Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-16
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 16 septembre 1922 16 septembre 1922
Description : 1922/09/16 (T22,N2155). 1922/09/16 (T22,N2155).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524536
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
1 MINISTÈRE 1,
DF
fpFair^ ÉTRANGÈRES
i ---
N° 2155
Samedi 16 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
v
SSE ALLEIIINI)E. "Les négociations ger-
lIlano-belges (Vorwarts, Kölnische
V.Olkszeituny, Berliner Tageblatt). -
L'accord LUbersac-Stinnes (Dr Alphons
Nobel dans Deutsche).
PRESSE ~- Les (( garanties pro-
~s » (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. - Réparations et dettes
mteralliApa (Aforning Post). - Les con-
6équenCp«
sequences de la victoire turque (Mor-
ninq Post, U'esiminster Gazette). - Les
Soviets et les Détroits (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
*
LES RÉPARATIONS
S NEGOCIATIONS GERMANO-BEL-
GEs._p RESSE ALLEMANDE. — Du côté alle-
rent on ne peut que regretter très vive-
la Publication de l'Agence Belge
'd'u peu^ ,, 6 involontairement — ait l'air
d'Un acte 1îlamicia'1 envers l'Allemagne. Pré-
cisément la Belgique n'avait pas refusé
^drnett re qu'ill fallait éviter tout ce qui
InstItue un nouveau danger pour le change
Allemand La rédaction équivoque de la ré-
Porisg * lPr°T)asiti°ns allemandes a ,porté
mark lm nouveau C0'UP sensible. Les
°°mnienta-
'~ni&ntf)~-~ de presse parvenus jusqu'ici
Entrent elombien on est ému en Angle-
ferre des conséquenices possibles d'un
j, ~'1..t
o 1. En fait aucun parti ne pourrait
Accepter la responsabilité des nouvelles cri-
ses q,Ul. se PrOdix-irai-ent sur le marché des
Ch^les oause, de la couverture des
100 million de marks-or de bons du Trésor,
crises dont 1 a conséquence finale serait une
Perte bpan^ plus élevée que les sommes
à COUVIrtir. On peut être assuré à Bruxelles
qUe Ion apprécie en Allemagne la différence
entre une - Rw"S'^e inspirée par le droit et
la International et une France isolée
^erit poup jff,® de Poincaré ; mais précisé-
exiger POur cette raison on ne devrait pas
Pales S av« côté des mesures incom-
Pat~l~es av,,,, une attHude loyale. Aussi
tw<*-on bIen d'attendire en Belgique les
résultats "flu vm
résultats du voyage des représentants alle-
mands à Pans aVant d'exiger une décision
définitive.
VORXVAERTS, 13.9, soir.
— On a l'impression que l'atmosphère
dans laquelle se poursuivent les négocia-
tions sur le problème des réparations s'est
modifiée malgré Poincaré. A l'exception de
quelques incorrigibles chauvins français,
on ne conteste plus nulle part la sincère
volonté du gouvernement allemand d'arri-
ver à une entente et de ne pas refuser ce
qu'il a pu accorder en toute conscience. En
France aussi on semble plus disposé à une
entente économique avec l'Allemagne. L'ac-
cord Stinnes-Lubersac n'a pas manqué de
produire son effet économique. Il ne paraî-
tra sans doute pas désirable aux milieux
économiques français de compromettre par
une nouvelle complication de la situation
les avantages offerts par cet accord.
Quant à la commission des réparations,
elle a établi par sa décision du 31 août un
fait qu'elle ne pourra plus négliger dans
ses décisions futures, l'insolvabilité de l'Al-
lemagne. Désormais eille ne pourra plus
suivre une politique qui ignore ce fait essen-
tiel.
Pendant ce temps un contact direct s'est
établi à Paris entre les secrétaires d'Etat
allemands qui y sont venus et les membres
de la commission des réparations. Ce n'est
pas non plus un symptôme défavorable. On
doit plutôt en conclure que l'on cherche une
solution des deux côtés.
KOELNISCHE VOLKSZEITUNG, 14.9, soir.
