Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 mai 1922 10 mai 1922
Description : 1922/05/10 (T21,N2050). 1922/05/10 (T21,N2050).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217017d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2050
Mercredi 10 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La conférence de Gè-
nes : les possibilités d'ajournement,
(!Ú)/nische Zcifl/ng). - Lps l'l'pnral.io.lls'
leis possibilités d'emprunt (Td-jliclic
liiindschau, Kulnische Yolkszeilumj, T,li.
W o:H'f d ans Barlner Tageblatt). -
« Hernies contre Wirth » {Frank[itrter
Zeitung).
PHESSK A.MKi5iCAi.\F.. — Le traité russo-alle-
mand (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. - Les négociations avec
lois Soviets (Wickham Steed dans
Times ; l1Tnrni¡¡ -' POS! ; Daily Telc-
graph). - Les relations franco-britan-
niques (Weshninster Gazette).
P"tS BELGE. "7 La conférence de Genes :
lPev"le<
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES SO-
VIETS. - PnESSE ANGLAISE. - Sous le titre :
« Les intrigues allemandes.». - De Gètriels,
8 mai : apl'l'S des informa t ions de
allemande, le premier ministre aurait in-
sisté hier auprès de M. Wiirth et du
Dr Rathenau pOu.r le.s arnene.l' à u~~ de
les à user de
leur influenoe sur les bolcheviks afin de
let\!, faire accepter le document concerté eu-
ropéen. Dr Rathenau paraît s'être
entremis aujourd'hui dans ce sens, mais
on ne sait pas encore quel a été le résultat
de ses démarChes..
D'une part 1 le bruit court avec persis-
tance q,Ue rt, le bruit court avec persis-
cou des inst ^008 leur prescrivant de
rejeter comme étant incompatible avec les
droits souverains de la Russie l'article pre-
mier du document concerté, article relatif
à la propagande en Asie Mineure. De l'au-
tre, Propaov,nr. l'inten~ti~on de rédiger leur
réponse à l'ensemble de ce document, en
des termes qui permettront avec un peu
de bonne voi 0,'nté de la part des signataires,
den faire utilement la base de nouvelles
discussions avec 1118 dits signataires, à
l'exclusion de la France et de la Belgique.
Les Allemands semblent espérer que, de
cette façon, la France et la Belgique pour-
raient se trouver isolées et. qu'un accord
général CTT être conclu avec les bol-
cheviks sur la base nu memorandum, quitte
à en éliminer, au besoin, l'article VII et à
faire du règlement de la question des biens
privés l'objet de négodations séparées en-
tre les bolcheviks et les divers gouverne-
ments de l'Europe. On pourrait aussi for-
mer une commission chargée de poursuivre,
après la fin de la conférence, l'étude de
la question des biens privés et où seraient
représentées, sd elles le désiraient la
France et la Belgique.
Surmontées ainsi les difficultés qui s'op-
posent à l'acceptation du document con-
certé, les bolcheviks et les Allemands se-
raient peut-être disposés à signer un pacte
de non-agression à peu près conforme au
projet britannique primitif, c'est-à-dire ne
comportant pas de garanties au sujet des
traités existants ou des engagements inter-
nationaux.
Telle serait, dans ses grandes lignes, la
solution proposée par le Dr Rathenau
en sa quailité d'intermédiaire entre le pre-
mier ministre britannique et les bolcheviks.
— Wickham Steed.
# TIMES, 9.5.
-- Les régions dévastées de l'Europe, il
ne faut pas les chercher uniquement dans
le nord de la France, ,ou dans le Lancas-
hire de lord Derby. C'est la Russie qui offre
la désolation suprême. Car elle a été dé-
vastée par deux ennemis, par les Alle-
mands et par les bolcheviks, traînant à leur
suite la peste et la famine. Ce ne sont pas
seulement les cultures et les usines de la
Russie qui ont été détruites : mais le cou
rage du peuple russe a lui-même failli som
brer dans la tourmente. Cependant il a sur
vécu, et c'est dans cette circonstance que
gît l'espoir du relèvement de l'Europe. Qui
sait, en effet, quelles nouvelles manifesta-
tions de vie et de santé ne se préparent
pas lentement dans les couches, profondes
de ce peuple affligé. A la surface le bolche-
visme est en décomposition, mais, par en
dessous, de jeunes pousses commencent à
se frayer un chemin vers la lumière ; l'ins-
tinct de conservation s'affirme de plus en
plus. C'est pourquoi nous sommes convain-
cus que dans leurs relations avec les bol-
cheviks, les alliés doivent observer la plus
grande prudence. Le temps, qui naguère
encore pouvait sembler n'être tout au plus
que neutre est désormais l'ennemi des bol-
cheviks. Tchitcherine chante très fort sous
le soleil de Gênes, mais il sait pertinem-
ment que l'orage se prépare là-bas, chez
lui. Si seulement quelques-uns de nos po-
liticiens étaient de véritables hommes d'Etat,
s'ils daignaient penser un peu moins à eux-
mêmes, un peu plus à leur pays! Aujour-
d'hui encore il n'est pas trop tard, pour
M. Lloyd George, pour s'engager dans la
bonne voie. Les bruits de rupture définitive
avec la France ont été démentis heureuse-
ment, mais la stupéfaction déterminée par
ces informations sensationnelles devrait du
moins convaincre tous les gens raisonna-
bles que la Grande-Bretagne désire et veut
à toute force rester l'amie et l'alliée de l'il
France. — (Ed.).
