Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 mai 1922 22 mai 1922
Description : 1922/05/22 (T21,N2060). 1922/05/22 (T21,N2060).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217027s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
PAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2060
Lundi 22 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — Les résultats de la
conférence de Gênes (Th. Wolff dans
Berliner Tageblalt). — L'échéance du 31
III ai : les négociations de M. Hernies
(Hannoverscher Kurier).
fiES SE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et Les
-• Sovjets (New York Times, New York
À rnIrican). — L'ambassadeur du gtülU-
Vefnement Kerenski (New York Times).
- Les banques des Etats-Unis et l'Eu-
rope (Public Ledger, New York Ameri-
can, New York Times).
-SE ANGLAISE. — Les armements de la
r%nee et de la Grande-Bretagne : un
a,rt.i?âe du major général sir F. Maurice
(Da.¡zy News).
tE ITALIENNE. — Les résultats de la con-
F. rence de Gênes (Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
RESULTATS. — PRESSE ITALIENNE. —
G- deilla Sera résume dans l'article
'le point de vue à peu près unanime
aCcr0js 16 SUr les résultats de la conférence :
trée de prestige pour l'Italie ; ren-
Allemagne et de la Russie dans la
oliti
euroV^enne ; début d'une période
tQt te le de aVrès-guerre, mais aucun résul-
- tan e ct immédiat.
p al le et immédiat. Ce qui a
AVst a ,1a c0nfé,renc:e f|e Gênes pour être
manqué à la conférence die Gênes pour être
reconstructrice, c'est la Principale et peut-
'~ste~ lqu-e force de reconstruction qui
'- Ce qui lui a manqué pour
rice, c'est l'adhésion convain-
de ia Pn'nc:ipa.le puissance militaire d'Eu-
, II Q. France.
J Ui[' d la M de Lloyd George et la
t , e lia délégation italienne pour que
l.^Ginièr f sèanee solennelle ne fût pas en
e teir Ja séance de clôture. On a
60 ^"caha pendant quarante jours,
q y "quipag,e '0CCUP^ à pomper l'eau
a. CollférÇûlt de couler à pic de vaisseau de
la tif, erl'ce, Personne ou presque per-
sonne De CUP-ait 4-es ou presque n'a
îïuC dupait des machines. On n'a
(]0.Pas faiteaUl00uP de chemin. On n'a
même pas pris lei large. Lloyd George a fait
l effort pour développer la
en«e (x i
fGnêt reiment au programme de
cha. ire les ^Spérait faire entrer par la
les r!P'arations et le désarmement
Par 1 Plcele et il s'agrippa à la date
du 31 mai comme à une planche de salut. La
délégation italienne le seconda admirable-
ment et, quoi qu'on puisse et qu'on doive
penser de certaines lignes de sa méthode, il
faut reconnaître qu'elle s'est prodiguée pour
une juste cause. Mais Barthou veillait, sur-
veillé à son tour par Poincaré.
D'autre part, Tchitcherine veillait, sur-
veillé à son tour par Moscou. Si certains
accusent la France de vouloir une Allemagne
qui paie tout en étant ruinée, de vouloir la
vache tuée et le lait à flots, il est certain
que les Russes veulent remplir leur bourse
et sauver leurs principes, qu'ils voudraient
un capitalisme occidental qui les secourût
en se renonçant lui-même. Entre ces deux
extrémismes, l'Allemagne fut plus réaliste et
transigeante : à la poule de la paix univer-
selle, elle a préféré l'œuf de Pâques de l'ac-
cord avec les Russes. Mais cet acte précipité
et quelque peu narquois mit encore plus de
désordre dans, la conférence, en donnant ali-
ment aux défiances franco-belges et en dé-
couvrant l'impréparation des Anglo-Italiens.
D'où la colère de Lloyd GeGd l-;t:. La tempête
s'apaisa, mais le bon vent ne souffla point.
On sentit toute l'indélicatesse de la trouvaille
de Rathenau, on ne sentit pas sa valeur
La conférence, annoncée comme devant
avoir une ampleur égale à la circonférence
terrestre, se développa en forme d'entonnoir
et finit par une subtile et interminable dis-
pute casuistique entre Tchitcherine et les
autres délégués. Ils habitaient à quelques
pas les uns des autres et ils échangeaient.
des notes et des contre-notes comme font les
chancelleries qui se trouvent à des milliers
de kilomètres de distance. Bel argument
pour Poincaré qui patronne la vieille diplo-
matie contre la nouvelle !
Conclusions. - Au point de vue économi-
que et de la reconstruction européenne quel-
ques sages conseils (couronnés par Colrat
en un hommage aux traités, immanquable
gloria de tous les psaumes français). Au
point de vue politique: la commission des
réparations s'occupera du 31 mai; les ex-
perts s'occuperont à La Haye de la Russie.
Voilà un premier son de cloche. L'autre
cloche donne un son différent et. il faut aussi
l'écouter.
MAIS DES RÉSULTATS MORAUX. — La confé-
rence de Gênes n'a pas été le Congrès de la
paix, mais a été une exposition de l'après-
guerre. Certains s'imaginaient qù'il n'y
avait plus en Europe que quelques étoiles
fixes (France, Belgique, Italie), une nébu-
leuse (la petite Entente) et au delà du Rhin
et du Danube, les noires ténèbres. A vrai
dire, certains croyaient aussi que l'Italie
n'était qu'une nébuleuse prête à se dissou-
dre en ténèbres. On l'a vue à Gênes pendant
quarante jours et on a pu la comprendre.
Cela seul — et il y a davantage — fait que
la conférence se termine avec un important
actif de propagande et de prestige pour
l'Italie.
.Mais la conférence de Gênes n'a pas
révélé seulement l'Italie aux gens mal dis-
posés ; elle a révélé le vrai visage de l'Eu-
rope aux visionnaires et aux théoriciens.
Jusqu'en 1914 il yavait sur le continent
européen cinq grandes puissances, l'Alle-
magne en tête et l'Italie en queue ; il y en a
quatre en 1922, la France en tête et aucune
en queue. L'Allemagne et la Russie vivent
toujours. Cela peut faire plaisir ou non.
C'est un fait.
La volonté montrée par l'Italie et l'An-
gleterre fut remarquable, la volonté des
autres pays fut plus ou moins médiocre.
Mais il ne faut pourtant pas exagérer. Per-
sonne ne s'est montré perfide, hostile, dé-
sireux de créer des difficultés pour le plai-
sir. La France, clouée par ses questions
préalables, a du moins fait tout ce qu'elle
a pu pour se montrer pacifique aux paci-
ficateurs. Les Allemands ont fait de leur
mieux pour réparer, au modns en paroles,
leur « erreur » de Rapallo et ils se disent
désireux de contenter la France. Les Rus-
ses abondent de promesses pour l'avenir.
et ils ont rendu hommage au Roi.
DÉSIR GÉNÉRAL DE PAIX. — La vérité, c'est
que si personne n'ose encore consentir au
sacrifice généreux d'où viendra Ja paix,
tout le monde craint la guerre, abomine
l' après-guerre et refuse la responsabilité
d'allumeur de mèche de bombe. Si donc
techniquement la conférence n'a rien fait
ou guère, politiquement et moralement
beaucoup a été fait. C'est une répétition
générale, pleine d'erreurs, mais elle va ser-
vir à faire étudier de nouveau les rôles.
C'est une préface, un peu prétentieuse et
confuse ; mais le livre pourra être écrit.
Tel est le son de l'autre cloche.
Si l'on combine ces deux sons de cloches,
ce n'est ni un alléluia, ni un glas qui re-
tentit. Combien de fois pendant la guerre
la phase finale parut-elle proche ? mais à
peine déclenchées, les offensives languis-
saient.
Guerre et après-guerre se ressemblent
étrangement. L'on peut dire après Gênes
que nous ne sommes pas encore sortis de
la « paix de position ». Quand viendra le
mouvement en avant ?
En 1922 après Gênes, comme en 1916
après Verdun, c'est surtout vers l'Amérique
qu'il faut tourner les yeux.
CORRIERE DELLA SERA, 20.5.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre ce Dé-
part ». — Selon M. Wolff, l'Allemagne ne
doit pas regretter de ne point participer
aux négociations de La Haye : elle a réglé
elle-même, pour son compte, la question
russe. Le grand Congrès de Gênes qui se
DES
PAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2060
Lundi 22 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SE ALLEMANDE. — Les résultats de la
conférence de Gênes (Th. Wolff dans
Berliner Tageblalt). — L'échéance du 31
III ai : les négociations de M. Hernies
(Hannoverscher Kurier).
fiES SE AMÉRICAINE. — Les Etats-Unis et Les
-• Sovjets (New York Times, New York
À rnIrican). — L'ambassadeur du gtülU-
Vefnement Kerenski (New York Times).
- Les banques des Etats-Unis et l'Eu-
rope (Public Ledger, New York Ameri-
can, New York Times).
-SE ANGLAISE. — Les armements de la
r%nee et de la Grande-Bretagne : un
a,rt.i?âe du major général sir F. Maurice
(Da.¡zy News).
tE ITALIENNE. — Les résultats de la con-
F. rence de Gênes (Corriere della Sera).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
RESULTATS. — PRESSE ITALIENNE. —
G- deilla Sera résume dans l'article
'le point de vue à peu près unanime
aCcr0js 16 SUr les résultats de la conférence :
trée de prestige pour l'Italie ; ren-
Allemagne et de la Russie dans la
oliti
euroV^enne ; début d'une période
tQt te le de aVrès-guerre, mais aucun résul-
- tan e ct immédiat.
p al le et immédiat. Ce qui a
AVst a ,1a c0nfé,renc:e f|e Gênes pour être
manqué à la conférence die Gênes pour être
reconstructrice, c'est la Principale et peut-
'~ste~ lqu-e force de reconstruction qui
'- Ce qui lui a manqué pour
rice, c'est l'adhésion convain-
de ia Pn'nc:ipa.le puissance militaire d'Eu-
, II Q. France.
J Ui[' d la M de Lloyd George et la
t , e lia délégation italienne pour que
l.^Ginièr f sèanee solennelle ne fût pas en
e teir Ja séance de clôture. On a
60 ^"caha pendant quarante jours,
q y "quipag,e '0CCUP^ à pomper l'eau
a. CollférÇûlt de couler à pic de vaisseau de
la tif, erl'ce, Personne ou presque per-
sonne De CUP-ait 4-es ou presque n'a
îïuC dupait des machines. On n'a
(]0.Pas faiteaUl00uP de chemin. On n'a
même pas pris lei large. Lloyd George a fait
l effort pour développer la
en«e (x i
fGnêt reiment au programme de
cha. ire les ^Spérait faire entrer par la
les r!P'arations et le désarmement
Par 1 Plcele et il s'agrippa à la date
du 31 mai comme à une planche de salut. La
délégation italienne le seconda admirable-
ment et, quoi qu'on puisse et qu'on doive
penser de certaines lignes de sa méthode, il
faut reconnaître qu'elle s'est prodiguée pour
une juste cause. Mais Barthou veillait, sur-
veillé à son tour par Poincaré.
D'autre part, Tchitcherine veillait, sur-
veillé à son tour par Moscou. Si certains
accusent la France de vouloir une Allemagne
qui paie tout en étant ruinée, de vouloir la
vache tuée et le lait à flots, il est certain
que les Russes veulent remplir leur bourse
et sauver leurs principes, qu'ils voudraient
un capitalisme occidental qui les secourût
en se renonçant lui-même. Entre ces deux
extrémismes, l'Allemagne fut plus réaliste et
transigeante : à la poule de la paix univer-
selle, elle a préféré l'œuf de Pâques de l'ac-
cord avec les Russes. Mais cet acte précipité
et quelque peu narquois mit encore plus de
désordre dans, la conférence, en donnant ali-
ment aux défiances franco-belges et en dé-
couvrant l'impréparation des Anglo-Italiens.
D'où la colère de Lloyd GeGd l-;t:. La tempête
s'apaisa, mais le bon vent ne souffla point.
On sentit toute l'indélicatesse de la trouvaille
de Rathenau, on ne sentit pas sa valeur
La conférence, annoncée comme devant
avoir une ampleur égale à la circonférence
terrestre, se développa en forme d'entonnoir
et finit par une subtile et interminable dis-
pute casuistique entre Tchitcherine et les
autres délégués. Ils habitaient à quelques
pas les uns des autres et ils échangeaient.
des notes et des contre-notes comme font les
chancelleries qui se trouvent à des milliers
de kilomètres de distance. Bel argument
pour Poincaré qui patronne la vieille diplo-
matie contre la nouvelle !
Conclusions. - Au point de vue économi-
que et de la reconstruction européenne quel-
ques sages conseils (couronnés par Colrat
en un hommage aux traités, immanquable
gloria de tous les psaumes français). Au
point de vue politique: la commission des
réparations s'occupera du 31 mai; les ex-
perts s'occuperont à La Haye de la Russie.
Voilà un premier son de cloche. L'autre
cloche donne un son différent et. il faut aussi
l'écouter.
MAIS DES RÉSULTATS MORAUX. — La confé-
rence de Gênes n'a pas été le Congrès de la
paix, mais a été une exposition de l'après-
guerre. Certains s'imaginaient qù'il n'y
avait plus en Europe que quelques étoiles
fixes (France, Belgique, Italie), une nébu-
leuse (la petite Entente) et au delà du Rhin
et du Danube, les noires ténèbres. A vrai
dire, certains croyaient aussi que l'Italie
n'était qu'une nébuleuse prête à se dissou-
dre en ténèbres. On l'a vue à Gênes pendant
quarante jours et on a pu la comprendre.
Cela seul — et il y a davantage — fait que
la conférence se termine avec un important
actif de propagande et de prestige pour
l'Italie.
.Mais la conférence de Gênes n'a pas
révélé seulement l'Italie aux gens mal dis-
posés ; elle a révélé le vrai visage de l'Eu-
rope aux visionnaires et aux théoriciens.
Jusqu'en 1914 il yavait sur le continent
européen cinq grandes puissances, l'Alle-
magne en tête et l'Italie en queue ; il y en a
quatre en 1922, la France en tête et aucune
en queue. L'Allemagne et la Russie vivent
toujours. Cela peut faire plaisir ou non.
C'est un fait.
La volonté montrée par l'Italie et l'An-
gleterre fut remarquable, la volonté des
autres pays fut plus ou moins médiocre.
Mais il ne faut pourtant pas exagérer. Per-
sonne ne s'est montré perfide, hostile, dé-
sireux de créer des difficultés pour le plai-
sir. La France, clouée par ses questions
préalables, a du moins fait tout ce qu'elle
a pu pour se montrer pacifique aux paci-
ficateurs. Les Allemands ont fait de leur
mieux pour réparer, au modns en paroles,
leur « erreur » de Rapallo et ils se disent
désireux de contenter la France. Les Rus-
ses abondent de promesses pour l'avenir.
et ils ont rendu hommage au Roi.
DÉSIR GÉNÉRAL DE PAIX. — La vérité, c'est
que si personne n'ose encore consentir au
sacrifice généreux d'où viendra Ja paix,
tout le monde craint la guerre, abomine
l' après-guerre et refuse la responsabilité
d'allumeur de mèche de bombe. Si donc
techniquement la conférence n'a rien fait
ou guère, politiquement et moralement
beaucoup a été fait. C'est une répétition
générale, pleine d'erreurs, mais elle va ser-
vir à faire étudier de nouveau les rôles.
C'est une préface, un peu prétentieuse et
confuse ; mais le livre pourra être écrit.
Tel est le son de l'autre cloche.
Si l'on combine ces deux sons de cloches,
ce n'est ni un alléluia, ni un glas qui re-
tentit. Combien de fois pendant la guerre
la phase finale parut-elle proche ? mais à
peine déclenchées, les offensives languis-
saient.
Guerre et après-guerre se ressemblent
étrangement. L'on peut dire après Gênes
que nous ne sommes pas encore sortis de
la « paix de position ». Quand viendra le
mouvement en avant ?
En 1922 après Gênes, comme en 1916
après Verdun, c'est surtout vers l'Amérique
qu'il faut tourner les yeux.
CORRIERE DELLA SERA, 20.5.
PRESSE ALLEMANDE. — Sous le titre ce Dé-
part ». — Selon M. Wolff, l'Allemagne ne
doit pas regretter de ne point participer
aux négociations de La Haye : elle a réglé
elle-même, pour son compte, la question
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