Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 juin 1922 20 juin 1922
Description : 1922/06/20 (T21,N2083). 1922/06/20 (T21,N2083).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217049c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
F MINISTÈRE :-
DES
RES ÉTRANGÈRES
N" 2083
Mardi 20 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
si AI'LEmande- — Les réparations: « les
SIX,1 -lnts de l'Allemagne » (Deutsche
rI gertteme Zeitung). — La conférence
(le Ln Haye: la séance d'ouverture
E
,,: A\CL.\ISE. - Le voyage de M. Poin-
caré Londres (Times, Daily Tele-
Ti,f? C.rawfurd Price dans Sunday
^cius)' Westminster Gazette, Daihj
!1F:SSt
hllt ESP;\?NOLE. — Réparations et dettes
nUlées (A- B. C.).
tQn l!ALlENNE. — Les relations italo-bri-
et la France : le débat au
at l[alIen (CoITiere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
t,~ Î POINTS DE L'ALLEMAGNE H
lC ce litre, Deutsche Allgemeine Zei-
Pubr' le 14.6, en première page et
$LCOSQ nt les conditions auxquelles est su-
ç0 l e:céc1t.tion des réparations, ainsi
conçu lentoi , ,
letlio're Publié dimanche sur les né-
<18 d'
(i^dit ^PCunt à Paris met en doute
t^. Allemagne, dont nous n'osons
rion plu nous-mêmes, nous porter ga-
r l6ment.
lIt¡¡ lGe
tiSiïie ! non Q le comité des banquiers es-
h condition préalable naturelle
trn leurit 'éventuel est la fixation dé-
"'11
S»V6 ^t's })I:uements à effectuer par l'Al
're J&t; U chifke supportable pour no-
ri(jrnie.
~~n~ eIIl?ons depuis longtemps avec
Not !QisRQt¡Olls re Résolution de satisfaire aux
Ns °ris m"me les plus écrasantes une
] Co^C&cePtée-«areste immuable. Pourtant
l'r)llt qu'u Omlque allemand n'est actuel-
• rn-i %un torse auquel l'arbitraire et
S dB foi aux traités ôte chaque
Ve8 Vie rip ?u's la pni x de Versailles ;
lui d6ïllève tOUjours de nouveaux mem-
Xn le {
Va devrait servir à l'ex-
dcttes
rnbr \!Vons travailler sans l'aide
1{lI\I\{I'I\J.'(jj'f P^dus. et nous ne pouvons
^nt o nchis de la saignée quoti-
qUe nos créanciers nous ôte.
ront la possibilité de travailler utilement,
les éventuels prêteurs étrangers ne nous
considéreront pas comme dignes de crédit.
Celui qui attend des milliards de l'Alle-
magne doit nous accorder ceci :
1° EVACUATION DE DUISBURG, DUSSELDORF,
RUHRORT ET ABANDON DE LA TAXE D'EXPORTA-
TION DE 26
Le sentiment le plus primitif du droit
commandait, comme l.'a reconnu l'opinion
publique, notamment en Angleterre, la le-
vée de ces « sanctions » au moment où
l'Allemagne se plie à l'ultimatum de Lon-
dres.
2° EVACUATION DU TERRITOIRE OCCUPÉ SUR
LA RIVE GAUCHE DU RHIN.
Il est impossible à l'Allemagne de sup-
porter des dettes de plusieurs milliards et
en même temps d'alimenter le militarisme
étranger. Le mémorandum (du ministre
des finances du Reich cite les chiffres ab-
solument grotesques de cette saignée ef-
froyable et journalière qui se fait sur le
Rhin. La somme annuelle équivaut presque
au boni annuel de l'économie nationale
dVivant la guerre. Une telle « saignée à
blanc » [en français dans le texte] nous
rend forcément incapables de payer.
3° EVACUATION DU TERRITOIRE DE LA SARRE.
La paix de Versailles confia le territoire
de la Sarre à la surveillance de la Société
des Nations jusqu'à sa. remise à l'Allema-
gne. Pourtant, une administration pure-
ment française prépare l'annexion en affa-
mant et en refoulant l'industrie. N'y a-t-il
plus pour les Sarrois, qui sont des Alle-
mands de souche, un droit de libre détermi-
nation ? Les « 14 points » qui nous incitèrent
en automne 1918 à déposer les armes le leur
assuraient La majorité de notre peuple eut
confiance en la parole d'un président ues
Etats-Unis et fit fond sur la loyauté natio-
nale des Américains que nous considérons
toujours comme liés par la promesse so-
lennelle faite au monde par leur chef d'Etat
d'alors.
Le trafic libre avec un territoire de la
Sarre non asservi et le droit de disposi-
tion pour l'Allemagne sur le charbon de la
Sarre hâteraient le paiement de nos dettes
de guerre.
4° LIBERTÉ RENDUE AU COMMERCE ALLEMAND
AVEC DANTZIG ET PAR LE « CORRIDOR », COMME
IL FUT STIPULÉ A VERSAILLES.
L'entrave imposée à notre commerce a
uniquement pour but de séparer l'Allema-
gne d'un grenier inépuisable. Nous devons
travailler, mais il ne nous est pas permis
de manger.
5° RECTIFICATION DE LA FRONTIÈRE DE HAUTE-
SlLÉSIE CONFORMÉMENT A LA PAIX DE VERSAIL-
LES.
L'absurdité de la dislocation arbitraire des
unités économiques qui ne peùvent créer
des valeurs et contribuer à l'extinction des
dettes que réunies, a indigné même des per-
sonnages officiels anglais séjournant en
Haute-Silésie, qui ont exprimé même cette
indignation en présence d'Allemands.
Une violation brutale du traité a privé
notre corps économique de son membre le
plus puissant peut-être. Celui qui coupe à
son débiteur la main droite ne peut plus
lui réclamer du travail et des paiements.
6° LEVÉE DE LA CLAUSE OBLIGATOIRE DE LA
NATION LA PLUS FAVORISÉE.
Cette clause fait du travail allemand un
objet de spéculation impuissant devant la
concurrence étrangère, et interdit un réta-
blissement de notre crédit nous permettant
d'accomplir les paiements.
Seule l'exécution de ces six demandes
minima pourrait permettre à l'Allemagne
de payer sa dette.
Sans cette exécution, l'Allemagne tôt ou
tard fera devant ses créanciers non payés
figure de banqueroutier ou de desperado
qui exhibe l'intérieur de ses poches et dé-
clare avec un haussement d'épaules: « Voilà
où j'en suis, je ne puis rien faire d'autre,
que Dieu m'aide ! »
La détresse enseignera alors — mais
trop tard -, aux voisins de l'Allemagne,
eux aussi, la piété et la sagesse.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
14.6, matin.
— La Deutsche Allgemeine Zeitung du 15-6
matin s'élève contre les commentaires de cer-
tains journaux français suivant lesquels le pro-
gramme ci-dessus équivaudrait à l'annulation
du traité de paix. Elle rappelle que, d'après le
préambule du manifeste, la résolution allemande
« de satisfaire aux obligations même les plus
écrasantes une fois acceptées reste immuable »,
il ajoute :
On ne saurqit dire que les conditions ex-
posées équivalent à l'annulation du traité
de paix. Bien au contraire : ces concessions
minima ont précisément pour but de per-
mettre le paiement tîe milliards et elles
constituent le seul moyen d'y parvenir. Oc-
cupation ou réparations., voilà le dilemme.
DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
15.6, matin.
— La Deutsche Allgemeine Zeitung du 16-6
matin constate avec satisfaction que ce manifeste
a produit une grosse impression dans la presse
française, anglaise et américaine, aussi bien
qu'en Allemagne. De nombreux journaux al-
lemands l'ont reproduit et estimé qu'il repré-
sentait les vues de représentants influents de
l'activité économique allemande. L'organe de
Stinnes exprime l'espoir que ce programme Œt.
celui non seulement des chefs de l'activité éco-
DES
RES ÉTRANGÈRES
N" 2083
Mardi 20 juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
si AI'LEmande- — Les réparations: « les
SIX,1 -lnts de l'Allemagne » (Deutsche
rI gertteme Zeitung). — La conférence
(le Ln Haye: la séance d'ouverture
E
,,: A\CL.\ISE. - Le voyage de M. Poin-
caré Londres (Times, Daily Tele-
Ti,f? C.rawfurd Price dans Sunday
^cius)' Westminster Gazette, Daihj
!1F:SSt
hllt ESP;\?NOLE. — Réparations et dettes
nUlées (A- B. C.).
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et la France : le débat au
at l[alIen (CoITiere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
t,~ Î POINTS DE L'ALLEMAGNE H
lC ce litre, Deutsche Allgemeine Zei-
Pubr' le 14.6, en première page et
$LCOSQ nt les conditions auxquelles est su-
ç0 l e:céc1t.tion des réparations, ainsi
conçu lentoi , ,
letlio're Publié dimanche sur les né-
<18 d'
(i^dit ^PCunt à Paris met en doute
t^. Allemagne, dont nous n'osons
rion plu nous-mêmes, nous porter ga-
r l6ment.
