Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 17 juin 1922 17 juin 1922
Description : 1922/06/17 (T21,N2081). 1922/06/17 (T21,N2081).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217048z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
FINISTÈRE
DES
/~ES ÉTRANGÈRES
- — ■'
N" 2081 »
Samedi 17 iuin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1
*ESSE ALLEMANDE. — La décision du comité
des banquiers. (Iosef Bayer dans Neue
Badische Landeszeitung)* — La séance'
ouverture de la conférence, de La
aye (Deutsche Allgemeine Zeitung). —
L élection du président du Reich (Neue
Badische Landes zeitung). \-
~~RS -
~s' AMÉRICAINE. — La fondation. Carne-
gIe et les relations franco-allemandes
(New York Tribune).
ciSE ANGLAISE. — La séance d'ouverture
, e la conférence de La Haye (Daily Ex-
Press). — Le voyage de M. Poincaré à
ndres (Daily Herald). — Les projets
^Accord anglo-italiens : le voyage de
M. Schanzer (Daily Telegraph). — Les
SOViets et le désarmement : une note
de M- 1-itvinov ,sux Etats dimitrophes
fe. M. Litvinov aux Etats limitrophes
Daily Herald). — Les Alliés et l'armée
p e,cque (Manchester Guardian).
ITALIENNE. — La nationalité de Ita-
U s de Tunisie (popolo d'Italia, Cor-
l'iere della Sera).
Politique genebale
LES REPARATIONS
~S!ON DU COMITE DES BAN-
I!NA^Ê' - PRESSE ALLEMANDE. — SOUS la
^^eszgu M. I- tiaijcr, la Neue Badische
f Cr*ise que la France, arrivée
que l',ee des J'outes a le C, hoix entre ceUe
que iuî»inrf- des routes' a 1,6 choix entre cette
«io la l<*Ue COmM^ des banquiers et
Pousse son impérialisme intran-
Il , soli, i,mpéi--i,,alisme intran-
ViTe'st tin « -t
Il n'est pas étonnant que la commission
des banq ~s, à. Paris, n'ait pu prendre de
n^Ve en une seule session. Il
41. de l'un des objets les plus con-
tr4 la politique depuis la paix de
?W-e UTle importance pratique beau-
~is~ que ceux traités à Gênes,
)~~ iri~élit .le monde en haleine pendant
1 Cela semble extraordinaire
s'agrit pas d'une assemblée
~c's !~ique.s, mais simplement
Mtw5llt 11 lSSlOJl d'hommes d'affaires, qui
Ik un question d'argent selon les
1:1£r la technique bancaire. La
< Sent ne domine-t-elle pas toute
la politique ? La question des réparations
allemandes, dont la solution est aux mains
de M. Morgan et de ses amis de la banque
internationale, domine absolument la poli-'
tique de tous les Etats européens ; elle do-
mine la répartition des forces, le maintien
ou la rupture de l'Entente. 'A cette ques-
tion, Paris doit donner maintenant, devant
le monde, une réponse qui éclaire l'avenir.
A la France, principale créancière des ré-
parations, cette question est posée : revi-
sion du montant des réparations ou non ?
Renonciation à la politique des sanctions
militaires ou non ? La réponse de M. Poin-
caré doit être claire et nette, si claire qu'un
banquier qui doit se décider à donner de
l'argent, beaucoup d'argent, énormément
d'argent, se mette aussitôt à la besogne.
C'est l'instant critique pour le gouverne-
ment de M. Poincaré, La France est la
croisée des routes. Elle peut choisir libre-
ment. Elle peut repousser les conditions
mises par le comité des banquiers à l'oc-
troi d'un crédit, qui sont, on « le, sait, la
réduction du -montant des réparations et
des garanties contre les troubles guerriers
en Europe. Le président du conseil fran-
çait peut persister -dans son affirmation
que pas un mark, pas un pfennig dû à la
France ne sera abandonné, et que la France
fera triompher elle-même son droit au be-
soin. S'il en -est ainsi, toute perspective
d'emprunt disparaît naturellement et la
France est obligée de se contenter de ce
qu'en un temps imprévisible elle pourra
extorquer de l'Allemagne.
Telle est la situation, et malgré tout le
bruit de da presse parisienne on peut penser
que la France devra abandonner sa résis-
tance à toute révision du montant des répa-
rations.
Attendons. La clarté viendra, et ce sera
le mérité des Américains d'avoir provoqué
cette clarté. — Losef Bayerv.
NEUE BADISCHE LANDESZElTUNG,
15.6, matin.
——
LA CONFÉRENCE DE LA HAYE
LA SEANCE D'OUVERTURE. - PRESSE
ANGLAISE.. — Le Daily express - stime que
La Haye n'est que la suite de Gênes et
œboutira. au même résultat
La conférence de. La Haye n'est que la
suite de Gênes, mais c'est une conférence
de Gênes dont les personnages ne com-
prennent pas- les grandes vedettes, les
rôles de -ces dernières étant tenus par des
doublures qui s'en acquitteront tant bien
que mal, sans que nul se passionne à cet
égard. Il nous est impossible d'admettre
que la plus récente de ces palabres inten-
nationales puisse rien accomplir de bon.
Ce qui nous console, c'est la pensée qu'elle
ne peut pas, non plus, faire grand mal.
Elle a - pour objet de résoudre le problème
russe. Les délégués se réunissent sans
qu'il soit intervenu un accord préalable
entre la France et la. Belgique d'une part,
et l'Italie et nous- mêmes de l'autre. Ce fait
seul suffirait à vouer la conférence à un
échec. On peut être certain, en effet , que les
envoyés bolcheviks exploiteront à ; -La
Haye les divergences entre les alliés,
comme ils le firent à Gênes..
Mais il est une raison plus forte encore,
pour laquelle La Haye ne peut donner au-
çpn résultat utile, c'est la crise qui s'est
produite à Moscou. Qu'il soit vrai ou non
que Lénine soit à l'article de la mort, il
est manifeste qu'il n'est plus le maître su-
prême. Le triumvirat qui doit le rempla-
cer Sie compose de bolcheviks relativement
modérés. Les rouges fanatiques cherche-
ront. probablement à le renverser. Le so-
viet panrusse se-va peut-être le théâtre de
luttes rappelant celles de la. Convention
française, où chaque parti, en arrivant au
pouvoir, s'empressait de guillotiner ses
adversaires. A Gênes, l'Europe avait af-
faire à Tchitcherine et à Krassine, deux
bolcheviks modérés, et cependant elle n'a
pu acomplir grand'chose. Les délégués
des Soviets à La Haye, préoccupés par la
lutte qui se déroule à Moscou, ne pourront
même pas se montrer aussi « conciliants »
qu'ils l'étaient à Gênes. Sous peine de per-
dre leurs fonctions, et même la vie, ils
devront parler et agir avec l'arriere-pensée
de l'effet à, produire en Russie. Aussi n'est-
il guère probable que l'Europe puisse trai-
ter avec eux.. Cela n'est d'ailleurs pas pour
nous effrayer. D'ici longtemps l'Angleterre
sera obligée de se désintéresser du confi.
nent et surtout de 'la Russie. Il nous faut
édifier notre commerce dans les limites de
l'Empire. — (Ed.).
DAILY EXPRESS, 16.6.
PRESSE ALLEMANDE. - La, Deutsche Allge-
meine Zeitung voit, dans l'impérialisme
français, l'obstacle Capital au succès de la
co~~re~ce et généralement à la paix de
l'Europe :
Pour éviter le reproche, très justifié, de
saboter cette conférence, la politique fran-
çaise a exploité même le résultat désastreux
pour la France des négociations de Paris
sur l'emprunt, afm de transformer en argu-
ment en faveur de "Sa thèse la défiance des
capitalistes américains à l'égard des place-
ments en Russie et l'hostilité américaine
contre le régime des Soviets. t'est ainsi que
l'on dénature les faits. D'où vient donc que
les Etats-Unis aient toujours si peu de con-
DES
/~ES ÉTRANGÈRES
- — ■'
N" 2081 »
Samedi 17 iuin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
1
*ESSE ALLEMANDE. — La décision du comité
des banquiers. (Iosef Bayer dans Neue
Badische Landeszeitung)* — La séance'
ouverture de la conférence, de La
aye (Deutsche Allgemeine Zeitung). —
L élection du président du Reich (Neue
Badische Landes zeitung). \-
~~RS -
~s' AMÉRICAINE. — La fondation. Carne-
gIe et les relations franco-allemandes
(New York Tribune).
ciSE ANGLAISE. — La séance d'ouverture
, e la conférence de La Haye (Daily Ex-
Press). — Le voyage de M. Poincaré à
ndres (Daily Herald). — Les projets
^Accord anglo-italiens : le voyage de
M. Schanzer (Daily Telegraph). — Les
SOViets et le désarmement : une note
de M- 1-itvinov ,sux Etats dimitrophes
fe. M. Litvinov aux Etats limitrophes
Daily Herald). — Les Alliés et l'armée
p e,cque (Manchester Guardian).
ITALIENNE. — La nationalité de Ita-
U s de Tunisie (popolo d'Italia, Cor-
l'iere della Sera).
Politique genebale
LES REPARATIONS
~S!ON DU COMITE DES BAN-
I!NA^Ê' - PRESSE ALLEMANDE. — SOUS la
^^eszgu M. I- tiaijcr, la Neue Badische
f Cr*ise que la France, arrivée
que l',ee des J'outes a le C, hoix entre ceUe
que iuî»inrf- des routes' a 1,6 choix entre cette
«io la l<*Ue COmM^ des banquiers et
Pousse son impérialisme intran-
Il , soli, i,mpéi--i,,alisme intran-
ViTe'st tin « -t
Il n'est pas étonnant que la commission
des banq ~s, à. Paris, n'ait pu prendre de
n^Ve en une seule session. Il
41. de l'un des objets les plus con-
tr4 la politique depuis la paix de
?W-e UTle importance pratique beau-
~is~ que ceux traités à Gênes,
)~~ iri~élit .le monde en haleine pendant
1 Cela semble extraordinaire
s'agrit pas d'une assemblée
~c's !~ique.s, mais simplement
Mtw5llt 11 lSSlOJl d'hommes d'affaires, qui
Ik un question d'argent selon les
1:1£r la technique bancaire. La
< Sent ne domine-t-elle pas toute
la politique ? La question des réparations
allemandes, dont la solution est aux mains
de M. Morgan et de ses amis de la banque
internationale, domine absolument la poli-'
tique de tous les Etats européens ; elle do-
mine la répartition des forces, le maintien
ou la rupture de l'Entente. 'A cette ques-
tion, Paris doit donner maintenant, devant
le monde, une réponse qui éclaire l'avenir.
A la France, principale créancière des ré-
parations, cette question est posée : revi-
sion du montant des réparations ou non ?
Renonciation à la politique des sanctions
militaires ou non ? La réponse de M. Poin-
caré doit être claire et nette, si claire qu'un
banquier qui doit se décider à donner de
l'argent, beaucoup d'argent, énormément
d'argent, se mette aussitôt à la besogne.
C'est l'instant critique pour le gouverne-
ment de M. Poincaré, La France est la
croisée des routes. Elle peut choisir libre-
ment. Elle peut repousser les conditions
mises par le comité des banquiers à l'oc-
troi d'un crédit, qui sont, on « le, sait, la
réduction du -montant des réparations et
des garanties contre les troubles guerriers
en Europe. Le président du conseil fran-
çait peut persister -dans son affirmation
que pas un mark, pas un pfennig dû à la
France ne sera abandonné, et que la France
fera triompher elle-même son droit au be-
soin. S'il en -est ainsi, toute perspective
d'emprunt disparaît naturellement et la
France est obligée de se contenter de ce
qu'en un temps imprévisible elle pourra
extorquer de l'Allemagne.
Telle est la situation, et malgré tout le
bruit de da presse parisienne on peut penser
que la France devra abandonner sa résis-
tance à toute révision du montant des répa-
rations.
Attendons. La clarté viendra, et ce sera
le mérité des Américains d'avoir provoqué
cette clarté. — Losef Bayerv.
NEUE BADISCHE LANDESZElTUNG,
15.6, matin.
——
LA CONFÉRENCE DE LA HAYE
LA SEANCE D'OUVERTURE. - PRESSE
ANGLAISE.. — Le Daily express - stime que
La Haye n'est que la suite de Gênes et
œboutira. au même résultat
La conférence de. La Haye n'est que la
suite de Gênes, mais c'est une conférence
de Gênes dont les personnages ne com-
prennent pas- les grandes vedettes, les
rôles de -ces dernières étant tenus par des
doublures qui s'en acquitteront tant bien
que mal, sans que nul se passionne à cet
égard. Il nous est impossible d'admettre
que la plus récente de ces palabres inten-
nationales puisse rien accomplir de bon.
Ce qui nous console, c'est la pensée qu'elle
ne peut pas, non plus, faire grand mal.
Elle a - pour objet de résoudre le problème
russe. Les délégués se réunissent sans
qu'il soit intervenu un accord préalable
entre la France et la. Belgique d'une part,
et l'Italie et nous- mêmes de l'autre. Ce fait
seul suffirait à vouer la conférence à un
échec. On peut être certain, en effet , que les
envoyés bolcheviks exploiteront à ; -La
Haye les divergences entre les alliés,
comme ils le firent à Gênes..
Mais il est une raison plus forte encore,
pour laquelle La Haye ne peut donner au-
çpn résultat utile, c'est la crise qui s'est
produite à Moscou. Qu'il soit vrai ou non
que Lénine soit à l'article de la mort, il
est manifeste qu'il n'est plus le maître su-
prême. Le triumvirat qui doit le rempla-
cer Sie compose de bolcheviks relativement
modérés. Les rouges fanatiques cherche-
ront. probablement à le renverser. Le so-
viet panrusse se-va peut-être le théâtre de
luttes rappelant celles de la. Convention
française, où chaque parti, en arrivant au
pouvoir, s'empressait de guillotiner ses
adversaires. A Gênes, l'Europe avait af-
faire à Tchitcherine et à Krassine, deux
bolcheviks modérés, et cependant elle n'a
pu acomplir grand'chose. Les délégués
des Soviets à La Haye, préoccupés par la
lutte qui se déroule à Moscou, ne pourront
même pas se montrer aussi « conciliants »
qu'ils l'étaient à Gênes. Sous peine de per-
dre leurs fonctions, et même la vie, ils
devront parler et agir avec l'arriere-pensée
de l'effet à, produire en Russie. Aussi n'est-
il guère probable que l'Europe puisse trai-
ter avec eux.. Cela n'est d'ailleurs pas pour
nous effrayer. D'ici longtemps l'Angleterre
sera obligée de se désintéresser du confi.
nent et surtout de 'la Russie. Il nous faut
édifier notre commerce dans les limites de
l'Empire. — (Ed.).
DAILY EXPRESS, 16.6.
PRESSE ALLEMANDE. - La, Deutsche Allge-
meine Zeitung voit, dans l'impérialisme
français, l'obstacle Capital au succès de la
co~~re~ce et généralement à la paix de
l'Europe :
Pour éviter le reproche, très justifié, de
saboter cette conférence, la politique fran-
çaise a exploité même le résultat désastreux
pour la France des négociations de Paris
sur l'emprunt, afm de transformer en argu-
ment en faveur de "Sa thèse la défiance des
capitalistes américains à l'égard des place-
ments en Russie et l'hostilité américaine
contre le régime des Soviets. t'est ainsi que
l'on dénature les faits. D'où vient donc que
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