Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 septembre 1922 26 septembre 1922
Description : 1922/09/26 (T22,N2163). 1922/09/26 (T22,N2163).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252461r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1. ministère -,>
, DES
IE "AIRES ÉTRANGÈRES
r -
------- -
N° 2163
Mardi 26 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
-
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE' ALLEMANDE. - L'accord Stinnes-de
LUbersac (Germania). — Une interview
de 1 chitcherine sur la politique exté-
rieure de la Russie des Soviets (Vos-
s]sche Zeitung). i— Le voyage de M. Her-
l'lot en Russie (Hannoverscher Kurier,
Verliner Tageblatt).
^ESSE ANGLAISE. — Les conséquences de
11% victoire turque et l'accord de Paris
du 23 septembre (Spectator, Saturdaij
Keview, Westminster Gazette, Daily
tel&graph).
T ITALIENNE. — Les conséquences de
la victoire turque et les conversations
Ae Paris (Corriere clella Sera).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
ù PRESSE ANGLAISE. — AVANT L'ACCORD-
^8 DU 23 SEPTEMBRE. — Le gouverne-
ent a encore commis une inexcusable bé-
vue Une bévue qui tient si peur compte
es faits, des avertissements, de sa pro-
pre expélielice dans le passé, que le dernier
^âchiS presque incroyable. Heureuse-
b ent, lord Curzon, qui est à Paris, est en
01111e voie de sauver la situation. Nous
espé rons que le pays comprendra, que pen-
darit les quelques jours, oui les quelques
sema — selon la durée de la crise —
qui -
qui Vont suivre, les intérêts de 'l'Empire,
bien i ~s, les intérêts de l'humanité en-
tière dOIVent primer toute considération de
parti '0 est à la maison et il s'agit
t teIndre Incendie avant de pouvoir met-
Les sin l'ordre dans l'économie intérieure.
tes s-vn ?.0ns que mérite une aussi formi-
(^ble ;n f011c^ance pourront être mises en
(I-Uvro plus tard. - (Ed.)
SPECTATOR, 23.9.
qt; Sous le titre: « La. victoire diplomati-
de la France ». - Au seuil même de la
c'onférence sur8^ la question de savoir
quelle est la - véritable politique de la
France Nous n'attachons pas une grande
importance à l'évacuation de Tchanak par
les trounpo françaises, sauf à titre de symp-
tôme de la résolution grandissante de la
Proche Orient. Somme tou sa guise dans le
que l'opinion publique a fait preuve de bon
sens en guère à cet incident,
bien que l'on PUlsse se demander ce que
l' °n dirait en F rance si nclus retirions nos
r^CeS reîiri0Ils noS
.r°^ es de Cologne, dans le cas d'une occu-
pation éventuelle de la Ruhr, sous prétexte
de ne pas vouloir provoquer un conflit avec
les Allemands. Il est manifeste, toutefois,
que, à part les questions de détail militaires,
le gouvernement français prend toutes les
mesures possibles pour prendre la direction
politique de la situation. Les relations fran-
çaises avec le gouvernement kémaliste
d'Angora datent de fort loin et on n'a pour
ainsi dire même pas cherché à dissimuler
le fait que Mustapha Kemal a été pourvu
de matériel d'artillerie et de munitions par
les Français, qui ont mis également à sa
disposition des \chars d'assaut et des aéro-
planes. On croit savoir, enfin, et on ne se
gêne pas pour le dire, que la stratégie qui
a permis au général en chef turc de rem-
porter une victoire aussi signalée avec une
armée dont les effectifs n'atteignaient pas
le quart du nombre de ses adversaires, a
été redevable dans une grande mesure de
son succès à l'inspiration de l'état-major
général français.
Au commencement de la crise, lorsque le
cabinet britannique publia son manifeste
aujourd'hui célèbre, le gouvernement s'ima-
ginait évidemment que la Roumanie et la
Serbie partageaient complètement le point
de vue britannique en ce qui concerne
l'avenir du Turc en Europe et même
qu'elles étaient disposées à prêter le concours
de leurs armées en vue d'empêcher les Turcs
de rétablir leur domination en Thrace. Nos
ministres auraient bien pu se douter que la
Petite Entente, à laquelle ces puissances ap-
partiennent l'une et l'autre, n'est au point
de vue diplomatique qu'une extension du
ministère des affaires étrangères français ;
qu'elle est tellement imbue des idéals poli-
tiques, voire même militaires de la France,
qu'elle est tellement plus accessible à une
pression française spéciale en n'importe
quelle occasion, qu'il serait fou, dans un cas
où la politique française et la politique bri-
tannique se trouvaient en désaccord, de
supposer que ces pays adopteraient le point.
de vue britannique.
Dans sa déclaration à la presse — selon
les Daily News de jeudi, M. Poincaré aurait
dit :
« En ce qui concerne la Thrace il semble
que le problème est résolu. La Roumanie
ne présentera aucune objection à une fron-
tière commune entre la Bulgarie et la Tur-
quie. La Serbie, toutefois, ne permettra au-
cune cession de territoire à la Bulgarie,
tout en étant disposée à reconnaître la né-
cessité d'accorder à ce pays un débouché
économique, sous la forme d'un accès à la
mer, sans doute à Dédeagatch. m
Cette remarquable déclaration signifie
tout simplement l'expulsion des Grecs de
la Thrace et d'Andrinople (la seule me-
sure qui donnerait une frontière commune
à la Bulgarie et à la Turquie), avec le con-
sentement de la Roumanie, à l'instigation de
la France. De plus, comme il n'a jamais
été question d'agrandir le territoire bul-
gare, la stipulation serbe ne signifie rien
du tout, tandis que la suggestion de la Ser-
bie tendant à donner aux Bulgares une voie
d'accès à la mer est une nouvelle conces-
sion aux dépens de la Grèce.
Il est donc évident que la France se ren-
dra à la conférence, et que l'Italie, appa-
remment, l'y accompagnera dans l'intention
de rétablir la Turquie d'Europe jusqu'à la
frontière bulgare, d'expulser complètement
la Grèce de la Thrace, bref, pour ce qui est
de l'ancien empire turc à l'ouest de la Syrie
et de la Mésopotamie, de remplacer le traité
de Sèvres par un document tout nouveau.
A vrai dire, il est de toute évidence que
pendant que M. Lloyd George s'occupait de
préparatifs militaires les Français profi-
taient de l'occasion pour s'assurer un gros
succès diplomatique. Quand nous nous pré-
senterons à la conférence de Venise nous
serons en minorité, n'ayant avec nous il
est permis de le supposer, que le Japon
(dont l'avis n'est pas après tout d'un très
grand poids dans une question purement
occidentale) et la Grèce et il nous faudra
décider si nous considérons les intérêts
grecs comme étant les nôtres ou si les in-
térêts britanniques sont limités, comme
nous pensons plutôt qu'ils devraient l'être
à la question des Détroits.
SATURDAY REVIEW, 28.9.
L'ACCORD DE PARIS DU 23 SEPTEMBRE. -
Sous le titre : « Le règlement et le prix à
payer ». — L'opinion anglaise éprouvera un
grand soulagement, à savoir que le plus
mauvais moment est passé et qu'il est pos-
sible désormais d'espérer un règlement
dans. un avenir prochain. Mais elle recon-
naîtra aussi que ce soulagement a été pavé
cher. Nous avons subi un échec diplomatique
grave, après avoir tenu un langage très or-
gueilleux. Il est possible, pour le moins que
plus tard on s'aperçoive que les conditions
évidemment, généreuses offertes à la Tur-
quie ont été d'une générosité excessive
qu'elles ont été plus généreuses qu'il n'eût
été nécessaire si le gouvernement avait agi
plus calmement et avec plus de décorum.
Nous avons laissé se produire une guerre
terrible, nous avons laissé dévaster une
ville importante, pour finir par accepter
avec bonheur - en quoi nous avons agi
sagement - un règlement moins satisfai-
sant du point de vue de la paix future des
Balkans que l'on n'aurait pu en obtenir -
antérieurement à ces événements désas-
treux. Mais ces considérations sont deve-
nues. maintenant une affaire de politique in-
térieure et non plus de politique étrangère.
Il s agi mamt.enant de faire la paix la meil-
leure et la plus rapide que nous pourrons et
, DES
IE "AIRES ÉTRANGÈRES
r -
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N° 2163
Mardi 26 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
-
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE' ALLEMANDE. - L'accord Stinnes-de
LUbersac (Germania). — Une interview
de 1 chitcherine sur la politique exté-
rieure de la Russie des Soviets (Vos-
s]sche Zeitung). i— Le voyage de M. Her-
l'lot en Russie (Hannoverscher Kurier,
Verliner Tageblatt).
^ESSE ANGLAISE. — Les conséquences de
11% victoire turque et l'accord de Paris
du 23 septembre (Spectator, Saturdaij
Keview, Westminster Gazette, Daily
tel&graph).
T ITALIENNE. — Les conséquences de
la victoire turque et les conversations
Ae Paris (Corriere clella Sera).
POLITIQUE GENERALE
LE PROCHE ORIENT
ù PRESSE ANGLAISE. — AVANT L'ACCORD-
^8 DU 23 SEPTEMBRE. — Le gouverne-
ent a encore commis une inexcusable bé-
vue Une bévue qui tient si peur compte
es faits, des avertissements, de sa pro-
pre expélielice dans le passé, que le dernier
^âchiS presque incroyable. Heureuse-
b ent, lord Curzon, qui est à Paris, est en
01111e voie de sauver la situation. Nous
espé rons que le pays comprendra, que pen-
darit les quelques jours, oui les quelques
sema — selon la durée de la crise —
qui -
qui Vont suivre, les intérêts de 'l'Empire,
bien i ~s, les intérêts de l'humanité en-
tière dOIVent primer toute considération de
parti '0 est à la maison et il s'agit
t teIndre Incendie avant de pouvoir met-
Les sin l'ordre dans l'économie intérieure.
tes s-vn ?.0ns que mérite une aussi formi-
(^ble ;n f011c^ance pourront être mises en
(I-Uvro plus tard. - (Ed.)
SPECTATOR, 23.9.
qt; Sous le titre: « La. victoire diplomati-
de la France ». - Au seuil même de la
c'onférence sur8^ la question de savoir
quelle est la - véritable politique de la
France Nous n'attachons pas une grande
importance à l'évacuation de Tchanak par
les trounpo françaises, sauf à titre de symp-
tôme de la résolution grandissante de la
Proche Orient. Somme tou sa guise dans le
que l'opinion publique a fait preuve de bon
sens en guère à cet incident,
bien que l'on PUlsse se demander ce que
l' °n dirait en F rance si nclus retirions nos
r^CeS reîiri0Ils noS
.r°^ es de Cologne, dans le cas d'une occu-
pation éventuelle de la Ruhr, sous prétexte
de ne pas vouloir provoquer un conflit avec
les Allemands. Il est manifeste, toutefois,
que, à part les questions de détail militaires,
le gouvernement français prend toutes les
mesures possibles pour prendre la direction
politique de la situation. Les relations fran-
çaises avec le gouvernement kémaliste
d'Angora datent de fort loin et on n'a pour
ainsi dire même pas cherché à dissimuler
le fait que Mustapha Kemal a été pourvu
de matériel d'artillerie et de munitions par
les Français, qui ont mis également à sa
disposition des \chars d'assaut et des aéro-
planes. On croit savoir, enfin, et on ne se
gêne pas pour le dire, que la stratégie qui
a permis au général en chef turc de rem-
porter une victoire aussi signalée avec une
armée dont les effectifs n'atteignaient pas
le quart du nombre de ses adversaires, a
été redevable dans une grande mesure de
son succès à l'inspiration de l'état-major
général français.
Au commencement de la crise, lorsque le
cabinet britannique publia son manifeste
aujourd'hui célèbre, le gouvernement s'ima-
ginait évidemment que la Roumanie et la
Serbie partageaient complètement le point
de vue britannique en ce qui concerne
l'avenir du Turc en Europe et même
qu'elles étaient disposées à prêter le concours
de leurs armées en vue d'empêcher les Turcs
de rétablir leur domination en Thrace. Nos
ministres auraient bien pu se douter que la
Petite Entente, à laquelle ces puissances ap-
partiennent l'une et l'autre, n'est au point
de vue diplomatique qu'une extension du
ministère des affaires étrangères français ;
qu'elle est tellement imbue des idéals poli-
tiques, voire même militaires de la France,
qu'elle est tellement plus accessible à une
pression française spéciale en n'importe
quelle occasion, qu'il serait fou, dans un cas
où la politique française et la politique bri-
tannique se trouvaient en désaccord, de
supposer que ces pays adopteraient le point.
de vue britannique.
Dans sa déclaration à la presse — selon
les Daily News de jeudi, M. Poincaré aurait
dit :
« En ce qui concerne la Thrace il semble
que le problème est résolu. La Roumanie
ne présentera aucune objection à une fron-
tière commune entre la Bulgarie et la Tur-
quie. La Serbie, toutefois, ne permettra au-
cune cession de territoire à la Bulgarie,
tout en étant disposée à reconnaître la né-
cessité d'accorder à ce pays un débouché
économique, sous la forme d'un accès à la
mer, sans doute à Dédeagatch. m
Cette remarquable déclaration signifie
tout simplement l'expulsion des Grecs de
la Thrace et d'Andrinople (la seule me-
sure qui donnerait une frontière commune
à la Bulgarie et à la Turquie), avec le con-
sentement de la Roumanie, à l'instigation de
la France. De plus, comme il n'a jamais
été question d'agrandir le territoire bul-
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du tout, tandis que la suggestion de la Ser-
bie tendant à donner aux Bulgares une voie
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sion aux dépens de la Grèce.
Il est donc évident que la France se ren-
dra à la conférence, et que l'Italie, appa-
remment, l'y accompagnera dans l'intention
de rétablir la Turquie d'Europe jusqu'à la
frontière bulgare, d'expulser complètement
la Grèce de la Thrace, bref, pour ce qui est
de l'ancien empire turc à l'ouest de la Syrie
et de la Mésopotamie, de remplacer le traité
de Sèvres par un document tout nouveau.
A vrai dire, il est de toute évidence que
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succès diplomatique. Quand nous nous pré-
senterons à la conférence de Venise nous
serons en minorité, n'ayant avec nous il
est permis de le supposer, que le Japon
(dont l'avis n'est pas après tout d'un très
grand poids dans une question purement
occidentale) et la Grèce et il nous faudra
décider si nous considérons les intérêts
grecs comme étant les nôtres ou si les in-
térêts britanniques sont limités, comme
nous pensons plutôt qu'ils devraient l'être
à la question des Détroits.
SATURDAY REVIEW, 28.9.
L'ACCORD DE PARIS DU 23 SEPTEMBRE. -
Sous le titre : « Le règlement et le prix à
payer ». — L'opinion anglaise éprouvera un
grand soulagement, à savoir que le plus
mauvais moment est passé et qu'il est pos-
sible désormais d'espérer un règlement
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naîtra aussi que ce soulagement a été pavé
cher. Nous avons subi un échec diplomatique
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gueilleux. Il est possible, pour le moins que
plus tard on s'aperçoive que les conditions
évidemment, généreuses offertes à la Tur-
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qu'elles ont été plus généreuses qu'il n'eût
été nécessaire si le gouvernement avait agi
plus calmement et avec plus de décorum.
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ville importante, pour finir par accepter
avec bonheur - en quoi nous avons agi
sagement - un règlement moins satisfai-
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Balkans que l'on n'aurait pu en obtenir -
antérieurement à ces événements désas-
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