Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 mai 1922 11 mai 1922
Description : 1922/05/11 (T21,N2051). 1922/05/11 (T21,N2051).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217018t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
W DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2051
Jeudi 11 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE -,
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : les possibilités d'ajournement (Th.
Wolff dans Berliner Tageblatt ; Vor.
wàrts). - Les relations franco-britanni-
ques (Tagliche Rundschau).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le traité russo-alle-
mand (Chicago Daily Tribune, Times-
Picayune). - La position de la France à
Gênes (New Republic.
PRESSE ANGLAISE. - Les négociations avec
les Soviets (Daily Telegraph). — Les
relations franco-britanniques (Manches-
ter Guardian, Daily News, Morning
Post.) ; l'échange de lettres entre MM.
L:oyd George et Barthou (Westminster
Gazette). — Les négociations commer-
OÎales hispano-britanniques (Times).
PRESSE ,AUTRICHIENNE. - Les négoeiations
avec les Soviets (Neue Freie Presse).
PRESSE ESPAGNOLE (Neue Fi-eie Presse )
IVRESSE ESPAGNrnF - Les négociations com-
mmeerrcciiaailpec s avec la France (Vanguardia)
PRESSE HOLLANDAISE. - Les tractations sur
les pétroles (Nieu,we Botterda-msche
Mouron]) Wieuwe Rotterdamsche
-
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS A VEC LES
SOVIETS. - LEs BIENS PRIVÉS DES ÉTRAN-
GERS PiQ+ OPINION AUTRICHIENNE. - La confé-
rence est encore en vie. C'est le mieux que
l'on Pliisse - j ourd'hu~i et p,erson~ne lie
sait si la ,^e,a'uj0urd'hui et personne rie
salt va^ue6 re am®^i°ration qui se mani-
feste vaguement n'est pas ce que les Fran-
çais appellent ( le mieux avant la fin ,. En
tous cas ,.,,, - mieux avant la fin o. En
toUt:; càs --'VU~ (( le mieux avant la fin ». En
tous cas ce n ° Son': P^ls les forces de des-
truction qui ~t en ce moment, mais
les forets en ce moment, mais
les forces de réconciliation et d'apaise-
ment. Cal' peut disparaître d'un mo-
ment à rauh-p p:eut disparaitre d'un mo-
écroulement total et lorsq u'on redoute un
simple ajournement un échec complet, le
simple ajourneiî et un échec complet, le
simple ajournement de la catastrophe doit
être considéré comme un avantage De quoi
s'agissait-il dans le grand conflit au sujet
du mémorandum le grand conflit au sujet
question de forcp ru6,e.9 Au ¡and, c'est une
que San& l'appui de l'Angle.
terre et de l'Italie sans le concours de la
Petite Entente,. g~ sans le concours d~ ~a
moyens obtenir de la Russie la restitu-
tion de la propriété étrangère nationalisée
et par suite la négation du communisme
aux yeux de l'étranger ? Ces deux états
sont ils assez forts pour briser la volonté de
Lénine ? P°Ur briser la volonté de
La iie Pourrait fournir en échange de
cette capitulation , ni crédits ni produits manu-
factures, Produits manu-
On peut regretter profondément que
toutes les puissances ne se soient pas
placées strictement et clairement sur le
terrain de la propriété - privée. Mais puisque
la violation des principes est visible
puisque l'Angleterre, l'Italie et les autres
pays se sont mis d'accord sur le principe
de la compensation, sur le droit des
Soviets de payer seulement une indemnité
aux propriétaires étrangers, la lutte est de-
venue secondaire et elle est pour ainsi dire
perdue d'avance pour la France.
Perdue d'avance à tous les points de vue.
'En effet, si la Conférence aboutit à un échec
des accords séparés avec la Russie sont à
peu près inévitables et personne en France
ne sera assez fou pour croire que l'Angle-
terre accepte bénévolement que l'Allemagne
lui coupe l'herbe sous le pied. Seule la pa-
tience, et toujours la patience, peut démê-
ler l'écheveau russe.
