Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 septembre 1922 07 septembre 1922
Description : 1922/09/07 (T22,N2147). 1922/09/07 (T22,N2147).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6252445n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
i MINISTÈRE
DR8
i FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2147
Jeudi 7 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANDE. — La décision de la com-
mission des réparations du 31 août :
es mesures d'application (H. von Ger-
lach dans elt am Montag). — Les né-
gociations germano-belges (Th. Wolff
dans Berliner Tageblatt).
PnESSE ANGLAISE. — La défaite grecque
!vru 'orning Post, Daily Telegraph, West-
minster Gazette). — Déclarations du co-
lonel House sur la situation de l'Europe
u mies),
PnESSE ITALIENNE. — La troisième assemblée
de la Société des nations (Resto del Car-
lino).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
Ir LA TROISIEME ASSEMBLEE. — PRESSE
ItAUEnNE' - Aujourd'hui s'ouvrent à Ge-
tiève lS travaux de la troisième assemblée
générale de la Société des nations ; et les
ta Ux et les âmes de bien des hommes se
tom. vers elle en des attitudes variées
où predOHlInent une espérance indomptable
ou clmer sarcasme..
c,, Bort des grandes idées de susciter
des es ^eranc®s de rapides et vastes palin-
8énèseS que l'événement déçoit ; d'où l'irri-
tati0n et le courroux des plus fervents. Le
chrjsjj'^ ll,Sme Jl1i-même. n'a jamais été mis
(ld P:ûllque sérieusement et dans toute son
de Infllrable portée par aucune communsftité
de fidèle Portée p<~ aucune communauté
ûn;a SOCiété des nations existe depuis trois
ans. Ceux qui la conçoivent comme un or-
cutif. à la fois législatif et exé-
eutif; de droit et de justice internationale,
e"Ine la flèûlisntion pratique des Etats-
iJnig du monde, doivent avoir observé avec
grande '01^111116 l'évolution de l'après-
guerre en D ope, qui faisait dire à un spi-
rituel journaliste américain qu'au lieu des
tjnited Stales on avait les United Hates
(haines „"'r' d'Europ,e.
Et«s lnes sont si nombreuses, si vives
Cord PrOfondes, que les soumettre à un ac-
plot autre 11110 complicité dans un com-
Plot d'égoï m°S contre d'autres égoïsmes est
donner, ardue qu'on a envie de
'r'ent l'e aux pessimistes, qui annon-
Cent le fiA\ 0Jr"n de l'Occident, la fin d'une cul-
ture et une ci vili®ation.
M a is SIon examme avec sévérité l'œu-
Vfe ccornplie au cours de ces trois années
par la Société des nations, en particulier
pour résoudre des controverses territoria-
les et des questions de souveraineté, on
doit reconnaître que le nouvel organisme
vit, qu'il est viable, et qu'il a fait une œuvre
utile, susceptible de se développer, au profit
du droit international et de la paix.
Il suffit de rappeler les accords obtenus
pour le bassin de la Sarre, pour Dantzig,
pour les concessions européennes en Chine,
et — question plus vaste et de plus grande
portée — pour la Haute-Silésie.
Si la Société des nations ne peut encore faire
plus qu'elle ne fait, c'est la faute des égoïsmes
nationaux déchaînés.
La plus grande faiblesse de la Société
des nations est l'obligation de l'unanimité
dans les décisions : ce qui revient à dire
qu'elle n'est pas un véritable organe juri-
dique super-national, qu'elle n'a aucune
autorité supérieure à celle de chaque Etat
et la limitant, mais qu'elle est simplement
une assemblée destinée à rechercher et à
réaliser la volonté unanime. Mais à cette
absence de pouvoirs juridiques supplée en
partie l'efficacité du jugement moral dont
l'arbitraire des plus puissants doit tenir
compte pour ne pas prendre, aux yeux des
autres peuples, la responsabilité d'une atti-
tude arbitraire qui serait démasquée et dé-
noncée devant l'opinion du monde entier.
Espérons que de cette troisième
épreuve la Société des nations sortira ren-
forcée et grandie eh autorité et en pouvoir
effectif.
RESTO DEL CARLINO, 5.9.
