Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 août 1922 31 août 1922
Description : 1922/08/31 (T21,N2141). 1922/08/31 (T21,N2141).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217108s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2141
Jeudi 31 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le moratorium : la
décision de la commission des répara-
tions (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt; Berliner Börsen-Courier ; Ham-
burger Fremdenblatt) ; « les gages
productifs, étape de la politique d'an-
nexion » (Bi,etingboj]f.,sc:heel dans Kreuz-
zelturna). — Les procès de Leipzig : la
note des puissances alliées (Germania).
— La Bavière et le Reich (Berliner Ta-
geblatt).
PRESSÉ AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés
(W. R. Hearst dans New York Ameri-
can). — Les réparations (World, New
York Times); une conférence de
M. Philip Kerr (Washington Post, New
York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — La perte du cuirassé
France (Daily Chronicle). - Le main-
tien de l'Entente (Times). — L'offensive
turque (Westminster Gazette, Morning
Post).
»
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE MORATORIUM. — LA DÉCISION DE
LA COMMISSION DES RÉPARATIONS. — PRESSE
ALLEMANDE. — La sommation de la commis-
sion des réparations, sommation qui n'est
pas absolument inattendue, prouve en tout
cas que l'on n'a pas re jeté simplement le
projet allemand, mais que l'on veut encore
converser à ce sujet avec les représentants
allemands. Nous avions déjà annoncé ven-
dredi : « Vraisemblablement continuation
des négociations à Paris ». Il subsiste donc
une possibilité, sinon une certitude, d'arri-
ver à une entente dans le sein de la com-
mission des réparations eh vue d'accorder
le moratorium sans le système des gages,
pour maintenir au moins le chemin libre
pour la prochaine conférence. Personne ne
peut prédire ce que Llyod George ferait si
Poincaré — qui cherche par tous les moyens
tactiques à amener l'Angleterre à renoncer
à la thèse die la note Balfour, à biffer les
dettes de guerre de la France - était ré-
solu à tirer les conséquences impérialistes
d'un échec de l'affaire du mocatorrium. Se
contentarait-il de jouer le rôle mélancolique
de Cassandre, si Poincaré entreprenait de
se mettre par la force en possession de
gages ? Les jours prochains peuvent nous
apporter non seulement des décisions im-
portantes, mais encore maints renseigne-
ments décisifs. En tout cas, la concession
des « gages productifs » demeure impossi-
ble. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 28.8, soir.
— Les journaux allemands du 29 donnent
presque tous des dépêches optimistes avec
des manchettes comme : « Meilleures per-
spectives ? » (Berliner Tageblatt), « le mora-
torium convenu » (Freiheit, Hanneverscher
Kurier) ; l'article du Berliner Boersen
Courier développe ce point de vue :
On voit plus clair et la perspective est
plus récente. Placée au tournant de la déci-
sion, agir selon des vues économiques ou
politiques, la France paraît adopter le pre-
mier parti. L'attitude de la presse fran-
çaise, fait conclure que la France a obtenu
au moins des espérances dans la question
des dettes. Cela supposé, la situation se
présente ainsi : le moment d'un règlement
définitif viendrait après les élections améri-
caines ; en attendant on accorderait un mo-
ratorium avec des réserves sans doute,
mais la France consent à ne pas exercer
de sanctions, même en.cas de refus du mo-
ratorium. Il s'agit pour la France et la Bel-
gique d'obtenir des garanties de ressources
pour la période de transition : on ne peut
encore préciser ce qu'elles seront.
BERLINER BOERSEN COURIER,
29.8, matin.
-
- Le Hamburger Fremdenblatt exprime
une espérance analogue :
Les- nouvelles parvenues de Paris mon-
trent à nouveau 1^-même tableau que l'on a
accoutumé de voir chaque fois qu'il s'agit de
prendre une décision dans la question des
réparations. La presse française se fait le
porte-parole de son gouvernement et ré-
clame avec violence l'exécution des exigen-
ces extrêmes de la France. On ne sait à quel
point cette attitude radicale constitue un
maquignonnage pour obtenir un compromis
aussi avantageux que possible, ou dans
quelle mesure elle exprime la volonté de
Poincaré. Le représentant de l'Angleterre à
Ml. Commission des réparations, Bradbury,
affirme à nouveau dans le Times que l'An-
gleterre reste ferme sur son point de vue.
