Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 août 1922 26 août 1922
Description : 1922/08/26 (T21,N2137). 1922/08/26 (T21,N2137).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62171044
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTERE -
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N°2137
Samedi 26 août 1922
1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le franc et le mark
(Frankfurter Zeitung, Deutsche Allge-
meine Zeitung). — L'Angleterre et le
continent (Paul Scheffer dans Berliner
Tageblait). — Le Reich et la Bavière :
les thèmes du compromis (Reinisch
Westfälische Zeitung, Franckjurter
zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
Russie (New Republic). — Les pacifis-
tes américains (Washington Post). —
Une République rhénane (Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE. -— « Le dilemme de M.
Poincaré » (correspondance de Paris au
Times). — L'Italie et l'Autriche (Daily
Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et l'Autriche
(Mussolini dans Popolo d'Italia; Tri-
buna).
POLITIQUE GENERALE
-
-' LES RÉPARATIONS
« LE DILEMME DE M. POINCARE ». —
Sous ce titre, le correspondant parisien du
Times signale combien il serait improbable
que la France pût, ,à l'heure actuelle, battre
en retraite :
De Paris, 24 août : Etant donné, d'une
part, la froideur des rapports aetuels entre
France et l'Angleterre et la divergence
leur politique, et de l'autre l'impossibi-
té où se trouve apparemment le gouver-
ement de Berlin de faire une offre qui
~puisse donner satisfaction à la commission
es réparations, la situation de M. Poin-
~aré est excessivement délicate. D'une part
est soutenu, et même encouragé par les
commes politiques et par le peuple fran-
IS ; de l'autre, le chancelier allemand fait
~x Français l'impression d'être insolent
~provocateur. Il est à souhaiter sincère-
~t qu'à la dernière minute le docteur
HKh tente un effort plus sérieux en vue
de concilier les points de vue français et
britannique. Ce serait une folie pour lui,
de tabler sur une brouille permanente entre
les deux -pays riverains de la Manche, car
le simple soupçon que le chancelier puisse
compter sur l'appui de la Grande-Bretagne
tend à confirmer la France dans sa politi-
que.
UNE RETRAITE IMPROBABLE: — Il y a lieu de
donner, avant qu'il soit trop tard, un aver-
tissement sérieux. On ne peut guère espé-
l'er que le gouvernement français puisse
reculer. On ne peut, guère espérer que
M. Poincaré puisse renoncer à agir dans
certaines éventualités, même s'il en
éprouve le désir. Que l'on considère que la
position prise par la France est fausse, ou
le contraire ; que l'on pense que M. Poin-
caré agirait à contre-cœur ou qu'il en sai-
cœur ou qu'iil en sai-
sirait l'occasion avec joie si elle se présen-
tait, — il est impossible de voir comment
il pourrait s'affranchir de ses promesses.
Il est contraint à une politique vigoureuse,
à moins que l'on ne puisse trouver quelque
compromis. On ne peut prédire avec aucun
degré de certitude si la commission des ré-
parations prendrait le parti de proclamer
le manquement volontaire de l'Allemagne
si sir John Bradbury revenait les mains
vides. Les informations françaises veulent
que le délégué britannique ait été très dé-
favorablement impressionné et si le fait est
exact, on aurait tort de tenir pour prouvé
qu'il se refuserait à condamner l'Allema-
gne. De toute façon, il semble que M. Poin-
caré se soit trop avancé pour pouvoir
s'abriter derrière la commission des répa-
rations et il est à craindre sérieusement
que la France ne fasse prévaloir ses
droits.
L'attitude de l'Allemagne, qui ne semble
plus craindre une action indépendante de
la France, amène certains journaux fran-
çais à se demander qui a rassuré ainsi
l'Allemagne, et quelles sortes de combinai-
sons ont été discutées depuis la fin de la
conférence de Londres. Ces questions sem-
blent donner un peu plus de consistance
aux bruits d'une entente franco-allemande,
mais j'en suis encore à découvrir le moin-
dre indice de nature à justifier l'opinion
qui prévaut dans certains Milieux, et sui-
vant laquelle M. Poincaré, afin d'échapper
au dilemme qui se pose devant lui, provo-
querait un revirement complet de la politi-
que française. Ce revirement, peut-on pen-
ser, serait possible en accentuant l'indigna-
tion générale contre l'Angleterre. Ce serait,
je le répète, une politique à la Gribouille
et qui n'est pas défendue sérieusement.
Quoi que puissent nous réserver les évé-
nements, la question actuelle est spécifique.
- L'Allemagne donnera-t-elle, oui ou non,
des garanties en échange d'un moratoire ?
Si elle s'y refuse, la France est résolue à'
s'en emparer de force. Sans doute les lea-
ders allemands sont capables d'avoir re-
cours à la manœuvre consistant à suggérer
un rapprochement, mais il y a peu de chan-
ces pour que la France se laisse duper
ainsi. (Du .correspondant particulier.) ,
TIMES, 25.8.