——— .———
LES RÉPARATIONS
LA DECISION DU 31 AOUT. — LES
MESURES D'APPLICATION. — La nervosité régna
une fois encore pendant les derniers jours
d'août ! Les paysans eux-mêmes l'ont, res-
senti. Tandis qu'ils faisaient l'adéquation
des prix de leurs produits avec la hausse du
dollar, ils parlaient de l'imminence d'une
guerre entre la France et l'Angleterre.
Dans la ville on discutait surtout sur le
point de savoir si nous subirions plutôt la
guerre civile ou bien l'occupation de la
Ruhr. Celui qui doutait de l'imminence
d'une catastrophe était traité avec compas-
sion, comme optimiste à tous crins. On
voit une fois de plus que si la pleine raison
ne règne presque jamais, la pleine déraison
ne triomphe pas non plus.
Naturellement, la catastrophe est simple-
ment écartée et non conjurée. A Noël, la
crise internationale va sévir à nouveau
dans toute sa violence. On a simplement
gagné du temps. Mais ce gain est déjà con-
sidérable. Il permet d'ici au retour des
jouirs critiques de mettre de l'ordre dans la
situation intérieure de l'Allemagne afin qu'à
la Noël nous puissions nous présenter de-
vant la commission des réparations avec de
meilleures propositions et un matériel de
preuves plus convaincant. Le gain de temps
est un gain réel si on sait en tirer parti.
Ces derniers temps, j'ai lu avec une sa-
tisfaction particulière l'article de l'industriel
Arnold Rechberg (Cf. Bulletin, n° 2142).
M. Rechberg qui, pour beaucoup de choses,
est un homme de droite préconise la trans-
lation de 30 du capital incorporé dans
notre industrie à la France et l'Angleterre.
C'est l'affectation des valeurs tangibles au
service de notre dette, que je déclare depuis
des années être la seule solution du pro-
blème angoissant de nos finances et des ré-
parations. M. Rechberg est seulement plus
radical que moi qui indiquais une augmen-
tation de 20 des actions en faveur du
Reich. Mais je m'incline volontiers devant
M. Rechberg qui connaît, comme intéressé,
la capacité de l'industrie.
Les questions de quantité sont des ques-
tions accessoires. Le principal est l'en-
tente sur le principe : la grande production
dans l'industrie et l'agriculture doit faire un
sacrifice. Un sacrifice si grand que le
monde reconnaisse que l'Allemagne a
épuisé ses dernières possibilités financières.
On aura ainsi posé la base pour la fixation
définitive de nos obligations et pour l'émis-
sion de; l'emprunt international. Ainsi sera
réfuté le reproche très impressionnant
qu'on nous fait : le Reich allemand est ma-
lade à mort, mais son industrie et son agri-
culture vont de mieux en mieux.
L'heure de la décision approche pour
Wirth. Il a déclaré plusieurs fois que s'il
ne lui restait qu'à choisir entre le bloc
bourgeois et le bloc ouvrier, il irait aux
prolétaires. — H. v. Gerlach.
WELT AM MONTAG, 4.9.
LES NEGOCIATIONS GERMANO-DEL-
GES. — Jusqu'ici, dans toutes les négocia-
tions et conférences où l'Angleterre et la
France n'étaient pas d'accord., l'Allemagne
gardait le rôle du cheval de picador. Le
nationalisme français était le taureau,
Lloyd George le picador et nous le cheval
qui reçoit les blessures. Pour la première
fois, la politique anglaise ne s'est pas dé-
robée. C'est ainsi que Poincaré a dû s'in-
cliner et quel les conséquences dangereuses
d'une issue sans résultat ont été détour-
nées. C'est seulement ainsi qu'on a rendu
possilble la pause pendant laquelle la nou-
velle conférence doit avoir lieu.
Mais, pour le moment, la pause n'est pas
encore) assurée et l'on ne sait de quelles ga-
ranties les Belges se déclareront satisfaits.
Les Belges sont des gens d'affaires avisés,
ils ne bâtissent pas des châteaux de car-
DR8
i FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2147
Jeudi 7 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions. intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PHESSE ALLEMANDE. — La décision de la com-
mission des réparations du 31 août :
es mesures d'application (H. von Ger-
lach dans elt am Montag). — Les né-
gociations germano-belges (Th. Wolff
dans Berliner Tageblatt).