.- Indépendamment de l'échange de
notes, se poursuivent les négociations des
secrétaires d'Etat Bergmann et Fischer
avec les membres de la commission des ré-
parations à Paris. Ces conversations sont
entrées hier dans une phase nouvelle, les
deux secrétaires d'Etat ayant demandé une
prolongation de l'échéalnce des bons du
Trésor que l'Allemagne devait remettre à
l'Autriche le 15 août et le 15 septembre à
la Belgique. On a l'espoir que les pro-
chaines négociations de Paris écarteront le
danger d'une décision de la commission des
réparations dans le sens souhaité par la
presse nationaliste de Paris. Conformément
à leurs instructions de Berlin, les délégués
allemands s'efforcent de prouver encore
une fois avec toute l'insistance nécessaire
aux membres de la commission des répa-
rations que le refus allemand de fournir un
dépôt d'or comme la garantie des bons du
Trésor que l'Allemgane devait remettre à
volonté », mais par la détresse des finances
allemandes que des phrases chauvines ne
peuvent pas écarter. La commission des
réparations elle-même, on le sait, a déclaré
dans sa dernière décision du 31 août que
le crédit de l'Allemagne était ébranlé. L'Al-
lemagne peut maintenant invoquer cette
affirmation lorsqu'elle demande six mois
de prolongation pour l'échéance des bons du
Trésor. Si l'on arrive à un accord sur cette
nouvelle base, rien ne s'opposerait plus à
une entente directe avec la Belgique, puis-
qu'un accord de principe a déjà été réalisé
la semaine dernière sur la forme de ga-
rantie des bons du Trésor de 6 à 18 mois.
On ne peut rien dire de précis sur les
chances de succès de cet accord avant la
fin des négociations de Paris : mais on a
le devoir d'attendre tranquillement leur
résultat.
BERLINER TAGEBLATT, 14.9, matin.
L'ACCORD LUBERSAC - STINNES. —
Cf. Bulletin, n° 2149, p. 1. — Sous le titre :
« Stinnes, de Lubersac et Le Trocquer ».
L'accord qui vient d'être conclu entre Stin
nes et le marquis de Lubersac pose le problème
de la reconstruction des régions dévastées ctu
Nord de la France. Depuis 4 ans, rien ou à peu
près rien n'a été fait pour cette reconstruction :
Saint-Quentin, Verdun sont touj ours en ruines
On prétend pourtant avoir déjà dépensé 90 mil-
liards de francs. Qu'aurait-on fait de cet ar-
gent ? L'ancien correspondant du « Manchester
Guardian », Robert Dell, a déclaré dans la presse
anglaise et armoricaine qu'une partie du budget
des régions dévastées aurait servi à alimenter
la caisse des fonds secrets qui ont permis de
mettre sur pied les expéditions de Koltchak, de
Denikine, de Wrangel, etc., et que le reste est
allé dans la poche des profiteurs des répara-
tions. Les industriels français, pour se réserver
tous les bénéfices, ont opposé la plus vive ré-
sistance à la fourniture par l'Allemagne de con-
tributions en nature et de main-d'œuvre. On
préférait des versements en espèces qui pou-
vaient facilement être employés à tout autre
chose qu'aux réparations. D'ailleurs, les contri-
butions en nature elles-mêmes, telles que le char-
bon fourni par l'Allemagne, ont été surtout un
objet de spéculation : la France a ainsi gagné en
deux ans 2 milliards 57 sur le charbon alle-
mand.
Soit dit en un mot : les Français qui sont
à même d'exercer une influence ne se sont
pas intéressés jusqu'ici à la reconstruction,
mais uniquement à obtenir de l'Allemagne,
sous le couvert des réparations, un tribut
aussi élevé que possible qui puisse facile-
ment être employé à d'autres fins.
C'est uniquement sous ce jour qu'il y a
lieu de juger le traité Stinnes-de Lubersac.
