Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-09-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 septembre 1922 08 septembre 1922
Description : 1922/09/08 (T22,N2148). 1922/09/08 (T22,N2148).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62524462
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/04/2013
MINISTÈRE
088
FFAIRES étrangères
.- N° 21 'Î8
Vendredi 8 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
LQOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - L'accord Lubersac-
Sti.nn.et3 (G. Bernhard dans Yussische
Zeitung ; Täyliche Rundschau ; Berli-
ner lageblatt ; Jlerliriier Lokal-Anzri-
r (jor ; y, eue Uadische Landcszeituag). —
Le référendum pour l'autonomie en
Haute-Silésie (Kölnische Volkszcitimq).
PUESSE ANGLAISE. - L'accord Lubersac-Stin-
nes (Times). '— Les négociations ger-
mano-belges (correspondance de Paris
au Vaillf Telegraph). — La défaite grec-
que (Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — L'opinion fasciste et les
problèmes internationaux (Mussolini
dans Popolo d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'ACCORD LUBERSAC-STINNES. —
PRESSE ALLEMANDE. — Quel monde étrange !
Les feuilles du. propriétaire de journaux
Hugo Stinnes tonnent chaque jour contre la
politique cr exécution du cabinet \VÎir-tIl. Et
le chef de grandes entreprises industrielles
Hugo Stinnes conclut avec les Français un
traité qui fait faire un progrès sensible à
luelte même politique d'exécution. Voici qui
est encore plus remarquable : le politicien
Hugo Stinnes a combattu avec la plus
grande énergie pour des motifs politiques
et économiques l'accord conclu à Wiesba-
den entre Rathenau et Loucheur. Et
maintenant Hugo Stinnes signe un traité
qui garantit précisément l'exécution de cet
accord tant combattu
D'ailleurs Hugo Stinnes ne dissimule pas
qu'il reste après comme avant adversaire
de l'accord de Wiesbaden. La formule pré-
liminaire du traité entre Stinnes et. le mar-
quis dH Lubersac décèle le mobile de son
attitude. On lui a représenté du côté fran-
çais qu'un accord de ce genre contribue-
rait beaucoup à rassurer l'opinion publi-
que en France .et. par conséquent à favo-
riser une collaboration réelle entre l'Alle-
magne et la France. Il semble qu'en fait
les parties contractantes aient l'intention
de donner prochainement une forme poli-
tique pratique au traité: car on prétend
que les associations représentant les sinis-
très français auraient l'intention d'inviter
les représentants principaux de l'industrie
allemande à une visite des territoires dé-
'Vastés. L'Union d'Empire de l'industrie alle-
mande va vraisemblablement s'occuper
dans le détail de ces projets ; mais si nous
sommes bien informés, il est certain que
des personnalités éminentes Je l'industrie
donneraient suite à une invitation de ce
genre, avec la perspective de se réunir avec
de grands industriels français.
Il s'agit donc ici, sans aucun doute, d'un
prélude tout à fait satisfaisant à la sup-
pression des causes de conflit entre la.
France et l'Allemagne. Il devient enfin vrai-
semblable que l'on va rebâtir ces territoi-
res dévastés que les nationalistes français
utilisent comme pièce de choix dans leur
musée de haine. On peut discuter sur les
avantages pratiques de ce traité, mais ce
n'en est. pas moins une préparation psy-
chologique qui a sa valeur. — Georg
Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 5.9, soir.
— L'idée de contribuer à la solution du
problème des réparations par des livrai-
sons en nature a servi de base à plusieurs
accords avec l'Entente, mais sans que la
chose fût abordée d'une; façon vraiment
pratiqué. L'accord de Wiesbaden étaii
conçu comme un-" traité franco-allemand
destiné à contribuer à la restauration des
territoires dévastés. Malheureusement, ce
traité sel présenta comme une option unila-
térale en faveur de la France, c'est-à-dire
que la France pouvait arbitrairement ré-
clamer des livraisons en nature à un mo-
ment défavorable pour nous. Des traités de
ce genre pour les livraisons en nature sont
plus défectueux que les traités pour les
paiements en argent. L'accord de Wiesba-
den serait certainement, resté une forme.
sans contenu, si l'on n'était arrivé à trou-
ver une solution plus équitable. Les efforts
unis de M. Hugo Stinnes et de M. de Luber-
sac, président de l'union des syndicats de
reconstruction des territoires dévastés, ont
abouti à la conclusion, dans les limites de
l'accord de Wiesbaden, d'un traité qui
éveille cet accord à la vie réelle et qui per-
met d'entreprendre un travail pratique
dans les régions dévastées.