LE FRANC ET LE MARK. — De Berlin,
23 août : Dans son discours de Bar-le-Duc le
président du'Conseil français a reproché à nou-
veau à l'Allemagne de provoquer elle-même la
chute de son change. Le président du Conseil
français fait dans son discours le calcul sui-
vant : le déficit de la balance du commerce
allemand dans les années 1920-21 et 1922, esti-
mé en francs, est plus petit de 28 milliards que
le déficit de la balance commerciale française
pendant la même période. Nous voulons bien
accepter cette affirmation comme exacte.
Mais voici comment M. Poincaré fait son cal-
cul. Il estime que le franc n'est tombé qu'au
2/5 de sa valeur tandis que le mark serait tom-
bé au 255e de sa valeur, et il en tire cette con-
clusion que ce ne sont pas. les paiements alle-
mands de réparations, mais une mauvaise po-
litique financière et économique qui a provo-
qué la chute du mark. La conclusion serait
exacte peut-être si les prémisses étaient justes.
Nous voulons bien accorder au président du Con-
seil français qu'il a donné pour la France des
chiffres exacts, mais nous savons que ses chif-
fres pour l'Allemagne sont faux. Il paraît tom-
ber dans cette erreur commune des profanes qui
confondent la balance commerciale avec la ba-
lance des comptes. En effet, avant la guerre,
nous avions une balance commerciale constam-
ment passive et pourtant nous nous enrichis-
sions d'année en année. Pendant la guerre où
la passivité de la balance commerciale alle-
mande devint plus considérable encore, il fal-
lut, pour couvrir le déficit de la balance des
comptes, expédier à l'étranger des marks-or
en valeurs allemandes pour un grand nombre
de milliards, ainsi que des papiers étrangers
pour une somme de trois milliards. Après la
guerre il fallut faire d'importants achats de de
vises étrangères. -
Le tableau exact de la situation est donc
tout différent de celui qu'a tracé M. Poincaré
à Bar-le-Duc. Depuis le début de la guerre la
balance des comptes allemands est passive
Pendant la guerre' elle a été soutenue artificielle-
ment par des ventes de valeurs or et de marks
à l'étrainger. Le président du Conseil français
ne veut pas voir que sa politique est la seule
responsable de la chute du change allemand et
il cherche à dissimuler la vérité en jonglant
avec les chiffres.
FRANKFURTER ZEITUNG, .24.8.
\- - La DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG du 23 soir
réfute de même la comparaison faite par M.
Poicaré entre les déficits des balances com-
merciales et son mode de calcul fondé sur « la
valeur moyenne du mark ».
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N°2137
Samedi 26 août 1922
1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. -
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le franc et le mark
(Frankfurter Zeitung, Deutsche Allge-
meine Zeitung). — L'Angleterre et le
continent (Paul Scheffer dans Berliner
Tageblait). — Le Reich et la Bavière :
les thèmes du compromis (Reinisch
Westfälische Zeitung, Franckjurter
zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et la
Russie (New Republic). — Les pacifis-
tes américains (Washington Post). —
Une République rhénane (Washington
Post).
PRESSE ANGLAISE. -— « Le dilemme de M.
Poincaré » (correspondance de Paris au
Times). — L'Italie et l'Autriche (Daily
Telegraph).
PRESSE ITALIENNE. — L'Italie et l'Autriche
(Mussolini dans Popolo d'Italia; Tri-
buna).
POLITIQUE GENERALE
-
-' LES RÉPARATIONS
« LE DILEMME DE M. POINCARE ». —
Sous ce titre, le correspondant parisien du
Times signale combien il serait improbable
que la France pût, ,à l'heure actuelle, battre
en retraite :
De Paris, 24 août : Etant donné, d'une
part, la froideur des rapports aetuels entre
France et l'Angleterre et la divergence
leur politique, et de l'autre l'impossibi-
té où se trouve apparemment le gouver-
ement de Berlin de faire une offre qui
~puisse donner satisfaction à la commission
es réparations, la situation de M. Poin-
~aré est excessivement délicate. D'une part
est soutenu, et même encouragé par les
commes politiques et par le peuple fran-
IS ; de l'autre, le chancelier allemand fait
~x Français l'impression d'être insolent
~provocateur. Il est à souhaiter sincère-
~t qu'à la dernière minute le docteur
HKh tente un effort plus sérieux en vue
de concilier les points de vue français et
britannique. Ce serait une folie pour lui,
de tabler sur une brouille permanente entre
les deux -pays riverains de la Manche, car
le simple soupçon que le chancelier puisse
compter sur l'appui de la Grande-Bretagne
tend à confirmer la France dans sa politi-
que.
UNE RETRAITE IMPROBABLE: — Il y a lieu de
donner, avant qu'il soit trop tard, un aver-
tissement sérieux. On ne peut guère espé-
l'er que le gouvernement français puisse
reculer. On ne peut, guère espérer que
M. Poincaré puisse renoncer à agir dans
certaines éventualités, même s'il en
éprouve le désir. Que l'on considère que la
position prise par la France est fausse, ou
le contraire ; que l'on pense que M. Poin-
caré agirait à contre-cœur ou qu'il en sai-
cœur ou qu'iil en sai-
sirait l'occasion avec joie si elle se présen-
tait, — il est impossible de voir comment
il pourrait s'affranchir de ses promesses.
Il est contraint à une politique vigoureuse,
à moins que l'on ne puisse trouver quelque
compromis. On ne peut prédire avec aucun
degré de certitude si la commission des ré-
parations prendrait le parti de proclamer
le manquement volontaire de l'Allemagne
si sir John Bradbury revenait les mains
vides. Les informations françaises veulent
que le délégué britannique ait été très dé-
favorablement impressionné et si le fait est
exact, on aurait tort de tenir pour prouvé
qu'il se refuserait à condamner l'Allema-
gne. De toute façon, il semble que M. Poin-
caré se soit trop avancé pour pouvoir
s'abriter derrière la commission des répa-
rations et il est à craindre sérieusement
que la France ne fasse prévaloir ses
droits.
L'attitude de l'Allemagne, qui ne semble
plus craindre une action indépendante de
la France, amène certains journaux fran-
çais à se demander qui a rassuré ainsi
l'Allemagne, et quelles sortes de combinai-
sons ont été discutées depuis la fin de la
conférence de Londres. Ces questions sem-
blent donner un peu plus de consistance
aux bruits d'une entente franco-allemande,
mais j'en suis encore à découvrir le moin-
dre indice de nature à justifier l'opinion
qui prévaut dans certains Milieux, et sui-
vant laquelle M. Poincaré, afin d'échapper
au dilemme qui se pose devant lui, provo-
querait un revirement complet de la politi-
que française. Ce revirement, peut-on pen-
ser, serait possible en accentuant l'indigna-
tion générale contre l'Angleterre. Ce serait,
je le répète, une politique à la Gribouille
et qui n'est pas défendue sérieusement.
Quoi que puissent nous réserver les évé-
nements, la question actuelle est spécifique.
- L'Allemagne donnera-t-elle, oui ou non,
des garanties en échange d'un moratoire ?
Si elle s'y refuse, la France est résolue à'
s'en emparer de force. Sans doute les lea-
ders allemands sont capables d'avoir re-
cours à la manœuvre consistant à suggérer
un rapprochement, mais il y a peu de chan-
ces pour que la France se laisse duper
ainsi. (Du .correspondant particulier.) ,
TIMES, 25.8.
LE FRANC ET LE MARK. — De Berlin,
23 août : Dans son discours de Bar-le-Duc le
président du'Conseil français a reproché à nou-
veau à l'Allemagne de provoquer elle-même la
chute de son change. Le président du Conseil
français fait dans son discours le calcul sui-
vant : le déficit de la balance du commerce
allemand dans les années 1920-21 et 1922, esti-
mé en francs, est plus petit de 28 milliards que
le déficit de la balance commerciale française
pendant la même période. Nous voulons bien
accepter cette affirmation comme exacte.
Mais voici comment M. Poincaré fait son cal-
cul. Il estime que le franc n'est tombé qu'au
2/5 de sa valeur tandis que le mark serait tom-
bé au 255e de sa valeur, et il en tire cette con-
clusion que ce ne sont pas. les paiements alle-
mands de réparations, mais une mauvaise po-
litique financière et économique qui a provo-
qué la chute du mark. La conclusion serait
exacte peut-être si les prémisses étaient justes.
Nous voulons bien accorder au président du Con-
seil français qu'il a donné pour la France des
chiffres exacts, mais nous savons que ses chif-
fres pour l'Allemagne sont faux. Il paraît tom-
ber dans cette erreur commune des profanes qui
confondent la balance commerciale avec la ba-
lance des comptes. En effet, avant la guerre,
nous avions une balance commerciale constam-
ment passive et pourtant nous nous enrichis-
sions d'année en année. Pendant la guerre où
la passivité de la balance commerciale alle-
mande devint plus considérable encore, il fal-
lut, pour couvrir le déficit de la balance des
comptes, expédier à l'étranger des marks-or
en valeurs allemandes pour un grand nombre
de milliards, ainsi que des papiers étrangers
pour une somme de trois milliards. Après la
guerre il fallut faire d'importants achats de de
vises étrangères. -
Le tableau exact de la situation est donc
tout différent de celui qu'a tracé M. Poincaré
à Bar-le-Duc. Depuis le début de la guerre la
balance des comptes allemands est passive
Pendant la guerre' elle a été soutenue artificielle-
ment par des ventes de valeurs or et de marks
à l'étrainger. Le président du Conseil français
ne veut pas voir que sa politique est la seule
responsable de la chute du change allemand et
il cherche à dissimuler la vérité en jonglant
avec les chiffres.
FRANKFURTER ZEITUNG, .24.8.
\- - La DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG du 23 soir
réfute de même la comparaison faite par M.
Poicaré entre les déficits des balances com-
merciales et son mode de calcul fondé sur « la
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