Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 septembre 1922 25 septembre 1922
Description : 1922/09/25 (T22,N2162). 1922/09/25 (T22,N2162).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252460b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
! MINISTÈRR
AIRES ÉTRANGÈRES
DES
N° 2162
Lundi 25 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
N traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
w
SOMMAIRE
*" AMf'^CAINF- - Les conséquences de
la victoire turque- OV orld). - L'ac-
coi-( ? S,tinnes-Lubersac (Public Ledger).
*
ANGLaIse- - Les conséquences de la
vW -^ur<^ue ^anche s ter Guardian,
Times)
, ~SE BELGE. - Les pouvoirs de la com-
I' rnf ssion des réparations : un projet de
JI. Lacroix (lnd¿pendance Belge).
PHE~~E ITALIENNE. — Les conséquences de la
vînttoire turque (Secolo, Popolo l'Italia,
: Giornale dltalia. Tribuna, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
t
LE PROCHE ORIENT
ERFSSE ANGLAISE. - « LA RUSSIE ET LA
- ^'NATTITL DE RELATIVEMENT A CONS-
ÎAlVrUII >LE J [sous ce titre]. — Un curres-
pondant arlant récemment séjourné en Rns-
sie s.>,. Jnc, Iluns h' Manchester Guardian,
le ja■l
le fait (J1.le le sort (/(' ^cmstarilinaide inté-
resse la Russie plus (jue toute autre puis-
dance '"l'P' Hc 'I' lu P liste r'CvenclܡU.a.it la possession de la capi-
tale r^Ue' tandis que la Russie cumlltU-
nistp Cn '/)()ulaï.t pas. Aujourd'hui, malgré
le s-ifir''r(' enthoHsiasme soulevé par la vic-
luire lï'ei"aïlstG-' il ne se dégage pas en nus-
sie e pollt/ljlle bien nette sur cette ques-
tion
Les sentirnenls éprouvés par la Russie
s°ntn^leXes' Il y entre d'abord cette
ISpoSltiun naturelle à se réjouir de voir
une dos nallons vaincues triompher des
V{tinquei rs> — c'est ainsi que la Turquie fut
tr^g ,
!XI r ee df' joie lorsque la Russie re
Poussa les n ^onais--- Mais en dehors de
tela la guerre du Proche Orient a pour la
Russie Une g<['ande importance. elle sem-
blé se ri f
d Mtrni a la question du Caucase,
d,, , pétro-ie-s. La dèfai te des kémalistes
aUrait oon n , C
t. "fi ,--v S ,1 Ue un -danger réel pour le Cau-
Case, mals il est perrnis de supposer que le
lit.é\ d~ de% cs suPPrime toute possibi-
i f.^ d'entro Prises aventurières dans cette
Mais d''int re part la victoire turque n est
sans ln' à victoire turque n'est
pas Sans inspirer à la Russie certaines in-
Pa.s u e-s:-.. Les leaders russes n'ignorent
que les T"f08 r^vonl d'unir le monde
s'exer an. n r le Prestige accru des Turcs
Sexercerapartout où il y a des Musulmans
et non pas seulement dans l'Irak et dans
l'Inde. Peut-être les effets s'en feront-ils sen-
tir d'une façon plus marquée encore au Cau-
case, voire même dans l'Asie centrale. Le
fait que. même avant cette victoire, des
liens de plus en plus étroits rattachaient
les Turcs à ces populations, que, par exem-
ple. l'influence turque gagnait jusqu'aux
Tartares du Volga inférieur, inquiétait con-
sidérablement les gouvernants de Moscou.
Il convient de tenir compte de cette cir-
constance en appréciant les bruits sui-
vant lesquels le gouvernement, soviétique
serait disposé à envoyer des troupe's à tra-
vers le Caucase pour venir en aide aux
Turcs. La prudence joue un grand rôle
dans les amitiés politiques modernes. « Ve-
nir en aide aux Turcs » peut signifier se
garantir contre eux.
„ Quant à la question de Constantinople et
des Détroits, l'attitude véritable de la Rus-
sie n'est pas facile a déterminer. Une seule
chose est claire : le rêve de posséder Cons-
tantinople n'est pas mort en Russie, com-
me il semblait l'être il y a deux ans. Les
nationalistes russes, — et le nationalisme
fait des progrès en Russie, ..-;- parlent ou-
vertement de la « mission orientale ?> de
leur pays, et. l'idée de cette mission se
concentre sur Constantinople ; tandis que
les communistes, qui aujourd'hui s'intitu-
lent fièrement, les « réalistes », commen-
cent à envisager Constantinople comme
le débouché nécessaire d'une Russie évo-
luant. dans le sens capitaliste.
Si les Turcs avancent et qu'ils prennent.
Constantinople. les Russes applaudiront à
leur succès, comme ils applaudiraient à
toute autre victoire remportée sur l'Entente.
Mais il ne serait guère possible de rallier
l'opinion publique russe à l'idée d'aider la
Turquie à obtenir ce résultat. Il n'est nul-
lement certain que la Russie ait aujour-
d'hui le désir de voir les Turcs installés en
maîtres à Constantinople et sur les rives des
Détroits. Une Constantinople aux mains des
nationalistes turcs mettrait fin pour long-
temps au rêve d'une < onstanlinople russe,
au lieu que l'occupation alliée ne saurait du-
rer toujours et aboutirait peut-être à un rè-
glement qui favoriserait la Russie.
Il n'est pas douteux qu'une des stipula-
tions d'Angora, relativement à une confé-
rence ne vise l'envoi d'une invitation à la
Russie. Cette stipulation refléterait, d'ail-
leurs, le véritable sentiment du gouverne-
ment d'Angora et de son peuple, car l'idée
que la Russie est une amie sincère du peu-
ple turc est très répandue. Les alliés, de
leur côté, doivent-ils souhaiter la participa-
tion de la Russie ? Une longue expérience
a démontré à l'Europe qu'il ne peut v, avoir
de règlement réel des affaires occidentales
sans que la Russie n'y prenne part.
La Russie se présenterait et se comporte-
rait certainément à la conférence comme le
champion officiel de la Turquie, mais. il
se trouvera peut-être que sur certaines des-
questions discutées à cette conférence la
Russie suivra plutôt sa politique tradition-
nelle que celle que pourrait exiger d'elle sa
nouvelle amitié. L'histoire a prouvé à main-
tes reprises que la Russie, tout en étant la
puissance la plus, orientale de l'Europe, se
sent puissance occidentale lorsqu'elle est
appelée à se prononcer, de concert avec
l'Europe, sur des questions orientales. —
(D'un correspondant ayant récemment sé-
journé en Russie.)
MANCHESTER GUARDTAN, 21.9.
« LA CRISE TELLE QUE LA VOIT LA RUSSIE »
[sous ce titre]. — De Berlin, 20 septembre :
L'opinion des Russes .au sujet des victoires
kémalistes s'exprime avec sa crudité habi-
tuelle. La Pm pila du 10 septembre dit no-
tamment :
« C'est toujours la lutte pour le chemin
de fer de Bagdad, pour les puits de pé-
trole, pour le coton de la Mésopotamie,
pour Constantinople et pour les Darda-
nelles. Mais ce n'est plus l'Angleterre, l'an-
cienne miOiitresse des mers, et l'Allemagne
vaincue aujourd'hui et privée de toute in-
fluence en Asie, qui sont en rivalité. C'est
une lutte -oriiî.re l'Angleterre el les nouveaux
dictateurs de l'Europe, qui ont remplacé
la Prusse des Uoheiizollern, c'est-à-dire les
Français. Une avance victorieuse en Asie
Mineure d-s Grecs, chiens fidèles de l'An-
gleterre, aurait donné à la Grande-Bre-
gne plus de mille kilomètres du chemin
de fer de Ragdad appartenant à l'Anatolie;
elle lui aurait assuré ln. possession des
puits de pétrole de Mésopotamie : elle au-
rait, enfin, consolidé sa mainmise sur Cons-
tantinople et sur les Dardanelles. »
D'après la Pravda, la France a soutenu
les kémalistes pour conjurer le, danger qui
menaçait dans la Méditerranée l'équilibre
européen.
« La France, poursuit la Pravda, ne peut
pas se contenter de la Méditerranée seule
CYeai, pourquoi le gouvernement français
a voulu que fussent comprises dans la zone
française la) Syrie et Alexandrette car Alex- ,
andrette promet d'être, d'ici trente ans un
des ports les plus, florissants de la Méditer-
ranée. »
Plus importante encore, à en croire la
Pratida, serait la lutte pour Constantinople.
« Le plan britannique était simplement
de s'emparer des Détroits en écrasant la
Turquie. Les Français voulaient prendre
tout sur eux et établir leur prépondérance
non seulement dans la Méditerranée, mais
AIRES ÉTRANGÈRES
DES
N° 2162
Lundi 25 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
, NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
N traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
w
SOMMAIRE
*" AMf'^CAINF- - Les conséquences de
la victoire turque- OV orld). - L'ac-
coi-( ? S,tinnes-Lubersac (Public Ledger).
*
ANGLaIse- - Les conséquences de la
vW -^ur<^ue ^anche s ter Guardian,
Times)
, ~SE BELGE. - Les pouvoirs de la com-
I' rnf ssion des réparations : un projet de
JI. Lacroix (lnd¿pendance Belge).
PHE~~E ITALIENNE. — Les conséquences de la
vînttoire turque (Secolo, Popolo l'Italia,
: Giornale dltalia. Tribuna, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
t
LE PROCHE ORIENT
ERFSSE ANGLAISE. - « LA RUSSIE ET LA
- ^'NATTITL DE RELATIVEMENT A CONS-
ÎAlVrUII >LE J [sous ce titre]. — Un curres-
pondant arlant récemment séjourné en Rns-
sie s.>,. Jnc, Iluns h' Manchester Guardian,
le ja■l
le fait (J1.le le sort (/(' ^cmstarilinaide inté-
resse la Russie plus (jue toute autre puis-
dance '"l'P' Hc 'I' lu P
tale r^Ue' tandis que la Russie cumlltU-
nistp Cn '/)()ulaï.t pas. Aujourd'hui, malgré
le s-ifir''r(' enthoHsiasme soulevé par la vic-
luire lï'ei"aïlstG-' il ne se dégage pas en nus-
sie e pollt/ljlle bien nette sur cette ques-
tion
Les sentirnenls éprouvés par la Russie
s°ntn^leXes' Il y entre d'abord cette
ISpoSltiun naturelle à se réjouir de voir
une dos nallons vaincues triompher des
V{tinquei rs> — c'est ainsi que la Turquie fut
tr^g ,
!XI r ee df' joie lorsque la Russie re
Poussa les n ^onais--- Mais en dehors de
tela la guerre du Proche Orient a pour la
Russie Une g<['ande importance. elle sem-
blé se ri f
d Mtrni a la question du Caucase,
d,, , pétro-ie-s. La dèfai te des kémalistes
aUrait oon n , C
t. "fi ,--v S ,1 Ue un -danger réel pour le Cau-
Case, mals il est perrnis de supposer que le
lit.é\ d~ de% cs suPPrime toute possibi-
i f.^ d'entro Prises aventurières dans cette
Mais d''int re part la victoire turque n est
sans ln' à victoire turque n'est
pas Sans inspirer à la Russie certaines in-
Pa.s u e-s:-.. Les leaders russes n'ignorent
que les T"f08 r^vonl d'unir le monde
s'exer an. n r le Prestige accru des Turcs
Sexercerapartout où il y a des Musulmans
et non pas seulement dans l'Irak et dans
l'Inde. Peut-être les effets s'en feront-ils sen-
tir d'une façon plus marquée encore au Cau-
case, voire même dans l'Asie centrale. Le
fait que. même avant cette victoire, des
liens de plus en plus étroits rattachaient
les Turcs à ces populations, que, par exem-
ple. l'influence turque gagnait jusqu'aux
Tartares du Volga inférieur, inquiétait con-
sidérablement les gouvernants de Moscou.
Il convient de tenir compte de cette cir-
constance en appréciant les bruits sui-
vant lesquels le gouvernement, soviétique
serait disposé à envoyer des troupe's à tra-
vers le Caucase pour venir en aide aux
Turcs. La prudence joue un grand rôle
dans les amitiés politiques modernes. « Ve-
nir en aide aux Turcs » peut signifier se
garantir contre eux.
„ Quant à la question de Constantinople et
des Détroits, l'attitude véritable de la Rus-
sie n'est pas facile a déterminer. Une seule
chose est claire : le rêve de posséder Cons-
tantinople n'est pas mort en Russie, com-
me il semblait l'être il y a deux ans. Les
nationalistes russes, — et le nationalisme
fait des progrès en Russie, ..-;- parlent ou-
vertement de la « mission orientale ?> de
leur pays, et. l'idée de cette mission se
concentre sur Constantinople ; tandis que
les communistes, qui aujourd'hui s'intitu-
lent fièrement, les « réalistes », commen-
cent à envisager Constantinople comme
le débouché nécessaire d'une Russie évo-
luant. dans le sens capitaliste.
Si les Turcs avancent et qu'ils prennent.
Constantinople. les Russes applaudiront à
leur succès, comme ils applaudiraient à
toute autre victoire remportée sur l'Entente.
Mais il ne serait guère possible de rallier
l'opinion publique russe à l'idée d'aider la
Turquie à obtenir ce résultat. Il n'est nul-
lement certain que la Russie ait aujour-
d'hui le désir de voir les Turcs installés en
maîtres à Constantinople et sur les rives des
Détroits. Une Constantinople aux mains des
nationalistes turcs mettrait fin pour long-
temps au rêve d'une < onstanlinople russe,
au lieu que l'occupation alliée ne saurait du-
rer toujours et aboutirait peut-être à un rè-
glement qui favoriserait la Russie.
Il n'est pas douteux qu'une des stipula-
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Russie. Cette stipulation refléterait, d'ail-
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ment d'Angora et de son peuple, car l'idée
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ple turc est très répandue. Les alliés, de
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tion de la Russie ? Une longue expérience
a démontré à l'Europe qu'il ne peut v, avoir
de règlement réel des affaires occidentales
sans que la Russie n'y prenne part.
La Russie se présenterait et se comporte-
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se trouvera peut-être que sur certaines des-
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nouvelle amitié. L'histoire a prouvé à main-
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l'Europe, sur des questions orientales. —
(D'un correspondant ayant récemment sé-
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« LA CRISE TELLE QUE LA VOIT LA RUSSIE »
[sous ce titre]. — De Berlin, 20 septembre :
L'opinion des Russes .au sujet des victoires
kémalistes s'exprime avec sa crudité habi-
tuelle. La Pm pila du 10 septembre dit no-
tamment :
« C'est toujours la lutte pour le chemin
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pour Constantinople et pour les Darda-
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cienne miOiitresse des mers, et l'Allemagne
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gne plus de mille kilomètres du chemin
de fer de Ragdad appartenant à l'Anatolie;
elle lui aurait assuré ln. possession des
puits de pétrole de Mésopotamie : elle au-
rait, enfin, consolidé sa mainmise sur Cons-
tantinople et sur les Dardanelles. »
D'après la Pravda, la France a soutenu
les kémalistes pour conjurer le, danger qui
menaçait dans la Méditerranée l'équilibre
européen.
« La France, poursuit la Pravda, ne peut
pas se contenter de la Méditerranée seule
CYeai, pourquoi le gouvernement français
a voulu que fussent comprises dans la zone
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andrette promet d'être, d'ici trente ans un
des ports les plus, florissants de la Méditer-
ranée. »
Plus importante encore, à en croire la
Pratida, serait la lutte pour Constantinople.
« Le plan britannique était simplement
de s'emparer des Détroits en écrasant la
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