Les meilleures perspectives s'ouvrent
pour la poursuite ultérieure des négocia-
tions. M. Poincaré a été instruit des projets
et y a donné son assentiment. Aujourd'hui
se réunit l'Union d'Empire de l'industrie al-
lemande pour s'occuper de l'accord. L'ap-
probation de cette corporation influente est
assurée. i*
L'accord n'est pas le moins du mondé di-
rigé contre l'Angleterre. C'est simplement
un acte de conciliation entre la France eft
l'Allemagne, en faveur des citoyens fran-
çais dont la demeure a été détruite par la
guerre.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 5.9, soir.
— On sait que Hugo .Stinnes était, comme
beaucoup d'autres grands industriels, un adver-
saire do l'accord de Wiesbaden sur les livraisons
en nature. Il y voyait un avantage unilatéral
en faveur de la France. Il a voulu vivilier cet
accord et le rendre vraiment productif.
On ne peut encore faire la critique de l'ac-
cord signé entre Stinnes et M. de Lubersac.
Il est évident qu'il présente de grands
avantages pour les entreprises de Stinnes.
Mais on peut accorder ces avantages à
M. Stinnes si l'on arrive effectivement à re-
construire en France avec la participation
allemande, sous une forme qui assure la
pleine utilisation du matériel livré, en
dehors des entraves bureaucratiques et
sans charge excessive pour les finances
allemandes.
Nous nous réjouissons de pouvoir consta-
ter que l'accord de Wiesbaden, que M. Stin-
nes a si vivement combattu, lui a fourni
une base très utilisable pour ce traité qu'il
n'eût assurément pu réaliser, sans cet ac-
cord, avec une telle ampleur. — E. P.
BERLINER TAGEBLATT, 5.9, soir.
,— Le traité de Wiesbaden fut salué en
son temps comme le premier acte positif,
après des années de discours oiseux, mais
en réalité il n'a guère été jusqu'ici, du
moins, qu'un morceau de papier couvert
d'écritures. Signé entre les deux gouverne-
ments, cet accord s'est heurté, principale-
ment$n France, à une résistance si vive de
la part des politiciens et des intéressés que
les grands efforts qui avaient été dépensés
pour le mettre au jour, notamment par Ra-
thenau, sont restés jusqu'à présent sans ré-
sultat On sait que les vrais sinistrés fran-
çais, les habitants des provinces dévastées, -
reprochent depuis longtemps aux autorités
de Paris de faire de toute la question des
réparations un simple objet de leur poli-
tique au lieu de songer aux moyens de por-
ter une aide aussi rapide et aussi efficace
que possible. On sait également que les
unions d'industriels français qui jouissent
d'une grande influence font triompher leurs
intérêts particuliers auprès du gouverne-
ment et c'est ainsi que tout travail pratique
a été empêché jusqu'à ce jour. L'Union des
syndicats, de reconstruction français, ins-
truite par ces expériences, a décidé de pour-
voir par elle-même et a trouvé du côté al-
lemand en M. Stinnes un partenaire plein
de bonnes dispositions.
L'examen du contenu des accords appar-
tient à l'Union d'Empire de l'industrie alle-
mande qui se réunit ces jours-ci à cet effet,
et aussi au gouvernement du Reich dont
l'approbation est évidemment nécessaire
pour la mise en vigueur du traité. Il devra
examiner très soigneusement si l'accord de-
MM. Lubersac et Stinnes cadre avec son
- - V
088
FFAIRES étrangères
.- N° 21 'Î8
Vendredi 8 septembre 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
LQOTA. - Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - L'accord Lubersac-
Sti.nn.et3 (G. Bernhard dans Yussische
Zeitung ; Täyliche Rundschau ; Berli-
ner lageblatt ; Jlerliriier Lokal-Anzri-
r (jor ; y, eue Uadische Landcszeituag). —
Le référendum pour l'autonomie en
Haute-Silésie (Kölnische Volkszcitimq).
PUESSE ANGLAISE. - L'accord Lubersac-Stin-
nes (Times). '— Les négociations ger-
mano-belges (correspondance de Paris
au Vaillf Telegraph). — La défaite grec-
que (Daily Chronicle).
PRESSE ITALIENNE. — L'opinion fasciste et les
problèmes internationaux (Mussolini
dans Popolo d'Italia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
L'ACCORD LUBERSAC-STINNES. —
PRESSE ALLEMANDE. — Quel monde étrange !
Les feuilles du. propriétaire de journaux
Hugo Stinnes tonnent chaque jour contre la
politique cr exécution du cabinet \VÎir-tIl. Et
le chef de grandes entreprises industrielles
Hugo Stinnes conclut avec les Français un
traité qui fait faire un progrès sensible à
luelte même politique d'exécution. Voici qui
est encore plus remarquable : le politicien
Hugo Stinnes a combattu avec la plus
grande énergie pour des motifs politiques
et économiques l'accord conclu à Wiesba-
den entre Rathenau et Loucheur. Et
maintenant Hugo Stinnes signe un traité
qui garantit précisément l'exécution de cet
accord tant combattu
D'ailleurs Hugo Stinnes ne dissimule pas
qu'il reste après comme avant adversaire
de l'accord de Wiesbaden. La formule pré-
liminaire du traité entre Stinnes et. le mar-
quis dH Lubersac décèle le mobile de son
attitude. On lui a représenté du côté fran-
çais qu'un accord de ce genre contribue-
rait beaucoup à rassurer l'opinion publi-
que en France .et. par conséquent à favo-
riser une collaboration réelle entre l'Alle-
magne et la France. Il semble qu'en fait
les parties contractantes aient l'intention
de donner prochainement une forme poli-
tique pratique au traité: car on prétend
que les associations représentant les sinis-
très français auraient l'intention d'inviter
les représentants principaux de l'industrie
allemande à une visite des territoires dé-
'Vastés. L'Union d'Empire de l'industrie alle-
mande va vraisemblablement s'occuper
dans le détail de ces projets ; mais si nous
sommes bien informés, il est certain que
des personnalités éminentes Je l'industrie
donneraient suite à une invitation de ce
genre, avec la perspective de se réunir avec
de grands industriels français.
Il s'agit donc ici, sans aucun doute, d'un
prélude tout à fait satisfaisant à la sup-
pression des causes de conflit entre la.
France et l'Allemagne. Il devient enfin vrai-
semblable que l'on va rebâtir ces territoi-
res dévastés que les nationalistes français
utilisent comme pièce de choix dans leur
musée de haine. On peut discuter sur les
avantages pratiques de ce traité, mais ce
n'en est. pas moins une préparation psy-
chologique qui a sa valeur. — Georg
Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 5.9, soir.
— L'idée de contribuer à la solution du
problème des réparations par des livrai-
sons en nature a servi de base à plusieurs
accords avec l'Entente, mais sans que la
chose fût abordée d'une; façon vraiment
pratiqué. L'accord de Wiesbaden étaii
conçu comme un-" traité franco-allemand
destiné à contribuer à la restauration des
territoires dévastés. Malheureusement, ce
traité sel présenta comme une option unila-
térale en faveur de la France, c'est-à-dire
que la France pouvait arbitrairement ré-
clamer des livraisons en nature à un mo-
ment défavorable pour nous. Des traités de
ce genre pour les livraisons en nature sont
plus défectueux que les traités pour les
paiements en argent. L'accord de Wiesba-
den serait certainement, resté une forme.
sans contenu, si l'on n'était arrivé à trou-
ver une solution plus équitable. Les efforts
unis de M. Hugo Stinnes et de M. de Luber-
sac, président de l'union des syndicats de
reconstruction des territoires dévastés, ont
abouti à la conclusion, dans les limites de
l'accord de Wiesbaden, d'un traité qui
éveille cet accord à la vie réelle et qui per-
met d'entreprendre un travail pratique
dans les régions dévastées.
Les meilleures perspectives s'ouvrent
pour la poursuite ultérieure des négocia-
tions. M. Poincaré a été instruit des projets
et y a donné son assentiment. Aujourd'hui
se réunit l'Union d'Empire de l'industrie al-
lemande pour s'occuper de l'accord. L'ap-
probation de cette corporation influente est
assurée. i*
L'accord n'est pas le moins du mondé di-
rigé contre l'Angleterre. C'est simplement
un acte de conciliation entre la France eft
l'Allemagne, en faveur des citoyens fran-
çais dont la demeure a été détruite par la
guerre.
TAEGLICHE RUNDSCHAU, 5.9, soir.
— On sait que Hugo .Stinnes était, comme
beaucoup d'autres grands industriels, un adver-
saire do l'accord de Wiesbaden sur les livraisons
en nature. Il y voyait un avantage unilatéral
en faveur de la France. Il a voulu vivilier cet
accord et le rendre vraiment productif.
On ne peut encore faire la critique de l'ac-
cord signé entre Stinnes et M. de Lubersac.
Il est évident qu'il présente de grands
avantages pour les entreprises de Stinnes.
Mais on peut accorder ces avantages à
M. Stinnes si l'on arrive effectivement à re-
construire en France avec la participation
allemande, sous une forme qui assure la
pleine utilisation du matériel livré, en
dehors des entraves bureaucratiques et
sans charge excessive pour les finances
allemandes.
Nous nous réjouissons de pouvoir consta-
ter que l'accord de Wiesbaden, que M. Stin-
nes a si vivement combattu, lui a fourni
une base très utilisable pour ce traité qu'il
n'eût assurément pu réaliser, sans cet ac-
cord, avec une telle ampleur. — E. P.
BERLINER TAGEBLATT, 5.9, soir.
,— Le traité de Wiesbaden fut salué en
son temps comme le premier acte positif,
après des années de discours oiseux, mais
en réalité il n'a guère été jusqu'ici, du
moins, qu'un morceau de papier couvert
d'écritures. Signé entre les deux gouverne-
ments, cet accord s'est heurté, principale-
ment$n France, à une résistance si vive de
la part des politiciens et des intéressés que
les grands efforts qui avaient été dépensés
pour le mettre au jour, notamment par Ra-
thenau, sont restés jusqu'à présent sans ré-
sultat On sait que les vrais sinistrés fran-
çais, les habitants des provinces dévastées, -
reprochent depuis longtemps aux autorités
de Paris de faire de toute la question des
réparations un simple objet de leur poli-
tique au lieu de songer aux moyens de por-
ter une aide aussi rapide et aussi efficace
que possible. On sait également que les
unions d'industriels français qui jouissent
d'une grande influence font triompher leurs
intérêts particuliers auprès du gouverne-
ment et c'est ainsi que tout travail pratique
a été empêché jusqu'à ce jour. L'Union des
syndicats, de reconstruction français, ins-
truite par ces expériences, a décidé de pour-
voir par elle-même et a trouvé du côté al-
lemand en M. Stinnes un partenaire plein
de bonnes dispositions.
L'examen du contenu des accords appar-
tient à l'Union d'Empire de l'industrie alle-
mande qui se réunit ces jours-ci à cet effet,
et aussi au gouvernement du Reich dont
l'approbation est évidemment nécessaire
pour la mise en vigueur du traité. Il devra
examiner très soigneusement si l'accord de-
MM. Lubersac et Stinnes cadre avec son
- - V
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k62524462/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k62524462/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k62524462/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k62524462/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k62524462
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k62524462
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k62524462/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest