Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 août 1922 30 août 1922
Description : 1922/08/30 (T21,N2140). 1922/08/30 (T21,N2140).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217107c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
- MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2140
Mercredi 30 août 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse 1 Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
j
PRESSE ALLEMANDES. - Les réparations : un
discours de M. J. M. Keynes. au con-
grès économique de Hambourg (Ham-
burger Fremdenblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — M. Cox et. la Société
des nations (New York Tribune). -
Les relations franco-allemandes (New
Republic).
PRESSE ANGLAISE. — Les réparations : la po-
sition de la France (Morning Post, cor-
respondance de Paris au Times). — La
conscription en Tunisie et au Maroc :
le statut des habitants d'origine britan-
nique (Daily News). — L'Italie et l'Au-
triche : l'éventualité d'une intervention
yougoslave (correspondance de Rome
au Daily Telegraphe). — Le mandat bri-
tannique en Mésopotamie (Daily Ex-
press).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA POSITION DE LA FRANCE. —
PRESSE ANGLAISE. — La situation économique
de l'Europe inspire les plus grandes inquiér
tudes. Les dernières propositions de l'Alle-
magne, nous assure-t-on, sont virtuellement
une offre de la part des magnats de ~in-
dustrie allemande de se porter garants de
l'accélération des livraisons allemandes de
charbon, de bois eil, d'autres, fournitures
promises aux alliés. «
Tout dépend de la décision que prendra
la commission des réparations qui doit se
réunir demain, d'accepter ou de ne pas ac-
cepter ces offres de la dernière minute.
De plus, si le représentant français à la
commission refuse son assentiment à ces
propositions, il est tout juste possible que le
gouvernement français refuse ensuite d'ac-
cepter la décision de la majorité.
Dans ce cas, il serait loisible au gouver-
nement français de prendre telles mesures
spéciales qui lui semblèraient utiles, et la
question se poserait alors de savoir si le
recours à ces mesures serait une infraction
aux clauses du traité de Versailles.
Ce que pourraient être ces mesures spé-
ciales c'est ce que l'on peu/t seulement con-
jecturer à l'heure actuelle, mais il est per-
mis de supposer que la France se déciderait
à ressenrer son étreinte sur la vallée de la
Ruhr. ■
Si cette décision était prise, il est possible
que la mainmise qui en résulterait pré-
parât les voies à un accord franco-allemand
~nelajtivement aux mesures à prendre en
commun, en vue de commander les res
sources minérales de certaines parties de
l'Europe.
En attendant, les informations les plus
dignes (ta foi que l'on puisse se procurer
à Londres signalent qjUB la situation finan-
cière de l'Allemagne est d'une extrême
gravité.
MORNING POST, 29.8.
- Le correspondant du Times el: Paris
insiste sur le caractère inopportun de la
note Ralfour et des attaques dirigées contre
la France par une fraction de l'opinion bri-
tannique :
De Paris :. En France, on a peine à
comprendre l'attitude de la Grande-Breta-
gne. Les idées de ce que l'on désigne d'une
manière imprécise comme l'école Keynes
sont censées avoir fait leur chemin et l'on
pensait qu'une politique de modération avait
prévalu, sans impliquer d'ailleurs une hos-
tilité quelconque envers la France. La
France, pour des raisons très spéciales,
s'était longtemps montrée rebelle aux théo-
ries des économistes, plus convaincus. de
jour en jour que le paiement par un pays
à un autre de dettes énormes est, sinon im-
possible, tout au moins extrêmement dif-
ficile. Ce n'est que tout récemment que la
France, pays doué d'un grand fond de bon
sens et où ne peut manquer de prévaloir
la logique des réalités, a adopté une thèse
qui passait pour (être la thèse britannique.
La France s'était insurgée contre la seule
idée d'être à la remorque de la politique an-
glaise. Elle se montrait jalouse de son indé-
pendance. Subitement, sans pression exté-
rieure, mais obéissant à la seule force des
faits, elle présenta sous sa propre responsa-
bilité un projet de remise générale des det-
tes. Il n'était pas déraisonnable qu'en retour
de l'annulation de la dette allemande, dette
que la Grande-Bretagne et les ministres ori-
tanniques avaient appris à la France à con-
sidérer comme recouvrable, la France de-
mandât l'annulation de sa propre dette en-
vers la Grande-Bretagne, de même qu'elle
aurait annulé les dettes de ses alliés envers
elle-même. Il n'était pas déraisonnable, étant
donné les ravages subis par la France, qui
avait servi, de champ de bataille aux 'ar.
mées rivales, que la France réclamât un
droit de priorité aux réparations. Le mo-
ment semblait propice, l'Europe était cer-
tainement sauvée. On avait fait grand état
du désir de l'Angleterre d'obtenir enfin une
paix véritable, presque à n'importe quel
prix.
LA NOTE BALFOUR. — Quel mauvais génie
provoqua sur ces entrefaites la publication
de la note Balfour au moment précis où un
accoru général semblait assuré ? L'effet du
changement de front britannique a eu des
répercussions dont on ne saurait exagérer
la gravité. Ce seul geste,en cette conjoncture
critique, s'avèrera peut-'ê'tre le coup fatal qui
a transformé en défaite et en désastre la vic-
toire certaine de la civilisation européenne.