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're J&t; U chifke supportable pour no-
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~~n~ eIIl?ons depuis longtemps avec
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] Co^C&cePtée-«areste immuable. Pourtant
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• rn-i %un torse auquel l'arbitraire et
S dB foi aux traités ôte chaque
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lui d6ïllève tOUjours de nouveaux mem-
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Va devrait servir à l'ex-
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rnbr \!Vons travailler sans l'aide
1{lI\I\{I'I\J.'(jj'f P^dus. et nous ne pouvons
^nt o nchis de la saignée quoti-
qUe nos créanciers nous ôte.
ront la possibilité de travailler utilement,
les éventuels prêteurs étrangers ne nous
considéreront pas comme dignes de crédit.
Celui qui attend des milliards de l'Alle-
magne doit nous accorder ceci :
1° EVACUATION DE DUISBURG, DUSSELDORF,
RUHRORT ET ABANDON DE LA TAXE D'EXPORTA-
TION DE 26
Le sentiment le plus primitif du droit
commandait, comme l.'a reconnu l'opinion
publique, notamment en Angleterre, la le-
vée de ces « sanctions » au moment où
l'Allemagne se plie à l'ultimatum de Lon-
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2° EVACUATION DU TERRITOIRE OCCUPÉ SUR
LA RIVE GAUCHE DU RHIN.
Il est impossible à l'Allemagne de sup-
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solument grotesques de cette saignée ef-
froyable et journalière qui se fait sur le
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dVivant la guerre. Une telle « saignée à
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rend forcément incapables de payer.
3° EVACUATION DU TERRITOIRE DE LA SARRE.
La paix de Versailles confia le territoire
de la Sarre à la surveillance de la Société
des Nations jusqu'à sa. remise à l'Allema-
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ment française prépare l'annexion en affa-
mant et en refoulant l'industrie. N'y a-t-il
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mands de souche, un droit de libre détermi-
nation ? Les « 14 points » qui nous incitèrent
en automne 1918 à déposer les armes le leur
assuraient La majorité de notre peuple eut
confiance en la parole d'un président ues
Etats-Unis et fit fond sur la loyauté natio-
nale des Américains que nous considérons
toujours comme liés par la promesse so-
lennelle faite au monde par leur chef d'Etat
d'alors.
Le trafic libre avec un territoire de la
Sarre non asservi et le droit de disposi-
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4° LIBERTÉ RENDUE AU COMMERCE ALLEMAND
AVEC DANTZIG ET PAR LE « CORRIDOR », COMME
IL FUT STIPULÉ A VERSAILLES.
L'entrave imposée à notre commerce a
uniquement pour but de séparer l'Allema-
gne d'un grenier inépuisable. Nous devons
travailler, mais il ne nous est pas permis
de manger.
5° RECTIFICATION DE LA FRONTIÈRE DE HAUTE-
SlLÉSIE CONFORMÉMENT A LA PAIX DE VERSAIL-
LES.
L'absurdité de la dislocation arbitraire des
unités économiques qui ne peùvent créer
des valeurs et contribuer à l'extinction des
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sonnages officiels anglais séjournant en
Haute-Silésie, qui ont exprimé même cette
indignation en présence d'Allemands.
Une violation brutale du traité a privé
notre corps économique de son membre le
plus puissant peut-être. Celui qui coupe à
son débiteur la main droite ne peut plus
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6° LEVÉE DE LA CLAUSE OBLIGATOIRE DE LA
NATION LA PLUS FAVORISÉE.
Cette clause fait du travail allemand un
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concurrence étrangère, et interdit un réta-
blissement de notre crédit nous permettant
d'accomplir les paiements.
Seule l'exécution de ces six demandes
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Sans cette exécution, l'Allemagne tôt ou
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La détresse enseignera alors — mais
trop tard -, aux voisins de l'Allemagne,
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DEUTSCHE ALLGEMEINE ZEITUNG,
14.6, matin.
— La Deutsche Allgemeine Zeitung du 15-6
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15.6, matin.
— La Deutsche Allgemeine Zeitung du 16-6
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sentait les vues de représentants influents de
l'activité économique allemande. L'organe de
Stinnes exprime l'espoir que ce programme Œt.
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