NEUE FREIE PRESSE, 9.5. matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Gênes, 9 mai :
J'apprends que les Russes ne font d'objec-
tions véritables que sur deux points du mé-
morandum. C'est sur la première clause,
relative à la propagande et sur la septième
qui traite de la propriété privée. Ils ont
certaines observations à présenter relative-
ment à la clause, qui exige la neutralité
russe en Asie Mineure, mais cela ne pré-
sentera pas de sérieuses difficultés. La
question de la propagande et de la propriété
privée, suivant les plaintes des Russes, tou-
che à l'indépendance et à la souveraineté
du pays et ils veulent obtenir une modifica-
tion des termes du mémorandum à cet
égard. Sur le premier point, leur argument
est que la Russie comme les autres nations
doit être à même de dire quelle propagande
peut ou ne peut pas être permise à l'inté-
rieur de ses propres frontières. Les autori-
tés soviétiques ont dit qu'elle consentaient
à ne pas faire die propagande en dehors de
la Russie, mais qu'à cet égard elles devaient
être libres chez elles. L'argument pris en
face n'est pas déraisonnable et il est pro-
bable qu'on pourrait sur ce point arriver
à un accord sans beaucoup de difficultés.
Il y a moins de possibilités d'entente sur
la question de la propriété privée. Les ré-
solutions de Cannes partent de façon très
précise que la Russie, comme tous les au-
tres états, doit avoir la liberté d'établir un
régime de la propriété de son choix.
L'amendement proposé par M. Barrère et
accepté par M. Lloyd George en vue de
prendre pour base le mémorandum acoepté
par la sous-commission politique va bien
plus loin et demande que la propriété pri-
vée en Russie soit rétablie sur les bases qui
existaient avant la guerre. Comme le fai-
sait remarquer M. Lloyd George quand l'af-
faire vint en discussion, ce n'était pas seu-
lement un amendement à la clause, mais
c'était étendre la portée de la résolution de
Cannes que la Russie avait acceptée et sur
la foi de laquelle elle était venue à la confé
rence. Les Russes sont décidés à rétablir
dans la mesure du possible la propriété des
anciens propriétaires et à admettre le prin-
cipe des compensations où cela est possible,
mais ils sont fermement déterminés à refu-
ser d'établir deux systèmes de propriété en
Russie, ce qui est pratiquement ce que de-
mandent la France et la Belgique. La mé-
thode de restauration que proposent les
Russes consiste à donner ce qu'ils appellent
un usufruit perpétuel, avec possibilité pour
le détenteur de disposer de ses droits par
vente ou transfert. Cela revient en fait à
une « leasehoild » perpétuelle, mais comme-
la « leasehold tenure » ou quelque chose
d'approchant est inconnu dans la loi fran-
çaise ou belge, les délégations française et
belge ne considèrent pas que ce système
donne -des garanties suffisantes. M. Car-
tier, l'expert belge qui rédigea la clause 7
avec Sir Cecil Hurst et M. Fromageot et
qui est un juriste, esit. familiarisé avec le
système angais de la « leasehold tenure »
et il consentit à la clause dans sa première
rédaction, mais son opinion fut rejetée par
M. Jaspar qui insiste sur le plein rétablis-
sement de la propriété belge en Russie,
quelque système de propriété qu'établisse
le gouvernement de ce pays. C'est là la clef
de toute la situation et, à moins que les
Belges ne modifient leur attitude, la pers-
pective d'un règlement s'évanouira et la
conférence échouera. Le bruit court au-
jourd'hui que la délégation belge est dans
un meilleur état d'esprit, mais tous mes
efforts pour obtenir des renseignements à
ce sujet se sont montrés infructueux. — (Du
correspondant spécial).
DAILY TELEGRAPH, 10.,5.
LES RELATIONS FRANCQ-BRITAN-
NIQUES. — Il n'a pas encore été publié
de compte rendu officiel de la conversation
de samedi dernier entre M. Lloyd George
et M. Barthou. Quant aux informations pri-
vées, il existe entre elles des divergences
considérables. Celles qui proviennent de
sources françaises sont beaucoup plus sen-
sationnelles que les versions britanniques,
et feraient supposer que M. Lloyd George
W DES
FAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2051
Jeudi 11 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE -,
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : les possibilités d'ajournement (Th.
Wolff dans Berliner Tageblatt ; Vor.
wàrts). - Les relations franco-britanni-
ques (Tagliche Rundschau).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le traité russo-alle-
mand (Chicago Daily Tribune, Times-
Picayune). - La position de la France à
Gênes (New Republic.
PRESSE ANGLAISE. - Les négociations avec
les Soviets (Daily Telegraph). — Les
relations franco-britanniques (Manches-
ter Guardian, Daily News, Morning
Post.) ; l'échange de lettres entre MM.
L:oyd George et Barthou (Westminster
Gazette). — Les négociations commer-
OÎales hispano-britanniques (Times).
PRESSE ,AUTRICHIENNE. - Les négoeiations
avec les Soviets (Neue Freie Presse).
PRESSE ESPAGNOLE (Neue Fi-eie Presse )
IVRESSE ESPAGNrnF - Les négociations com-
mmeerrcciiaailpec s avec la France (Vanguardia)
PRESSE HOLLANDAISE. - Les tractations sur
les pétroles (Nieu,we Botterda-msche
Mouron]) Wieuwe Rotterdamsche
-
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS A VEC LES
SOVIETS. - LEs BIENS PRIVÉS DES ÉTRAN-
GERS PiQ+ OPINION AUTRICHIENNE. - La confé-
rence est encore en vie. C'est le mieux que
l'on Pliisse - j ourd'hu~i et p,erson~ne lie
sait si la ,^e,a'uj0urd'hui et personne rie
salt va^ue6 re am®^i°ration qui se mani-
feste vaguement n'est pas ce que les Fran-
çais appellent ( le mieux avant la fin ,. En
tous cas ,.,,, - mieux avant la fin o. En
toUt:; càs --'VU~ (( le mieux avant la fin ». En
tous cas ce n ° Son': P^ls les forces de des-
truction qui ~t en ce moment, mais
les forets en ce moment, mais
les forces de réconciliation et d'apaise-
ment. Cal' peut disparaître d'un mo-
ment à rauh-p p:eut disparaitre d'un mo-
écroulement total et lorsq u'on redoute un
simple ajournement un échec complet, le
simple ajourneiî et un échec complet, le
simple ajournement de la catastrophe doit
être considéré comme un avantage De quoi
s'agissait-il dans le grand conflit au sujet
du mémorandum le grand conflit au sujet
question de forcp ru6,e.9 Au ¡and, c'est une
que San& l'appui de l'Angle.
terre et de l'Italie sans le concours de la
Petite Entente,. g~ sans le concours d~ ~a
moyens obtenir de la Russie la restitu-
tion de la propriété étrangère nationalisée
et par suite la négation du communisme
aux yeux de l'étranger ? Ces deux états
sont ils assez forts pour briser la volonté de
Lénine ? P°Ur briser la volonté de
La iie Pourrait fournir en échange de
cette capitulation , ni crédits ni produits manu-
factures, Produits manu-
On peut regretter profondément que
toutes les puissances ne se soient pas
placées strictement et clairement sur le
terrain de la propriété - privée. Mais puisque
la violation des principes est visible
puisque l'Angleterre, l'Italie et les autres
pays se sont mis d'accord sur le principe
de la compensation, sur le droit des
Soviets de payer seulement une indemnité
aux propriétaires étrangers, la lutte est de-
venue secondaire et elle est pour ainsi dire
perdue d'avance pour la France.
Perdue d'avance à tous les points de vue.
'En effet, si la Conférence aboutit à un échec
des accords séparés avec la Russie sont à
peu près inévitables et personne en France
ne sera assez fou pour croire que l'Angle-
terre accepte bénévolement que l'Allemagne
lui coupe l'herbe sous le pied. Seule la pa-
tience, et toujours la patience, peut démê-
ler l'écheveau russe.
NEUE FREIE PRESSE, 9.5. matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Gênes, 9 mai :
J'apprends que les Russes ne font d'objec-
tions véritables que sur deux points du mé-
morandum. C'est sur la première clause,
relative à la propagande et sur la septième
qui traite de la propriété privée. Ils ont
certaines observations à présenter relative-
ment à la clause, qui exige la neutralité
russe en Asie Mineure, mais cela ne pré-
sentera pas de sérieuses difficultés. La
question de la propagande et de la propriété
privée, suivant les plaintes des Russes, tou-
che à l'indépendance et à la souveraineté
du pays et ils veulent obtenir une modifica-
tion des termes du mémorandum à cet
égard. Sur le premier point, leur argument
est que la Russie comme les autres nations
doit être à même de dire quelle propagande
peut ou ne peut pas être permise à l'inté-
rieur de ses propres frontières. Les autori-
tés soviétiques ont dit qu'elle consentaient
à ne pas faire die propagande en dehors de
la Russie, mais qu'à cet égard elles devaient
être libres chez elles. L'argument pris en
face n'est pas déraisonnable et il est pro-
bable qu'on pourrait sur ce point arriver
à un accord sans beaucoup de difficultés.
Il y a moins de possibilités d'entente sur
la question de la propriété privée. Les ré-
solutions de Cannes partent de façon très
précise que la Russie, comme tous les au-
tres états, doit avoir la liberté d'établir un
régime de la propriété de son choix.
L'amendement proposé par M. Barrère et
accepté par M. Lloyd George en vue de
prendre pour base le mémorandum acoepté
par la sous-commission politique va bien
plus loin et demande que la propriété pri-
vée en Russie soit rétablie sur les bases qui
existaient avant la guerre. Comme le fai-
sait remarquer M. Lloyd George quand l'af-
faire vint en discussion, ce n'était pas seu-
lement un amendement à la clause, mais
c'était étendre la portée de la résolution de
Cannes que la Russie avait acceptée et sur
la foi de laquelle elle était venue à la confé
rence. Les Russes sont décidés à rétablir
dans la mesure du possible la propriété des
anciens propriétaires et à admettre le prin-
cipe des compensations où cela est possible,
mais ils sont fermement déterminés à refu-
ser d'établir deux systèmes de propriété en
Russie, ce qui est pratiquement ce que de-
mandent la France et la Belgique. La mé-
thode de restauration que proposent les
Russes consiste à donner ce qu'ils appellent
un usufruit perpétuel, avec possibilité pour
le détenteur de disposer de ses droits par
vente ou transfert. Cela revient en fait à
une « leasehoild » perpétuelle, mais comme-
la « leasehold tenure » ou quelque chose
d'approchant est inconnu dans la loi fran-
çaise ou belge, les délégations française et
belge ne considèrent pas que ce système
donne -des garanties suffisantes. M. Car-
tier, l'expert belge qui rédigea la clause 7
avec Sir Cecil Hurst et M. Fromageot et
qui est un juriste, esit. familiarisé avec le
système angais de la « leasehold tenure »
et il consentit à la clause dans sa première
rédaction, mais son opinion fut rejetée par
M. Jaspar qui insiste sur le plein rétablis-
sement de la propriété belge en Russie,
quelque système de propriété qu'établisse
le gouvernement de ce pays. C'est là la clef
de toute la situation et, à moins que les
Belges ne modifient leur attitude, la pers-
pective d'un règlement s'évanouira et la
conférence échouera. Le bruit court au-
jourd'hui que la délégation belge est dans
un meilleur état d'esprit, mais tous mes
efforts pour obtenir des renseignements à
ce sujet se sont montrés infructueux. — (Du
correspondant spécial).
DAILY TELEGRAPH, 10.,5.
LES RELATIONS FRANCQ-BRITAN-
NIQUES. — Il n'a pas encore été publié
de compte rendu officiel de la conversation
de samedi dernier entre M. Lloyd George
et M. Barthou. Quant aux informations pri-
vées, il existe entre elles des divergences
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