Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-12
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 12 mai 1922 12 mai 1922
Description : 1922/05/12 (T21,N2052). 1922/05/12 (T21,N2052).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170197
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N* 2052
Vendredi 12 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
IMikssk allemande. — Los négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (Th. Wolff dans Berti-
nei" Tageblatt) ; la « médiation » alle-
mande (Georg Bernhard dans Vossi-
sche Zei.tnng).- L'adhésion de l'Allema-
gne à la Société des nations : le rôle de
M. Rathenau (H. von Getrlach dans
Welt am Montag).
PRESSE ANGLAISE. - Les problèmes politi-
ques à Gênes : Lithuanie et Galicie
orientale (Daily Chronicle, Manchester
nllwrdiarn. L'échéance du 31 mai
{Morninj i Post). - L'accord italo-turc
(Times). - L'Egypte et le Soudan
(Times).
PRESSE IT.\LIEN:\E. - Les relations italo-bri-
tanniques: l'éventualité d'un accord
d'ensemble (Giornale d'Italia, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. - L'ATTlTT'DE DES DÉLÉGATIONS
BELGE ET FRANÇAISE. - De Gênes, 9 mai :
Lloy~d Geoi~,ae a déclaré antérieurement qu'il
conclura le traité avec les Russes même
sans la Franoe et 84118 la Belgique, et les
Italiens en disent autant. Un jour qu'une
bombe e nn.Tr, munistie avait été lancée dans
sident Du la Chambre des députés, le pré-
nue » déclara : « La séance conti-
nue ». Il ,' a peu de temps encore, Lloyd
George semblait soutenir le point de vue
que la Siéance devait continuer même après
l'explosion d'une bombe française, et sans
la France Mais LloYd George eâit que tous
les invitès de Gênes ne sont pas des gens
sur on faire entièrement fond. r.
en est rlu s (I'll-n qui est désireux d'éluder
le choix entre l'Angleterre et la France, et
il en est pour qui ont chez eux des Par-
n'apparaît dési un accord avec la Russie
le monde y n S perait' Il est manifeiSte
que LloYd George a dans l'intervalle, étu-
dié le terrain Si les français et les Belges
s'en vont, il ne InainÜendra certainement
la conférence ai] cas où il pourrait
compter sur des T Cas suffisants. Hier
soir, il s'est montré a,E~s,e7 réservé lorsqu'on
lui demandait si la conférence continue-
rait après le départ des Français. Il est
possible que cette réserve soit le résultat
de ses études du terrain
L'Allemagne n'à pas absolument avan-
tage à ce que la Fran,e:e tombe dans un iso-
lement., qui ne convileni plus guère à son
état d'esprit. Un état dïrritation entre
l'Angleterre et la France pourrait être
fâcheux pour nous qui nous trouvons dans
une situation dans laquelle nous manquons
de toutes garanties. L'entretien qui a eu
lieu avant-hier entre Lloyd George et Wirth
a été, par le ton et par la modération, un
événement qu'on ne peut enregistrer
qu'avec satisfaction. Mais, en attendant,
nous voguons seuls sur la mer et toutes
les tempêtes menacent notre navire. Cela
ne veut. pas dire que nous ayons lieu non
plus d'être mécontents du cours des choses.
Mais, si, à l'heure décisive, on pouvait en-
core réussir à amener la conférence à des
résultats pratiques en réalisant l'accord
complet de toutes les puissances, notre sa-
tisfaction en serait considérablement
accrue. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 9.5. soir.
LA « MÉDIATION » ALLEMANDE. — De Gênes,
9 mai : Il semble que l'Angleterre attache
un grand prix à l'activité de médiation
allemande. Mais cette activité de médiation
a été ici très exagérée ; on a représenté
lies choses comme si l'Allemagne négociait
en quelque sorte au nom de l'Angleterre.
De celà il ne saurait être question, car
l'Allemagne a déclaré nettement, dès le dé-
but, que par son traité elle n'a pas voulu
entreprendre une action isolée dirigée
contre qui que ce soit, mais simplement
donner l'impulsion à un accord économique
de tous avec la Russie des Soviets. Fidèle
à cette tendance, elle est intervenue tout
naturellement auprès des Russes pour les
déterminer à négocier de telle façon qu'on
puisse aboutir à un résultat. L'Allemagne,
naturellement, n'a aucunement l'idée de
.déterminer la Russie à sacrifier aucun de
ses intérêts vitaux. Ce qu'elle veut, c'est,
dans l'intérêt même des Russes, aider à
la solution du problème des crédits en fa-
veur du relèvement de la Russie, attendu
qu'elle considère ce relèvement comme la
condition du retour à une situation normale
en Europe.
Il est permis de croire, dès maintenant,
que les Russes ne donneront pas une ré-
ponse qui rende les négociations impos-
sibles. Mais il est naturellement très dou-
teux que cette réponse et les conditions que
croiront pouvoir faire les Russes puissent
permettre à la conférence de dépasser le
point mort. — Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 9.5, soir.
LES PROBLEMES POLITIQUES. ---
LITHUANIE ET GALICIE ORIENTALE. — De Gê-
nes, 10 mai : Les Français profèrent au-
jourd'hui Les menaces les plus terribles. Les
instructions reçues hier soir de Paris leur,
prescrivent, disent-ils, de boucler leurs mal-
les et de partir si la réponse russe n'est
pas un « oui » pur et simple.
Mais ces menaces laissent l'opinion pu-
blique de la conférence froide et sceptique.
Il faut bien supposer les Français capables
de mesurer les conséquences de leurs actes.
C'est pourquoi on ne peut admettre qu'ils
endossent La responsabilité d'une rupture
à propos de divergences aussi peu accu-
sées que celles qui seront présentées par
la réponse de la Russie.
Si toutefois l'impossible se réalisait, si
les Français se retiraient, on peut affirmer
catégoriquement que la conférence conti-
nuerait sans eux. Il n'est guère probable
qu'aucune autre délégation les accompagne
à la gare. Et en fin de compte ils se trou-
veront en présence d'un accord avec la
Russie, et des solutions données à d'autres
questions, solutions auxquelles ils auront
renoncé à participer. Il ne leur restera plus
alors que le choix entre l'acceptation du
fait accompli, et un isolement boudeur en
Europe.
L'ordre dans lequel il convient d'entre-
prendre les travaux de la conférence est le
suivant :
1° L'accord avec la Russie ;
2° Le règlement des frontières orientales;
3° Le pacte de non-agression.
C'est la simple logique de la situation
qui l'exige. Il est impossible de rien faire
pour la reconstruction ou pour la pacifica-
tion de l'Europe, à moins que la Russie
ne soit admise à collaborer. Le traité de
Versailles comporte lui-même cette vérité
manifeste.
Il ne peut être question ni de règlement,
ni de paix en Europe tant que les frontières
non reconnues et mal définies du Proche
Orient n'auront pas été fixées urne fois
pour toutes — la frontière polono-russe, les
frontières de la Bessarabie, les frontières
de la Galicie orientale.
Pour les deux premières, il est nécessaire,
aux termes du traité de Versailles, d'obtenir
le consentement de la Russie, en tant que
principale alliée intéressée.
Après, on pourra s'occuper du pacte.
C'est en vain que M. Benes a cherché
par tous les moyens à introduire les trai-
tés de paix dans le pacte. La Grandie-
Bretagne et les neutres y sont fermement
opposés.
Les neutres se sont réunis ce matin et
sont tombés d'accord sur une proposition
intéressante visant à ajouter au pacte une
nouvelle clause prévoyant que le pacte res-
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N* 2052
Vendredi 12 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
IMikssk allemande. — Los négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (Th. Wolff dans Berti-
nei" Tageblatt) ; la « médiation » alle-
mande (Georg Bernhard dans Vossi-
sche Zei.tnng).- L'adhésion de l'Allema-
gne à la Société des nations : le rôle de
M. Rathenau (H. von Getrlach dans
Welt am Montag).
PRESSE ANGLAISE. - Les problèmes politi-
ques à Gênes : Lithuanie et Galicie
orientale (Daily Chronicle, Manchester
nllwrdiarn. L'échéance du 31 mai
{Morninj i Post). - L'accord italo-turc
(Times). - L'Egypte et le Soudan
(Times).
PRESSE IT.\LIEN:\E. - Les relations italo-bri-
tanniques: l'éventualité d'un accord
d'ensemble (Giornale d'Italia, Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES
SOVIETS. - L'ATTlTT'DE DES DÉLÉGATIONS
BELGE ET FRANÇAISE. - De Gênes, 9 mai :
Lloy~d Geoi~,ae a déclaré antérieurement qu'il
conclura le traité avec les Russes même
sans la Franoe et 84118 la Belgique, et les
Italiens en disent autant. Un jour qu'une
bombe e nn.Tr, munistie avait été lancée dans
sident Du la Chambre des députés, le pré-
nue » déclara : « La séance conti-
nue ». Il ,' a peu de temps encore, Lloyd
George semblait soutenir le point de vue
que la Siéance devait continuer même après
l'explosion d'une bombe française, et sans
la France Mais LloYd George eâit que tous
les invitès de Gênes ne sont pas des gens
sur on faire entièrement fond. r.
en est rlu s (I'll-n qui est désireux d'éluder
le choix entre l'Angleterre et la France, et
il en est pour qui ont chez eux des Par-
n'apparaît dési un accord avec la Russie
le monde y n S perait' Il est manifeiSte
que LloYd George a dans l'intervalle, étu-
dié le terrain Si les français et les Belges
s'en vont, il ne InainÜendra certainement
la conférence ai] cas où il pourrait
compter sur des T Cas suffisants. Hier
soir, il s'est montré a,E~s,e7 réservé lorsqu'on
lui demandait si la conférence continue-
rait après le départ des Français. Il est
possible que cette réserve soit le résultat
de ses études du terrain
L'Allemagne n'à pas absolument avan-
tage à ce que la Fran,e:e tombe dans un iso-
lement., qui ne convileni plus guère à son
état d'esprit. Un état dïrritation entre
l'Angleterre et la France pourrait être
fâcheux pour nous qui nous trouvons dans
une situation dans laquelle nous manquons
de toutes garanties. L'entretien qui a eu
lieu avant-hier entre Lloyd George et Wirth
a été, par le ton et par la modération, un
événement qu'on ne peut enregistrer
qu'avec satisfaction. Mais, en attendant,
nous voguons seuls sur la mer et toutes
les tempêtes menacent notre navire. Cela
ne veut. pas dire que nous ayons lieu non
plus d'être mécontents du cours des choses.
Mais, si, à l'heure décisive, on pouvait en-
core réussir à amener la conférence à des
résultats pratiques en réalisant l'accord
complet de toutes les puissances, notre sa-
tisfaction en serait considérablement
accrue. — Th. Wolff.
BERLINER TAGEBLATT, 9.5. soir.
LA « MÉDIATION » ALLEMANDE. — De Gênes,
9 mai : Il semble que l'Angleterre attache
un grand prix à l'activité de médiation
allemande. Mais cette activité de médiation
a été ici très exagérée ; on a représenté
lies choses comme si l'Allemagne négociait
en quelque sorte au nom de l'Angleterre.
De celà il ne saurait être question, car
l'Allemagne a déclaré nettement, dès le dé-
but, que par son traité elle n'a pas voulu
entreprendre une action isolée dirigée
contre qui que ce soit, mais simplement
donner l'impulsion à un accord économique
de tous avec la Russie des Soviets. Fidèle
à cette tendance, elle est intervenue tout
naturellement auprès des Russes pour les
déterminer à négocier de telle façon qu'on
puisse aboutir à un résultat. L'Allemagne,
naturellement, n'a aucunement l'idée de
.déterminer la Russie à sacrifier aucun de
ses intérêts vitaux. Ce qu'elle veut, c'est,
dans l'intérêt même des Russes, aider à
la solution du problème des crédits en fa-
veur du relèvement de la Russie, attendu
qu'elle considère ce relèvement comme la
condition du retour à une situation normale
en Europe.
Il est permis de croire, dès maintenant,
que les Russes ne donneront pas une ré-
ponse qui rende les négociations impos-
sibles. Mais il est naturellement très dou-
teux que cette réponse et les conditions que
croiront pouvoir faire les Russes puissent
permettre à la conférence de dépasser le
point mort. — Georg Bernhard.
VOSSISCHE ZEITUNG, 9.5, soir.
LES PROBLEMES POLITIQUES. ---
LITHUANIE ET GALICIE ORIENTALE. — De Gê-
nes, 10 mai : Les Français profèrent au-
jourd'hui Les menaces les plus terribles. Les
instructions reçues hier soir de Paris leur,
prescrivent, disent-ils, de boucler leurs mal-
les et de partir si la réponse russe n'est
pas un « oui » pur et simple.
Mais ces menaces laissent l'opinion pu-
blique de la conférence froide et sceptique.
Il faut bien supposer les Français capables
de mesurer les conséquences de leurs actes.
C'est pourquoi on ne peut admettre qu'ils
endossent La responsabilité d'une rupture
à propos de divergences aussi peu accu-
sées que celles qui seront présentées par
la réponse de la Russie.
Si toutefois l'impossible se réalisait, si
les Français se retiraient, on peut affirmer
catégoriquement que la conférence conti-
nuerait sans eux. Il n'est guère probable
qu'aucune autre délégation les accompagne
à la gare. Et en fin de compte ils se trou-
veront en présence d'un accord avec la
Russie, et des solutions données à d'autres
questions, solutions auxquelles ils auront
renoncé à participer. Il ne leur restera plus
alors que le choix entre l'acceptation du
fait accompli, et un isolement boudeur en
Europe.
L'ordre dans lequel il convient d'entre-
prendre les travaux de la conférence est le
suivant :
1° L'accord avec la Russie ;
2° Le règlement des frontières orientales;
3° Le pacte de non-agression.
C'est la simple logique de la situation
qui l'exige. Il est impossible de rien faire
pour la reconstruction ou pour la pacifica-
tion de l'Europe, à moins que la Russie
ne soit admise à collaborer. Le traité de
Versailles comporte lui-même cette vérité
manifeste.
Il ne peut être question ni de règlement,
ni de paix en Europe tant que les frontières
non reconnues et mal définies du Proche
Orient n'auront pas été fixées urne fois
pour toutes — la frontière polono-russe, les
frontières de la Bessarabie, les frontières
de la Galicie orientale.
Pour les deux premières, il est nécessaire,
aux termes du traité de Versailles, d'obtenir
le consentement de la Russie, en tant que
principale alliée intéressée.
Après, on pourra s'occuper du pacte.
C'est en vain que M. Benes a cherché
par tous les moyens à introduire les trai-
tés de paix dans le pacte. La Grandie-
Bretagne et les neutres y sont fermement
opposés.
Les neutres se sont réunis ce matin et
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