Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 septembre 1922 15 septembre 1922
Description : 1922/09/15 (T22,N2154). 1922/09/15 (T22,N2154).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252452s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MlNlSTÈRt ~l
Af DES
AFFAI RE sÉTRANGÊREB
1 --
N° 2154.
Vendredi 15 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALI-FMANDE. - Les négocia.tions ger-
ttiano-beilc'es m/ Worivarts, Germania,
? r, Gen~a~ta.,
Frank[ul'ter Zeitlmg). - La baisse du
, mark n , L" baissé du
Phesse V
— La question des
Pres's } Xashin0ton Post). -
PRESSE ANGLAISE. - nouveau tarif doua-
nier aux Et.ats--Vnis; (Daily Chroniclé).
- La Russie Qt l'Orient (Michaël Farl-
t man dans Observer).
ïWse B, EL GE" i ^es négociations jgermano-
■ ,bel?ûs (Indépendance Retge,
XXe Siècle). Soir,
; P^ES'SE '■ITALI conférence de Ve-
nise (Xfnn t La co,nféren'ce de Ve-
Presse • Epoca., Populo d'italia).
RES,SE IU;SSE, - La France et des kéma-
listes (lszVestÚl).
1 ÎOLIÏIQUE GENERALE
1 LES Réparations
ATIONS GERMANO-BEL-
l rflent SE ALLEMANDE. - Le gouverne-
* i (, en* belqe n8age dans la voie prévue par
la conirn. -,
(les d réparations en cas d'échec
"■ S n^Rcx-i«t C0? directes. L'attitude , du
re, n'est pas à l'abri de
(il..!\, re n'est pas de l'abri rte
.H Portent. de nouveau
?86 duchange <ïui avait pu
1 tthî ^'blempnarr^ée ,ces jours derniers
gre le, ff "l' X A
f,, qUoi, s e ° de certains milieux. A
¡ l''upi:ert au gOUvernement a'll emand , au
I i^Ueallei«ant. et au monde entier le fait
ef.;t ",..ngleterre et ntali-e la Belgique
est. e-e a. la - que l'Allemagne
feu arrivée àlaConvi'Ction que l'Allemagne
lest lnsolvablp -Pt que la politique actuelle des
Il
■■f! r^r,n^tions est rieste' si l'on oublie d'au-
- Jart d'en to
Ci. C' n tenir eompte ? L'Allemagne
L Velle 'Priver io mark-papier de SA der-
■ IS..(,'bander Couverture métallique? On peut
;; (J, président.
^'hsbarik J?61?611* si les président^
")U\. Jaits à a'influencè du
1 - IUV ernejïient allemand Selon le désir for-
• r'iel ,Entente "PtlChf gés du travaIl d'Her-
fvL?* mettre fin à l'inflation, aceepte-
11rie telle t-v-i salls que la situation
fût o °rnP1 ''fpment é h & Sâ ns CJlle la situation
ii'ie ^n -
I B aircie. Quant à l'indus-
8' nt? de la Belgique
milieu m ont dI û .Z S6 convaincre qu'il vaut
"'- a l"rt Ve à-
ll* eu ~rri 0 r, à une entente que d'accepter
;«*S.nir°P Sec^ rable ''SinTBe,]SlcIue veut
Srter la route rliffi.-i
^iver - la route diffidlement entretenue
mir leUx allemanfia ™* .1" s'efforcent d'ar-
lle ."«"e saine P()Iiti. ciue des réparation',,
bo™e S d
e qu en Belgique on n'aperçoive
pas clairement la gravité de cette situation,
dont les conséquences dépassent de beau-
coup les frontières allemandes. Toutes les
portes ne sont pas encore fermées, mais il
faut affirmer que des ordres dictés par
l'une des parties ne sont pas le moyen de
mettre fin à la, folie qui tient encore l'Eu-
rope captive, alors que de l'autre côté on
est convaincu que cette folie ne sert qu'à
précipiter l'Allemagne dans le plus grand
des malheurs.
VORWAERTS, 13.9 matin.