En général, ceux qui juge la situation
estiment que le gouvernement français n'est
pas aussi farouche que sa presse le repré-
sente.
HAMBURGER FREMDENBLATT,
29.8, soir.
« LES GAGES PRODUCTIFS, ÉTAPE DE LA POLI-
TIQUE D'ANNEXION » [sous ce titre]. —
M. Dariac, président de la commission des fi-
nances de la Chambre française, a récemment,
rapporte le « Journal », soumis à M. Poincaré
un rapport sur sa mission en pays rhénan, rap-
port approuvé par le président du Conseil et
qui nous trace un programme d'exploitation des
gages rhénans. Il expose que les potentats de
la Ruhr, Stinnes, Thiessen, Krupp, Haniel,
Klockner, Funcke, Mannesmann, le groupe du
Phœnix et des mines de fer du Rhin sont les
maîtres de l'Allemagne ; mais la France les
tient par l'occupation des trois ports de la
Ruhr. Elle devrait forcer l'Allemagne à lui per-
mettre d'exploiter directement les richesses
rhénanes. Pourquoi, puisque le traité a été
souvent violé par l'Allemagne et qu'on a dé-
claré que les délais d'évacuation ne commen-
çaient pas à courir, ne pas déclarer aussi qu'on
peut disposer de l'hypothèque ?
Le programme de Dariac est un annexion-
nisme déguisé, il a un caractère pratique
il indique les conditions d'exécution : l'union
douanière, le budget séparé, la monnaie particu-
lière, voilà le premier acte ; la nomination d'un
personnel administratif rhénan, voilà le second;
l'extension des attributions de la commission
rhénane et la convocation d'une assemblée élue,
ce sera le troisième. Ce plan n'est pas neuf,
il repose sur les mémoires du maréchal Foch
du 10 janvier et du 27 février 1919, ainsi que
sur le mémoire de Tiardieu du 12 mars, rédigé
par ordre de Clemenceau. La reprise de l'an-
cien plan ne peut guère être gênée par l'Angle-
terre embarrassée de soucis divers dans le
monde entier, et, tôt ou tard, la commission
des réparations constatera le manquement vo-
lontaire.
Peut-on, dans cette situation, parler en-
core d'entente économique, quand il ne
s'agit que d'un « dictat » français? Pour une
entente économique dans le sens de Stinnes,
telle qu'il en a été beaucoup parlé dans la
presse française, il est aujourd'hui trop
tard. Il s'agit d'un oui ou d'un non. Qu'au-
cun gouvernement allemand ne puisse et ne
veuille abandonner volontairement les pays
rhénans à l'exploitation française, c'est ce
qui va de soi : aussi faut-il formuler clai-
rement comme ultima ratio nos conditions
et ne laisser aucun doute qu'elles sont irré-
vocables. La question des. réparations doit
être résolue dans un sens ou dans l'autre :
l'Allemagne n'a plus de temps à perdre.
Plutôt une dangereuse opération que le
martyre menant à la mort de ces derniers
temps : cela peut coûter la vie, mais il n'y
a pas d'autre issue. — Baron Bietinghoff-
Scheel.
KREUZZEITUNG, 29.8, matin.
——— .,
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LA PERTE DU CUIRASSE « FRANCE ».
— Sous le titre : « UN DANGER HYPOTHÉTI-
QUE », la Daily rOhronicl,e exaimine la ques-
tion du remplacement éventuel de l'unité
perdue : * La perte du cuirassé France
menace de rompre l'équilibre naval établi
d'une façon si précaire à Washington. L'ac-
cord de Washington confère à la France le
droit de remplacer l'unité perdue p>air un
cuirassé « post-Jutland » d'un tonnage légè-
rement supérieur et d'une puissance de
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2141
Jeudi 31 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le moratorium : la
décision de la commission des répara-
tions (Th. Wolff dans Berliner Tage-
blatt; Berliner Börsen-Courier ; Ham-
burger Fremdenblatt) ; « les gages
productifs, étape de la politique d'an-
nexion » (Bi,etingboj]f.,sc:heel dans Kreuz-
zelturna). — Les procès de Leipzig : la
note des puissances alliées (Germania).
