Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-18
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 18 mai 1922 18 mai 1922
Description : 1922/05/18 (T21,N2057). 1922/05/18 (T21,N2057).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217024j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE là"
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
—
N 2057
Jeudi 18 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
-1 -
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le verdict du procès
de Munich (H. von Gerlach dans Welt
am Montag). — La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (O. G. We-
sendonk dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Th. Wolff dans Berliner Ta-
geblatt). - La note de l'Allemagne à
la commission des réparations (Dr Bec-
ker dans Rheinisch-Wesfalische Zei-
tung)
PRESSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
D_- ,. -
--
France : le discours de M. Hylan au
maréchal Joffre (New York Times).
PRESSE - ANGLAISE. — La clôture des travaux
---.--..---. -- ^IVJ1,U1C ue:::; travaux
de la conférence de Gênes (Times, Man-
chester Guardian). - La commission
dexperts de la Haye : le refus des
Etats-Unis (Daily Telegraph). - Une
interview de M. Tchitcherine (J.-G. Ha-
milton dans Daily Chronicle. - Les
minorités en Asie-Mineure : un débat à
la Chambre des Communes (Times); la
proposition d'une commission d'enquête
(Westminster Gazette, Daily Tele-
graph). - La situation en Syrie (Mor-
ning Post). - Le cabinet en minorité
aux Communes (journaux divers).
POLITIQUE GENERALE
ORIGINES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
1
-, \rr>"r>
LE VERDICT DU PROCES DE MUNICH.
Cf. Bulletin n° 2056]. - Le Pacifiste
Gerlach montre le caractère fallacieux de
toute la campagne montée par la presse
allemande à propos du procès de Munich
"l expose le point de vue des pacifistes al-
lemands sur la question des responsabi-
lités.
* -* cl J Q.-Q juridique qui se posait, celle
le savoir s'il y lavait eu faux ou, non a été
complètement rejetée dans l'ombre par la
question purement politique des responsa-
bilités qu'ont su~~ C'est sur cette ques-
tion-ci qu'ont surtout porté les rapports des
experts ». C'est qui imprime son
achet au jugement. C'est elle surtout qui
tait le centre des comptes rendus. Et c'est
elle qui devient l'objet de la campagne
Les chefs d'orchestre dans cette campa-
g¡ne., ce sont Iles mÓn.archist,es bavarois ;
il~, onà, inl.mÁiI;_"f~ ,.
ils ont immédiatement déposé une interpel-
lation à la Chamhre bavaroise pour déter-
minner le gouvernement du Reich à une
grande action de disculpation cen fsaavveeuur r daee
Guillaume et de sa suite. Presque toute a
presse bourgeoise allemande fait chorus
avec les révolutionnaires bavarois Elle e ,-l,
publié sur le procès des '*
- -.",.,.. ~He il
publié sur le procès des comptes rendus à
tel point tendancieux que la masse du p.en-
ple allemand se trouve aujourd'hui in-
fluencée absolument par les mêmes mé-
thodes qui ont servi au fameux service de
presse pendant la guerre. Cela va être bien
pis encore, au cours des mois prochains,
lorsque toutes les commissions d'étude des
responsabilités, si abondamment alimen-
tées par des caisses inconnues, auront en-
trepris leur travail systématique de dis-
culpation.
Ce qu'il importe en ce moment, c'est de
garder des idées claires !
Qu'est-ce que le procès de Munich a véri-
tablement apporté de positif ? En fait, trois
constatations seulement :
1° Le ministère des affaires étrangères
est toujours possédé par l'amour de la di-
plomatie secrète. Il a refusé l'autorisation
de déposer, au prince Lichnovsky et à
d'autres anciens diplomates qui auraient
pu apporter un peu de lumière dans l'obs-
curité ;
2° Le conseiller d'Etat bavarois von
Lossel a, le 9 décembre 1918, détruit trois
documents officiels importants relatifs à la
question des responsabilités ;
3° Le ministre de Bavière, comte Ler-
chenfeld a, le 9 décembre 1914, au nom du
ministère des affaires étrangères de Berlin,
adressé au comte Herling une lettre ex-
trêmement compromettante pour la diplo-
matie allemande d'alors. Il y est dit :
« J'ai appris par les documents que votre
Excellence a connu par le rapport du
chargé d'affaires d'alors, M: von Schœn,
en date du 18 juillet, l'essentiel du contenu
de l'ultimatum autrichien. Or Schœn a in-
diqué dans son rapport que l'Allemagne
prétendrait avoir été surprise par l'action
autrichienne au même titre que toutes les
autres pU¡jJSSHill'ÛelS\ Naturellement, il faut
s'en tenir à cette version et il est néces-
saire de contester, en tous cas, que votre
Excellence ait connu le contenu de l'ulti-
matum avant sa remise. »
On sait que le gouvernement allemand
s'est servi pendant toute la guerre, à l'étran-
ger et en Allemagne, du mensonge suivant
lequel il n'aurait pas connu avant sa
remise, l'ultimatum autrichien, cette faute,
la plus lourde de toute la question des res-
ponsabilités. A cette campagne de menson-
ges il fallait associer le comte Hertling lui-
même.
Telle est la plus importante des constata-
tions faites au cours du procès. Tous les mo-
narchistes et leurs complices aveuglés s'ef-
forcent maintenant de l'obscurcir à tout
prix. Ils ont eu recours pour cela au moyen
excellent que leur offraient les rapports des
« experts », lesquels se sont occupés de tou-
tes sortes de questions en dehors de celle
sur laquelle portait véritablement le procès.
sur laquelle portait véritablement le procès.
Les experts ont été pris presque exclusi-
vement à droite ou vers la droite. Le seul
qui détonnait était le Dr Quidde. Aussi son
rapport a-t-il été expédié en quelques lignes
par les mêmes journaux qui ont consacré
des colonnes aux rapports de Montgelas et
de Thimme. Les véritables autorités en la
matière, qui sont des gens de gauche, Kauts-
ky, Bernstein, Grelling, Forster, Kanmer,
Breitscheid, etc., ont été naturellement te-
nues à l'écart.
Toute la campagne d'obscurcissement
faite par la majorité des experts de Munich
est édifiée sur cete affirmation qu'ils au-
raient à combattre contre le « mensonge de
la responsabilité exclusive de l'Allemagne n.
Mais où est-il donc question de « responsa-
bilité exclusive ? ».
bilité exclusive ? ». -UU It ics p uuioa
Le traité de Versailles n'en parle même
pas (Gerlach cite ici le texte de l'article 231).
Il est vrai que la note d'envoi va plus loin
et qu'on y trouve des affirmations erronées
sur les prétendues intentions de l'Allema-
gne, bien que le mot « faute exclusive » ne
s'y trouve pas non plus.
s'y trouve pas non plus.
Mais cette lettre d'envoi n'a pas été signée
par nous ; elle ne fait d'ailleurs par partie
du traité de paix.
Aucun pacifiste allemand n'a jamais par-
lé de « responsabilité exclusive ». Ce que
nous prétendons et que nous croyons prou-
ver, c'est que les gouvernements de Berlin
et de Vienne sont responsables du déclen-
chement de la guerre mondiale. On en trou-
ve la preuve dans le livre blanc allemand à
la date du 3 août 1914.
la date du 3 août 1914.
Le gouvernement allemand n'a certaine-
ment pas voulu la guerre mondiale teille
quelle est arrivée. Il n'a pas poussé l'idiotie
jusqu'à ce point. Mais il en a couru le ris-
que. Il a donné à Vienne la permission de
déclarer la guerre à la Serbie au risque de
provoquer la guerre mondiale. Il n'y a pas
eu « dolus », mais « dolus eventualis ». Sa
faute a été celle d'une légèreté criminelle. -
H. von Gerlach.
WELT AM MONTAG, 15.5.
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LA CLOTURE DES TRAVAUX. -
PRESSE ALLEMANDE. - On a évité à Gênes un
échec manifeste en confiant à des commissions
l'étude des questions qui n'ont pu recevoir de
DES
AIRES ÉTRANGÈRES
—
N 2057
Jeudi 18 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
-1 -
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le verdict du procès
de Munich (H. von Gerlach dans Welt
am Montag). — La conférence de Gê-
nes : la clôture des travaux (O. G. We-
sendonk dans Deutsche Allgemeine
Zeitung ; Th. Wolff dans Berliner Ta-
geblatt). - La note de l'Allemagne à
la commission des réparations (Dr Bec-
ker dans Rheinisch-Wesfalische Zei-
tung)
PRESSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et la
D_- ,. -
--
France : le discours de M. Hylan au
maréchal Joffre (New York Times).
PRESSE - ANGLAISE. — La clôture des travaux
---.--..---. -- ^IVJ1,U1C ue:::; travaux
de la conférence de Gênes (Times, Man-
chester Guardian). - La commission
dexperts de la Haye : le refus des
Etats-Unis (Daily Telegraph). - Une
interview de M. Tchitcherine (J.-G. Ha-
milton dans Daily Chronicle. - Les
minorités en Asie-Mineure : un débat à
la Chambre des Communes (Times); la
proposition d'une commission d'enquête
(Westminster Gazette, Daily Tele-
graph). - La situation en Syrie (Mor-
ning Post). - Le cabinet en minorité
aux Communes (journaux divers).
POLITIQUE GENERALE
ORIGINES
ET RESPONSABILITÉS
DE LA GUERRE
1
-, \rr>"r>
LE VERDICT DU PROCES DE MUNICH.
Cf. Bulletin n° 2056]. - Le Pacifiste
Gerlach montre le caractère fallacieux de
toute la campagne montée par la presse
allemande à propos du procès de Munich
"l expose le point de vue des pacifistes al-
lemands sur la question des responsabi-
lités.
* -* cl J Q.-Q juridique qui se posait, celle
le savoir s'il y lavait eu faux ou, non a été
complètement rejetée dans l'ombre par la
question purement politique des responsa-
bilités qu'ont su~~ C'est sur cette ques-
tion-ci qu'ont surtout porté les rapports des
experts ». C'est qui imprime son
achet au jugement. C'est elle surtout qui
tait le centre des comptes rendus. Et c'est
elle qui devient l'objet de la campagne
Les chefs d'orchestre dans cette campa-
g¡ne., ce sont Iles mÓn.archist,es bavarois ;
il~, onà, inl.mÁiI;_"f~ ,.
ils ont immédiatement déposé une interpel-
lation à la Chamhre bavaroise pour déter-
minner le gouvernement du Reich à une
grande action de disculpation cen fsaavveeuur r daee
Guillaume et de sa suite. Presque toute a
presse bourgeoise allemande fait chorus
avec les révolutionnaires bavarois Elle e ,-l,
publié sur le procès des '*
- -.",.,.. ~He il
publié sur le procès des comptes rendus à
tel point tendancieux que la masse du p.en-
ple allemand se trouve aujourd'hui in-
fluencée absolument par les mêmes mé-
thodes qui ont servi au fameux service de
presse pendant la guerre. Cela va être bien
pis encore, au cours des mois prochains,
lorsque toutes les commissions d'étude des
responsabilités, si abondamment alimen-
tées par des caisses inconnues, auront en-
trepris leur travail systématique de dis-
culpation.
Ce qu'il importe en ce moment, c'est de
garder des idées claires !
Qu'est-ce que le procès de Munich a véri-
tablement apporté de positif ? En fait, trois
constatations seulement :
1° Le ministère des affaires étrangères
est toujours possédé par l'amour de la di-
plomatie secrète. Il a refusé l'autorisation
de déposer, au prince Lichnovsky et à
d'autres anciens diplomates qui auraient
pu apporter un peu de lumière dans l'obs-
curité ;
2° Le conseiller d'Etat bavarois von
Lossel a, le 9 décembre 1918, détruit trois
documents officiels importants relatifs à la
question des responsabilités ;
3° Le ministre de Bavière, comte Ler-
chenfeld a, le 9 décembre 1914, au nom du
ministère des affaires étrangères de Berlin,
adressé au comte Herling une lettre ex-
trêmement compromettante pour la diplo-
matie allemande d'alors. Il y est dit :
« J'ai appris par les documents que votre
Excellence a connu par le rapport du
chargé d'affaires d'alors, M: von Schœn,
en date du 18 juillet, l'essentiel du contenu
de l'ultimatum autrichien. Or Schœn a in-
diqué dans son rapport que l'Allemagne
prétendrait avoir été surprise par l'action
autrichienne au même titre que toutes les
autres pU¡jJSSHill'ÛelS\ Naturellement, il faut
s'en tenir à cette version et il est néces-
saire de contester, en tous cas, que votre
Excellence ait connu le contenu de l'ulti-
matum avant sa remise. »
On sait que le gouvernement allemand
s'est servi pendant toute la guerre, à l'étran-
ger et en Allemagne, du mensonge suivant
lequel il n'aurait pas connu avant sa
remise, l'ultimatum autrichien, cette faute,
la plus lourde de toute la question des res-
ponsabilités. A cette campagne de menson-
ges il fallait associer le comte Hertling lui-
même.
Telle est la plus importante des constata-
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narchistes et leurs complices aveuglés s'ef-
forcent maintenant de l'obscurcir à tout
prix. Ils ont eu recours pour cela au moyen
excellent que leur offraient les rapports des
« experts », lesquels se sont occupés de tou-
tes sortes de questions en dehors de celle
sur laquelle portait véritablement le procès.
sur laquelle portait véritablement le procès.
Les experts ont été pris presque exclusi-
vement à droite ou vers la droite. Le seul
qui détonnait était le Dr Quidde. Aussi son
rapport a-t-il été expédié en quelques lignes
par les mêmes journaux qui ont consacré
des colonnes aux rapports de Montgelas et
de Thimme. Les véritables autorités en la
matière, qui sont des gens de gauche, Kauts-
ky, Bernstein, Grelling, Forster, Kanmer,
Breitscheid, etc., ont été naturellement te-
nues à l'écart.
Toute la campagne d'obscurcissement
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est édifiée sur cete affirmation qu'ils au-
raient à combattre contre le « mensonge de
la responsabilité exclusive de l'Allemagne n.
Mais où est-il donc question de « responsa-
bilité exclusive ? ».
bilité exclusive ? ». -UU It ics p uuioa
Le traité de Versailles n'en parle même
pas (Gerlach cite ici le texte de l'article 231).
Il est vrai que la note d'envoi va plus loin
et qu'on y trouve des affirmations erronées
sur les prétendues intentions de l'Allema-
gne, bien que le mot « faute exclusive » ne
s'y trouve pas non plus.
s'y trouve pas non plus.
Mais cette lettre d'envoi n'a pas été signée
par nous ; elle ne fait d'ailleurs par partie
du traité de paix.
Aucun pacifiste allemand n'a jamais par-
lé de « responsabilité exclusive ». Ce que
nous prétendons et que nous croyons prou-
ver, c'est que les gouvernements de Berlin
et de Vienne sont responsables du déclen-
chement de la guerre mondiale. On en trou-
ve la preuve dans le livre blanc allemand à
la date du 3 août 1914.
la date du 3 août 1914.
Le gouvernement allemand n'a certaine-
ment pas voulu la guerre mondiale teille
quelle est arrivée. Il n'a pas poussé l'idiotie
jusqu'à ce point. Mais il en a couru le ris-
que. Il a donné à Vienne la permission de
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provoquer la guerre mondiale. Il n'y a pas
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faute a été celle d'une légèreté criminelle. -
H. von Gerlach.
WELT AM MONTAG, 15.5.
——— ———
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
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