L'opinion française n'arrive pas à s'expli-
quer comment une réponse si décourageante
a pu être opposée par l'Angleterre, à de bon-
nes intentions et de courageux sacrifices.Le
fait que M. Poincaré ne s'est pas montré à
la hauteur des événements, qu'il n'a pas eu
l'audace d'acculer la Grande-Bretagne à ce
dilemme : accepter son offre ou assumer la
responsabilité de la catastrophe qui nous
menace aujourd'hui, ne saurait se nier.
Mais il faut reconnaître, du moins que le
plan Poincaré, qui ne manquait pas de gé-
nérosité, qui constituait un progrès im-
mense,, et qui était la première proposition
positive en faveur de la reconstitution d'une -
Europe brisée, avait été suffisamment an-
noncé dans la presse.
Ce qui est arrivé à Londres ne pouvait ¡.
manquer d'avoir les plus formidables con-
séquences. L'avortement complet de la con-
férence est l'échec le plus lamentable que
rapporte l'histoire. Toute l'humeur de ia
France en est singulièrement transformée.
Nous assistons à un retour à l'ancienne in-
transigeance. La France se raidit et prête
l'oreille aux conseils du désespoir. Person-
ne ne voulait d'une rupture avec l'Angle-
terre. Personne ne voulait d'une politique
de sanctions pure et simple. Mais en se
voyant fermer la. route d'un accord mutuei,
en constatant l'indifférence apparente de
l'Angleterre quant aux besoins de la France
et ii son désir d'une transaction large et
généreuse, le sentiment éprouvé en France
est que la victime de la guerre la plus
digne de sympathie est bien forcée de se
retourner avec une certaine rudesse contre
l'auteur de sa ruine.
LES INVECTIVES ADRESSÉES A LA FRANCE. -
Car il convient de noter que si la France
n'a pas été heureuse ou habile dans sa
manière de faire valoir son bon droit, ce
droit était suflfiisamfcienl? reconnu pour qu'il
fût inconcevable qu'un torrent d'invectives
dût se décharger contre, elle, au moment
même où elle faisait un effort sincère pour
concilier sa politique avec la politique pré-
sumée de l'Angleterre, à moins que ce ne
fût de propos délibérés. Jamais il n'a été
dirigé contre la France autant de critiques
hargneuses et mal informées que pendant
les journées où elle était disposée à accep-
ter toute offre raisonnable. Le système
des impôts français est l'objet de critiques
dues à l'ignorance. Ses aéroplanes et ses
sous-marins, on les représente comme des
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2140
Mercredi 30 août 1922
1 Bulletin Quotidien de Presse 1 Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
j
PRESSE ALLEMANDES. - Les réparations : un
discours de M. J. M. Keynes. au con-
grès économique de Hambourg (Ham-
burger Fremdenblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — M. Cox et. la Société
des nations (New York Tribune). -
Les relations franco-allemandes (New
Republic).
PRESSE ANGLAISE. — Les réparations : la po-
sition de la France (Morning Post, cor-
respondance de Paris au Times). — La
conscription en Tunisie et au Maroc :
le statut des habitants d'origine britan-
nique (Daily News). — L'Italie et l'Au-
triche : l'éventualité d'une intervention
yougoslave (correspondance de Rome
au Daily Telegraphe). — Le mandat bri-
tannique en Mésopotamie (Daily Ex-
press).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA POSITION DE LA FRANCE. —
PRESSE ANGLAISE. — La situation économique
de l'Europe inspire les plus grandes inquiér
tudes. Les dernières propositions de l'Alle-
magne, nous assure-t-on, sont virtuellement
une offre de la part des magnats de ~in-
dustrie allemande de se porter garants de
l'accélération des livraisons allemandes de
charbon, de bois eil, d'autres, fournitures
promises aux alliés. «
Tout dépend de la décision que prendra
la commission des réparations qui doit se
réunir demain, d'accepter ou de ne pas ac-
cepter ces offres de la dernière minute.
De plus, si le représentant français à la
commission refuse son assentiment à ces
propositions, il est tout juste possible que le
gouvernement français refuse ensuite d'ac-
cepter la décision de la majorité.
Dans ce cas, il serait loisible au gouver-
nement français de prendre telles mesures
spéciales qui lui semblèraient utiles, et la
question se poserait alors de savoir si le
recours à ces mesures serait une infraction
aux clauses du traité de Versailles.
Ce que pourraient être ces mesures spé-
ciales c'est ce que l'on peu/t seulement con-
jecturer à l'heure actuelle, mais il est per-
mis de supposer que la France se déciderait
à ressenrer son étreinte sur la vallée de la
Ruhr. ■
Si cette décision était prise, il est possible
que la mainmise qui en résulterait pré-
parât les voies à un accord franco-allemand
~nelajtivement aux mesures à prendre en
commun, en vue de commander les res
sources minérales de certaines parties de
l'Europe.
En attendant, les informations les plus
dignes (ta foi que l'on puisse se procurer
à Londres signalent qjUB la situation finan-
cière de l'Allemagne est d'une extrême
gravité.
MORNING POST, 29.8.
- Le correspondant du Times el: Paris
insiste sur le caractère inopportun de la
note Ralfour et des attaques dirigées contre
la France par une fraction de l'opinion bri-
tannique :
De Paris :. En France, on a peine à
comprendre l'attitude de la Grande-Breta-
gne. Les idées de ce que l'on désigne d'une
manière imprécise comme l'école Keynes
sont censées avoir fait leur chemin et l'on
pensait qu'une politique de modération avait
prévalu, sans impliquer d'ailleurs une hos-
tilité quelconque envers la France. La
France, pour des raisons très spéciales,
s'était longtemps montrée rebelle aux théo-
ries des économistes, plus convaincus. de
jour en jour que le paiement par un pays
à un autre de dettes énormes est, sinon im-
possible, tout au moins extrêmement dif-
ficile. Ce n'est que tout récemment que la
France, pays doué d'un grand fond de bon
sens et où ne peut manquer de prévaloir
la logique des réalités, a adopté une thèse
qui passait pour (être la thèse britannique.
La France s'était insurgée contre la seule
idée d'être à la remorque de la politique an-
glaise. Elle se montrait jalouse de son indé-
pendance. Subitement, sans pression exté-
rieure, mais obéissant à la seule force des
faits, elle présenta sous sa propre responsa-
bilité un projet de remise générale des det-
tes. Il n'était pas déraisonnable qu'en retour
de l'annulation de la dette allemande, dette
que la Grande-Bretagne et les ministres ori-
tanniques avaient appris à la France à con-
sidérer comme recouvrable, la France de-
mandât l'annulation de sa propre dette en-
vers la Grande-Bretagne, de même qu'elle
aurait annulé les dettes de ses alliés envers
elle-même. Il n'était pas déraisonnable, étant
donné les ravages subis par la France, qui
avait servi, de champ de bataille aux 'ar.
mées rivales, que la France réclamât un
droit de priorité aux réparations. Le mo-
ment semblait propice, l'Europe était cer-
tainement sauvée. On avait fait grand état
du désir de l'Angleterre d'obtenir enfin une
paix véritable, presque à n'importe quel
prix.
LA NOTE BALFOUR. — Quel mauvais génie
provoqua sur ces entrefaites la publication
de la note Balfour au moment précis où un
accoru général semblait assuré ? L'effet du
changement de front britannique a eu des
répercussions dont on ne saurait exagérer
la gravité. Ce seul geste,en cette conjoncture
critique, s'avèrera peut-'ê'tre le coup fatal qui
a transformé en défaite et en désastre la vic-
toire certaine de la civilisation européenne.
L'opinion française n'arrive pas à s'expli-
quer comment une réponse si décourageante
a pu être opposée par l'Angleterre, à de bon-
nes intentions et de courageux sacrifices.Le
fait que M. Poincaré ne s'est pas montré à
la hauteur des événements, qu'il n'a pas eu
l'audace d'acculer la Grande-Bretagne à ce
dilemme : accepter son offre ou assumer la
responsabilité de la catastrophe qui nous
menace aujourd'hui, ne saurait se nier.
Mais il faut reconnaître, du moins que le
plan Poincaré, qui ne manquait pas de gé-
nérosité, qui constituait un progrès im-
mense,, et qui était la première proposition
positive en faveur de la reconstitution d'une -
Europe brisée, avait été suffisamment an-
noncé dans la presse.
Ce qui est arrivé à Londres ne pouvait ¡.
manquer d'avoir les plus formidables con-
séquences. L'avortement complet de la con-
férence est l'échec le plus lamentable que
rapporte l'histoire. Toute l'humeur de ia
France en est singulièrement transformée.
Nous assistons à un retour à l'ancienne in-
transigeance. La France se raidit et prête
l'oreille aux conseils du désespoir. Person-
ne ne voulait d'une rupture avec l'Angle-
terre. Personne ne voulait d'une politique
de sanctions pure et simple. Mais en se
voyant fermer la. route d'un accord mutuei,
en constatant l'indifférence apparente de
l'Angleterre quant aux besoins de la France
et ii son désir d'une transaction large et
généreuse, le sentiment éprouvé en France
est que la victime de la guerre la plus
digne de sympathie est bien forcée de se
retourner avec une certaine rudesse contre
l'auteur de sa ruine.
LES INVECTIVES ADRESSÉES A LA FRANCE. -
Car il convient de noter que si la France
n'a pas été heureuse ou habile dans sa
manière de faire valoir son bon droit, ce
droit était suflfiisamfcienl? reconnu pour qu'il
fût inconcevable qu'un torrent d'invectives
dût se décharger contre, elle, au moment
même où elle faisait un effort sincère pour
concilier sa politique avec la politique pré-
sumée de l'Angleterre, à moins que ce ne
fût de propos délibérés. Jamais il n'a été
dirigé contre la France autant de critiques
hargneuses et mal informées que pendant
les journées où elle était disposée à accep-
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des impôts français est l'objet de critiques
dues à l'ignorance. Ses aéroplanes et ses
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