Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-08-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 août 1922 11 août 1922
Description : 1922/08/11 (T21,N2126). 1922/08/11 (T21,N2126).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217093s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
Fr AIR ES étrangères
N° 2126
Vendredi 11 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits., '-
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
0 SOMMAIRE
PnESSE ALLEMANDE. — Lettre ouverte du ba-
ron von Schoen à M. Poincaré
]i (Deutsche Allgemeine Zeitung). - La
■% conférence de Londres (Otto Hoetzsch
'1 dans Kreuz-Zeitung ; Vorwärts, Rote
Fallne).. — L'Alsace et la propagande
ant.ifrançnise (Dr Robert Ernst dans
Deutsche Aligellleine Zeitung).
^HESSE AMÉRICAINE. - Les dettes interal-
liées (Morning Oregonian). La de-
mission de M. Elmer Dover, secrétaire
adjoint au Trésor [W orld).
^I'ESSE ANGLAISE. — La conférence de Lon-
dres (Times, Daily Chronicle, Daily
Télégraphe Westminster Gazette).
E
1
POLITIQUE GENERALE
!
°^IGINES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
LETTRE OUVERTE DU BARON VON SCHOEN,
AMBASSADEUR D'ALLEMAGNE A PARIS, A
• tJOINCAliÉ, PRÉSIDENT DU CONSEIL DES MI-
di fB.ES FH\NCAIS. - * N ous avez dans votre
Jlscours du 6 juillet, à la Chambre des dé-
tés, qui m'etstl' communiqué dans son
te exact seulement maintenant, affirme,
il y a déjà plus d'un an que j'avais
<:le dessein omis en remettant la déclara ion
he ëuerpe de l'Allemagne à, la France, la
remière et essentielle partie de la commu-
tation do mon gouvernement, laquelle
5arlait de violations du territoire allemand
es troupe» françaises et que je m'etais
rrié à parler des attaques aériennes qu'on
k 6 Pouvait aussitôt vérifier. Vous portez
,i riiSi une grave accusation sur mon respect
rrieiS devoirs et de la vérité. Je dois pro-
tp(,,*er de la façon la plus énergique en indi-
q. iû.l1t les faits suivants.
Jre télégramme du chancelier d'Empire
0lll contenait la déclaration de guerre et me
~L le 3 août 1944 entre 4 et 5 heures de
r^s"midi, apparut fortement mutilé au
^, hlffrement que j'exécutai avec cinq
ïf^es de mon ambassade. Comme dans
\r. ^pêche précédente du secrétaire c
Res agow, c'étaient précisément les passa-
W, rapportant à des ogressions des
I ~P~ françaises qui étaient complètement
supprimés ; seul le passaige sur les attaques
aériennes était lisible et aussi la conclusion
sur le passage à l'état de guerre. Lorsqu'un
peu avant six heures je me présentai
devant M. Viviani pour remplir ma mis-
sion, j'attirai expressément son attention
sur la mutilation du télégramme et j'ex-
primai la supposition que la partie non li-
sible de la dépêche concernait d'autres ac-
tes d'hostilité des Français. Le directeur
politique de Margerie, présent à l'entretien,
confirma mon indication en remarquant
qu'au Quai d'Orsay aussi,ces derniers jours,
plusieurs télégrammes étaient arrivés muti-
lés. Le fait de la mutilation des dépêches,
ainsi que le texte exact de la déclaration de
guerre, ont été rendus publics dès le 7 août
1914, aussitôt que j'eus été en situation de
transmettre personnellement à mon gou-
vernement des éclaircissements et des preu-
ves. Toute représentation des événements
s'écartant de ces faits est contraire à la
vérité.
Le souvenir des rapports personnels que
j'ai eu l'honneur d'entretenir avec vous,
M. le Président, ainsi que l'accueil que vous
avez fait à ma première rectification, m'au-
torisent à penser que vous accorderez à ma
déclaration une attention suffisante et ferez
le nécessaire pour couper court aux effets
regrettables du tableau inexact que vous
tracez des événements.
Berchiesgaden, 4 août 1922.
Von Schoen.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
8.8, soir.
LES RÉPARATIONS
LA CONFERENCE DE LONDRES. —
PRESSE ALLEMANDE. — Les déclarations de
Lloyd George avant la conférence, déclare
Otto Hoetzsch dans la Kreuz-Zeitung, ca-
ractérisent très bien la situation, mais elles
ne définissent aucun programme et n'indi-
quent pas la volonté de vaincre la, résis-
tance déclarée de Poincaré.
Pour le moment l'Amérique du Nord ni
l'ltalie ne constituent une aide pour l'An-
gleterre. Schanzer a déclaré que les négo-
ciations de Londres auraient un caractère
purement « préparatoire » en vue d'une
nouvelle conférence chargée de bien d au-
tres objets. Nous connaissons cette chan-
son. Et l'écho provoqué en Amérique par
la note Balfour nous a appris - sans sur-
nrise - qu'il n'y avait rien à attendre là-
bas pour l'instant. Même si Harding voulait
sérieusement quelque chose, ses mains
sont liées parce que la consolidation des
deites est établie légalement. Pour effec-
tuer la remise des dettes il faudrait chan-
ger la loi par un vote du congrès. La situa-
tion n'est pas mûre pour cela, comme on
peut s'en rendre compte par les déclara-
tions des hommes politiques principaux.
Il ne reste donc que la perspective d'une
contrainte exercée par l'Angleterre seule !
Les crises de parti, la guerre civile irlan-
daise, l'Egypte, l'Intermède grec, la détente
d'été et l'indifférence en matière de politi-
que, ne sont pas des auspices favorables à
une politique énergique de l'Angleterre à la
conféreince. L'Angleterre et la France diver-
gent tout à fait, mais l'Angleterre ne veut
pas rompre l'alliance.
L'Allemagne est au bout de ses ressour-
ces et ne peut pas fournir ses paiements-or ;
le vice-président de la Reichsbank a dé-
claré, lorsqu'on annonça que le Reich avait
suspendu ses achats de devises, que le
Reich n'avait pas acheté de devises depuis
un certain temps à cause du cours élevé
des changes et aussi parce qu'il n'y avait
plus moyen de trouver de devises ! Cela dit
tout. : tout le monde veut se défaire de ses
marks, personne ne veut les acheter.
On se rend bien compte en Angleterre
de cette situation, qui s'exprime dans le
rapport entre les cours du dollar et du
mark. C'est ce qu'indiquent lai note Balfour
et ses discours. Il y a plus : on sait que
l'on se rapproche du moment où les confé-
rences au sujet des réparations n'auront
plus de sens. — Otto Hoetzsch.
KREUZ-ZEITUNG, 9.8.
- Selon le Vorwarts, les premiers minis-
tres alliés ont le désir d'arriver à un corn.
promis :
Le comité des experts de Londres n'ayant
qu'un rôle purement consultatif, il faut at-
tendre maintenant la décision du conseil su-
prême. Dans les milieux politiques anglais
on semble envisager de façon très sceptique
le projet, de Poincaré. Le Daily Express dit
que des mesures de contrôle pratiques sont
du point de vue anglais et pour les mêmes
raisons aussi impossibles que les sanctions
militaires. Les Daily News ne croient pas
non plus que les propositions de Poincaré
aient, des résultats pratiquas. La Daily
Chronicle et la Morning Post déclarent que
la France doit suivre la direction de l'An-
gleterre.
La presse française est d'avis au con-
traire que Poincaré doit maintenir son pro-
jet. Le Temps va peut-être un peu vite en
disant qu'il ne faut pas attendre à Londres
un règlement en commun et que la France
doit procéder à une action indépendante ;
il s'agit manifestement d'un emportement
un peu prématuré. Le Figaro est plus pru-
rlent, qui fait dépendre l'attitude éventuelle
de la France de la solution de la question
des gages. Le Gaulois estime que les Alliés
DES
Fr AIR ES étrangères
N° 2126
Vendredi 11 août 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits., '-
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les article.
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
0 SOMMAIRE
PnESSE ALLEMANDE. — Lettre ouverte du ba-
ron von Schoen à M. Poincaré
]i (Deutsche Allgemeine Zeitung). - La
■% conférence de Londres (Otto Hoetzsch
'1 dans Kreuz-Zeitung ; Vorwärts, Rote
Fallne).. — L'Alsace et la propagande
ant.ifrançnise (Dr Robert Ernst dans
Deutsche Aligellleine Zeitung).
^HESSE AMÉRICAINE. - Les dettes interal-
liées (Morning Oregonian). La de-
mission de M. Elmer Dover, secrétaire
adjoint au Trésor [W orld).
^I'ESSE ANGLAISE. — La conférence de Lon-
dres (Times, Daily Chronicle, Daily
Télégraphe Westminster Gazette).
E
1
POLITIQUE GENERALE
!
°^IGINES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
LETTRE OUVERTE DU BARON VON SCHOEN,
AMBASSADEUR D'ALLEMAGNE A PARIS, A
• tJOINCAliÉ, PRÉSIDENT DU CONSEIL DES MI-
di fB.ES FH\NCAIS. - * N ous avez dans votre
Jlscours du 6 juillet, à la Chambre des dé-
tés, qui m'etstl' communiqué dans son
te exact seulement maintenant, affirme,
il y a déjà plus d'un an que j'avais
<:le dessein omis en remettant la déclara ion
he ëuerpe de l'Allemagne à, la France, la
remière et essentielle partie de la commu-
tation do mon gouvernement, laquelle
5arlait de violations du territoire allemand
es troupe» françaises et que je m'etais
rrié à parler des attaques aériennes qu'on
k 6 Pouvait aussitôt vérifier. Vous portez
,i riiSi une grave accusation sur mon respect
rrieiS devoirs et de la vérité. Je dois pro-
tp(,,*er de la façon la plus énergique en indi-
q. iû.l1t les faits suivants.
Jre télégramme du chancelier d'Empire
0lll contenait la déclaration de guerre et me
~L le 3 août 1944 entre 4 et 5 heures de
r^s"midi, apparut fortement mutilé au
^, hlffrement que j'exécutai avec cinq
ïf^es de mon ambassade. Comme dans
\r. ^pêche précédente du secrétaire c
Res agow, c'étaient précisément les passa-
W, rapportant à des ogressions des
I ~P~ françaises qui étaient complètement
supprimés ; seul le passaige sur les attaques
aériennes était lisible et aussi la conclusion
sur le passage à l'état de guerre. Lorsqu'un
peu avant six heures je me présentai
devant M. Viviani pour remplir ma mis-
sion, j'attirai expressément son attention
sur la mutilation du télégramme et j'ex-
primai la supposition que la partie non li-
sible de la dépêche concernait d'autres ac-
tes d'hostilité des Français. Le directeur
politique de Margerie, présent à l'entretien,
confirma mon indication en remarquant
qu'au Quai d'Orsay aussi,ces derniers jours,
plusieurs télégrammes étaient arrivés muti-
lés. Le fait de la mutilation des dépêches,
ainsi que le texte exact de la déclaration de
guerre, ont été rendus publics dès le 7 août
1914, aussitôt que j'eus été en situation de
transmettre personnellement à mon gou-
vernement des éclaircissements et des preu-
ves. Toute représentation des événements
s'écartant de ces faits est contraire à la
vérité.
Le souvenir des rapports personnels que
j'ai eu l'honneur d'entretenir avec vous,
M. le Président, ainsi que l'accueil que vous
avez fait à ma première rectification, m'au-
torisent à penser que vous accorderez à ma
déclaration une attention suffisante et ferez
le nécessaire pour couper court aux effets
regrettables du tableau inexact que vous
tracez des événements.
Berchiesgaden, 4 août 1922.
Von Schoen.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
8.8, soir.
LES RÉPARATIONS
LA CONFERENCE DE LONDRES. —
PRESSE ALLEMANDE. — Les déclarations de
Lloyd George avant la conférence, déclare
Otto Hoetzsch dans la Kreuz-Zeitung, ca-
ractérisent très bien la situation, mais elles
ne définissent aucun programme et n'indi-
quent pas la volonté de vaincre la, résis-
tance déclarée de Poincaré.
Pour le moment l'Amérique du Nord ni
l'ltalie ne constituent une aide pour l'An-
gleterre. Schanzer a déclaré que les négo-
ciations de Londres auraient un caractère
purement « préparatoire » en vue d'une
nouvelle conférence chargée de bien d au-
tres objets. Nous connaissons cette chan-
son. Et l'écho provoqué en Amérique par
la note Balfour nous a appris - sans sur-
nrise - qu'il n'y avait rien à attendre là-
bas pour l'instant. Même si Harding voulait
sérieusement quelque chose, ses mains
sont liées parce que la consolidation des
deites est établie légalement. Pour effec-
tuer la remise des dettes il faudrait chan-
ger la loi par un vote du congrès. La situa-
tion n'est pas mûre pour cela, comme on
peut s'en rendre compte par les déclara-
tions des hommes politiques principaux.
Il ne reste donc que la perspective d'une
contrainte exercée par l'Angleterre seule !
Les crises de parti, la guerre civile irlan-
daise, l'Egypte, l'Intermède grec, la détente
d'été et l'indifférence en matière de politi-
que, ne sont pas des auspices favorables à
une politique énergique de l'Angleterre à la
conféreince. L'Angleterre et la France diver-
gent tout à fait, mais l'Angleterre ne veut
pas rompre l'alliance.
L'Allemagne est au bout de ses ressour-
ces et ne peut pas fournir ses paiements-or ;
le vice-président de la Reichsbank a dé-
claré, lorsqu'on annonça que le Reich avait
suspendu ses achats de devises, que le
Reich n'avait pas acheté de devises depuis
un certain temps à cause du cours élevé
des changes et aussi parce qu'il n'y avait
plus moyen de trouver de devises ! Cela dit
tout. : tout le monde veut se défaire de ses
marks, personne ne veut les acheter.
On se rend bien compte en Angleterre
de cette situation, qui s'exprime dans le
rapport entre les cours du dollar et du
mark. C'est ce qu'indiquent lai note Balfour
et ses discours. Il y a plus : on sait que
l'on se rapproche du moment où les confé-
rences au sujet des réparations n'auront
plus de sens. — Otto Hoetzsch.
KREUZ-ZEITUNG, 9.8.
- Selon le Vorwarts, les premiers minis-
tres alliés ont le désir d'arriver à un corn.
promis :
Le comité des experts de Londres n'ayant
qu'un rôle purement consultatif, il faut at-
tendre maintenant la décision du conseil su-
prême. Dans les milieux politiques anglais
on semble envisager de façon très sceptique
le projet, de Poincaré. Le Daily Express dit
que des mesures de contrôle pratiques sont
du point de vue anglais et pour les mêmes
raisons aussi impossibles que les sanctions
militaires. Les Daily News ne croient pas
non plus que les propositions de Poincaré
aient, des résultats pratiquas. La Daily
Chronicle et la Morning Post déclarent que
la France doit suivre la direction de l'An-
gleterre.
La presse française est d'avis au con-
traire que Poincaré doit maintenir son pro-
jet. Le Temps va peut-être un peu vite en
disant qu'il ne faut pas attendre à Londres
un règlement en commun et que la France
doit procéder à une action indépendante ;
il s'agit manifestement d'un emportement
un peu prématuré. Le Figaro est plus pru-
rlent, qui fait dépendre l'attitude éventuelle
de la France de la solution de la question
des gages. Le Gaulois estime que les Alliés
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6217093s/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6217093s/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6217093s/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6217093s/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6217093s
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6217093s
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6217093s/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest