Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 13 mai 1922 13 mai 1922
Description : 1922/05/13 (T21,N2053). 1922/05/13 (T21,N2053).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217020w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2053
Samedi 13 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — M. Hermes et le traité
de Rapallo (Frankfurter Zeitung). — La
note allemande du 9 mai à la commis-
sion des réparations (Deutsche Tages-
zeituny, Kreuz-Zeitng, Germania).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
i¡; lles: l'abstention des Etats-unis (New
York Times). - Les Etats-Unis et la
France (New York Evening Post). —
Les Etats-Unis et la Colombie (New
York Times). — Les Etats-Unis et le
< j Mexique (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — La conférence de Gênes:
l'attitude de M. Benes (Wickham Steed
dans TÜnes); les relations franco-bri-
tanniques (Sisley Huddleston dans
Times). - La Finlande et l'accord de
Varsovie {Morniny Post).
PRESSE ESPAGNOLE. - « L'agonie de la con-
eience de Gênes » (Rovira y Yiirgili
dans Publicidad). - Les négociations
commerciales franco - es p agn o le s (Epo-
PRESSE ITALIENNE. - La conférence de Gê-
nes « la secrète anxiété de la France
(Concetto Pettinto dans Tempo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE M. BENES. - De
Gênes 11 mai : Nous sommes dans la plus
chu que des nombreuses phases critiques
de 18L IcOnfémnce. Le danger de rupture
entre l'Angleterre et la France domine tou-
jours la situation dont un autre élément
qui mérite l'attention est constitué par la
réserve rvf ar^Uée de la Petite Entente.
Le Dr Benes, premier ministre de Tchéco-
Slovaquie, n'a participé depuis dix
jours à aucune négociation, lui .qUI était
Premières séances et pendant les
premières crises de la conférence, le pivot
caché sur lequel tournait en réalité la. con-
férence. Les raisons de son attitude sont
manifestes. Pendant ses visites avant la
conférence à Londres et à Paris, où il
contribua puissamment au rapprochement
des premiers i, ministres français et britan-
nique dont rit_ français et britan.
grande partie son , à BouloSne fut en
grande partie son œuvre il avisa nette-
ment et officiellement M. Lloyd George e'\
M. Poincaré que s'il se produisait une rup-
ture entre la France et l'Angleterre, la
Petite Entente ne pourrait pas se ranger
avec l'une contre l'autre, mais qu'elle se
tiendrait respectueusement à l'écart. Cette
rupture il s'employa de son mieux à l'évi-
ter, mais depuis dix jours il s'aperçoit que
les événements tendent irrésistiblement
vers la rupture. De là sa neutralité qui a
produit Ici une impression profonde. -
Wickham Steed.
TIMES, 12.5.
et cependant elle a survécu. Aujourd'hui
de l'avis général, la conférence de Gênes est
en voie de déterminer une rupture ouverte.
Il peut se faire que, d'une part comme de
l'autre, il soit prononcé encore des discours
empreints d'une cordialité affectée ou même
d'un enthousiasme sincère, mais il n'en est
pas moins vrai, malheureusement, que la
suspicion et la méfiance ont remplacé la
confiance et la coopération, que la mauvaise
foi, l'amertume, la jalousie, les divergences
et l'opposition des intérêts ont créé une si-
tuation telle que l'Entente franco-britanni-
que se meurt rapidement.
C'est assurément là le fait central de la po-
litique européenne. La rupture consommée,
c'est la fin des anciennes combinaisons,
c'est le discrédit jeté sur les organisations
et institutions internationales qui devaient,
se plaisait-on à espérer, sauver l'Europe du
désastre.
C'est la Russie et l'Allemagne jetées dans
les bras l'une de l'autre, formant un jour
ou l'autre une alliance irrésistible, capable
de mettre au défi la France, d'écraser l'état
récemment fondé de la Pologne, de menacer
les peuples de la Petite Entente, de boule-
verser toute la carte de l'Europe établie
par les négociateurs de la paix de Ver-
sailles. On redoute en France qu'à la suite
des divergences politiques de ces derniers
temps, les sympathies britanniques n'ail-
lent de préférence vers cette formidable al-
liance russo-allemande et que la France ne
se trouve jusqu'à un certain point isolée.
Nous sommes à un moment critique de
l'histoire du monde, à un moment gros de
possibilités. Ceux d'entre nous qui s'effor-
cent de juger avec modération et avec
loyauté les erreurs françaises et les erreurs
britanniques sont obligés de reconnaître
que la faute n'en est pas à la France si les
choses en sont au point où nous les trou-
vons.
La suspicion a été semée graduellement
et cette suspicion, il faut le constater, s'at-
tache à certaines personnalités. S'il est
incontestable qu'un fossé profond s'est
creusé entre les Français et les Anglais,
que pour certains Français l'Angleterre est
désormais l'ennemie, qu'un premier minis-
tre qui se rallierait à une des propositions
« avancées » de M. Lloyd George se ver-
rait renverser aussitôt, c'est plutôt la per-
sonnalité de M. Lloyd George que celle de
l'Anglais en général qui fait l'objet de cette
opposition et de cette indignation.
D'abord, au - point de vue international,
M. Lloyd George est depuis trop longtemps
au pouvoir. Quel que soit le jugement que
l'on puisse porter sur sa capacité, il est im-
possible qu'un homme d'Etat puisse inspi-
rer confiance à l'étranger pendant de lon-
gues années au cours desquelles il a dé-
fendu tour à tour les opinions et les politi-
ques les plus contradictoires. N'importe
quel Anglais qui ne serait pas lié par son
passé, qui ne se serait pas fait considérer
comme n'étant pas bien disposé envers la
France, réussirait probablement, s'il le fal-
lait, à faire accepter aux Français une
grande partie de la politique de M. Lloyd
George. Mais M. Lloyd George lui-même ert
est désormais incapable.
Puis, il y a M. Poincaré, dont la person-
nalité, pour diverses raisons, les unes
honnets., les autres mauvaises, inspire peu
de sympathie cm nglrtrllre. Avant son
arrivée au pouvoir, chacun le sait, le gou-
vernement britannique éprouvait une cer-
taine appréhension à son égard. Ses articles
de journaux et de revues avaient donné de
lui une idée quelque peu étroite. Autant que
le mécanisme diplomatique et la presse
d'un pays peuvent être mis en œuvre contre
un ministire d'un autre pays, ils le furent
contre M. Poincaré. Il n'a jamais reçu bon
accueil. Il n'a jamais bénéficié d'un appui
officiel britannique. Il était réfractaire aux
flatteries de M. Lloyd George.
Se rappelant le sort de MM. Clemenceau,
Leygues et Briand — destinée à laquelle
M. Millerand lui-même échappa tout juste
— il se voyait obligé, sans doute, dans ses
rapports avec l'Angleterre, qui était soup-
çonnée de vouloir changer de camp, d'ob-
server la plus grande prudence, de crainte
d'être répudié à son tour par le Parlement
français. Aussi l'a-t-on présenté comme la
véritable incarnation ue l'intransigeance, de
l'opiniâtreté. En Angleterre, on a été. dans
certains milieux, jusqu'à le rendre respon-
sable en partie de la guerre, jusqu'à le dé-
peindre comme étant prêt à jeter son pays
dans de nouvelles aventures. Bismarck,
Néron, le Kaiser français, telles sont quel-
ques-unes des épithètes qu'on lui a décer-
nées.
Or, si la popularité de M. Poincaré n'est
peut-être pas très grande dans les milieux
ouvriers français où une campagne, socia-
DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2053
Samedi 13 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — M. Hermes et le traité
de Rapallo (Frankfurter Zeitung). — La
note allemande du 9 mai à la commis-
sion des réparations (Deutsche Tages-
zeituny, Kreuz-Zeitng, Germania).
PRESSE AMÉRICAINE. — La conférence de Gê-
i¡; lles: l'abstention des Etats-unis (New
York Times). - Les Etats-Unis et la
France (New York Evening Post). —
Les Etats-Unis et la Colombie (New
York Times). — Les Etats-Unis et le
< j Mexique (New York Times).
PRESSE ANGLAISE. — La conférence de Gênes:
l'attitude de M. Benes (Wickham Steed
dans TÜnes); les relations franco-bri-
tanniques (Sisley Huddleston dans
Times). - La Finlande et l'accord de
Varsovie {Morniny Post).
PRESSE ESPAGNOLE. - « L'agonie de la con-
eience de Gênes » (Rovira y Yiirgili
dans Publicidad). - Les négociations
commerciales franco - es p agn o le s (Epo-
PRESSE ITALIENNE. - La conférence de Gê-
nes « la secrète anxiété de la France
(Concetto Pettinto dans Tempo).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
L'ATTITUDE DE M. BENES. - De
Gênes 11 mai : Nous sommes dans la plus
chu que des nombreuses phases critiques
de 18L IcOnfémnce. Le danger de rupture
entre l'Angleterre et la France domine tou-
jours la situation dont un autre élément
qui mérite l'attention est constitué par la
réserve rvf ar^Uée de la Petite Entente.
Le Dr Benes, premier ministre de Tchéco-
Slovaquie, n'a participé depuis dix
jours à aucune négociation, lui .qUI était
Premières séances et pendant les
premières crises de la conférence, le pivot
caché sur lequel tournait en réalité la. con-
férence. Les raisons de son attitude sont
manifestes. Pendant ses visites avant la
conférence à Londres et à Paris, où il
contribua puissamment au rapprochement
des premiers i, ministres français et britan-
nique dont rit_ français et britan.
grande partie son , à BouloSne fut en
grande partie son œuvre il avisa nette-
ment et officiellement M. Lloyd George e'\
M. Poincaré que s'il se produisait une rup-
ture entre la France et l'Angleterre, la
Petite Entente ne pourrait pas se ranger
avec l'une contre l'autre, mais qu'elle se
tiendrait respectueusement à l'écart. Cette
rupture il s'employa de son mieux à l'évi-
ter, mais depuis dix jours il s'aperçoit que
les événements tendent irrésistiblement
vers la rupture. De là sa neutralité qui a
produit Ici une impression profonde. -
Wickham Steed.
TIMES, 12.5.
et cependant elle a survécu. Aujourd'hui
de l'avis général, la conférence de Gênes est
en voie de déterminer une rupture ouverte.
Il peut se faire que, d'une part comme de
l'autre, il soit prononcé encore des discours
empreints d'une cordialité affectée ou même
d'un enthousiasme sincère, mais il n'en est
pas moins vrai, malheureusement, que la
suspicion et la méfiance ont remplacé la
confiance et la coopération, que la mauvaise
foi, l'amertume, la jalousie, les divergences
et l'opposition des intérêts ont créé une si-
tuation telle que l'Entente franco-britanni-
que se meurt rapidement.
C'est assurément là le fait central de la po-
litique européenne. La rupture consommée,
c'est la fin des anciennes combinaisons,
c'est le discrédit jeté sur les organisations
et institutions internationales qui devaient,
se plaisait-on à espérer, sauver l'Europe du
désastre.
C'est la Russie et l'Allemagne jetées dans
les bras l'une de l'autre, formant un jour
ou l'autre une alliance irrésistible, capable
de mettre au défi la France, d'écraser l'état
récemment fondé de la Pologne, de menacer
les peuples de la Petite Entente, de boule-
verser toute la carte de l'Europe établie
par les négociateurs de la paix de Ver-
sailles. On redoute en France qu'à la suite
des divergences politiques de ces derniers
temps, les sympathies britanniques n'ail-
lent de préférence vers cette formidable al-
liance russo-allemande et que la France ne
se trouve jusqu'à un certain point isolée.
Nous sommes à un moment critique de
l'histoire du monde, à un moment gros de
possibilités. Ceux d'entre nous qui s'effor-
cent de juger avec modération et avec
loyauté les erreurs françaises et les erreurs
britanniques sont obligés de reconnaître
que la faute n'en est pas à la France si les
choses en sont au point où nous les trou-
vons.
La suspicion a été semée graduellement
et cette suspicion, il faut le constater, s'at-
tache à certaines personnalités. S'il est
incontestable qu'un fossé profond s'est
creusé entre les Français et les Anglais,
que pour certains Français l'Angleterre est
désormais l'ennemie, qu'un premier minis-
tre qui se rallierait à une des propositions
« avancées » de M. Lloyd George se ver-
rait renverser aussitôt, c'est plutôt la per-
sonnalité de M. Lloyd George que celle de
l'Anglais en général qui fait l'objet de cette
opposition et de cette indignation.
D'abord, au - point de vue international,
M. Lloyd George est depuis trop longtemps
au pouvoir. Quel que soit le jugement que
l'on puisse porter sur sa capacité, il est im-
possible qu'un homme d'Etat puisse inspi-
rer confiance à l'étranger pendant de lon-
gues années au cours desquelles il a dé-
fendu tour à tour les opinions et les politi-
ques les plus contradictoires. N'importe
quel Anglais qui ne serait pas lié par son
passé, qui ne se serait pas fait considérer
comme n'étant pas bien disposé envers la
France, réussirait probablement, s'il le fal-
lait, à faire accepter aux Français une
grande partie de la politique de M. Lloyd
George. Mais M. Lloyd George lui-même ert
est désormais incapable.
Puis, il y a M. Poincaré, dont la person-
nalité, pour diverses raisons, les unes
honnets., les autres mauvaises, inspire peu
de sympathie cm nglrtrllre. Avant son
arrivée au pouvoir, chacun le sait, le gou-
vernement britannique éprouvait une cer-
taine appréhension à son égard. Ses articles
de journaux et de revues avaient donné de
lui une idée quelque peu étroite. Autant que
le mécanisme diplomatique et la presse
d'un pays peuvent être mis en œuvre contre
un ministire d'un autre pays, ils le furent
contre M. Poincaré. Il n'a jamais reçu bon
accueil. Il n'a jamais bénéficié d'un appui
officiel britannique. Il était réfractaire aux
flatteries de M. Lloyd George.
Se rappelant le sort de MM. Clemenceau,
Leygues et Briand — destinée à laquelle
M. Millerand lui-même échappa tout juste
— il se voyait obligé, sans doute, dans ses
rapports avec l'Angleterre, qui était soup-
çonnée de vouloir changer de camp, d'ob-
server la plus grande prudence, de crainte
d'être répudié à son tour par le Parlement
français. Aussi l'a-t-on présenté comme la
véritable incarnation ue l'intransigeance, de
l'opiniâtreté. En Angleterre, on a été. dans
certains milieux, jusqu'à le rendre respon-
sable en partie de la guerre, jusqu'à le dé-
peindre comme étant prêt à jeter son pays
dans de nouvelles aventures. Bismarck,
Néron, le Kaiser français, telles sont quel-
ques-unes des épithètes qu'on lui a décer-
nées.
Or, si la popularité de M. Poincaré n'est
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ouvriers français où une campagne, socia-
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