Nous sommes disposés à l'accueillir avec
faveur s'il doit véritablement contribuer à la
reconstruction des régions dévastées, car
contrairement aux dirigeants français, nous
avons intérêt à ce que les ruines de ces ré-
gions disparaissent le plus rapidement pos-
sible. Mais si l'accord conclu par Stinnes
ne devait servir à l'industrie française qu'à
obtenir, sous couleur de réparations des
matières premières et des produits mi-ou-
vrés qu'elle emploierait à autre chose qu'à
la reconstruction des régions dévastées le
danger pourrait être grand pour la vie éco-
DF
fpFair^ ÉTRANGÈRES
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N° 2155
Samedi 16 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
v
SSE ALLEIIINI)E. "Les négociations ger-
lIlano-belges (Vorwarts, Kölnische
V.Olkszeituny, Berliner Tageblatt). -
L'accord LUbersac-Stinnes (Dr Alphons
Nobel dans Deutsche).
PRESSE ~- Les (( garanties pro-
~s » (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. - Réparations et dettes
mteralliApa (Aforning Post). - Les con-
6équenCp«
sequences de la victoire turque (Mor-
ninq Post, U'esiminster Gazette). - Les
Soviets et les Détroits (Daily Tele-
graph).
POLITIQUE GENERALE
*
LES RÉPARATIONS
S NEGOCIATIONS GERMANO-BEL-
GEs._p RESSE ALLEMANDE. — Du côté alle-
rent on ne peut que regretter très vive-
la Publication de l'Agence Belge
'd'u peu^ ,, 6 involontairement — ait l'air
d'Un acte 1îlamicia'1 envers l'Allemagne. Pré-
cisément la Belgique n'avait pas refusé
^drnett re qu'ill fallait éviter tout ce qui
InstItue un nouveau danger pour le change
Allemand La rédaction équivoque de la ré-
Porisg * lPr°T)asiti°ns allemandes a ,porté
mark lm nouveau C0'UP sensible. Les
°°mnienta-
'~ni&ntf)~-~ de presse parvenus jusqu'ici
Entrent elombien on est ému en Angle-
ferre des conséquenices possibles d'un
j, ~'1..t
o 1. En fait aucun parti ne pourrait
Accepter la responsabilité des nouvelles cri-
ses q,Ul. se PrOdix-irai-ent sur le marché des
Ch^les oause, de la couverture des
100 million de marks-or de bons du Trésor,
crises dont 1 a conséquence finale serait une
Perte bpan^ plus élevée que les sommes
à COUVIrtir. On peut être assuré à Bruxelles
qUe Ion apprécie en Allemagne la différence
entre une - Rw"S'^e inspirée par le droit et
la International et une France isolée
^erit poup jff,® de Poincaré ; mais précisé-
exiger POur cette raison on ne devrait pas
Pales S av« côté des mesures incom-
Pat~l~es av,,,, une attHude loyale. Aussi
tw<*-on bIen d'attendire en Belgique les
résultats "flu vm
résultats du voyage des représentants alle-
mands à Pans aVant d'exiger une décision
définitive.
VORXVAERTS, 13.9, soir.
— On a l'impression que l'atmosphère
dans laquelle se poursuivent les négocia-
tions sur le problème des réparations s'est
modifiée malgré Poincaré. A l'exception de
quelques incorrigibles chauvins français,
on ne conteste plus nulle part la sincère
volonté du gouvernement allemand d'arri-
ver à une entente et de ne pas refuser ce
qu'il a pu accorder en toute conscience. En
France aussi on semble plus disposé à une
entente économique avec l'Allemagne. L'ac-
cord Stinnes-Lubersac n'a pas manqué de
produire son effet économique. Il ne paraî-
tra sans doute pas désirable aux milieux
économiques français de compromettre par
une nouvelle complication de la situation
les avantages offerts par cet accord.
Quant à la commission des réparations,
elle a établi par sa décision du 31 août un
fait qu'elle ne pourra plus négliger dans
ses décisions futures, l'insolvabilité de l'Al-
lemagne. Désormais eille ne pourra plus
suivre une politique qui ignore ce fait essen-
tiel.
Pendant ce temps un contact direct s'est
établi à Paris entre les secrétaires d'Etat
allemands qui y sont venus et les membres
de la commission des réparations. Ce n'est
pas non plus un symptôme défavorable. On
doit plutôt en conclure que l'on cherche une
solution des deux côtés.
KOELNISCHE VOLKSZEITUNG, 14.9, soir.
