Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-07-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 juillet 1922 06 juillet 1922
Description : 1922/07/06 (T21,N2097). 1922/07/06 (T21,N2097).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170642
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
BpNlSTÈTtE
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
e, -- ;
N" 2097
Jeudi 6 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RESSE ALLEMANDE. — Le débat au Sénat
français sur les réparations le 29
juin (Frankfurter Zeitung). '- Le dis-
cours du M. Poincaré au banquet du
Comité républicain du commerce et de
l'industrie (Kölnische Zeitung).
ESSE ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations
Westminster Gazette). — Bruits de re-
ement du cabinet britannique
ournaux divers).
ESPAGNOLE. — L'accord commercial
~I ^-espagnol (Heraldo de Madrid,
~Epoca Ramon de Olascoaga dans De-
~bate
M E - BOLLANo'AHÁE. — La conférence de
~tt rlaye : la sous-commission des
es (Nei'llwe Rotterdam sche Cou-
~ITALIENNE. - Le voyage de M. Schan-
~à L'ondres (Goffredo Bellonci dans
ca).
~IJE GENERALE
~ES REPARATIONS
~N~r AU SENAT FRANÇAIS (29
~B f l du débat des réparations
~jmNt Tançais et des interpellations de
~'t)-enel et de M. François Albert
~BB rtep Zeihmg se demande si l'on
~M~~ Ter que la. modération qui semble
~jour PSM à peu dans la Haute As-
aura quelque répercussion sur
~de la Chambre et sur la politi-
vernement [trançais.
~que de la France pour les ré-
~semble être entrée dans une
~, Le discours prononcé il y a
~a Sénat par Poincaré est
~MM elble à cet égard. Le président
~B J Mm j Vé\.1t à répondre aux interpel-
N élla.teurs de Jouvenel et Fran-
s deux sénateurs estimaient
~MBt~ que des réparations pratiquée
~BN la France aboutissait à une
~Nous sommes à un tournant
~des réparations, déclarait AI-
~N e de l'affirmatioh nous de-
~dans l'ère de la réalisation de
~ttHM Et l'orateur de préconiser
national. Et l'autre inter-
~ndait au gouvernement de
~ojet, « puisque lies traités
Sent pas à donner la so-
~Nt N tte des réparations ni à
du monde ». De Jouvenel
rappelait à cette occasion à Poincaré que
dans la paix comme dans la guerre, le suc-
cès appartient à celui qu. a su prendre
l'initiative.
Il est à remarquer qu'aucun membre de
l'assemblée ne combattît les propositions
des interpellants. La modération du Sénat
agira-t-elle sur le zèle patriotique, mais
à courte vue de la Chambre des députés?
D'après la constitution française, le Sénat
est une sorte de digue contre les flots ora-
toires du Palais-Bourbon. Mais la Chambre
des députés est tout de même le pivot de
la politique. Le Sénat agit comme un frein.
Il ne peut proposer de programme positif
à la Chambre. Il serait donc vain de tirer
des conclusions optimistes du débat séna-
torial des réparations. Mais la Chambre ne
pourra négliger les impondérables venus
du Sénat.
La réponse de Poincaré est restée un
peu énigmatique. Il faut en découvrir le
sens plutôt entre les lignes ou dans le ton
que dans les mots. Il a convenu avec M. de
Jouvenel qu'il se trouvait à un tournant,
mais qu'il pensait ne pas aboutir à une
impasse. S'il avait dit toute sa pensée, il
eût dû convenir avec les interpellants qu'en
fait il avait déjà fait quelques pas dans
l'impasse. On a encore le temps et la place
de tourner, mais il est grand temps. Le
cours du dollar atteint 500 en Allemagne.
La possibilité de payer se réduit ainsi.
Les Français devraient bien se rendre
compte enfin de ce que c'est pour l'Allema-
gne que de payer 3.600 marks les 100
francs français pour le service des répa-
rations et pour faire des achats en France.
M. Poincaré a fait comprendre qu'il n'a-
vait pas dit son dernier mot Ce dernier
mot serait sans doute son assentiment à
un emprunt international des réparations
pour l'Allemagne. Quand dira-t-il ce mot?
Le sénateur Albert a lié son projet d'em-
prunt à la question de l'extinction des dettes
interalliées. Poincaré a approuvé cette con-
ception, mais à la condition que le règle-
ment des dettes soit général et que la
France ne soit pas seule à en supporter
les frais.
Il estime que la. question de l'emprunt al-
lemand a été posée prématurément. L'Alle-
magne doit d'abord mettre de l'ordre dans
ses & finances, çe qui n'est possible qu'avec
l'organisation d'un contrôle financier. Ainsi
des finances ordonnées en Allemagne sont
la condition de la concession d'un emprunt.
Il est plus royaliste, que le roi. Si les ban-
quiers internationaux veulent bien donner
de l'argent à l'Allemagne, c'est à eux de
savoir à quelles conditions ite doivent le
faire.
Poincaré accumule ainsi les obstacles que
les deux sénateurs voulaient écarter. Au
lieu de pratiquer une « politique de mouve-
ment », comme dit le Temps, Poincaré se
tapit à nouveau derrière les paragraphes
tm les faux prétextes. L'emprunt est la
condition de la restauration des finances al-
lemandes. C'est le sang frais qui revifie-
rait le corps économique allemand. Et la
réduction des charges de l'Allemagne est le
pont par où la France peut recevoir des
paiements allemands. Les deux sénateurs
ont bien posé le problème. Une politique
des réparations active est la seule solution
tandis que l'affirmation des droits, les me-
naces et les sanctions de Poincaré ne pro-
cureront à la France aucun résultat ap-
préciable.
Le mark s'effondre. C'est pour la France
le signal l'avertissant d'avoir à prendre des
décisions. Le gouvernement français as-
sume une terrible responsabilité s'il sabote
davantage l'emprunt.
FRANKFURTER ZEITUNG 4.7, soir.
LE DISCOURS DE M. POINCARE AU
BANQUET DU COMITÉ RÉPUBLICAIN DU COMMERCE
ET DE L'INDUSTRIE (1ER JUILLET). — De Paris,
2 juillet : Si Poincaré a voulu, par son dis-
cours, faire reconnaître cette vérité que la
solidarité internationale, disons mieux la
solidarité européenne 'est la condition de
l'équilibre européen, il lui faudra se deman-
der si l'Allemagne est capable de supporter
la charge qu'on lui a imposée. Le Temps
le dit aujourd'hui nettement : avec la for-
mule de Klotz « le Boche paiera » ou « le
Boche peut tout payer », on court le ris-
que d'aboutir à une impasse. C'est précisé-
ment dans cette impasse que se trouve la
politique française en ce moment. Si elle
veut en sortir elle ne doit pas uniquement
parler des possibilités de la France, mais
aussi de celles des autres Etats européens.
D'ailleurs, dans trois jours, le 4 juillet,
nous aurons l'occasion d'entendre un autre
discours à propos de l'Independance Day.
Là le président du Conseil français parlera
devant des Américains, c'est-à-dire, devant
des gens capables d'envisager la situation
économique du monde dans son ensemble.
Peut-être leur dira-t-il, comme il le croit, -
que' la France sort de l'impasse où l'a con-
duite sa politique des réparations. En atten-
dant, point n'est besoin de s'alarmer des ac-
cusations stéréotypées 1 portées u chaque
jour et à chaque heure contre l'Allemagne.
Hier la Bourse de Paris cotait le mark à
3,07. Hier soir, le chef de la politique fran-
çaise semblait avoir oublié cela pour un
moment. Espérons que Poincaré remettra
aussi aux Américains ce qui les intéresse
le plus : un compte rendu au sujet des .90
milliards de francs déjà dépensés. Il de-
vrait y être engagé par ce fait que la France
réclame de son côté la concession d'un cer-
tain contrôle financier en Allemagne.
KOELNISCHÉ ZEITUNG, 3.7, matin.
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
e, -- ;
N" 2097
Jeudi 6 juillet 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
RESSE ALLEMANDE. — Le débat au Sénat
français sur les réparations le 29
juin (Frankfurter Zeitung). '- Le dis-
cours du M. Poincaré au banquet du
Comité républicain du commerce et de
l'industrie (Kölnische Zeitung).
ESSE ANGLAISE. — L'admission de l'Alle-
magne dans la Société des nations
Westminster Gazette). — Bruits de re-
ement du cabinet britannique
ournaux divers).
ESPAGNOLE. — L'accord commercial
~I ^-espagnol (Heraldo de Madrid,
~Epoca Ramon de Olascoaga dans De-
~bate
M E - BOLLANo'AHÁE. — La conférence de
~tt rlaye : la sous-commission des
es (Nei'llwe Rotterdam sche Cou-
~ITALIENNE. - Le voyage de M. Schan-
~à L'ondres (Goffredo Bellonci dans
ca).
~IJE GENERALE
~ES REPARATIONS
~N~r AU SENAT FRANÇAIS (29
~B f l du débat des réparations
~jmNt Tançais et des interpellations de
~'t)-enel et de M. François Albert
~BB rtep Zeihmg se demande si l'on
~M~~ Ter que la. modération qui semble
~jour PSM à peu dans la Haute As-
aura quelque répercussion sur
~de la Chambre et sur la politi-
vernement [trançais.
~que de la France pour les ré-
~semble être entrée dans une
~, Le discours prononcé il y a
~a Sénat par Poincaré est
~MM elble à cet égard. Le président
~B J Mm j Vé\.1t à répondre aux interpel-
N élla.teurs de Jouvenel et Fran-
s deux sénateurs estimaient
~MBt~ que des réparations pratiquée
~BN la France aboutissait à une
~Nous sommes à un tournant
~des réparations, déclarait AI-
~N e de l'affirmatioh nous de-
~dans l'ère de la réalisation de
~ttHM Et l'orateur de préconiser
national. Et l'autre inter-
~ndait au gouvernement de
~ojet, « puisque lies traités
Sent pas à donner la so-
~Nt N tte des réparations ni à
du monde ». De Jouvenel
rappelait à cette occasion à Poincaré que
dans la paix comme dans la guerre, le suc-
cès appartient à celui qu. a su prendre
l'initiative.
Il est à remarquer qu'aucun membre de
l'assemblée ne combattît les propositions
des interpellants. La modération du Sénat
agira-t-elle sur le zèle patriotique, mais
à courte vue de la Chambre des députés?
D'après la constitution française, le Sénat
est une sorte de digue contre les flots ora-
toires du Palais-Bourbon. Mais la Chambre
des députés est tout de même le pivot de
la politique. Le Sénat agit comme un frein.
Il ne peut proposer de programme positif
à la Chambre. Il serait donc vain de tirer
des conclusions optimistes du débat séna-
torial des réparations. Mais la Chambre ne
pourra négliger les impondérables venus
du Sénat.
La réponse de Poincaré est restée un
peu énigmatique. Il faut en découvrir le
sens plutôt entre les lignes ou dans le ton
que dans les mots. Il a convenu avec M. de
Jouvenel qu'il se trouvait à un tournant,
mais qu'il pensait ne pas aboutir à une
impasse. S'il avait dit toute sa pensée, il
eût dû convenir avec les interpellants qu'en
fait il avait déjà fait quelques pas dans
l'impasse. On a encore le temps et la place
de tourner, mais il est grand temps. Le
cours du dollar atteint 500 en Allemagne.
La possibilité de payer se réduit ainsi.
Les Français devraient bien se rendre
compte enfin de ce que c'est pour l'Allema-
gne que de payer 3.600 marks les 100
francs français pour le service des répa-
rations et pour faire des achats en France.
M. Poincaré a fait comprendre qu'il n'a-
vait pas dit son dernier mot Ce dernier
mot serait sans doute son assentiment à
un emprunt international des réparations
pour l'Allemagne. Quand dira-t-il ce mot?
Le sénateur Albert a lié son projet d'em-
prunt à la question de l'extinction des dettes
interalliées. Poincaré a approuvé cette con-
ception, mais à la condition que le règle-
ment des dettes soit général et que la
France ne soit pas seule à en supporter
les frais.
Il estime que la. question de l'emprunt al-
lemand a été posée prématurément. L'Alle-
magne doit d'abord mettre de l'ordre dans
ses & finances, çe qui n'est possible qu'avec
l'organisation d'un contrôle financier. Ainsi
des finances ordonnées en Allemagne sont
la condition de la concession d'un emprunt.
Il est plus royaliste, que le roi. Si les ban-
quiers internationaux veulent bien donner
de l'argent à l'Allemagne, c'est à eux de
savoir à quelles conditions ite doivent le
faire.
Poincaré accumule ainsi les obstacles que
les deux sénateurs voulaient écarter. Au
lieu de pratiquer une « politique de mouve-
ment », comme dit le Temps, Poincaré se
tapit à nouveau derrière les paragraphes
tm les faux prétextes. L'emprunt est la
condition de la restauration des finances al-
lemandes. C'est le sang frais qui revifie-
rait le corps économique allemand. Et la
réduction des charges de l'Allemagne est le
pont par où la France peut recevoir des
paiements allemands. Les deux sénateurs
ont bien posé le problème. Une politique
des réparations active est la seule solution
tandis que l'affirmation des droits, les me-
naces et les sanctions de Poincaré ne pro-
cureront à la France aucun résultat ap-
préciable.
Le mark s'effondre. C'est pour la France
le signal l'avertissant d'avoir à prendre des
décisions. Le gouvernement français as-
sume une terrible responsabilité s'il sabote
davantage l'emprunt.
FRANKFURTER ZEITUNG 4.7, soir.
LE DISCOURS DE M. POINCARE AU
BANQUET DU COMITÉ RÉPUBLICAIN DU COMMERCE
ET DE L'INDUSTRIE (1ER JUILLET). — De Paris,
2 juillet : Si Poincaré a voulu, par son dis-
cours, faire reconnaître cette vérité que la
solidarité internationale, disons mieux la
solidarité européenne 'est la condition de
l'équilibre européen, il lui faudra se deman-
der si l'Allemagne est capable de supporter
la charge qu'on lui a imposée. Le Temps
le dit aujourd'hui nettement : avec la for-
mule de Klotz « le Boche paiera » ou « le
Boche peut tout payer », on court le ris-
que d'aboutir à une impasse. C'est précisé-
ment dans cette impasse que se trouve la
politique française en ce moment. Si elle
veut en sortir elle ne doit pas uniquement
parler des possibilités de la France, mais
aussi de celles des autres Etats européens.
D'ailleurs, dans trois jours, le 4 juillet,
nous aurons l'occasion d'entendre un autre
discours à propos de l'Independance Day.
Là le président du Conseil français parlera
devant des Américains, c'est-à-dire, devant
des gens capables d'envisager la situation
économique du monde dans son ensemble.
Peut-être leur dira-t-il, comme il le croit, -
que' la France sort de l'impasse où l'a con-
duite sa politique des réparations. En atten-
dant, point n'est besoin de s'alarmer des ac-
cusations stéréotypées 1 portées u chaque
jour et à chaque heure contre l'Allemagne.
Hier la Bourse de Paris cotait le mark à
3,07. Hier soir, le chef de la politique fran-
çaise semblait avoir oublié cela pour un
moment. Espérons que Poincaré remettra
aussi aux Américains ce qui les intéresse
le plus : un compte rendu au sujet des .90
milliards de francs déjà dépensés. Il de-
vrait y être engagé par ce fait que la France
réclame de son côté la concession d'un cer-
tain contrôle financier en Allemagne.
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