MORNING POST, 9.5.
- Sous le titre « Les intrigues alleman-
des ». Il me revient que l'on n'attache pas
l'importance qu'ils méritent aux agisse-
ments du délégué allemand, le Dr
Georg Bernhardt. dans la coulisse à Gênes.
On sait que le Dr Bemhardt est. le
principal collaborateur de la Vossische Zei-
tung, dans les colonnes de laquelle, même
avant la guerre, il soutenait vigoureuse-
ment les idées de M. Caillaux, au sujet
d'une coalition du continent européen diri-
gée contre la Grande-Bretagne. Jusqu'ici
le Dr Bernhardt. avait figuré dans les
conférences en qualité de correspondant
spécial, ou d'expert économique. Mais au-
jourd'hui le Dr Rathenau, qui penche
quelque peu pour la « politique continen-
tale » du Dr -Bernhardt, a élevé ce
dernier au rang de délégué en titre. Ses ou-
vertures à la France, le Dr Bernhardt
les a généralement faites par la voie des
journaux, mais M. Poincaré a invariable-
ment fait la sourde oreille. Son chauvi-
nisme est à l'épreuve du caillaUtisme. —
(D'Un correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 9.5.
LES RELATIONS FRANCO- BRITAN-
NIQUES. — Dans les milieux anglais quali-
fiés, personne ne désire une rupture for-
melle avec la France, mais il existe un dé-
sir très marqué et pour ainsi dire unanime
de voir reconnaître plus clairement le fait
que l'Entente n'a plus la signification
qu'elle avait avant et pendant la guerre.
Nous souhaitons tous le maintien des rela-
tions les plus amicales avec la France, mais
nous ne sommes pas disposés à considérer
ces relations comme un obstacle à la con-
clusion d'ententes ou même d'amitiés avec
d'autres nations européennes Si le mot En-
tente doit impliquer une amitié exclusive,
dire que l'Entente n'est plus n'est pas une
menace, mais la simple constatation d'un
fait. Il n'y a aujourd'hui aucune harmonie
entre les vues et la politique respectives, de
la France et de la Grande-Bretagne par rap-
port à un seul problème européen ou extra-
européen : le mot « Entente » ne conserve
par conséquent aucune signification prati-
que. C'est une fable qui a même cessé d'être
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2050
Mercredi 10 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. - La conférence de Gè-
nes : les possibilités d'ajournement,
(!Ú)/nische Zcifl/ng). - Lps l'l'pnral.io.lls'
leis possibilités d'emprunt (Td-jliclic
liiindschau, Kulnische Yolkszeilumj, T,li.
W o:H'f d ans Barlner Tageblatt). -
« Hernies contre Wirth » {Frank[itrter
Zeitung).
PHESSK A.MKi5iCAi.\F.. — Le traité russo-alle-
mand (Washington Post).
PRESSE ANGLAISE. - Les négociations avec
lois Soviets (Wickham Steed dans
Times ; l1Tnrni¡¡ -' POS! ; Daily Telc-
graph). - Les relations franco-britan-
niques (Weshninster Gazette).
P"tS BELGE. "7 La conférence de Genes :
lPev"le<
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES SO-
VIETS. - PnESSE ANGLAISE. - Sous le titre :
« Les intrigues allemandes.». - De Gètriels,
8 mai : apl'l'S des informa t ions de
allemande, le premier ministre aurait in-
sisté hier auprès de M. Wiirth et du
Dr Rathenau pOu.r le.s arnene.l' à u~~ de
les à user de
leur influenoe sur les bolcheviks afin de
let\!, faire accepter le document concerté eu-
ropéen. Dr Rathenau paraît s'être
entremis aujourd'hui dans ce sens, mais
on ne sait pas encore quel a été le résultat
de ses démarChes..
D'une part 1 le bruit court avec persis-
tance q,Ue rt, le bruit court avec persis-
cou des inst ^008 leur prescrivant de
rejeter comme étant incompatible avec les
droits souverains de la Russie l'article pre-
mier du document concerté, article relatif
à la propagande en Asie Mineure. De l'au-
tre, Propaov,nr. l'inten~ti~on de rédiger leur
réponse à l'ensemble de ce document, en
des termes qui permettront avec un peu
de bonne voi 0,'nté de la part des signataires,
den faire utilement la base de nouvelles
discussions avec 1118 dits signataires, à
l'exclusion de la France et de la Belgique.
Les Allemands semblent espérer que, de
cette façon, la France et la Belgique pour-
raient se trouver isolées et. qu'un accord
général CTT être conclu avec les bol-
cheviks sur la base nu memorandum, quitte
à en éliminer, au besoin, l'article VII et à
faire du règlement de la question des biens
privés l'objet de négodations séparées en-
tre les bolcheviks et les divers gouverne-
ments de l'Europe. On pourrait aussi for-
mer une commission chargée de poursuivre,
après la fin de la conférence, l'étude de
la question des biens privés et où seraient
représentées, sd elles le désiraient la
France et la Belgique.
Surmontées ainsi les difficultés qui s'op-
posent à l'acceptation du document con-
certé, les bolcheviks et les Allemands se-
raient peut-être disposés à signer un pacte
de non-agression à peu près conforme au
projet britannique primitif, c'est-à-dire ne
comportant pas de garanties au sujet des
traités existants ou des engagements inter-
nationaux.
Telle serait, dans ses grandes lignes, la
solution proposée par le Dr Rathenau
en sa quailité d'intermédiaire entre le pre-
mier ministre britannique et les bolcheviks.
— Wickham Steed.
# TIMES, 9.5.
-- Les régions dévastées de l'Europe, il
ne faut pas les chercher uniquement dans
le nord de la France, ,ou dans le Lancas-
hire de lord Derby. C'est la Russie qui offre
la désolation suprême. Car elle a été dé-
vastée par deux ennemis, par les Alle-
mands et par les bolcheviks, traînant à leur
suite la peste et la famine. Ce ne sont pas
seulement les cultures et les usines de la
Russie qui ont été détruites : mais le cou
rage du peuple russe a lui-même failli som
brer dans la tourmente. Cependant il a sur
vécu, et c'est dans cette circonstance que
gît l'espoir du relèvement de l'Europe. Qui
sait, en effet, quelles nouvelles manifesta-
tions de vie et de santé ne se préparent
pas lentement dans les couches, profondes
de ce peuple affligé. A la surface le bolche-
visme est en décomposition, mais, par en
dessous, de jeunes pousses commencent à
se frayer un chemin vers la lumière ; l'ins-
tinct de conservation s'affirme de plus en
plus. C'est pourquoi nous sommes convain-
cus que dans leurs relations avec les bol-
cheviks, les alliés doivent observer la plus
grande prudence. Le temps, qui naguère
encore pouvait sembler n'être tout au plus
que neutre est désormais l'ennemi des bol-
cheviks. Tchitcherine chante très fort sous
le soleil de Gênes, mais il sait pertinem-
ment que l'orage se prépare là-bas, chez
lui. Si seulement quelques-uns de nos po-
liticiens étaient de véritables hommes d'Etat,
s'ils daignaient penser un peu moins à eux-
mêmes, un peu plus à leur pays! Aujour-
d'hui encore il n'est pas trop tard, pour
M. Lloyd George, pour s'engager dans la
bonne voie. Les bruits de rupture définitive
avec la France ont été démentis heureuse-
ment, mais la stupéfaction déterminée par
ces informations sensationnelles devrait du
moins convaincre tous les gens raisonna-
bles que la Grande-Bretagne désire et veut
à toute force rester l'amie et l'alliée de l'il
France. — (Ed.).
MORNING POST, 9.5.
- Sous le titre « Les intrigues alleman-
des ». Il me revient que l'on n'attache pas
l'importance qu'ils méritent aux agisse-
ments du délégué allemand, le Dr
Georg Bernhardt. dans la coulisse à Gênes.
On sait que le Dr Bemhardt est. le
principal collaborateur de la Vossische Zei-
tung, dans les colonnes de laquelle, même
avant la guerre, il soutenait vigoureuse-
ment les idées de M. Caillaux, au sujet
d'une coalition du continent européen diri-
gée contre la Grande-Bretagne. Jusqu'ici
le Dr Bernhardt. avait figuré dans les
conférences en qualité de correspondant
spécial, ou d'expert économique. Mais au-
jourd'hui le Dr Rathenau, qui penche
quelque peu pour la « politique continen-
tale » du Dr -Bernhardt, a élevé ce
dernier au rang de délégué en titre. Ses ou-
vertures à la France, le Dr Bernhardt
les a généralement faites par la voie des
journaux, mais M. Poincaré a invariable-
ment fait la sourde oreille. Son chauvi-
nisme est à l'épreuve du caillaUtisme. —
(D'Un correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 9.5.
LES RELATIONS FRANCO- BRITAN-
NIQUES. — Dans les milieux anglais quali-
fiés, personne ne désire une rupture for-
melle avec la France, mais il existe un dé-
sir très marqué et pour ainsi dire unanime
de voir reconnaître plus clairement le fait
que l'Entente n'a plus la signification
qu'elle avait avant et pendant la guerre.
Nous souhaitons tous le maintien des rela-
tions les plus amicales avec la France, mais
nous ne sommes pas disposés à considérer
ces relations comme un obstacle à la con-
clusion d'ententes ou même d'amitiés avec
d'autres nations européennes Si le mot En-
tente doit impliquer une amitié exclusive,
dire que l'Entente n'est plus n'est pas une
menace, mais la simple constatation d'un
fait. Il n'y a aujourd'hui aucune harmonie
entre les vues et la politique respectives, de
la France et de la Grande-Bretagne par rap-
port à un seul problème européen ou extra-
européen : le mot « Entente » ne conserve
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