Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 mai 1922 09 mai 1922
Description : 1922/05/09 (T21,N2949). 1922/05/09 (T21,N2949).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k62170160
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES F T R A >> G V H KS
1 -
N8 2049
————— ,
Mardi 9 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations :
déchéance du 31 mai (Dr August Hom-
merich dans Germania).
PRESSE AMÉRICAINE. — La politique de M.
Poincaré (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (J.-L. Garvin dans
Observer; Westminster Gazette). —
Les relations franco-britanniques (Wick-
harn Steed dans Times). — La situation
générale à Gênes (Westminster Gazette,
Daily Chronicle, Outlook). — La poli-
tique de M. Poincaré (Sunday Express).
PRESSE ITALIENNE. — Les négociations avec
les Soviets : la position de l'Italie (Ras-
tignac dans Tribuna).
; POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES SO-
VIETS. - L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE
ET FRANÇAISE. — ANGLAISE. - De Gê-
nes, 6 mai : De grands historiens ont expli-
qué que toute révolution véritable signifie
un transfert de la propriété. La Réforme, en
Angleterre, et ( la Révolution française de
1789 sont dc,,s exemples frappants de cette
Vérité .Plus remarquable encore est la lé-
gislation britannique qui en quarante ans a
enlevé presque toute la terre, à une petite
classe héréditaire pour la transférer aux
tenanciers qui de serfs sont devenus des
propriétaires. Est-il possible d'admettre un
4 seul instant qu'il y ait plus de chances pour
qu-e l'ancien titre des propriétaires fonciers,
sous le t~ '-sarism~ T-~i;~ At~- ~f.
sous le tsarisme puisse être rétabli en Rus-
sie, qu'il nV611 a dans le cas de l'Irlande ?
Les détenteurs d'obligations sous le tsa-
risme couraient certains risques, tout en
présence de conditions modifiées sans pos-
sibilité de retour. Le dogme français et
belge au nom duquel est revendiquée la res-
titution littérale des biens en Russie équi-
vaut à demander la lune. Les bolcheviks ne
peuvent restituer dans cette acception du
terme. Ils Sont disposés à indemniser les
propriétaires dépossédés, au moyen de con-
cessions et en con-
dans des syndical attribuant des actions
dans des syndicats. Je suis absolument cer-
tain qu'ils sont tout prêts à autoriser des
exploitations privées à long bail qui assure-
raient aux capitalist 6S occidentaux autant
de bénéfices sous le nouveau régime qu'ils
en réalisaient sous l'ancien avant la guerre.
Et cela n'est encore que la façade de l'ar-
gumentatton. M. Tchitcherine et ses collè-
gues ont in petto des idées et des desseins
encore P,Itis raisonnables. Il leur faut du
temps. Avec le temps, ils pensent pouvoir
amener la Russie communiste à accepter
des propositions que les Soviets ne vou-
draient même pas examiner aujourd'hui.
Ce que les bolcheviks devront entreprendre
désormais, en s'inspirant de ce qu'ils ont
appris à Gênes, c'est une propagande rai-
sonnée dans leur propre pays. Ils pensent
pouvoir amener leur peuple, dans un avenir
prochain, à accepter des conditions qui, sans
admettre le dogme franco-belge, ne différe-
ront pas beaucoup de celles. approuvées
mardi dernier par M. Barthou lui-même. Je
prie mes lecteurs de croire que cette expli-
cation projette une vive lumière sur l'avenir
de l'Europe, ou du moins sur ce qui pour-
rait être cet avenir, à moins que l'insanité
logique de M. Poincaré et de son- école, ob-
sédés par une mentalité de guerre immua-
ble, ne persiste à plonger l'Allemagne dans
le chaos et à acculer la Russie à la guerre.
— J.-L. Garvin.
OBSERVER, 7.,5. 1
— De Gênes, 5 mai : Au moment du départ
de M. Barthou à Paris.
.La conférence cessait dès lors d'être
réellement une conférence. Ses travaux pou-
vaient. être interrompus, son sort décidé par
une influence: extérieure. Sous le veto de
M- Poincaré, la conférence devenait sem-
blable à Damoclès. Sur sa tête une épée
était suspendue, tenant à un cheveu. M.
Poincaré dictait ses ordres -et, ses refus
comme un suzerain. Il ne voulait pas venir
à Gênes discuter des réparations, non à la
conférence même, mais dans un conseil,
parallèle et indépendant., des puissances
signataires du traité de Versailles. Il ne
voulait, pas participer à une réunion sem-
blable à San Remo. Il faisait, pleuvoir les
refus. Il ne proposait aucune solution alter-
native d'aucune sorte. Si les Allemands
faisaient défaut le 31 mai, la France sui-
vrait sa propre voie, que ce fût après une
consultation avec ses alliés ou sans cette
consultation. Pratiquement, la réponse si-
gnifiait : « Si M. Lloyd George veut con-
naître à l'avance les intentions de la France,
qu'il vienne, à Paris ».
Je ne connais rien de semblable à cette
prétention de la part d'une puissance parti-
culière à régenter brutalement [to stultify]
une assemblée internationale. Même les
Allemands de La Haye, avant la guerre,
montrèrent plus de politesse dans la forme,
bien qu'en substance leur conduite fût aussi
fatalement obstructive. M. Poincaré, dès le
début, fut absolument l'ennemi de la mé-
thode et de l'esprit de cette conférence. Il
lésire son échec. Tout en refusant d'y par-
ticiper en personne, il s'était réservé le pou-
voir de la naufrager à distance, si le jeu
les circonstances lui en fournissait l'occa-
sion. Il voulait empêcher ou différer la con-
férence de Gênes et conduire les affaires de
l'Europe par ces méthodes de notes écrites
dans lesquelles il possède une maîtrise
sans égale. Il fut contraint, à Boulogne,
de donner un assentiment de forme à la
conférence de Gênes. Mais M. Poincaré
« convaincu contre sa volonté, n'en con-
serva pas moins son opinion ». C'est le plus
obstiné petit personnage dans les affaires
mondiales, tout confit en habileté logique
et sans aucun rayon d'imagination ou de
bonne humeur. De tempérament, son atti-
tude envers M. Lloyd George est celle d'un
antagonisme fondamental, voilé sous de
convenables et méthodiques formes de pro-
cédure.
Par ailleurs, a, Gênes, M. Barthou et M.
Lloyd George étaient devenus des amis.
Le chef de la délégation française avait
éprouvé, comme tout le monde, l'influence
du charme personnel. Si M. Barthou avait
été président du Conseil de la République
française, Gênes aurait été un succès déci-
sif, et la France aurait doublé sa sécurité
en prenant une part prépondérante à la
nouvelle politique de toute l'Europe. Je ne
révèle aucun secret en disant que M. Poin-
caré et M. Barthou ne sont pas d'accord.
Celui-ci, avec toute son ardeur combative
est. français entre tous. Il vous séduit même
quand il croise l'épée avec vous. Il a perdu
ses enfants à la guerre. C'est une brillante
et captivante personnalité. t
Désirant ardemment le succès de la con-
férence, M. Barthou consentit à ne partir
pour Paris que lorsque les divergences entre
les notes britannique et française au-
raient été réduites au minimum. La discus-
sion dura trois jours. Il y eut une lutte
ardente, chaque clause fut disputée séparé-
ment, mais il régnait la bonne volonté, le
désir d'aboutir à un règlement. Lundi soir,
on pouvait, compter, semblait-il, istur un
texte arrêté d'un commun accord, dont la
Belgique seule ne voulait pas, dans l'inté-
rêt de ses détenteurs d'obligations. Ceux-ci
forment un groupe considérable et puis-
sant au sein d'une petite nation. Ils se sont
rendus maîtres du gouvernement de Bru-
xelles. Ils exigent la restitution absolue, à
leurs anciens possesseurs des biens privés
en Russie. C'est attaquer la base même du
régime communiste, et cela bien que les
résolutions de Cannes aient reconnu à la
Russie toute liberté pour maintenir son
propre système politique et économique.
