Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-23
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 23 mai 1922 23 mai 1922
Description : 1922/05/23 (T21,N2061). 1922/05/23 (T21,N2061).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170286
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
J, DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
, - -
V 2061
Mardi 23 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les résultats de la con-
de Gênes (Dr August Homme.
neh dans Germania ; Th. Wolff dans
Berliner Tageblatt). — L'échéance du
31 niai (Gearg Bernhard dans Vossi-
P sche Zeitung).
REssE AMÉRICAINE. — La propagande alle-
mande aux Etats-Unis (New York
Times)
ANGLAISE.— Le retour de M. Lloyd
T^e en Grande-Bretagne (Daily Chro-
nicle, Daily Telegraph, Morning Post,
fia News, Westminster Gazette,
cruitK Heral-d). — Le discours de M. As-
qUIth à Blackpoo], le 19 mai (Times). -
Les Etats-Unis et les Soviets : une en-
qUête en Russie (Times).
Politique GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
PIUSTJLTATS. — PRESSE ALLEMANDE.
>
DIFp oU.s le titre « TOUT COMMENCEMENT IÎST
Ficiu '- l'°llicieux rédacteur en chef de
la Germania expOse que VAllemagne n'a pas
IQ rerrnuexpose que des résultats de
v mécontente des résultats de
!i\l.J.jet' llemands, nous avons le moins
de nr. US abandonner, après Gênes, à
Pessimic. dont nous nous étions aupa-
ln tPrudemment abstenus. Nous avons
qu Il 'il y a maintenant un
3 qu'il ,, d'abord nécessaire que l'at-
de l'ent e fût PliJrifièe complètement en vue
Lentre les peuples, avant que
he 'Puiss 8 COmPt'er sur une modification
v^ tabie df. 11?^6 situation. Toute notre
POlitiqUe de no,tr.e situation. Toute notre
n • gouvernement Wirth n'a
Cted'être tentée dans ce sens. Maint
^1i0noore insuffisant, a été
réa^isé P Gênes nous a certainement
Pas e111. une aide considérable. Il ne faut
DPÏ r^m m,ent le discours aussi
vSUabLe prononcé par le
Plénière dnau vendredi à la dernière séance
tj0n (|u la nférence et qui, non seule-
^em Pour ses Paroles finales sur l'aspira-
lau
TSl la paix, lui a WhI tant
Udiss^mpnS' Plus encore que cette
e Çue le _P0nse de Barthou a laissé
COrïin^ Is de wrnistre allemand avait été
%sSj
6stime 0S ,{}all'ts. Le chancelier, lui
!les 611 ce san Sernhle-t-iI, le résultat de
grand prix. C'est ce
qu'indiquent les paroles d'adieu adressées
par lui aux journalistes italiens. Il ne s'est
pas borné à souligner la franchise de Rathe-
nau en déclarant qu'on avait certainement
parlé, et parlé « non seulement dans le trou
de l'oreille, mais ouvertement » des sujets
qui ne devaient pas être traités au cours
de la conférence et qui nous tiennent forte-
ment à cœur. Ainsi, en ce qui concerne
notre objectif politique le plus proche, Gênes
n'a pas seulement été un commencement,
mais un progrès dont il faut nous féliciter.
Il faut en dire autant de la compréhension
que l'Allemagne a trouvée en Italie. On ne
saurait reconnaître assez fortement que le
gouvernement italien — certainement d'ac-
cord avec la très grande majorité du peuple
italien — est apparu au cours de ces semai-
nes comme l'ami le plus actif et le plus con-
vaincu d'une véritable paix entre les peu-
ples. Il est impossible qu'une telle attitude
reste à la longue sans conséquence pra-
tique.
Nous ne devons pas oublier non plus que
l'Allemagne, en dehors de sa participation
aux discussions générales d'ordre financier
et économique, a encore, sur les autres par-
ticipants à la conférence, l'avantage de rap-
porter de Gênes des conventions spéciales,
parmi lesquelles le traité germano-russe
vient en premier lieu. Sans doute, sur la
valeur effective de ce traité les spécialistes
de la politique ne sont pas tous d'accord.
Gela tient uniquement à ce qu'un trop
grand nombre d'entre eux ne le considère
pas simplement comme ce qu'il est, c'est-à-
dire comme le commencement de relations
nouvelles, dont il est réservé à l'avenir de
montrer les résultats. Certainement, les
renseignements que la délégation allemande
ne manquera pas de fournir à ce sujet ces
jours prochains au Reichstag, nous appor-
teront de nouveaux éclaircissements. En
tout cas, nous ne croyons pas qu'il soit dans
l'intention du gouvernement du Reich de
donner ce traité comme un sac bien rem-
pli, mais bien plutôt simplement comme
un cadre dans lequel pourront s'organi-
ser, de manière favorable pour nous à
l'avenir, nos rapports avec l'Est de l'Eu-
rope. Il nous donne au moins la garantie
que, lors de la réintégration de la Russie
dans l'ordre économique européen, nous ne
serons pas moins bien placés que d'autres
peuples, puisqu'il nous assure le traitement
de la nation la plus favorisée, c'est-à-dire
les avantages que les autres pourront tirer
des Russes au cours des négociations ulté-
rieures. Cela est d'autant plus important
qu'il n'est aucunement sûr que, sans ce
traité, nous n'eussions pas eu à payer une
partie des frais de l'entente qui aurait pu
se faire entre les autres peuples et les
Russes.
Il est inutile de poser après cela la ques-
tion de savoir si notre exclusion officielle
des négociations avec les Russes à La Haye
ne signifierait pas pour nous un fiasco. Cela
n'est pas du tout vrai. L'Allemagne a dû
déjà, à Gênes, déclarer officiellement qu'elle
se désintéressait de la discussion entre les
alliés et les Soviets. Ce qui s'est passé par
la suite a pourtant prouvé qu'on ne se fai-
sait pas faute, malgré cela, d'accueillir vo-
lontiers notre concours inofficiel pour éta-
blir l'accord entre les alliés. Si donc La
Haye doit être simplement la continuation
de cet aspect russe de la conférence de
Gênes, on ne voit pas pourquoi le change-
ment de lieu rendrait notre position poli-
tique plus défavorable. — Dr. August Hom-
merich.
GERMANIA, 21.5, matin.
— M. Th. Wolff rend compte d'un entre-
tien qu'il a eu avec M. Schanzer après le dé-
part de Lloyd George :
De Gênes, 19 mai : M. Schanzer m'a dit
qu'il était absurde de croire qu'on pouvait,
en six semaines, résoudre le problème russe
et jeter un pont par-dessus l'opposition qui
sépare l'Europe occidentale de la Russie bol-
cheviste. S'il avait été possible de rester
réunis pendant trois mois, peut-être serait-
on arrivé à une entente. Malgré cela, il n'y
a pas lieu d'être mécontent. Il faut dire que
la situation de l'Allemagne a été, à Gênes,
bien meilleure que pendant la période criti-
que qui a suivi la guerre : les délégués alle-
mands ont été toujours écoutés avec un
grand respect et avec attention. Je fis obser-
ver que, malheureusement, la conférence
avait eu un programme réduit, qu'elle por-
tait les chaînes de Cannes. Mais M. Schan-
zer ne me suivit pas. Il n'est pas encore per-
mis de toucher à de pareilles questions trois
heures après la fin de la conférence.
Th. Wolff ajoute quelques impressions
sur la dernière séance de la conférence et le
discours de Lloyd George :
L'attente générale se portait naturelle-
ment vers le discours de Lloyd George ; la
déception n'a pas été moins générale que
l'attente. Lloyd George s'est borné à quel-
ques polémiques contre Tchitoherine et les
Russes, polémiques auxquelles d'ailleurs, ce
jour-là, tout le monde s'est associé. Il faut
faire observer en passant que les Russes,
qui avaient été considérés le jour de l'ouver-
ture avec une curiosité assez sympathique,
étaient regardés, à la clôture de la confé-
rence, avec une froideur qui portait à croire
qu'ils avaient mécontenté l'auditoire, non'
seulement par leurs erreurs économiques
mais par leur attitude personnelle et indi-
viduelle. Ces jeunes dames de la saille
rayonnaient de plaisir, tout comme dans
une séance de cour d'assises, chaque fois
J, DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
, - -
V 2061
Mardi 23 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les résultats de la con-
de Gênes (Dr August Homme.
neh dans Germania ; Th. Wolff dans
Berliner Tageblatt). — L'échéance du
31 niai (Gearg Bernhard dans Vossi-
P sche Zeitung).
REssE AMÉRICAINE. — La propagande alle-
mande aux Etats-Unis (New York
Times)
ANGLAISE.— Le retour de M. Lloyd
T^e en Grande-Bretagne (Daily Chro-
nicle, Daily Telegraph, Morning Post,
fia News, Westminster Gazette,
cruitK Heral-d). — Le discours de M. As-
qUIth à Blackpoo], le 19 mai (Times). -
Les Etats-Unis et les Soviets : une en-
qUête en Russie (Times).
Politique GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
PIUSTJLTATS. — PRESSE ALLEMANDE.
>
DIFp oU.s le titre « TOUT COMMENCEMENT IÎST
Ficiu '- l'°llicieux rédacteur en chef de
la Germania expOse que VAllemagne n'a pas
IQ rerrnuexpose que des résultats de
v mécontente des résultats de
!i\l.J.jet' llemands, nous avons le moins
de nr. US abandonner, après Gênes, à
Pessimic. dont nous nous étions aupa-
ln tPrudemment abstenus. Nous avons
qu Il 'il y a maintenant un
3 qu'il ,, d'abord nécessaire que l'at-
de l'ent e fût PliJrifièe complètement en vue
Lentre les peuples, avant que
he 'Puiss 8 COmPt'er sur une modification
v^ tabie df. 11?^6 situation. Toute notre
POlitiqUe de no,tr.e situation. Toute notre
n • gouvernement Wirth n'a
Cted'être tentée dans ce sens. Maint
^1i0noore insuffisant, a été
réa^isé P Gênes nous a certainement
Pas e111. une aide considérable. Il ne faut
DPÏ r^m m,ent le discours aussi
vSUabLe prononcé par le
Plénière dnau vendredi à la dernière séance
tj0n (|u la nférence et qui, non seule-
^em Pour ses Paroles finales sur l'aspira-
lau
TSl la paix, lui a WhI tant
Udiss^mpnS' Plus encore que cette
e Çue le _P0nse de Barthou a laissé
COrïin^ Is de wrnistre allemand avait été
%sSj
6stime 0S ,{}all'ts. Le chancelier, lui
!les 611 ce san Sernhle-t-iI, le résultat de
grand prix. C'est ce
qu'indiquent les paroles d'adieu adressées
par lui aux journalistes italiens. Il ne s'est
pas borné à souligner la franchise de Rathe-
nau en déclarant qu'on avait certainement
parlé, et parlé « non seulement dans le trou
de l'oreille, mais ouvertement » des sujets
qui ne devaient pas être traités au cours
de la conférence et qui nous tiennent forte-
ment à cœur. Ainsi, en ce qui concerne
notre objectif politique le plus proche, Gênes
n'a pas seulement été un commencement,
mais un progrès dont il faut nous féliciter.
Il faut en dire autant de la compréhension
que l'Allemagne a trouvée en Italie. On ne
saurait reconnaître assez fortement que le
gouvernement italien — certainement d'ac-
cord avec la très grande majorité du peuple
italien — est apparu au cours de ces semai-
nes comme l'ami le plus actif et le plus con-
vaincu d'une véritable paix entre les peu-
ples. Il est impossible qu'une telle attitude
reste à la longue sans conséquence pra-
tique.
Nous ne devons pas oublier non plus que
l'Allemagne, en dehors de sa participation
aux discussions générales d'ordre financier
et économique, a encore, sur les autres par-
ticipants à la conférence, l'avantage de rap-
porter de Gênes des conventions spéciales,
parmi lesquelles le traité germano-russe
vient en premier lieu. Sans doute, sur la
valeur effective de ce traité les spécialistes
de la politique ne sont pas tous d'accord.
Gela tient uniquement à ce qu'un trop
grand nombre d'entre eux ne le considère
pas simplement comme ce qu'il est, c'est-à-
dire comme le commencement de relations
nouvelles, dont il est réservé à l'avenir de
montrer les résultats. Certainement, les
renseignements que la délégation allemande
ne manquera pas de fournir à ce sujet ces
jours prochains au Reichstag, nous appor-
teront de nouveaux éclaircissements. En
tout cas, nous ne croyons pas qu'il soit dans
l'intention du gouvernement du Reich de
donner ce traité comme un sac bien rem-
pli, mais bien plutôt simplement comme
un cadre dans lequel pourront s'organi-
ser, de manière favorable pour nous à
l'avenir, nos rapports avec l'Est de l'Eu-
rope. Il nous donne au moins la garantie
que, lors de la réintégration de la Russie
dans l'ordre économique européen, nous ne
serons pas moins bien placés que d'autres
peuples, puisqu'il nous assure le traitement
de la nation la plus favorisée, c'est-à-dire
les avantages que les autres pourront tirer
des Russes au cours des négociations ulté-
rieures. Cela est d'autant plus important
qu'il n'est aucunement sûr que, sans ce
traité, nous n'eussions pas eu à payer une
partie des frais de l'entente qui aurait pu
se faire entre les autres peuples et les
Russes.
Il est inutile de poser après cela la ques-
tion de savoir si notre exclusion officielle
des négociations avec les Russes à La Haye
ne signifierait pas pour nous un fiasco. Cela
n'est pas du tout vrai. L'Allemagne a dû
déjà, à Gênes, déclarer officiellement qu'elle
se désintéressait de la discussion entre les
alliés et les Soviets. Ce qui s'est passé par
la suite a pourtant prouvé qu'on ne se fai-
sait pas faute, malgré cela, d'accueillir vo-
lontiers notre concours inofficiel pour éta-
blir l'accord entre les alliés. Si donc La
Haye doit être simplement la continuation
de cet aspect russe de la conférence de
Gênes, on ne voit pas pourquoi le change-
ment de lieu rendrait notre position poli-
tique plus défavorable. — Dr. August Hom-
merich.
GERMANIA, 21.5, matin.
— M. Th. Wolff rend compte d'un entre-
tien qu'il a eu avec M. Schanzer après le dé-
part de Lloyd George :
De Gênes, 19 mai : M. Schanzer m'a dit
qu'il était absurde de croire qu'on pouvait,
en six semaines, résoudre le problème russe
et jeter un pont par-dessus l'opposition qui
sépare l'Europe occidentale de la Russie bol-
cheviste. S'il avait été possible de rester
réunis pendant trois mois, peut-être serait-
on arrivé à une entente. Malgré cela, il n'y
a pas lieu d'être mécontent. Il faut dire que
la situation de l'Allemagne a été, à Gênes,
bien meilleure que pendant la période criti-
que qui a suivi la guerre : les délégués alle-
mands ont été toujours écoutés avec un
grand respect et avec attention. Je fis obser-
ver que, malheureusement, la conférence
avait eu un programme réduit, qu'elle por-
tait les chaînes de Cannes. Mais M. Schan-
zer ne me suivit pas. Il n'est pas encore per-
mis de toucher à de pareilles questions trois
heures après la fin de la conférence.
Th. Wolff ajoute quelques impressions
sur la dernière séance de la conférence et le
discours de Lloyd George :
L'attente générale se portait naturelle-
ment vers le discours de Lloyd George ; la
déception n'a pas été moins générale que
l'attente. Lloyd George s'est borné à quel-
ques polémiques contre Tchitoherine et les
Russes, polémiques auxquelles d'ailleurs, ce
jour-là, tout le monde s'est associé. Il faut
faire observer en passant que les Russes,
qui avaient été considérés le jour de l'ouver-
ture avec une curiosité assez sympathique,
étaient regardés, à la clôture de la confé-
rence, avec une froideur qui portait à croire
qu'ils avaient mécontenté l'auditoire, non'
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