Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 01 juin 1922 01 juin 1922
Description : 1922/06/01 (T21,N2068). 1922/06/01 (T21,N2068).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217035b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTER
DES
ES ETRANGÈRES
N° 2068
V
Jeudi TT juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
- et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
Ër SOMMAIRE
■R®SE ALLEMANDE. — L'échéance du 31 mai
l &Inprunt. international (Th. Wolff dans
jt'ler r^aye^^a^; Frankfurter Zd-
g)
SE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
Russie (New York Times). — Les trou-
es d'occupation sur le Rhin (New 'York
^oune). - Les Germano-Américains :
- Viereck et l'Allemagne (New York
— Les Etats-Unis et le Mexi-
(Bdw-ard Lowry, Public Ledger).
ANGLAISE.— Le discours de lord Derby
Daily Express, Times). — Le projet de
acte franco-britannique : dém,entilS! op-
~s à l'information du New York He-
~d (Daily Telegraph; H. Wilson Har-
dang Daily News ; Westminster Ga
~le). - Le roi Faïçal et la Grande-
j ~agne (Daily Telegraph). — Les
~|K tS-Unis, et la conférence de La Haye
~lomina Post).
HHË ITALIENNE. — Les relations frànco-
■W^ûJiiques et l'Italie (Gino Calza Be-
a dans Giornale d'Italia).
BRIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
~HKf GE DU 31 MAI. — L'EMPRUNT
~ONA1. '- PRESSE ALLEMANDE. — Au
~■®F}7 r- Wolff, les nationalistes fran-
~e' ¿pr18 entre le désir de touçher l'ar-
emprunt et la crainte de ne plus
~e'T'cer leur pression sur l'Aile-
~a, fixation du montant global des
~ns,-réclamée par les prêteurs, est
~.e cau- -
Principaux articles de la presse
~HHMK consacrés aux négociations
On Voit une sorte de demi-teinte
~êe de soleil et d'ombre.
~MH~N~ erlq.ijste français se rend compte
!:unt est le seul moyen de faire
~flot d'or bienfaisant dans les
~HHMr. l'Etat français, mais tandis
~^0a>< il redoute le desserre-
~aines de fer qu'il veut main-
~l'Allema o. Les banquiers
lui étudient - ces questions à
MBa Jllent arriver. à cette idée qu'il
~H de lancer dans le champ la se-
~prunt 'S.i le voisin doit jeter
sans qu'on l'en empêche,
~a:rtg le champ. Ils pourraient
dire que celui qui n'a pas mis de l'ordre
dans sa maison ne mérite pas le crédit,
mais aussi que personne n'offre assez de sé-
curité si sa maison n'est 1
curité si sa maison n'est pas protégée contre
les troubles de l'extérieur. Le Figaro où
Alfred Capus utilise en considérations po-
litiques les restes de son esprit de drama-
turge a déclaré, il y a quelques jours, que
l'Allemagne voulait détruire le traité de
Versailles au moyen des négociations
d'emprunt. L'Allemagne tenterait encore de
faire triompher cette idée que, sans un rè-
glement de la question des réparations et
sans une réduction du montant des répara-
tions, l'emprunt ne pourrait réussir. Le-
Figaro ne présente pas exactement les
choses. Ce n'est pas l'Allemagne qui a dé-
claré que la modification des conditions
de Londres constituait une condition de
fempu-unt, mais bien les Anglais et les
Américains qui en ont fait dépendre leur
assentiment. En Allemagne, les opinions
sont partagées dans une certaine mesure.
Comme il est vraisemblable que la solution
du problème des réparations ne pourra in-
tervenir que d'après le projet, encore très
lourd pour nous, de sir Robert Horne,
beaucoup de personnes croient qu'il fau-
drait préférer un accord provisoire, un
emprunt sans fixation définitive du men-
tant global. Les Anglais ont déclaré à
Gênes, même très énergiquement, qu'ils
ne donnerait pas une Uvre sterling -51 l'on
ne fixait pas d'ores et déjà la somme ca-
bale. Il ne semble pas que l'opinion ait
varié depuis lors. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 29. 5, soir.
— Une solution définitive ne pouvant se
réaliser encore sous une forme acceptable,
la Frankfurter Zeitung conclut que l'Alle-
magne doit vivre sous le régime du pro-
visoire en tâchant de surmonter la - crise
aiguë qu'elle traverse. -
La grande question reste celle-ci : l' « as-
sistance raisonnable par le moyen d'un em-
prunt extérieur », généralement reconnu
comme nécessaire, se produira-t-elle ? Le
comité d'emprunt, institué par la commis-
sion des réparations, dans lequel l'Améri-
que et l'Allemagne sont représentées, • 'a
commencé ses délibérations à ce sujet. Ce
que l'on en apprend, jusqu'ici, ne donne
guère d'espoir. Avant tout — comme notre
correspondant de Londres nous l'annonçait
ce matin même — en Angleterre, on s'en
tient toujours à cette conception, que la fi-
nance anglaise ne s'intéressera à une action
de crédit international que lorsque l'ensem-
ble de la question des réparations aura été
réglée, en rapport avec la question des
dettes interalliées, y compris les dettes de
guerre de l'Europe envers l'Amérique.
Même aux Etats-Unis domine, à ce que l'on
dit, l'idée que l'emprunt est inopportun et
impossible tant que l'ensemble du problème
des réparations n'aura pas reçu une solu-
tion. Et cette conception anglo-américaine
se rencontre, dans un certain sens, avec
une idée répandue en Allemagne, notam-
ment dans le parti populaire allemand,
mais qui s'appuie, sur d'autres raisons :. il
faut, dit-on, repousser tout nourvel accord
provisoire parce que l'on n'obtiendrait en-
core que de jeter de nouveaux milliards,
sans profit, dans l'océan des réparations
impossibles ; il faut régler la question de
fond en comble.
Cft désir d'une solution définitive serait
partagé par tout le monde et notamment
par l'unanimité du peuple allemand, si l'on
entrevoyait un règlement acceptable. Qui
peut soutenir que ce soit le cas ? -En An-
gleterre, on songe au projet Horne-Blac-
kett ; mais même avec ce projet la charge
imposée à l'Allemagne serait vraisembla-
blement insupportable et il resterait à
trouver la possibilité de faire renoncer
l'Amérique au remboursement de ses prêts
de guerre à l'Europe, car c'est le point es-
sentiel du projet. Où donc peut-on voir
l'espoir d'un règlement général vraiment
raisonnable ? Nous, ne le distinguons pas
jusqu'à présent. Il n'y a donc pas d'autre
voie à suivre pour l'Allemagne que de pro-
gresser de provisoire en provisoire. jus-
qu'à ce qu'on reconnaisse l'impossibilité-
d'une nouvelle solution provisoire.
Il nous semble que la politique allemande
ne peut guère faire autre chose Qve recon-
naître les dangers de cette politique, les
faire comprendre là où l'on veut bien enten-
dre et travailler à la réalisation d'un em-
prunt qui nous aide à surmonter la crise
aiguë, pour laisser le temps continuer à
travailler pour nous. Nous espérons que
c'est aussi la méthode du gouvernement du
Reidh. , -
FRANKFURTER ZEITUNG, 30.5, soir.
—-— ,
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LE DISCOURS DE LORD DERBY [Cf.
Bulletin N° 2067]. — Peu de commentaires
dans les journaux anglais du 31 mai sur la
réponse de l'Allemagne à la commission des
réparations. Seul, le Daily Express consacre
un éditorial à la note allemande; il approuve
les conditions posées par la commission des
réparations parce qu'elles peuvent seules
assurer le succès d'un emprunt extérieur
allemand.
D'ailleurs, M. Lloyd George devait, le
jour même, parler aux Communes du pro-
blème des réparations, le parti travailliste
ayant finalement décidé de provoquer une
discussion à ce sujet; l'attente de paroles
DES
ES ETRANGÈRES
N° 2068
V
Jeudi TT juin 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
- et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
-
Ër SOMMAIRE
■R®SE ALLEMANDE. — L'échéance du 31 mai
l &Inprunt. international (Th. Wolff dans
jt'ler r^aye^^a^; Frankfurter Zd-
g)
SE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
Russie (New York Times). — Les trou-
es d'occupation sur le Rhin (New 'York
^oune). - Les Germano-Américains :
- Viereck et l'Allemagne (New York
— Les Etats-Unis et le Mexi-
(Bdw-ard Lowry, Public Ledger).
ANGLAISE.— Le discours de lord Derby
Daily Express, Times). — Le projet de
acte franco-britannique : dém,entilS! op-
~s à l'information du New York He-
~d (Daily Telegraph; H. Wilson Har-
dang Daily News ; Westminster Ga
~le). - Le roi Faïçal et la Grande-
j ~agne (Daily Telegraph). — Les
~|K tS-Unis, et la conférence de La Haye
~lomina Post).
HHË ITALIENNE. — Les relations frànco-
■W^ûJiiques et l'Italie (Gino Calza Be-
a dans Giornale d'Italia).
BRIQUE GENERALE
LES REPARATIONS
~HKf GE DU 31 MAI. — L'EMPRUNT
~ONA1. '- PRESSE ALLEMANDE. — Au
~■®F}7 r- Wolff, les nationalistes fran-
~e' ¿pr18 entre le désir de touçher l'ar-
emprunt et la crainte de ne plus
~e'T'cer leur pression sur l'Aile-
~a, fixation du montant global des
~ns,-réclamée par les prêteurs, est
~.e cau- -
Principaux articles de la presse
~HHMK consacrés aux négociations
On Voit une sorte de demi-teinte
~êe de soleil et d'ombre.
~MH~N~ erlq.ijste français se rend compte
!:unt est le seul moyen de faire
~flot d'or bienfaisant dans les
~HHMr. l'Etat français, mais tandis
~^0a>< il redoute le desserre-
~aines de fer qu'il veut main-
~l'Allema o. Les banquiers
lui étudient - ces questions à
MBa Jllent arriver. à cette idée qu'il
~H de lancer dans le champ la se-
~prunt 'S.i le voisin doit jeter
sans qu'on l'en empêche,
~a:rtg le champ. Ils pourraient
dire que celui qui n'a pas mis de l'ordre
dans sa maison ne mérite pas le crédit,
mais aussi que personne n'offre assez de sé-
curité si sa maison n'est 1
curité si sa maison n'est pas protégée contre
les troubles de l'extérieur. Le Figaro où
Alfred Capus utilise en considérations po-
litiques les restes de son esprit de drama-
turge a déclaré, il y a quelques jours, que
l'Allemagne voulait détruire le traité de
Versailles au moyen des négociations
d'emprunt. L'Allemagne tenterait encore de
faire triompher cette idée que, sans un rè-
glement de la question des réparations et
sans une réduction du montant des répara-
tions, l'emprunt ne pourrait réussir. Le-
Figaro ne présente pas exactement les
choses. Ce n'est pas l'Allemagne qui a dé-
claré que la modification des conditions
de Londres constituait une condition de
fempu-unt, mais bien les Anglais et les
Américains qui en ont fait dépendre leur
assentiment. En Allemagne, les opinions
sont partagées dans une certaine mesure.
Comme il est vraisemblable que la solution
du problème des réparations ne pourra in-
tervenir que d'après le projet, encore très
lourd pour nous, de sir Robert Horne,
beaucoup de personnes croient qu'il fau-
drait préférer un accord provisoire, un
emprunt sans fixation définitive du men-
tant global. Les Anglais ont déclaré à
Gênes, même très énergiquement, qu'ils
ne donnerait pas une Uvre sterling -51 l'on
ne fixait pas d'ores et déjà la somme ca-
bale. Il ne semble pas que l'opinion ait
varié depuis lors. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 29. 5, soir.