— La Bavière et le Reich (Berliner Ta-
geblatt).
PRESSÉ AMÉRICAINE. — Les dettes des alliés
(W. R. Hearst dans New York Ameri-
can). — Les réparations (World, New
York Times); une conférence de
M. Philip Kerr (Washington Post, New
York Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — La perte du cuirassé
France (Daily Chronicle). - Le main-
tien de l'Entente (Times). — L'offensive
turque (Westminster Gazette, Morning
Post).
»
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE MORATORIUM. — LA DÉCISION DE
LA COMMISSION DES RÉPARATIONS. — PRESSE
ALLEMANDE. — La sommation de la commis-
sion des réparations, sommation qui n'est
pas absolument inattendue, prouve en tout
cas que l'on n'a pas re jeté simplement le
projet allemand, mais que l'on veut encore
converser à ce sujet avec les représentants
allemands. Nous avions déjà annoncé ven-
dredi : « Vraisemblablement continuation
des négociations à Paris ». Il subsiste donc
une possibilité, sinon une certitude, d'arri-
ver à une entente dans le sein de la com-
mission des réparations eh vue d'accorder
le moratorium sans le système des gages,
pour maintenir au moins le chemin libre
pour la prochaine conférence. Personne ne
peut prédire ce que Llyod George ferait si
Poincaré — qui cherche par tous les moyens
tactiques à amener l'Angleterre à renoncer
à la thèse die la note Balfour, à biffer les
dettes de guerre de la France - était ré-
solu à tirer les conséquences impérialistes
d'un échec de l'affaire du mocatorrium. Se
contentarait-il de jouer le rôle mélancolique
de Cassandre, si Poincaré entreprenait de
se mettre par la force en possession de
gages ? Les jours prochains peuvent nous
apporter non seulement des décisions im-
portantes, mais encore maints renseigne-
ments décisifs. En tout cas, la concession
des « gages productifs » demeure impossi-
ble. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 28.8, soir.
— Les journaux allemands du 29 donnent
presque tous des dépêches optimistes avec
des manchettes comme : « Meilleures per-
spectives ? » (Berliner Tageblatt), « le mora-
torium convenu » (Freiheit, Hanneverscher
Kurier) ; l'article du Berliner Boersen
Courier développe ce point de vue :
On voit plus clair et la perspective est
plus récente. Placée au tournant de la déci-
sion, agir selon des vues économiques ou
politiques, la France paraît adopter le pre-
mier parti. L'attitude de la presse fran-
çaise, fait conclure que la France a obtenu
au moins des espérances dans la question
des dettes. Cela supposé, la situation se
présente ainsi : le moment d'un règlement
définitif viendrait après les élections améri-
caines ; en attendant on accorderait un mo-
ratorium avec des réserves sans doute,
mais la France consent à ne pas exercer
de sanctions, même en.cas de refus du mo-
ratorium. Il s'agit pour la France et la Bel-
gique d'obtenir des garanties de ressources
pour la période de transition : on ne peut
encore préciser ce qu'elles seront.
BERLINER BOERSEN COURIER,
29.8, matin.
-
- Le Hamburger Fremdenblatt exprime
une espérance analogue :
Les- nouvelles parvenues de Paris mon-
trent à nouveau 1^-même tableau que l'on a
accoutumé de voir chaque fois qu'il s'agit de
prendre une décision dans la question des
réparations. La presse française se fait le
porte-parole de son gouvernement et ré-
clame avec violence l'exécution des exigen-
ces extrêmes de la France. On ne sait à quel
point cette attitude radicale constitue un
maquignonnage pour obtenir un compromis
aussi avantageux que possible, ou dans
quelle mesure elle exprime la volonté de
Poincaré. Le représentant de l'Angleterre à
Ml. Commission des réparations, Bradbury,
affirme à nouveau dans le Times que l'An-
gleterre reste ferme sur son point de vue.
En général, ceux qui juge la situation
estiment que le gouvernement français n'est
pas aussi farouche que sa presse le repré-
sente.
HAMBURGER FREMDENBLATT,
29.8, soir.
« LES GAGES PRODUCTIFS, ÉTAPE DE LA POLI-
TIQUE D'ANNEXION » [sous ce titre]. —
M. Dariac, président de la commission des fi-
nances de la Chambre française, a récemment,
rapporte le « Journal », soumis à M. Poincaré
un rapport sur sa mission en pays rhénan, rap-
port approuvé par le président du Conseil et
qui nous trace un programme d'exploitation des
gages rhénans. Il expose que les potentats de
la Ruhr, Stinnes, Thiessen, Krupp, Haniel,
Klockner, Funcke, Mannesmann, le groupe du
Phœnix et des mines de fer du Rhin sont les
maîtres de l'Allemagne ; mais la France les
tient par l'occupation des trois ports de la
Ruhr. Elle devrait forcer l'Allemagne à lui per-
mettre d'exploiter directement les richesses
rhénanes. Pourquoi, puisque le traité a été
souvent violé par l'Allemagne et qu'on a dé-
claré que les délais d'évacuation ne commen-
çaient pas à courir, ne pas déclarer aussi qu'on
peut disposer de l'hypothèque ?
Le programme de Dariac est un annexion-
nisme déguisé, il a un caractère pratique
il indique les conditions d'exécution : l'union
douanière, le budget séparé, la monnaie particu-
lière, voilà le premier acte ; la nomination d'un
personnel administratif rhénan, voilà le second;
l'extension des attributions de la commission
rhénane et la convocation d'une assemblée élue,
ce sera le troisième. Ce plan n'est pas neuf,
il repose sur les mémoires du maréchal Foch
du 10 janvier et du 27 février 1919, ainsi que
sur le mémoire de Tiardieu du 12 mars, rédigé
par ordre de Clemenceau. La reprise de l'an-
cien plan ne peut guère être gênée par l'Angle-
terre embarrassée de soucis divers dans le
monde entier, et, tôt ou tard, la commission
des réparations constatera le manquement vo-
lontaire.
Peut-on, dans cette situation, parler en-
core d'entente économique, quand il ne
s'agit que d'un « dictat » français? Pour une
entente économique dans le sens de Stinnes,
telle qu'il en a été beaucoup parlé dans la
presse française, il est aujourd'hui trop
tard. Il s'agit d'un oui ou d'un non. Qu'au-
cun gouvernement allemand ne puisse et ne
veuille abandonner volontairement les pays
rhénans à l'exploitation française, c'est ce
qui va de soi : aussi faut-il formuler clai-
rement comme ultima ratio nos conditions
et ne laisser aucun doute qu'elles sont irré-
vocables. La question des. réparations doit
être résolue dans un sens ou dans l'autre :
l'Allemagne n'a plus de temps à perdre.
Plutôt une dangereuse opération que le
martyre menant à la mort de ces derniers
temps : cela peut coûter la vie, mais il n'y
a pas d'autre issue. — Baron Bietinghoff-
Scheel.
KREUZZEITUNG, 29.8, matin.
——— .,
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LA PERTE DU CUIRASSE « FRANCE ».
— Sous le titre : « UN DANGER HYPOTHÉTI-
QUE », la Daily rOhronicl,e exaimine la ques-
tion du remplacement éventuel de l'unité
perdue : * La perte du cuirassé France
menace de rompre l'équilibre naval établi
d'une façon si précaire à Washington. L'ac-
cord de Washington confère à la France le
droit de remplacer l'unité perdue p>air un
cuirassé « post-Jutland » d'un tonnage légè-
rement supérieur et d'une puissance de
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
- Auteurs similaires Monnaies grecques Monnaies grecques /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MonnGre"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217108s/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217108s/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217108s/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217108s/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217108s
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217108s
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217108s/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest