Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 août 1922 14 août 1922
Description : 1922/08/14 (T21,N2128)-1922/08/16. 1922/08/14 (T21,N2128)-1922/08/16.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217095m
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
I : MINISTÈRE
1 DES
/PMRES ÉTRANGÈRES
:: —————
N° 2128
Lundi 14, mercredi 16 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
"NESSE ALLEMANDE. - « Le désespoir en Al-
lemagne » (F. Nitti dans Berliner Tage-
blatt). — L'anniversaire de la constitu-
tion de Weimar (Vorwârts, Rote Fahne,
v Kreuz-Zeitung).
lJnESSE AMÉRICAINE. - Les dettes des alliés
aux Etaits-Unis (New York Tribune).
lJnESSE ANGLAISE. - Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Times,
Daily Chronicle, Westminster Gazette).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
.LES DIVERGENCES FRANGO-BRITAN-
JQUES. — Le Times fait remonter à la
40te de lord Balfour la responsabilité de
C ec des entretiens de Londres :
est beaucoup plus difficile de raccom-
oder que de rompre. Il est plus difficile
pcore de créer à nouveau ce qui a été dé-
ruit- Si les délégués se séparent ce soir
un désaccord ouvert, il s'ouvrira peut-être
- chapitre nouveau et d'un caractère bien
peu propIce, quant aux relations anglo-fran-
rllS&s et à l'histoire de l'Europe. L'espoir
d Ont on se berce dans certains milieux et
a'vant lequel l'effondrement économique et
h; de décider l'Amérique à venir au secours
de celle-ci en réunissant une conférence
fornique internationale, ou en y partici-
Iest à notre, avis entièrement erroné.
de sPectacle de la discorde européenne est
le nnature à repousser plutôt que d'attirer
Peuple américain. En aucun cas ce spec-
k g ne saurait le rapprocher de la Grande-
retagne. La note Balfour obstruera la
Cielle tant qu'elle restera l'expression offi-
tet de la politique britannique. C'est à
«el» note que serait attribué surtout, et
rencellon. Bans raison, l'échec de la confé-
Sa.bilit2e Londresi. Il est vrai que la respon-
!)O\1s d.e cet échec ne retomberait pas sur
n S'euls. Le gouvernement français et
enfwrticuUer le premier ministre devraient
qUr 'l>rOfTr Pu se maintenir sur le terrain du
'Drût, irarinrn e Plus, large qu'il préparait au
aW»?11 où la note Balfour le lui a fait
l'on fn°^ne,r ; il aurait pu insister pour que
ce programme la base de la dis-
cussion. Si les délégués britanniques
av ""- 'nt déclaré alors que la politique de la
défin.it' four représentait leur contribution
et veirs le règlement des réparations
t~t des dettes interalliées, le monde en gé-
néral, et le peuple britannique auraient pu
juger entre les deux parties. Mais si
M. Poincaré a tenté une démarche quel-
conque dans ce sens, il l'a fait sans que le
cœur y fût, presque par manière d'acquit,
de sorte que l'on ne pouvait en attendre
aucun résultat utile. C'est ainsi que la con-
férence de Londres a dégénéré en une série
de discussions sur des pointes d'aiguilles
dans l'effort d'aboutir à un accord relatif
sur des questions de détail dont se désinté-
resse profondément l'opinion publique. —
(Ed.)
TIMES, 14.8.
- La Daily Chronicle et la Westminster
Gazette envisagent l'hypothèse d'une action
isolée de la France :
(Sous ces titres)
*Bien que les chefs des cinq délégations
doivent se réunir à nouveau ce matin, les
chances pour qu'ils arrivent à un accord
quelconque sont minimes. Tous les gouver-
nements alliés acceptent le principe d'accor-
der un moratoire à l'Allemagne moyennant
certaines conditions ; mais la France exige
qu'il soit posé des conditions auxquelles
aucun des autres pays ne peut donner son
assentiment. Huit jours de discussions pa-
tientes n'ont pas modifié sensiblement les
opinions en présence. Le moment est donc
venu d'examiner ce qui peut s'ensuivre, si
la conférence se sépare sans avoir pris au-
cune décision.
Le cas est prévu dans le traité de Ver-
sailles. L'article 233 permet à la commission
des réparations d'accorder un moratoire à
un moment quelconque ; et le, paragra-
phe 13 de la deuxième annexe permet expli-
citement d'accorder un moratoire tel qu'il
en est envisagé un aujourd'hui, à la majo-
rité ces voix. Au point de vue constitution-
nel, il n'y avait donc aucune nécessité de
réunirla conférence de Londres. C'est seu-
lement parce que la France exprimait des
opinions en désaccord avec celles de tous les
autres pavs et parce que les gouvernements
alliés désiraient, s'il était possible, d'obte-
nir une décision unanime, que la confé-
rence de Londres s'est tenue afin de recher-
cher cette unanimité. Et si ce résultat n'a
pas été obtenu, c'est parce que M. Poincaré
est venu en Angleterre porteur de proposi.
tions qu'il savait d'avance être inaccepta-
bles, et qu'il a refusé jusqu'ici de modifier
ou de retirer. Si cette situation continue, la
question devrait naturellement être déférée
à la commission des réparations. C'est, ce
qu'enjoint le traité.
On relève dans la presse française des
menaces suivant lesquelles, loin de s'incli-
ner devant cette nécessité, M. Poincaré lan-
cerait la France dans la voie d'une action
séparée, d'ordre militaire, contre l'Allema-
gne. En agissant ainsi, il déchirerait, bien
entendu, le traité de Versailles. Il est im-
possible que les conséquences, la grande
portée d'une telle mesure, aient pu échap-
per entièrement à son attention ; et nous
ne pensons pas qu'il se décide à la prendre.
Il existe à Paris un parti qui accueillerait
cette aventure avec joie ; mais il faut re-
connaître plus de sagesse à l'ensemble de
la nation française.
On s'efforcera peut-être ce matin d'éviter,
81U moyen d'un ajournement de courte du-
rée, que les deux thèses se heurtent de
front. L'agence Havas, qui est souvent le
porte-parole du gouvernement français,
parle d'un ajournement à deux mois de la
discussion du moratoire, qui serait reprise
à ce moment-là concurremment avec les
questions connexes d'un emprunt interna-
tional destiné aux réparations et d'un rè-
glement des dettes interalliées. Etant donné
qu'il est proposé de n'accorder dans l'en-
tretemps aucun moratorium, et que d'autre
part l'effondrement du mark allemand exige
une prompte intervention si l'on veut éviter
une catastrophe, nous ne voyons dans ce
projet rien qui puisse le recommander: nous
préférerions l'alternative indiquée dans le
même message, suivant laquelle un mora-
torium « moindre », d'une durée de six à
huit semaines, serait accordé en échange de
garanties « moindres », elle aussi. Les hom-
mes d'Etat britanniques sont assurément
disposés - à rencontre des hommes d'Etat
français, ils l'ont toujours été - à persister
dans la voie des discussions directes en
vue d'obtenir un accord efficace. Mais il
convient de faire observer franchement que
ni actuellement ni dans deux mois il ne
pourra être obtenu aucune harmonie par
des méthodes dictatoriales comme celles
par lesquelles M. Poincaré a cherché, dès
le début, à imposer sa volonté à cette con-
férence. Ces méthodes sont aussi incompa-
tibles avec l'esprit d'une alliance ou d'une
entente quelconque, voire même d'aucune
coopération féconde en vue de la poursuite
de buts communs tels que l'application du
traité de Versailles, que l'est le déborde-
ment de reproches antibritanniques qui a
défiguré la presse française avant et pen-
dant la conférence actuelle. Croyant ferme-
ment à l'utilité féconde de l'amitié anglo-
française, nous avons envisagé ces mani-
festations avec le regret le plus profond. Si
elles représentent une politique correspon-
dante, ces manifestations sont déploirables ;
si elles ne sont destinées qu'à poursuivre un
but tactique, elles reposent sur une mécon-
naissance absolue de l'effet qu'elles ne peu-
vent manquer de produire. (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 14.8.
1 DES
/PMRES ÉTRANGÈRES
:: —————
N° 2128
Lundi 14, mercredi 16 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
"NESSE ALLEMANDE. - « Le désespoir en Al-
lemagne » (F. Nitti dans Berliner Tage-
blatt). — L'anniversaire de la constitu-
tion de Weimar (Vorwârts, Rote Fahne,
v Kreuz-Zeitung).
lJnESSE AMÉRICAINE. - Les dettes des alliés
aux Etaits-Unis (New York Tribune).
lJnESSE ANGLAISE. - Les réparations : les di-
vergences franco-britanniques (Times,
Daily Chronicle, Westminster Gazette).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
.LES DIVERGENCES FRANGO-BRITAN-
JQUES. — Le Times fait remonter à la
40te de lord Balfour la responsabilité de
C ec des entretiens de Londres :
est beaucoup plus difficile de raccom-
oder que de rompre. Il est plus difficile
pcore de créer à nouveau ce qui a été dé-
ruit- Si les délégués se séparent ce soir
un désaccord ouvert, il s'ouvrira peut-être
- chapitre nouveau et d'un caractère bien
peu propIce, quant aux relations anglo-fran-
rllS&s et à l'histoire de l'Europe. L'espoir
d Ont on se berce dans certains milieux et
a'vant lequel l'effondrement économique et
h;
de celle-ci en réunissant une conférence
fornique internationale, ou en y partici-
Iest à notre, avis entièrement erroné.
de sPectacle de la discorde européenne est
le nnature à repousser plutôt que d'attirer
Peuple américain. En aucun cas ce spec-
k g ne saurait le rapprocher de la Grande-
retagne. La note Balfour obstruera la
Cielle tant qu'elle restera l'expression offi-
tet de la politique britannique. C'est à
«el» note que serait attribué surtout, et
rencellon. Bans raison, l'échec de la confé-
Sa.bilit2e Londresi. Il est vrai que la respon-
!)O\1s d.e cet échec ne retomberait pas sur
n S'euls. Le gouvernement français et
enfwrticuUer le premier ministre devraient
qUr
'Drût, irarinrn e Plus, large qu'il préparait au
aW»?11 où la note Balfour le lui a fait
l'on fn°^ne,r ; il aurait pu insister pour que
ce programme la base de la dis-
cussion. Si les délégués britanniques
av ""- 'nt déclaré alors que la politique de la
défin.it' four représentait leur contribution
et veirs le règlement des réparations
t~t des dettes interalliées, le monde en gé-
néral, et le peuple britannique auraient pu
juger entre les deux parties. Mais si
M. Poincaré a tenté une démarche quel-
conque dans ce sens, il l'a fait sans que le
cœur y fût, presque par manière d'acquit,
de sorte que l'on ne pouvait en attendre
aucun résultat utile. C'est ainsi que la con-
férence de Londres a dégénéré en une série
de discussions sur des pointes d'aiguilles
dans l'effort d'aboutir à un accord relatif
sur des questions de détail dont se désinté-
resse profondément l'opinion publique. —
(Ed.)
TIMES, 14.8.
- La Daily Chronicle et la Westminster
Gazette envisagent l'hypothèse d'une action
isolée de la France :
(Sous ces titres)
*Bien que les chefs des cinq délégations
doivent se réunir à nouveau ce matin, les
chances pour qu'ils arrivent à un accord
quelconque sont minimes. Tous les gouver-
nements alliés acceptent le principe d'accor-
der un moratoire à l'Allemagne moyennant
certaines conditions ; mais la France exige
qu'il soit posé des conditions auxquelles
aucun des autres pays ne peut donner son
assentiment. Huit jours de discussions pa-
tientes n'ont pas modifié sensiblement les
opinions en présence. Le moment est donc
venu d'examiner ce qui peut s'ensuivre, si
la conférence se sépare sans avoir pris au-
cune décision.
Le cas est prévu dans le traité de Ver-
sailles. L'article 233 permet à la commission
des réparations d'accorder un moratoire à
un moment quelconque ; et le, paragra-
phe 13 de la deuxième annexe permet expli-
citement d'accorder un moratoire tel qu'il
en est envisagé un aujourd'hui, à la majo-
rité ces voix. Au point de vue constitution-
nel, il n'y avait donc aucune nécessité de
réunirla conférence de Londres. C'est seu-
lement parce que la France exprimait des
opinions en désaccord avec celles de tous les
autres pavs et parce que les gouvernements
alliés désiraient, s'il était possible, d'obte-
nir une décision unanime, que la confé-
rence de Londres s'est tenue afin de recher-
cher cette unanimité. Et si ce résultat n'a
pas été obtenu, c'est parce que M. Poincaré
est venu en Angleterre porteur de proposi.
tions qu'il savait d'avance être inaccepta-
bles, et qu'il a refusé jusqu'ici de modifier
ou de retirer. Si cette situation continue, la
question devrait naturellement être déférée
à la commission des réparations. C'est, ce
qu'enjoint le traité.
On relève dans la presse française des
menaces suivant lesquelles, loin de s'incli-
ner devant cette nécessité, M. Poincaré lan-
cerait la France dans la voie d'une action
séparée, d'ordre militaire, contre l'Allema-
gne. En agissant ainsi, il déchirerait, bien
entendu, le traité de Versailles. Il est im-
possible que les conséquences, la grande
portée d'une telle mesure, aient pu échap-
per entièrement à son attention ; et nous
ne pensons pas qu'il se décide à la prendre.
Il existe à Paris un parti qui accueillerait
cette aventure avec joie ; mais il faut re-
connaître plus de sagesse à l'ensemble de
la nation française.
On s'efforcera peut-être ce matin d'éviter,
81U moyen d'un ajournement de courte du-
rée, que les deux thèses se heurtent de
front. L'agence Havas, qui est souvent le
porte-parole du gouvernement français,
parle d'un ajournement à deux mois de la
discussion du moratoire, qui serait reprise
à ce moment-là concurremment avec les
questions connexes d'un emprunt interna-
tional destiné aux réparations et d'un rè-
glement des dettes interalliées. Etant donné
qu'il est proposé de n'accorder dans l'en-
tretemps aucun moratorium, et que d'autre
part l'effondrement du mark allemand exige
une prompte intervention si l'on veut éviter
une catastrophe, nous ne voyons dans ce
projet rien qui puisse le recommander: nous
préférerions l'alternative indiquée dans le
même message, suivant laquelle un mora-
torium « moindre », d'une durée de six à
huit semaines, serait accordé en échange de
garanties « moindres », elle aussi. Les hom-
mes d'Etat britanniques sont assurément
disposés - à rencontre des hommes d'Etat
français, ils l'ont toujours été - à persister
dans la voie des discussions directes en
vue d'obtenir un accord efficace. Mais il
convient de faire observer franchement que
ni actuellement ni dans deux mois il ne
pourra être obtenu aucune harmonie par
des méthodes dictatoriales comme celles
par lesquelles M. Poincaré a cherché, dès
le début, à imposer sa volonté à cette con-
férence. Ces méthodes sont aussi incompa-
tibles avec l'esprit d'une alliance ou d'une
entente quelconque, voire même d'aucune
coopération féconde en vue de la poursuite
de buts communs tels que l'application du
traité de Versailles, que l'est le déborde-
ment de reproches antibritanniques qui a
défiguré la presse française avant et pen-
dant la conférence actuelle. Croyant ferme-
ment à l'utilité féconde de l'amitié anglo-
française, nous avons envisagé ces mani-
festations avec le regret le plus profond. Si
elles représentent une politique correspon-
dante, ces manifestations sont déploirables ;
si elles ne sont destinées qu'à poursuivre un
but tactique, elles reposent sur une mécon-
naissance absolue de l'effet qu'elles ne peu-
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