PnESSE ANGLAISE. — La défaite grecque
!vru 'orning Post, Daily Telegraph, West-
minster Gazette). — Déclarations du co-
lonel House sur la situation de l'Europe
u mies),
PnESSE ITALIENNE. — La troisième assemblée
de la Société des nations (Resto del Car-
lino).
POLITIQUE GENERALE
LA SOCIÉTÉ DES NATIONS
Ir LA TROISIEME ASSEMBLEE. — PRESSE
ItAUEnNE' - Aujourd'hui s'ouvrent à Ge-
tiève lS travaux de la troisième assemblée
générale de la Société des nations ; et les
ta Ux et les âmes de bien des hommes se
tom. vers elle en des attitudes variées
où predOHlInent une espérance indomptable
ou clmer sarcasme..
c,, Bort des grandes idées de susciter
des es ^eranc®s de rapides et vastes palin-
8énèseS que l'événement déçoit ; d'où l'irri-
tati0n et le courroux des plus fervents. Le
chrjsjj'^ ll,Sme Jl1i-même. n'a jamais été mis
(ld P:ûllque sérieusement et dans toute son
de Infllrable portée par aucune communsftité
de fidèle Portée p<~ aucune communauté
ûn;a SOCiété des nations existe depuis trois
ans. Ceux qui la conçoivent comme un or-
cutif. à la fois législatif et exé-
eutif; de droit et de justice internationale,
e"Ine la flèûlisntion pratique des Etats-
iJnig du monde, doivent avoir observé avec
grande '01^111116 l'évolution de l'après-
guerre en D ope, qui faisait dire à un spi-
rituel journaliste américain qu'au lieu des
tjnited Stales on avait les United Hates
(haines „"'r' d'Europ,e.
Et«s lnes sont si nombreuses, si vives
Cord PrOfondes, que les soumettre à un ac-
plot autre 11110 complicité dans un com-
Plot d'égoï m°S contre d'autres égoïsmes est
donner, ardue qu'on a envie de
'r'ent l'e aux pessimistes, qui annon-
Cent le fiA\ 0Jr"n de l'Occident, la fin d'une cul-
ture et une ci vili®ation.
M a is SIon examme avec sévérité l'œu-
Vfe ccornplie au cours de ces trois années
par la Société des nations, en particulier
pour résoudre des controverses territoria-
les et des questions de souveraineté, on
doit reconnaître que le nouvel organisme
vit, qu'il est viable, et qu'il a fait une œuvre
utile, susceptible de se développer, au profit
du droit international et de la paix.
Il suffit de rappeler les accords obtenus
pour le bassin de la Sarre, pour Dantzig,
pour les concessions européennes en Chine,
et — question plus vaste et de plus grande
portée — pour la Haute-Silésie.
Si la Société des nations ne peut encore faire
plus qu'elle ne fait, c'est la faute des égoïsmes
nationaux déchaînés.
La plus grande faiblesse de la Société
des nations est l'obligation de l'unanimité
dans les décisions : ce qui revient à dire
qu'elle n'est pas un véritable organe juri-
dique super-national, qu'elle n'a aucune
autorité supérieure à celle de chaque Etat
et la limitant, mais qu'elle est simplement
une assemblée destinée à rechercher et à
réaliser la volonté unanime. Mais à cette
absence de pouvoirs juridiques supplée en
partie l'efficacité du jugement moral dont
l'arbitraire des plus puissants doit tenir
compte pour ne pas prendre, aux yeux des
autres peuples, la responsabilité d'une atti-
tude arbitraire qui serait démasquée et dé-
noncée devant l'opinion du monde entier.
Espérons que de cette troisième
épreuve la Société des nations sortira ren-
forcée et grandie eh autorité et en pouvoir
effectif.
RESTO DEL CARLINO, 5.9.
——— .———
LES RÉPARATIONS
LA DECISION DU 31 AOUT. — LES
MESURES D'APPLICATION. — La nervosité régna
une fois encore pendant les derniers jours
d'août ! Les paysans eux-mêmes l'ont, res-
senti. Tandis qu'ils faisaient l'adéquation
des prix de leurs produits avec la hausse du
dollar, ils parlaient de l'imminence d'une
guerre entre la France et l'Angleterre.
Dans la ville on discutait surtout sur le
point de savoir si nous subirions plutôt la
guerre civile ou bien l'occupation de la
Ruhr. Celui qui doutait de l'imminence
d'une catastrophe était traité avec compas-
sion, comme optimiste à tous crins. On
voit une fois de plus que si la pleine raison
ne règne presque jamais, la pleine déraison
ne triomphe pas non plus.
Naturellement, la catastrophe est simple-
ment écartée et non conjurée. A Noël, la
crise internationale va sévir à nouveau
dans toute sa violence. On a simplement
gagné du temps. Mais ce gain est déjà con-
sidérable. Il permet d'ici au retour des
jouirs critiques de mettre de l'ordre dans la
situation intérieure de l'Allemagne afin qu'à
la Noël nous puissions nous présenter de-
vant la commission des réparations avec de
meilleures propositions et un matériel de
preuves plus convaincant. Le gain de temps
est un gain réel si on sait en tirer parti.
Ces derniers temps, j'ai lu avec une sa-
tisfaction particulière l'article de l'industriel
Arnold Rechberg (Cf. Bulletin, n° 2142).
M. Rechberg qui, pour beaucoup de choses,
est un homme de droite préconise la trans-
lation de 30 du capital incorporé dans
notre industrie à la France et l'Angleterre.
C'est l'affectation des valeurs tangibles au
service de notre dette, que je déclare depuis
des années être la seule solution du pro-
blème angoissant de nos finances et des ré-
parations. M. Rechberg est seulement plus
radical que moi qui indiquais une augmen-
tation de 20 des actions en faveur du
Reich. Mais je m'incline volontiers devant
M. Rechberg qui connaît, comme intéressé,
la capacité de l'industrie.
Les questions de quantité sont des ques-
tions accessoires. Le principal est l'en-
tente sur le principe : la grande production
dans l'industrie et l'agriculture doit faire un
sacrifice. Un sacrifice si grand que le
monde reconnaisse que l'Allemagne a
épuisé ses dernières possibilités financières.
On aura ainsi posé la base pour la fixation
définitive de nos obligations et pour l'émis-
sion de; l'emprunt international. Ainsi sera
réfuté le reproche très impressionnant
qu'on nous fait : le Reich allemand est ma-
lade à mort, mais son industrie et son agri-
culture vont de mieux en mieux.
L'heure de la décision approche pour
Wirth. Il a déclaré plusieurs fois que s'il
ne lui restait qu'à choisir entre le bloc
bourgeois et le bloc ouvrier, il irait aux
prolétaires. — H. v. Gerlach.
WELT AM MONTAG, 4.9.
LES NEGOCIATIONS GERMANO-DEL-
GES. — Jusqu'ici, dans toutes les négocia-
tions et conférences où l'Angleterre et la
France n'étaient pas d'accord., l'Allemagne
gardait le rôle du cheval de picador. Le
nationalisme français était le taureau,
Lloyd George le picador et nous le cheval
qui reçoit les blessures. Pour la première
fois, la politique anglaise ne s'est pas dé-
robée. C'est ainsi que Poincaré a dû s'in-
cliner et quel les conséquences dangereuses
d'une issue sans résultat ont été détour-
nées. C'est seulement ainsi qu'on a rendu
possilble la pause pendant laquelle la nou-
velle conférence doit avoir lieu.
Mais, pour le moment, la pause n'est pas
encore) assurée et l'on ne sait de quelles ga-
ranties les Belges se déclareront satisfaits.
Les Belges sont des gens d'affaires avisés,
ils ne bâtissent pas des châteaux de car-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.91%.
- Collections numériques similaires Grossi Carlo Grossi Carlo /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Grossi Carlo" or dc.contributor adj "Grossi Carlo")L'Anfione, musiche da camera o per tavola all'uso delle Regie corti, a due e tre voci con introduttioni bizzarie e ritornelli di tre stromenti a piacimento... del Cavalier' Carlo Grossi. Opera settima... /ark:/12148/btv1b10876907n.highres Il divertimento de' grandi. Musiche da camera, ò per servizio di tavola, all uso delle reggie corti, a due c trè voci, con un' dialogo amoroso, e uno in idioma ebraico à 4. Libro secondo.... Opera IX del Cavallier Carlo Grossi /ark:/12148/btv1b10868395k.highres
- Auteurs similaires France France /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "France" or dc.contributor adj "France")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6252445n/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6252445n/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6252445n/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6252445n/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6252445n
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6252445n
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6252445n/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest