du Reich (Frankfurter Zeitung).
PRESSE - Le projet Bradbury
ESE ANGLAIsE. - Le proje Bradbury
(m anchesteî, Guardian, Daily News). -
incident de Tchanak (Daily Tele-
araph). - L'échec de l'accord Krassine-
Urqhart (Daily Chronicle, Daily Tele-
graph, lVestminster Gazette).
M
SE HOLLANDAISE. - Le discours de M.
Lloyd George à :\lanchBster (Algemeen
Handelsblad). Manchester (Algemeen
'--'----
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
?PiNi°N PU,STATIONS EN NATURE. -
leUr d ALLEMANDE. — M. Landburgh, direc-
sidèr e la revue financière Die Bank, con-
tY¡ag;e comme dangereux pour l'Alle-
au SU' ies accords passés avec la France
au let des prestations en nature :
Du po.
bll p de Vue de l'économie nationale
t d e, i faut déplorer que l'accord
^ile devxr lest»aden soit devenu un ins-
Urgent
truxnent Utilisable pour les réparations,
larlt que le 'dO'vOir de réparation allemand
(j,.Pistait en une chaîne ininterrompue
^^rtanfo ^f^ements en argent, il était
éviden t Ponr. tout économiste capable de
br que la charge des réparations
oref oUr le moins et dans un délai assez
bref aJllé des emprunts à long
trme. ï gee par des les paiements en
devaî donné que les paiements en
év aboutir à inonder le mar-
chi^ ^^dial H denrées allemandes, il était
en etit que î grands Etats commerçants
en qUe i Stands Etats commerçants
*
eti eusserlt rédclmé la cessation, même au
sacHfi s importants de la part des
cra^cierg j re, Parations. La faute extraor-
dinaire \.le reparatipns. La faute extraar-
cord de aconsisté en ceci, que par l'ac-
erjrd de Wiesbaden l'Allemagne a montré
à ~es P 2p é&n'c"ers le moyen par lequel un
Pay? ^eut na yer des sommes importantes
iws §êner ceux: qui encaissent ces som-
tnes,Ilonplus que le marché mondial. Par
cha ^eich a affranchi ses adversaires de
t. ;¡
ïii 0ssité d'incliner à une réduction des
alleim andes dans leur propre inté-
rêt, c'est-à-dire qu'il s'est fermé à lui-même
pour un temps indéterminé la porte de sor-
tie des réparations.
Les accords ultérieurs des 2 et 3 juin
1922 n'ont pas réparé cette faute capitale
de Wiesbaden, au contraire ils l'ont en-
core aggravée en écartant les pierres qui
rendraient encore impraticable le mauvais
chemin tracé par Rathenau-Loucheur.
Une conséquence désastreuse des livrai-
sons en nature consiste en ceci que ces
livraisons sont un coin enfoncé en Alle-
magne même entre les intérêts publics et
privés, entre le Reich et l'entreprise. Plus
le programme des prestations en nature se
réalisera, plus les industriels allemands ga-
gneront ; leurs possibilités de rendement
croissent considérablement et ils évitent
les inconvénients d'une lutte de concur-
rence sur un marché libre comme il arri-
verait dans le cas d'un programme de
prestations en argent réalisable au moyen
d'impôts et d'emprunts. Par contre, le
Reich doit payer d'autant plus que les in-
dustriels livrent davantage sur la base de
l'accord des prestations en nature et que les
prix conclus entre eux et leurs clients mon-
tent. Tandis que, dans le cas des paiements
en argent, les prix sont dictés par le mar-
ché mondial sur lequel les industriels doi-
vent lutter pour écouler leur marchandise,
dans le cas des livraisons en nature ces
prix, qui sont fixés d'après les prix du
pays réceptionnaire, dépassent presque ré-
gulièrement les prix du marché mondial.
De cette façon, tout avantage de l'industrie
se transforme en une charge pour la masse
qui éprouve encore un désavantage plus
considérable de ce point de vue plus élevé :
le seul bon côté des réparations, à savoir
que l'entreprise allemande devrait lutter
sur le marché mondial et tenter de produire
Je plus possible, disparaît du moment où
l'industriel allemand est assuré, par un
accord commode, de gains aisés sans être
contraint à des améliorations de méthode
ou à une exploitation intensive.
C'est pourquoi l'Angleterre, principal
concurrent de l'Allemagne sur le marché
mondial, a pu dire, ne songeant qu'à son
avantage du moment, qu'elle ne voyait au-
cune atteinte à ses intérêts dans l'accord
franco-allemand sur les réparations en na-
ture.
Après ces critiques générales sur la politique
des réparations en nature, M. Lansburgh
aborde l'étude de l'accord Lubersac-Stinnes en
hn-même.
La stipulation du traité fixant que les
prix pour, les livraisons allemandes se-
ront payables en francs français a une im-
portance considérable et est pleine de dan-
gers. En effet, du côté allemand, pendant
toute la durée du traité on aura intérêt à
ce que le franc soit au plus haut et par
conséquent que le crédit allemand soit au
plus bas. Il faut compter que certains in-
dustriels français pour qui les livraisons
allemandes constituent une concurrence
indésirable feront de temps en temps des
offres à des prix assez bas pour évincer les
offres alliemandes. Ces tentatives en vue de
saboter les livraisons en nature de l'Alle-
magne auront d'autant plus de chances de
réussir que le franc sera plus bas par
rapport au mark ; elles seront au contraire
inefficaces si le franc monte. Ainsi, l'ac-
cord constitue un encouragement à tous les
efforts destinés à relever la monnaie fran-
çaise. et à abaisser la monnaie allemande.
Mais il ne suffit pas que les industriels
allemands aient un intérêt durable à un
nivéau bas de la valeur du mark sur le
marché monétaire mondial. Il y a plus ; a
est encore de leur avantage que la va-
leur de la monnaie allemande ne cesse de
s'effondrer, quelque bas que soit le niveau
déjà atteint. Etant donné, en effet, que le
bénéfice des industriels consiste en la dif-
férence entre leurs dépenses en marks et
leur gain en francs, leur bénéfice est d'au-
tant plus grand qu'ils dépensent moins en
achat de matériaux, salaires, etc. Tout
nouvel ébranlement du crédit allemand a
donc pour conséquence d'agrandir la marge
entre le coût de production en marks et le
gain encaissé en fraincs, tandis que toute
amélioration du mark produit l'effet con-
traire, c'est-à-dire réduit le gain de l'in-
dustriel allemand qui effectue les livrais-
sons ou même rend les livraisons impos-
sibles. - Alfred Lansburgh.
DIE BANK, octobre.
LE MONTANT DES REPARATIONS. —
UN EXPOSÉ DE M. KOESTER, MINISTRE DE L'IN-
TÉRIEUR DU REICH. - (Agence Wolff). —
Le ministre de l'Intérieur du Reich. Dr Koes-
ter, a présenté au Club pour le commerce,
l'industrie et la science un exposé auquel
il a donné ce titre : « Notre droit ».
Il s'est élevé résolument contre l'opinion
professée par la plupart des Allemands et
selon laquelle on devrait parler le moins
possible des bases juridiques du traité de
Versailles. Cette conception reposerait sur
la méconnaissance de l'histoire des négocia-
tions d'armistice et de paix. De là viendrait
aussi qu'en Allemagne on a si mal su se
servir, en politique, du programme Wilson.
Ce qui serait déjà très regrettable parce
que ce programme américain avait été ré-
clamé par le gouvernement allemand et
accepté par les alliés comme base des né-
gociations de paix et parce que cette exi-
gence eût constitué à cette époque une poli-
tique habile et juste qui devrait être pour-
suivie maintenant. Mais ce manque de com-
préhension touchant l'importance des bases
DI&S
PFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2182
Mercredi 18 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
f>nEssI>
— Prestations en na-
ture (AH red Lansburgh dans Bank).
Le mont.ant des réparations : un
Prieur de D • Koester, ministre de l'in-
térieur du Reich (Frankfurter Zeitung).
PRESSE - Le projet Bradbury
ESE ANGLAIsE. - Le proje Bradbury
(m anchesteî, Guardian, Daily News). -
incident de Tchanak (Daily Tele-
araph). - L'échec de l'accord Krassine-
Urqhart (Daily Chronicle, Daily Tele-
graph, lVestminster Gazette).
M
SE HOLLANDAISE. - Le discours de M.
Lloyd George à :\lanchBster (Algemeen
Handelsblad). Manchester (Algemeen
'--'----
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
?PiNi°N PU,STATIONS EN NATURE. -
leUr d ALLEMANDE. — M. Landburgh, direc-
sidèr e la revue financière Die Bank, con-
tY¡ag;e comme dangereux pour l'Alle-
au SU' ies accords passés avec la France
au let des prestations en nature :
Du po.
bll p de Vue de l'économie nationale
t d e, i faut déplorer que l'accord
^ile devxr lest»aden soit devenu un ins-
Urgent
truxnent Utilisable pour les réparations,
larlt que le 'dO'vOir de réparation allemand
(j,.Pistait en une chaîne ininterrompue
^^rtanfo ^f^ements en argent, il était
éviden t Ponr. tout économiste capable de
br que la charge des réparations
oref oUr le moins et dans un délai assez
bref aJllé des emprunts à long
trme. ï gee par des les paiements en
devaî donné que les paiements en
év aboutir à inonder le mar-
chi^ ^^dial H denrées allemandes, il était
en etit que î grands Etats commerçants
en qUe i Stands Etats commerçants
*
eti eusserlt rédclmé la cessation, même au
sacHfi s importants de la part des
cra^cierg j re, Parations. La faute extraor-
dinaire \.le reparatipns. La faute extraar-
cord de aconsisté en ceci, que par l'ac-
erjrd de Wiesbaden l'Allemagne a montré
à ~es P 2p é&n'c"ers le moyen par lequel un
Pay? ^eut na yer des sommes importantes
iws §êner ceux: qui encaissent ces som-
tnes,Ilonplus que le marché mondial. Par
cha ^eich a affranchi ses adversaires de
t. ;¡
ïii 0ssité d'incliner à une réduction des
alleim andes dans leur propre inté-
rêt, c'est-à-dire qu'il s'est fermé à lui-même
pour un temps indéterminé la porte de sor-
tie des réparations.
Les accords ultérieurs des 2 et 3 juin
1922 n'ont pas réparé cette faute capitale
de Wiesbaden, au contraire ils l'ont en-
core aggravée en écartant les pierres qui
rendraient encore impraticable le mauvais
chemin tracé par Rathenau-Loucheur.
Une conséquence désastreuse des livrai-
sons en nature consiste en ceci que ces
livraisons sont un coin enfoncé en Alle-
magne même entre les intérêts publics et
privés, entre le Reich et l'entreprise. Plus
le programme des prestations en nature se
réalisera, plus les industriels allemands ga-
gneront ; leurs possibilités de rendement
croissent considérablement et ils évitent
les inconvénients d'une lutte de concur-
rence sur un marché libre comme il arri-
verait dans le cas d'un programme de
prestations en argent réalisable au moyen
d'impôts et d'emprunts. Par contre, le
Reich doit payer d'autant plus que les in-
dustriels livrent davantage sur la base de
l'accord des prestations en nature et que les
prix conclus entre eux et leurs clients mon-
tent. Tandis que, dans le cas des paiements
en argent, les prix sont dictés par le mar-
ché mondial sur lequel les industriels doi-
vent lutter pour écouler leur marchandise,
dans le cas des livraisons en nature ces
prix, qui sont fixés d'après les prix du
pays réceptionnaire, dépassent presque ré-
gulièrement les prix du marché mondial.
De cette façon, tout avantage de l'industrie
se transforme en une charge pour la masse
qui éprouve encore un désavantage plus
considérable de ce point de vue plus élevé :
le seul bon côté des réparations, à savoir
que l'entreprise allemande devrait lutter
sur le marché mondial et tenter de produire
Je plus possible, disparaît du moment où
l'industriel allemand est assuré, par un
accord commode, de gains aisés sans être
contraint à des améliorations de méthode
ou à une exploitation intensive.
C'est pourquoi l'Angleterre, principal
concurrent de l'Allemagne sur le marché
mondial, a pu dire, ne songeant qu'à son
avantage du moment, qu'elle ne voyait au-
cune atteinte à ses intérêts dans l'accord
franco-allemand sur les réparations en na-
ture.
Après ces critiques générales sur la politique
des réparations en nature, M. Lansburgh
aborde l'étude de l'accord Lubersac-Stinnes en
hn-même.
La stipulation du traité fixant que les
prix pour, les livraisons allemandes se-
ront payables en francs français a une im-
portance considérable et est pleine de dan-
gers. En effet, du côté allemand, pendant
toute la durée du traité on aura intérêt à
ce que le franc soit au plus haut et par
conséquent que le crédit allemand soit au
plus bas. Il faut compter que certains in-
dustriels français pour qui les livraisons
allemandes constituent une concurrence
indésirable feront de temps en temps des
offres à des prix assez bas pour évincer les
offres alliemandes. Ces tentatives en vue de
saboter les livraisons en nature de l'Alle-
magne auront d'autant plus de chances de
réussir que le franc sera plus bas par
rapport au mark ; elles seront au contraire
inefficaces si le franc monte. Ainsi, l'ac-
cord constitue un encouragement à tous les
efforts destinés à relever la monnaie fran-
çaise. et à abaisser la monnaie allemande.
Mais il ne suffit pas que les industriels
allemands aient un intérêt durable à un
nivéau bas de la valeur du mark sur le
marché monétaire mondial. Il y a plus ; a
est encore de leur avantage que la va-
leur de la monnaie allemande ne cesse de
s'effondrer, quelque bas que soit le niveau
déjà atteint. Etant donné, en effet, que le
bénéfice des industriels consiste en la dif-
férence entre leurs dépenses en marks et
leur gain en francs, leur bénéfice est d'au-
tant plus grand qu'ils dépensent moins en
achat de matériaux, salaires, etc. Tout
nouvel ébranlement du crédit allemand a
donc pour conséquence d'agrandir la marge
entre le coût de production en marks et le
gain encaissé en fraincs, tandis que toute
amélioration du mark produit l'effet con-
traire, c'est-à-dire réduit le gain de l'in-
dustriel allemand qui effectue les livrais-
sons ou même rend les livraisons impos-
sibles. - Alfred Lansburgh.
DIE BANK, octobre.
LE MONTANT DES REPARATIONS. —
UN EXPOSÉ DE M. KOESTER, MINISTRE DE L'IN-
TÉRIEUR DU REICH. - (Agence Wolff). —
Le ministre de l'Intérieur du Reich. Dr Koes-
ter, a présenté au Club pour le commerce,
l'industrie et la science un exposé auquel
il a donné ce titre : « Notre droit ».
Il s'est élevé résolument contre l'opinion
professée par la plupart des Allemands et
selon laquelle on devrait parler le moins
possible des bases juridiques du traité de
Versailles. Cette conception reposerait sur
la méconnaissance de l'histoire des négocia-
tions d'armistice et de paix. De là viendrait
aussi qu'en Allemagne on a si mal su se
servir, en politique, du programme Wilson.
Ce qui serait déjà très regrettable parce
que ce programme américain avait été ré-
clamé par le gouvernement allemand et
accepté par les alliés comme base des né-
gociations de paix et parce que cette exi-
gence eût constitué à cette époque une poli-
tique habile et juste qui devrait être pour-
suivie maintenant. Mais ce manque de com-
préhension touchant l'importance des bases
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Besançon Georges Besançon Georges /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Besançon Georges" or dc.contributor adj "Besançon Georges")Correspondance et papiers de Félix et Paul Nadar. I -- CORRESPONDANCE. V-XXI Lettres adressées à Félix Nadar. VIII-XIX Lettres de divers correspondants classés par ordre alphabétique :. VIII Agutte-Bouyer. /ark:/12148/btv1b53273171p.highres Correspondance et papiers de Félix et Paul Nadar. I -- CORRESPONDANCE. V-XXI Lettres adressées à Félix Nadar. VIII-XIX Lettres de divers correspondants classés par ordre alphabétique :. VIII Agutte-Bouyer. /ark:/12148/btv1b10084480b.highres
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62524803/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62524803/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62524803/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62524803/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62524803
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62524803
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62524803/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest