Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-10-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 octobre 1922 05 octobre 1922
Description : 1922/10/05 (T22,N2171). 1922/10/05 (T22,N2171).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524692
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
DES
4 eeÀlaES ETRANGERES
i
N° 2171
Jeudi 5 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — Les responsabilités de
la gUerre: la réfutation de M. Viviani
(Berliner Tageblatt, Kôlnische Zeitung).
La Russie et le Proche Orient (Vos-
sische Zeitung).
- La politique britânni-
que dans le, '^roc^e Orient : les com-
Q'huniqués de Downing Street à (lia presse
(DailU estminster Gazette). -
Lettre de M. Venizeaos au Times (Ti-
^en^ze®os au Times (Ti•
mes). - La campagne allemande contre
f les troillpes noires (Manchester Guar-
clian)
^^ESSE TTATTENNE' - La Société des nations
et l'Autriche (Rastignac dians Tribuna,
Corriere d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
^QIINIES
ET RESPONSABILITÉS
l.t DE LA GUERRE
LES DECLARATIONS DU CHANCELIER
>TA ^RÉFUTATION DE M. VIVIANI. —
! €ST TRP« ^UrieUx (ïue M. Viviani dénie
e EHrrnifi t, M. Viviani dénie
A on aux documents mention-
il' ® Par le dOcteur Wirth, bien que, comme
Pas - il ne les connaisse
1 Ras- Une h e■ rn°nstratîon historique qui ne
aPpuie 0 ,Uni^a^®ralement sur certains
ril'It 'Il unllatéralement sur certains
Pns ~mntp ne tenant tout simplement
comntp Jiautres matériaux, n'est pas
une déIh , matériaux, n es pas
Jf/lls e âémon^tr. aJlon- Les déclarations de l'an-
îeri Prési(ier)t „ du Conseil français montrent
n°uveail SUr(*ité des méthodes juridi-
„~ , Il l'nifi ,e desquelles l'Entente croit
réglé la qUestion de la culpabilité.
Quelle que soit l'attitude de chaque parti-
tioll et d de chaque peuple dans cette ques-
en 1 ^61" dans i
iur'vCoulent les questIons secondaires qui
n ju§ement est sans valeur
qu'il n'est que le verdict
!~ des Partie S intéressées et non le ré-
^'urie ry>3 les tomSarantie<ï v
tOUt à. fait siïrfg?es- Pour(Iuoi, s'ils sont
lirlé d'Eut A leur fait, pourquoi les
~ilie de l'Entente se refusent-ils à
h p aiI1< ?
Uripareille hîo ?1188^11 ? S'ils n'avaient pas
f5ent^°'nt tout A* ou leurs amis ne sortis-
re véritahu fait indemnes d'une pro-
a! Un débat régulier ne de-
'vr te que leur être AGRÉÂBLE-
NER TAGEBLATT, 3.10, matin.
—De Berlin, 3 octobre : Ainsi que l'agence
Wolff l'apprend, il va, probablement, y
avoir une réponse de source autorisée aux
déclarations de M. Viviani à propos de l'in-
terview du chancelier d'Empire sur la ques-
tion des responsabilités. On peut déjà indi-
quer cependant que la réplique de Viviani
doit être considérée comme trop précipitée,
puisque d'après ses paroles mêmes il ne
connaît pas encore la publication du baron
von Romberg. C'est ce qui fait qu'il ne tient
pas compte des faits nouveaux ressortant
de la brochure de Romberg et répète la
leçon française bien connue. On ne voit pas
très bien pourquoi, comme le prétend Vi-
viani, le « chancelier d'Empire devrait par-
ler des archives diplomatiques allemandes
avec plus de modestie », puisque son gou-
vernement a publié les. archives secrètes
allemandes dans toute leur intégralité, tan-
dis que le gouvernement français tient tou-
jours ses archives peureusement fermées.
Aux neuf cents documents allemands non
abrégés ne s'opposent que les cent soixante
documents du Livre jaune français, dont a
pu prouver que plusieurs étaient des faux.
KOELNISCHE ZEITUNG, 4.10, matin.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA POLITIQUE BRITANNIQUE. —
LES COMMUNIQUÉS DE DOWNING STREET A LA
PRESSE. — Un changement considérable se
manifeste depuis hier soir dans les commu-
nications à la presse inspirées par Dow-
ning Street. Ces notes semblent écarter dé-
sormais la probabilité d'une guerre avec la
Turquie.
DAILY MAIL, 3.10.
— Ce n'est peut-être pas tant un parti
tout entier qui pousse consciemment à la
guerre qu'un groupe de ministres qui voient
dans la surexcitation du mouvement l'occa-
sion de rendre service au gouvernement.
Voilà pourquoi nous voyons publier ces
communiqués alarmistes par le bureau de
presse inspiré du cabinet intérieur, qui ne
se préoccupe que de frapper ldmagination
du public, se disant sans doute que si la
guerre se produit, le gouvernement sera
justifié par les avertissements ainsi prodi-
gués, et que si la guerre ne se produit pas,
il pourra se targuer d'avoir surmonté les
difficultés extraordinaires de la situation.
Tout le système consistant à lancer de
Downing Street des communiqués à la
presse devrait être supprimé. Pas une seule
des déclarations sensationnelles faites ré-
cemment n'était nécessaire.
Ces communiqués ne sont pas seulement
nuisibles au plus haut degré, mais ils sont
lancés d'une manière qui doit nécessaire-
ment révolter tout journaliste qui se res-
pecte, car il lui est enjoint de ne pas les
donner pour officiels.
C'est un moyen d'empêcher les déclara-
tions de Downing Street d'être critiquées
comme elles le méritent et comme ces dé-
clarations paraissent dans les journaux,
elles ont l'air d'avoir été faites sous l'ins-
piration de la presse elle-même.
S'il est indispensable de faire des décla-
rations, et moins on en fera, mieux cela
vaudra, elles devraient être lancées avec
l'autorité du gouvernement et signées par
des ministres responsables, qui seraient
tenus d'y conformer leurs actes. — (Du
corespondant politique.)
WESTMINSTER GAZETTE, 3.10.
LETTRE DE M. VENIZELOS AU « Tt.
MES ». — * De Londres, 3 octobre : Dans
votre éditorial d'aujourd'hui vous deman-
dez que les alliés se chargent die l'adminis-
tration de la Thrace.
Permettez-moi de vous faire observer que
ce n'est pas là ce qu'envisagent les alliés,
mais bien le transfert immédiat de la
Thrace orientale à une administration tur-
que et l'établissement dans cette province
d'une: gendarmerie turque sous la seule sur-
veillance d'olficiers alliés. Ce serait condam-
ner toute la population chrétienne à la des-
truction.
Les puissances semblent être disposées à
prendre des mesures pour la protection des
chrétiens dans la Thrace orientale, mais
de leur côté les Turcs sont résolus, — ainsi
qu'en témoigne la récente déclaration du
ministre de l'Intérieur turc, — à ne pas to-
lérer plus longtemps la présence d'une po-
pulation grecque sur leur territoire. La poli-
tique consistant à expulser les chrétiens de
la Thrace orientale avait commencé, d'ail-
leurs, à être appliquée avant la guerre déjà.
Par le traité de 1913 entre la Bulgarie et la *
Turquie, cette dernière puissance exigea et
obtint le départ dieis Bulgares de la Thrace
orientale, et au printemps de 1914 elle se mit
en devoir d'expulser la population grecque.
Au moment où éclata la Grande Guerre,
230.000 Gmecs avaient été expulsés de la
Thrace orientale.
A supposer, par conséquent, que l'admi-
nistration turque soit rétablie en Thrace
avant la signature de la paix, ce serait faire
preuve d'un aveuglement absolu que de sup-
poser que les Turcs ne procéderaient pas
immédiatement à l'extermination de la po-
pulation chrétienne, de même qu'ils ont ex-
terminé des chrétiens en Asie Mineure, et
la simple présence d'officiers alliés serait
impuissante à empêcher ce désastre. Le
pillage et le massacre des populations chré-
DES
4 eeÀlaES ETRANGERES
i
N° 2171
Jeudi 5 octobre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — Les responsabilités de
la gUerre: la réfutation de M. Viviani
(Berliner Tageblatt, Kôlnische Zeitung).
La Russie et le Proche Orient (Vos-
sische Zeitung).
- La politique britânni-
que dans le, '^roc^e Orient : les com-
Q'huniqués de Downing Street à (lia presse
(DailU estminster Gazette). -
Lettre de M. Venizeaos au Times (Ti-
^en^ze®os au Times (Ti•
mes). - La campagne allemande contre
f les troillpes noires (Manchester Guar-
clian)
^^ESSE TTATTENNE' - La Société des nations
et l'Autriche (Rastignac dians Tribuna,
Corriere d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
^QIINIES
ET RESPONSABILITÉS
l.t DE LA GUERRE
LES DECLARATIONS DU CHANCELIER
>TA ^RÉFUTATION DE M. VIVIANI. —
! €ST TRP« ^UrieUx (ïue M. Viviani dénie
e EHrrnifi t, M. Viviani dénie
A on aux documents mention-
il' ® Par le dOcteur Wirth, bien que, comme
Pas - il ne les connaisse
1 Ras- Une h e■ rn°nstratîon historique qui ne
aPpuie 0 ,Uni^a^®ralement sur certains
ril'It 'Il unllatéralement sur certains
Pns ~mntp ne tenant tout simplement
comntp Jiautres matériaux, n'est pas
une déIh , matériaux, n es pas
Jf/lls e âémon^tr. aJlon- Les déclarations de l'an-
îeri Prési(ier)t „ du Conseil français montrent
n°uveail SUr(*ité des méthodes juridi-
„~ , Il l'nifi ,e desquelles l'Entente croit
Quelle que soit l'attitude de chaque parti-
tioll et d de chaque peuple dans cette ques-
en 1 ^61" dans i
iur'vCoulent les questIons secondaires qui
n ju§ement est sans valeur
qu'il n'est que le verdict
!~ des Partie S intéressées et non le ré-
^'urie ry>3
tOUt à. fait siïrfg?es- Pour(Iuoi, s'ils sont
lirlé d'Eut A leur fait, pourquoi les
~ilie de l'Entente se refusent-ils à
h p aiI1< ?
Uripareille hîo ?1188^11 ? S'ils n'avaient pas
f5ent^°'nt tout A* ou leurs amis ne sortis-
re véritahu fait indemnes d'une pro-
a! Un débat régulier ne de-
'vr te que leur être AGRÉÂBLE-
NER TAGEBLATT, 3.10, matin.
—De Berlin, 3 octobre : Ainsi que l'agence
Wolff l'apprend, il va, probablement, y
avoir une réponse de source autorisée aux
déclarations de M. Viviani à propos de l'in-
terview du chancelier d'Empire sur la ques-
tion des responsabilités. On peut déjà indi-
quer cependant que la réplique de Viviani
doit être considérée comme trop précipitée,
puisque d'après ses paroles mêmes il ne
connaît pas encore la publication du baron
von Romberg. C'est ce qui fait qu'il ne tient
pas compte des faits nouveaux ressortant
de la brochure de Romberg et répète la
leçon française bien connue. On ne voit pas
très bien pourquoi, comme le prétend Vi-
viani, le « chancelier d'Empire devrait par-
ler des archives diplomatiques allemandes
avec plus de modestie », puisque son gou-
vernement a publié les. archives secrètes
allemandes dans toute leur intégralité, tan-
dis que le gouvernement français tient tou-
jours ses archives peureusement fermées.
Aux neuf cents documents allemands non
abrégés ne s'opposent que les cent soixante
documents du Livre jaune français, dont a
pu prouver que plusieurs étaient des faux.