- Le gouvernement belge se serait donc
décidé à - exiger la garantie des paiements
par un dépôt d'or. On ne peut manquer de
s'étonner que le gouvernement belge: soit
revenu à cette revendication du dépôt d'or,
car cette question pouvait être considérée
comme écartée par les négociations de Ber-
lin. Qu'une telle solution ne puisse pas, être
examinée par nous, non seulement on l'a
démontré d'une manière convaincante du
côté allemand, mais des personnalités clair-
voyantes et influentes à l'étranger l'ont re-
connu. La situation s'est certainement ag-
gravée par suite de cette revendication
belge ; mais cependant il ne faudrait pas
renoncer à l'espoir d'arriver à un arran-
gement à la dernière heure. Le gouverne-
ment allemand ne pourra pas sans doute
renoncer à son Ipoirut de vue très justifié,
que tout au plus une prolongation pourrait
entrer en ligne de compte comme nouvelle
garantie.
GERMANIA, 13.9.
— Si le gouvernement allemand repousse
la prétention belge, le gouvernement belge
informera la commission des réparations
du refus allemand. La commission des ré-
parations aura à dire s'il y a eu manque-
ment voulu de 'la part de l'Allemagne. Si
telle est sa décision, M. Poincaré aura, la
voie libre pour prendre ses sanctions, le
destin suivra son cours, la France triom-
phera en Europe. Toutefois, nous ne
croyons pas qu'on en arrive là. Il faudrait
que les autres nations fussent. bien mal
inspirées pour permettre cela à propos
d'une question de 100 millions de marks-or,
alors que des décisions de bien plus grande
importancel vont s'imposer dans le plus
bref délai ! En attendant, deux délégués al-
lemands négocient à Paris pour chercher
une issue.
FRANKFURTER ZEITUNG, 13,9. soir.
PRESSE BELGE. — Dans un délai de trois
jours, le gouvernement allemand doit avoir
répondu à la sommation qui vient de lui
être faite par le gouvernement belge.
Il s'agit d'une somme de 100 millions de
marks-or.
L'établissement agréé sera vraisemblable-
ment la Banque Nationale.
La décision du gouvernement belge est
conforme à l'esprit de la décision du 31
août rendue par la commission des répara-
tions.
Si l'Allemagne oppose un nouveau refus ou
cherche à provoquer un retard, il ne restera
à la Belgique qu'à remettre l'affaire entre
les mains de la commission compétente.
C'est une chose entendue de par le sens
du traité de paix, car il va de soi qu'en cas
de refus allemand à toute offre ou demande
concernant l'exécution des réparations, c'est
à la commission que le différend doit tout
d'abord être soumis.
Dans le cas actuel, fa dite commission ne
pourra que signaler aux puissances intéres-
sées l'inexécution de sa décision, en y joi-
gnant les propositions qu'elle jugera utile
de formuler. Les puissances alliées devront
aussitôt s'entendre sur les mesures qu'il
conviendra de prendre à l'égard de l'Alle-
magne et que celle-ci, toujours d'après le
§ 18 de l'annexe au traite, relatif aux ré-
parations, s'engage à ne pas considérer
comme des actes d'hostilité.
A cette occasion, on pourrait voir se ré-
veiller le continuel antagonisme franco-an-
glais en matière de réparations, car la
France proposera très probablement des
mesures de sanction, à raison de son inté-
rêt à ce que les paiements dus à la Bel-
gique ne soient pas retardés au delà du 15
décembre 1922.
Toutefois, la décision de la commission
des réparations ayant été rendue à l'unani-
mité, le délégué anglais ne pourra que se
rallier au point de vue de ses collègues et
logiquement, le gouvernement britannique
devrait le suivre.
INDEPENDANCE BELGE, 14.9.
-- Parce que les délégués belges et no-
tamment, M. Delacroix avaient écouté leurs
doléances, sans se départir de leur calme,
les Allemands s'étaient imaginés peut-être
que les Belges se laisseraient jouer par eux.
Ils ont appris depuis quarante-huit heu-
res que nos gouvernants, s'ils tentent d'ar-
ranger les choses pour la paix du monde et
la restauration économique de l'Europe, ne
sont pas hommes à participer longtemps
au jeu de bluff des pokeristee berlinois.
Et voici que l'Allemagne se mord aujour-
d'hui les poings d'avoir une fois de plus
manqué de flair.
MM. Bergmann et Fisher ont. dû preste-
ment prendre le train pour Paris. Ils s'y
trouvent depuis hier, et, jusqu'à cette
heure, la commission des réparations n'a
pas cru devoir les convoquer.
Il en sera vraisemblablement ainsi jus-
qu'au 15 courant, date à laquelle il faudra
que, suivant la décision de la commission
Af DES
AFFAI RE sÉTRANGÊREB
1 --
N° 2154.
Vendredi 15 septembre 1922
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Presse ALI-FMANDE. - Les négocia.tions ger-
ttiano-beilc'es m/ Worivarts, Germania,
? r, Gen~a~ta.,
Frank[ul'ter Zeitlmg). - La baisse du
, mark n , L" baissé du
Phesse V
— La question des
Pres's } Xashin0ton Post). -
PRESSE ANGLAISE. - nouveau tarif doua-
nier aux Et.ats--Vnis; (Daily Chroniclé).
- La Russie Qt l'Orient (Michaël Farl-
t man dans Observer).
ïWse B, EL GE" i ^es négociations jgermano-
■ ,bel?ûs (Indépendance Retge,
XXe Siècle). Soir,
; P^ES'SE '■ITALI conférence de Ve-
nise (Xfnn t La co,nféren'ce de Ve-
Presse • Epoca., Populo d'italia).
RES,SE IU;SSE, - La France et des kéma-
listes (lszVestÚl).
1 ÎOLIÏIQUE GENERALE
1 LES Réparations
ATIONS GERMANO-BEL-
l rflent SE ALLEMANDE. - Le gouverne-
* i (, en* belqe n8age dans la voie prévue par
la conirn. -,
(les d réparations en cas d'échec
"■ S n^Rcx-i«t C0? directes. L'attitude , du
re, n'est pas à l'abri de
(il..!\, re n'est pas de l'abri rte
.H Portent. de nouveau
?86 duchange <ïui avait pu
1 tthî ^'blempnarr^ée ,ces jours derniers
gre le, ff "l' X A
f,, qUoi, s e ° de certains milieux. A
¡ l''upi:ert au gOUvernement a'll emand , au
I i^Ueallei«ant. et au monde entier le fait
ef.;t ",..ngleterre et ntali-e la Belgique
est. e-e a. la - que l'Allemagne
feu arrivée àlaConvi'Ction que l'Allemagne
lest lnsolvablp -Pt que la politique actuelle des
Il
■■f! r^r,n^tions est rieste' si l'on oublie d'au-
- Jart d'en to
Ci. C' n tenir eompte ? L'Allemagne
L Velle 'Priver io mark-papier de SA der-
■ IS..(,'bander Couverture métallique? On peut
;; (J, président.
^'hsbarik J?61?611* si les président^
")U\. Jaits à a'influencè du
1 - IUV ernejïient allemand Selon le désir for-
• r'iel ,Entente "PtlChf gés du travaIl d'Her-
fvL?* mettre fin à l'inflation, aceepte-
11rie telle t-v-i salls que la situation
fût o °rnP1 ''fpment é h & Sâ ns CJlle la situation
ii'ie ^n -
I B aircie. Quant à l'indus-
8' nt? de la Belgique
milieu m ont dI û .Z S6 convaincre qu'il vaut
"'- a l"rt Ve à-
ll* eu ~rri 0 r, à une entente que d'accepter
;«*S.nir°P Sec^ rable ''SinTBe,]SlcIue veut
Srter la route rliffi.-i
^iver - la route diffidlement entretenue
mir leUx allemanfia ™* .1" s'efforcent d'ar-
lle ."«"e saine P()Iiti. ciue des réparation',,
bo™e S d
e qu en Belgique on n'aperçoive
pas clairement la gravité de cette situation,
dont les conséquences dépassent de beau-
coup les frontières allemandes. Toutes les
portes ne sont pas encore fermées, mais il
faut affirmer que des ordres dictés par
l'une des parties ne sont pas le moyen de
mettre fin à la, folie qui tient encore l'Eu-
rope captive, alors que de l'autre côté on
est convaincu que cette folie ne sert qu'à
précipiter l'Allemagne dans le plus grand
des malheurs.
VORWAERTS, 13.9 matin.
- Le gouvernement belge se serait donc
décidé à - exiger la garantie des paiements
par un dépôt d'or. On ne peut manquer de
s'étonner que le gouvernement belge: soit
revenu à cette revendication du dépôt d'or,
car cette question pouvait être considérée
comme écartée par les négociations de Ber-
lin. Qu'une telle solution ne puisse pas, être
examinée par nous, non seulement on l'a
démontré d'une manière convaincante du
côté allemand, mais des personnalités clair-
voyantes et influentes à l'étranger l'ont re-
connu. La situation s'est certainement ag-
gravée par suite de cette revendication
belge ; mais cependant il ne faudrait pas
renoncer à l'espoir d'arriver à un arran-
gement à la dernière heure. Le gouverne-
ment allemand ne pourra pas sans doute
renoncer à son Ipoirut de vue très justifié,
que tout au plus une prolongation pourrait
entrer en ligne de compte comme nouvelle
garantie.
GERMANIA, 13.9.
— Si le gouvernement allemand repousse
la prétention belge, le gouvernement belge
informera la commission des réparations
du refus allemand. La commission des ré-
parations aura à dire s'il y a eu manque-
ment voulu de 'la part de l'Allemagne. Si
telle est sa décision, M. Poincaré aura, la
voie libre pour prendre ses sanctions, le
destin suivra son cours, la France triom-
phera en Europe. Toutefois, nous ne
croyons pas qu'on en arrive là. Il faudrait
que les autres nations fussent. bien mal
inspirées pour permettre cela à propos
d'une question de 100 millions de marks-or,
alors que des décisions de bien plus grande
importancel vont s'imposer dans le plus
bref délai ! En attendant, deux délégués al-
lemands négocient à Paris pour chercher
une issue.
FRANKFURTER ZEITUNG, 13,9. soir.
PRESSE BELGE. — Dans un délai de trois
jours, le gouvernement allemand doit avoir
répondu à la sommation qui vient de lui
être faite par le gouvernement belge.
Il s'agit d'une somme de 100 millions de
marks-or.
L'établissement agréé sera vraisemblable-
ment la Banque Nationale.
La décision du gouvernement belge est
conforme à l'esprit de la décision du 31
août rendue par la commission des répara-
tions.
Si l'Allemagne oppose un nouveau refus ou
cherche à provoquer un retard, il ne restera
à la Belgique qu'à remettre l'affaire entre
les mains de la commission compétente.
C'est une chose entendue de par le sens
du traité de paix, car il va de soi qu'en cas
de refus allemand à toute offre ou demande
concernant l'exécution des réparations, c'est
à la commission que le différend doit tout
d'abord être soumis.
Dans le cas actuel, fa dite commission ne
pourra que signaler aux puissances intéres-
sées l'inexécution de sa décision, en y joi-
gnant les propositions qu'elle jugera utile
de formuler. Les puissances alliées devront
aussitôt s'entendre sur les mesures qu'il
conviendra de prendre à l'égard de l'Alle-
magne et que celle-ci, toujours d'après le
§ 18 de l'annexe au traite, relatif aux ré-
parations, s'engage à ne pas considérer
comme des actes d'hostilité.
A cette occasion, on pourrait voir se ré-
veiller le continuel antagonisme franco-an-
glais en matière de réparations, car la
France proposera très probablement des
mesures de sanction, à raison de son inté-
rêt à ce que les paiements dus à la Bel-
gique ne soient pas retardés au delà du 15
décembre 1922.
Toutefois, la décision de la commission
des réparations ayant été rendue à l'unani-
mité, le délégué anglais ne pourra que se
rallier au point de vue de ses collègues et
logiquement, le gouvernement britannique
devrait le suivre.
INDEPENDANCE BELGE, 14.9.
-- Parce que les délégués belges et no-
tamment, M. Delacroix avaient écouté leurs
doléances, sans se départir de leur calme,
les Allemands s'étaient imaginés peut-être
que les Belges se laisseraient jouer par eux.
Ils ont appris depuis quarante-huit heu-
res que nos gouvernants, s'ils tentent d'ar-
ranger les choses pour la paix du monde et
la restauration économique de l'Europe, ne
sont pas hommes à participer longtemps
au jeu de bluff des pokeristee berlinois.
Et voici que l'Allemagne se mord aujour-
d'hui les poings d'avoir une fois de plus
manqué de flair.
MM. Bergmann et Fisher ont. dû preste-
ment prendre le train pour Paris. Ils s'y
trouvent depuis hier, et, jusqu'à cette
heure, la commission des réparations n'a
pas cru devoir les convoquer.
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