.- Indépendamment de l'échange de
notes, se poursuivent les négociations des
secrétaires d'Etat Bergmann et Fischer
avec les membres de la commission des ré-
parations à Paris. Ces conversations sont
entrées hier dans une phase nouvelle, les
deux secrétaires d'Etat ayant demandé une
prolongation de l'échéalnce des bons du
Trésor que l'Allemagne devait remettre à
l'Autriche le 15 août et le 15 septembre à
la Belgique. On a l'espoir que les pro-
chaines négociations de Paris écarteront le
danger d'une décision de la commission des
réparations dans le sens souhaité par la
presse nationaliste de Paris. Conformément
à leurs instructions de Berlin, les délégués
allemands s'efforcent de prouver encore
une fois avec toute l'insistance nécessaire
aux membres de la commission des répa-
rations que le refus allemand de fournir un
dépôt d'or comme la garantie des bons du
Trésor que l'Allemgane devait remettre à
volonté », mais par la détresse des finances
allemandes que des phrases chauvines ne
peuvent pas écarter. La commission des
réparations elle-même, on le sait, a déclaré
dans sa dernière décision du 31 août que
le crédit de l'Allemagne était ébranlé. L'Al-
lemagne peut maintenant invoquer cette
affirmation lorsqu'elle demande six mois
de prolongation pour l'échéance des bons du
Trésor. Si l'on arrive à un accord sur cette
nouvelle base, rien ne s'opposerait plus à
une entente directe avec la Belgique, puis-
qu'un accord de principe a déjà été réalisé
la semaine dernière sur la forme de ga-
rantie des bons du Trésor de 6 à 18 mois.
On ne peut rien dire de précis sur les
chances de succès de cet accord avant la
fin des négociations de Paris : mais on a
le devoir d'attendre tranquillement leur
résultat.
BERLINER TAGEBLATT, 14.9, matin.
L'ACCORD LUBERSAC - STINNES. —
Cf. Bulletin, n° 2149, p. 1. — Sous le titre :
« Stinnes, de Lubersac et Le Trocquer ».
L'accord qui vient d'être conclu entre Stin
nes et le marquis de Lubersac pose le problème
de la reconstruction des régions dévastées ctu
Nord de la France. Depuis 4 ans, rien ou à peu
près rien n'a été fait pour cette reconstruction :
Saint-Quentin, Verdun sont touj ours en ruines
On prétend pourtant avoir déjà dépensé 90 mil-
liards de francs. Qu'aurait-on fait de cet ar-
gent ? L'ancien correspondant du « Manchester
Guardian », Robert Dell, a déclaré dans la presse
anglaise et armoricaine qu'une partie du budget
des régions dévastées aurait servi à alimenter
la caisse des fonds secrets qui ont permis de
mettre sur pied les expéditions de Koltchak, de
Denikine, de Wrangel, etc., et que le reste est
allé dans la poche des profiteurs des répara-
tions. Les industriels français, pour se réserver
tous les bénéfices, ont opposé la plus vive ré-
sistance à la fourniture par l'Allemagne de con-
tributions en nature et de main-d'œuvre. On
préférait des versements en espèces qui pou-
vaient facilement être employés à tout autre
chose qu'aux réparations. D'ailleurs, les contri-
butions en nature elles-mêmes, telles que le char-
bon fourni par l'Allemagne, ont été surtout un
objet de spéculation : la France a ainsi gagné en
deux ans 2 milliards 57 sur le charbon alle-
mand.
Soit dit en un mot : les Français qui sont
à même d'exercer une influence ne se sont
pas intéressés jusqu'ici à la reconstruction,
mais uniquement à obtenir de l'Allemagne,
sous le couvert des réparations, un tribut
aussi élevé que possible qui puisse facile-
ment être employé à d'autres fins.
C'est uniquement sous ce jour qu'il y a
lieu de juger le traité Stinnes-de Lubersac.
Nous sommes disposés à l'accueillir avec
faveur s'il doit véritablement contribuer à la
reconstruction des régions dévastées, car
contrairement aux dirigeants français, nous
avons intérêt à ce que les ruines de ces ré-
gions disparaissent le plus rapidement pos-
sible. Mais si l'accord conclu par Stinnes
ne devait servir à l'industrie française qu'à
obtenir, sous couleur de réparations des
matières premières et des produits mi-ou-
vrés qu'elle emploierait à autre chose qu'à
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