KOELNISCHE ZEITUNG, 4.10, matin.
——— ———
LE PROCHE ORIENT
LA POLITIQUE BRITANNIQUE. —
LES COMMUNIQUÉS DE DOWNING STREET A LA
PRESSE. — Un changement considérable se
manifeste depuis hier soir dans les commu-
nications à la presse inspirées par Dow-
ning Street. Ces notes semblent écarter dé-
sormais la probabilité d'une guerre avec la
Turquie.
DAILY MAIL, 3.10.
— Ce n'est peut-être pas tant un parti
tout entier qui pousse consciemment à la
guerre qu'un groupe de ministres qui voient
dans la surexcitation du mouvement l'occa-
sion de rendre service au gouvernement.
Voilà pourquoi nous voyons publier ces
communiqués alarmistes par le bureau de
presse inspiré du cabinet intérieur, qui ne
se préoccupe que de frapper ldmagination
du public, se disant sans doute que si la
guerre se produit, le gouvernement sera
justifié par les avertissements ainsi prodi-
gués, et que si la guerre ne se produit pas,
il pourra se targuer d'avoir surmonté les
difficultés extraordinaires de la situation.
Tout le système consistant à lancer de
Downing Street des communiqués à la
presse devrait être supprimé. Pas une seule
des déclarations sensationnelles faites ré-
cemment n'était nécessaire.
Ces communiqués ne sont pas seulement
nuisibles au plus haut degré, mais ils sont
lancés d'une manière qui doit nécessaire-
ment révolter tout journaliste qui se res-
pecte, car il lui est enjoint de ne pas les
donner pour officiels.
C'est un moyen d'empêcher les déclara-
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comme elles le méritent et comme ces dé-
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elles ont l'air d'avoir été faites sous l'ins-
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S'il est indispensable de faire des décla-
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vaudra, elles devraient être lancées avec
l'autorité du gouvernement et signées par
des ministres responsables, qui seraient
tenus d'y conformer leurs actes. — (Du
corespondant politique.)
WESTMINSTER GAZETTE, 3.10.
LETTRE DE M. VENIZELOS AU « Tt.
MES ». — * De Londres, 3 octobre : Dans
votre éditorial d'aujourd'hui vous deman-
dez que les alliés se chargent die l'adminis-
tration de la Thrace.
Permettez-moi de vous faire observer que
ce n'est pas là ce qu'envisagent les alliés,
mais bien le transfert immédiat de la
Thrace orientale à une administration tur-
que et l'établissement dans cette province
d'une: gendarmerie turque sous la seule sur-
veillance d'olficiers alliés. Ce serait condam-
ner toute la population chrétienne à la des-
truction.
Les puissances semblent être disposées à
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chrétiens dans la Thrace orientale, mais
de leur côté les Turcs sont résolus, — ainsi
qu'en témoigne la récente déclaration du
ministre de l'Intérieur turc, — à ne pas to-
lérer plus longtemps la présence d'une po-
pulation grecque sur leur territoire. La poli-
tique consistant à expulser les chrétiens de
la Thrace orientale avait commencé, d'ail-
leurs, à être appliquée avant la guerre déjà.
Par le traité de 1913 entre la Bulgarie et la *
Turquie, cette dernière puissance exigea et
obtint le départ dieis Bulgares de la Thrace
orientale, et au printemps de 1914 elle se mit
en devoir d'expulser la population grecque.
Au moment où éclata la Grande Guerre,
230.000 Gmecs avaient été expulsés de la
Thrace orientale.
A supposer, par conséquent, que l'admi-
nistration turque soit rétablie en Thrace
avant la signature de la paix, ce serait faire
preuve d'un aveuglement absolu que de sup-
poser que les Turcs ne procéderaient pas
immédiatement à l'extermination de la po-
pulation chrétienne, de même qu'ils ont ex-
terminé des chrétiens en Asie Mineure, et
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impuissante à empêcher ce désastre. Le
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