Les Belges auraient aussi bien pu deman-
der à Lénine et à ses représentante de Gê-
nes de se suicider comme condition d'une
transaction. Le chef de la délégation fran-
DES
AFFAIRES F T R A >> G V H KS
1 -
N8 2049
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Mardi 9 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations :
déchéance du 31 mai (Dr August Hom-
merich dans Germania).
PRESSE AMÉRICAINE. — La politique de M.
Poincaré (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets : l'attitude des délégations
belge et française (J.-L. Garvin dans
Observer; Westminster Gazette). —
Les relations franco-britanniques (Wick-
harn Steed dans Times). — La situation
générale à Gênes (Westminster Gazette,
Daily Chronicle, Outlook). — La poli-
tique de M. Poincaré (Sunday Express).
PRESSE ITALIENNE. — Les négociations avec
les Soviets : la position de l'Italie (Ras-
tignac dans Tribuna).
; POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES NEGOCIATIONS AVEC LES SO-
VIETS. - L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE
ET FRANÇAISE. — ANGLAISE. - De Gê-
nes, 6 mai : De grands historiens ont expli-
qué que toute révolution véritable signifie
un transfert de la propriété. La Réforme, en
Angleterre, et ( la Révolution française de
1789 sont dc,,s exemples frappants de cette
Vérité .Plus remarquable encore est la lé-
gislation britannique qui en quarante ans a
enlevé presque toute la terre, à une petite
classe héréditaire pour la transférer aux
tenanciers qui de serfs sont devenus des
propriétaires. Est-il possible d'admettre un
4 seul instant qu'il y ait plus de chances pour
qu-e l'ancien titre des propriétaires fonciers,
sous le t~ '-sarism~ T-~i;~ At~- ~f.
sous le tsarisme puisse être rétabli en Rus-
sie, qu'il nV611 a dans le cas de l'Irlande ?
Les détenteurs d'obligations sous le tsa-
risme couraient certains risques, tout en
présence de conditions modifiées sans pos-
sibilité de retour. Le dogme français et
belge au nom duquel est revendiquée la res-
titution littérale des biens en Russie équi-
vaut à demander la lune. Les bolcheviks ne
peuvent restituer dans cette acception du
terme. Ils Sont disposés à indemniser les
propriétaires dépossédés, au moyen de con-
cessions et en con-
dans des syndical attribuant des actions
dans des syndicats. Je suis absolument cer-
tain qu'ils sont tout prêts à autoriser des
exploitations privées à long bail qui assure-
raient aux capitalist 6S occidentaux autant
de bénéfices sous le nouveau régime qu'ils
en réalisaient sous l'ancien avant la guerre.
Et cela n'est encore que la façade de l'ar-
gumentatton. M. Tchitcherine et ses collè-
gues ont in petto des idées et des desseins
encore P,Itis raisonnables. Il leur faut du
temps. Avec le temps, ils pensent pouvoir
amener la Russie communiste à accepter
des propositions que les Soviets ne vou-
draient même pas examiner aujourd'hui.
Ce que les bolcheviks devront entreprendre
désormais, en s'inspirant de ce qu'ils ont
appris à Gênes, c'est une propagande rai-
sonnée dans leur propre pays. Ils pensent
pouvoir amener leur peuple, dans un avenir
prochain, à accepter des conditions qui, sans
admettre le dogme franco-belge, ne différe-
ront pas beaucoup de celles. approuvées
mardi dernier par M. Barthou lui-même. Je
prie mes lecteurs de croire que cette expli-
cation projette une vive lumière sur l'avenir
de l'Europe, ou du moins sur ce qui pour-
rait être cet avenir, à moins que l'insanité
logique de M. Poincaré et de son- école, ob-
sédés par une mentalité de guerre immua-
ble, ne persiste à plonger l'Allemagne dans
le chaos et à acculer la Russie à la guerre.
— J.-L. Garvin.
OBSERVER, 7.,5. 1
— De Gênes, 5 mai : Au moment du départ
de M. Barthou à Paris.