— Une solution définitive ne pouvant se
réaliser encore sous une forme acceptable,
la Frankfurter Zeitung conclut que l'Alle-
magne doit vivre sous le régime du pro-
visoire en tâchant de surmonter la - crise
aiguë qu'elle traverse. -
La grande question reste celle-ci : l' « as-
sistance raisonnable par le moyen d'un em-
prunt extérieur », généralement reconnu
comme nécessaire, se produira-t-elle ? Le
comité d'emprunt, institué par la commis-
sion des réparations, dans lequel l'Améri-
que et l'Allemagne sont représentées, • 'a
commencé ses délibérations à ce sujet. Ce
que l'on en apprend, jusqu'ici, ne donne
guère d'espoir. Avant tout — comme notre
correspondant de Londres nous l'annonçait
ce matin même — en Angleterre, on s'en
tient toujours à cette conception, que la fi-
nance anglaise ne s'intéressera à une action
de crédit international que lorsque l'ensem-
ble de la question des réparations aura été
réglée, en rapport avec la question des
dettes interalliées, y compris les dettes de
guerre de l'Europe envers l'Amérique.
Même aux Etats-Unis domine, à ce que l'on
dit, l'idée que l'emprunt est inopportun et
impossible tant que l'ensemble du problème
des réparations n'aura pas reçu une solu-
tion. Et cette conception anglo-américaine
se rencontre, dans un certain sens, avec
une idée répandue en Allemagne, notam-
ment dans le parti populaire allemand,
mais qui s'appuie, sur d'autres raisons :. il
faut, dit-on, repousser tout nourvel accord
provisoire parce que l'on n'obtiendrait en-
core que de jeter de nouveaux milliards,
sans profit, dans l'océan des réparations
impossibles ; il faut régler la question de
fond en comble.
Cft désir d'une solution définitive serait
partagé par tout le monde et notamment
par l'unanimité du peuple allemand, si l'on
entrevoyait un règlement acceptable. Qui
peut soutenir que ce soit le cas ? -En An-
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kett ; mais même avec ce projet la charge
imposée à l'Allemagne serait vraisembla-
blement insupportable et il resterait à
trouver la possibilité de faire renoncer
l'Amérique au remboursement de ses prêts
de guerre à l'Europe, car c'est le point es-
sentiel du projet. Où donc peut-on voir
l'espoir d'un règlement général vraiment
raisonnable ? Nous, ne le distinguons pas
jusqu'à présent. Il n'y a donc pas d'autre
voie à suivre pour l'Allemagne que de pro-
gresser de provisoire en provisoire. jus-
qu'à ce qu'on reconnaisse l'impossibilité-
d'une nouvelle solution provisoire.
Il nous semble que la politique allemande
ne peut guère faire autre chose Qve recon-
naître les dangers de cette politique, les
faire comprendre là où l'on veut bien enten-
dre et travailler à la réalisation d'un em-
prunt qui nous aide à surmonter la crise
aiguë, pour laisser le temps continuer à
travailler pour nous. Nous espérons que
c'est aussi la méthode du gouvernement du
Reidh. , -
FRANKFURTER ZEITUNG, 30.5, soir.
—-— ,
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LE DISCOURS DE LORD DERBY [Cf.
Bulletin N° 2067]. — Peu de commentaires
dans les journaux anglais du 31 mai sur la
réponse de l'Allemagne à la commission des
réparations. Seul, le Daily Express consacre
un éditorial à la note allemande; il approuve
les conditions posées par la commission des
réparations parce qu'elles peuvent seules
assurer le succès d'un emprunt extérieur
allemand.
D'ailleurs, M. Lloyd George devait, le
jour même, parler aux Communes du pro-
blème des réparations, le parti travailliste
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