.La conférence cessait dès lors d'être
réellement une conférence. Ses travaux pou-
vaient. être interrompus, son sort décidé par
une influence: extérieure. Sous le veto de
M- Poincaré, la conférence devenait sem-
blable à Damoclès. Sur sa tête une épée
était suspendue, tenant à un cheveu. M.
Poincaré dictait ses ordres -et, ses refus
comme un suzerain. Il ne voulait pas venir
à Gênes discuter des réparations, non à la
conférence même, mais dans un conseil,
parallèle et indépendant., des puissances
signataires du traité de Versailles. Il ne
voulait, pas participer à une réunion sem-
blable à San Remo. Il faisait, pleuvoir les
refus. Il ne proposait aucune solution alter-
native d'aucune sorte. Si les Allemands
faisaient défaut le 31 mai, la France sui-
vrait sa propre voie, que ce fût après une
consultation avec ses alliés ou sans cette
consultation. Pratiquement, la réponse si-
gnifiait : « Si M. Lloyd George veut con-
naître à l'avance les intentions de la France,
qu'il vienne, à Paris ».
Je ne connais rien de semblable à cette
prétention de la part d'une puissance parti-
culière à régenter brutalement [to stultify]
une assemblée internationale. Même les
Allemands de La Haye, avant la guerre,
montrèrent plus de politesse dans la forme,
bien qu'en substance leur conduite fût aussi
fatalement obstructive. M. Poincaré, dès le
début, fut absolument l'ennemi de la mé-
thode et de l'esprit de cette conférence. Il
lésire son échec. Tout en refusant d'y par-
ticiper en personne, il s'était réservé le pou-
voir de la naufrager à distance, si le jeu
les circonstances lui en fournissait l'occa-
sion. Il voulait empêcher ou différer la con-
férence de Gênes et conduire les affaires de
l'Europe par ces méthodes de notes écrites
dans lesquelles il possède une maîtrise
sans égale. Il fut contraint, à Boulogne,
de donner un assentiment de forme à la
conférence de Gênes. Mais M. Poincaré
« convaincu contre sa volonté, n'en con-
serva pas moins son opinion ». C'est le plus
obstiné petit personnage dans les affaires
mondiales, tout confit en habileté logique
et sans aucun rayon d'imagination ou de
bonne humeur. De tempérament, son atti-
tude envers M. Lloyd George est celle d'un
antagonisme fondamental, voilé sous de
convenables et méthodiques formes de pro-
cédure.
Par ailleurs, a, Gênes, M. Barthou et M.
Lloyd George étaient devenus des amis.
Le chef de la délégation française avait
éprouvé, comme tout le monde, l'influence
du charme personnel. Si M. Barthou avait
été président du Conseil de la République
française, Gênes aurait été un succès déci-
sif, et la France aurait doublé sa sécurité
en prenant une part prépondérante à la
nouvelle politique de toute l'Europe. Je ne
révèle aucun secret en disant que M. Poin-
caré et M. Barthou ne sont pas d'accord.
Celui-ci, avec toute son ardeur combative
est. français entre tous. Il vous séduit même
quand il croise l'épée avec vous. Il a perdu
ses enfants à la guerre. C'est une brillante
et captivante personnalité. t
Désirant ardemment le succès de la con-
férence, M. Barthou consentit à ne partir
pour Paris que lorsque les divergences entre
les notes britannique et française au-
raient été réduites au minimum. La discus-
sion dura trois jours. Il y eut une lutte
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ment, mais il régnait la bonne volonté, le
désir d'aboutir à un règlement. Lundi soir,
on pouvait, compter, semblait-il, istur un
texte arrêté d'un commun accord, dont la
Belgique seule ne voulait pas, dans l'inté-
rêt de ses détenteurs d'obligations. Ceux-ci
forment un groupe considérable et puis-
sant au sein d'une petite nation. Ils se sont
rendus maîtres du gouvernement de Bru-
xelles. Ils exigent la restitution absolue, à
leurs anciens possesseurs des biens privés
en Russie. C'est attaquer la base même du
régime communiste, et cela bien que les
résolutions de Cannes aient reconnu à la
Russie toute liberté pour maintenir son
propre système politique et économique.
Les Belges auraient aussi bien pu deman-
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