Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 mai 1922 05 mai 1922
Description : 1922/05/05 (T21,N2046). 1922/05/05 (T21,N2046).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217013r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
[MINISTÈRE
DM
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
—————
N° 2046
Vendredi 5 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessons des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le pacte de non-agres-
sion (Frankfurter Zeilung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La réduction des ar-
mements (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets (Wickham Steed dans
Times; Daily Chronicle). — Les répara-
tions et les dettes interalliées : un mé-
morandum anglais (H. Wilson Harris
dans Daily News. — L'accord italo-turc
(Daily Telegraph).
PRESSE BELGE. — Les négociations avec les
Soviets : l'attitude des délégations belge
et française (Indépendance Belge, Louis
de Brouckère dans Peuple ; Stampa).
PRESSE ITALIENNE. - Les négociations avec
les Soviets (Giornale d'Italia, Tribuna,
Epoca). - L'Italie et les clauses de ré-
paration ; pour la revision (Francesco
Ciccotti dans Paese).
PRESSE SUÉDOISE - Les negociations avec
les Soviets (Dagens Nyheter).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
V LES NEGOCIATIONS AVEC LES 80
VIETS. L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE
ET FRANÇAISE. - LA PRESSE BELGE (4.5.) se ré-
jouit unanimement de la, décision de M.
Poincaré, du ton de la presse parisienne et
de l'opinion très favorable à la Belgique
dans les milieux politiques français. Elle
cite de nombreux extraits de la presse fran-
çaise. L'Indénpendance Belge écrit:
Il eonvient de :n!e IP.OIter un jugement
sur l'attitude du chef de la délégation fran-
(,'aise qu'aT>rè,« avoir examiné chacune des
raisons que lui lont didé sa conduite. M.
Barthou à obéi il des mob¡¡' t,.ès puissants
qui nïrnpijau ^es miobile& très puissants
gation des nrinJî certainement pas la né-
qui forment la base de la défense présentée
par M. Jasper. Quand, à défense présentée
nement de la Rép 'ique' se trouve un
homme comme M. Poincaré, qui est à la lois
un honnête liorriirio ~st a la .fois
est. imprudent fio SU/P0Se'r que la France
se range aux côté de ceux qui pactisent
avec les vioiat
Non , ia p ^s du rOI.
au sujet des faut réflcihir avant de l'accuser,
au sujet des effets rnOrnent-anés d'une tac-
tique que les CWCÛlnstances ont imposée.
Ces circonstances résultent des combinai-
sons germano-russes au sujet desquelles
des mesures restent à prendre. Elles dé-
coulent aussi de l'incertitude dans laquelle
sont plongées les délégations étrangères en
face de la r!nn !qU° inconsidérée mais d'une
continuité dangereuse adoptée à l'égard des
Soviets.
Toutes les tractations qui se nouent à
Gênes, et celles des pét.riQ¡lelsl dont illOUS mir-
lions hier en est un exemple dissolvant
ont révélé une situation équivoque dont le
délégué français a sans doute cru devoir
tenir compte pour accepter, mais sous ré-
serve d'approbation par son gouvernement
le texte de l'article 6. C'est là qu'il faut re-
chercher l'origine du flottement qui régnait
au moment, où M. Jaspar sauvait la dignité
de la Belgique. Là, et aussi dans une tac-
tique diplomatique, dont Paris connaît les
fins que nous ne tarderons pas à connaître.
INDEPENDANCE BELGE, 4.5.
— Sous le titre : « Pourquoi la Belgique
est-elle isolée ? »
Il convient d'attendre avant de se pro-
noncer sur l'attitude prise par la délégation
belge, et dont les conséquences peuvent être
incalculables pour l'Europe entière, et plus
immédiatement pour nous. Espérons, que
l'on ne nous fera. pas attendre trop long-
temps les éclaircissements nécessaires. Ne
pourrait-on, sans plus attendre, nous ex-
pliquer ce qui suit ?
A la séance des experte, si nous en
croyons les dépêches, M. Cattier a voté,
comme ses collègues, le projet que M. Jas-
par a rejeté à: la sous-commission politi-
que. M. Cattier avait, à la vérité, expres-
sément réservé la décision du gouverne-
ment, mais son vote paraît indiquer que,
personnellement il ne considérait pas l'ar
ticle 6 comme inacceptable. Chacun sait que
M. Cattier se trouve à la tête de l'un des
groupes financiers les plus considérables de
Belgique. Le texte qu'il a considéré comme
admissible était-il vraiment attentatoire
aux droits des anciens propriétaires des-
concessions ?
Le mémorandum a été remis aux Russes
revêtu de la signature de toutes les puis-
sances, la Belgique seule exceptée. La si-
gnature de la France est conditionnelle,
mais peut à tout moment devenir définitive.
La Belgique, alors, seule exdlue d'une en-
tente générale avec les Soviets, sè trouve-
rait dans une situation singulièrement dif-
ficile. Or, le 31 mai, nous aurons à décider
quelle attitude nous prendrons devant les
initiatives que le discours de Bar-le-Duc
fait prévoir et dont la paix du monde peut
dépendre. Aurons-nous, à ce moment, la
liberté d'action nécessaire, si notre refus
de participer, par exemple, à une expédi-
tion militaire contre le bassin de la Ruhr —
expédition qui pourrait bien ne pas être
une simple « promenade » — peut avoir
pour conséquence le retrait des réserves
françaises ? — Louis de Brouckère.
PEUPLE, 4.5.
PRESSE ITALIENNE. — La thèse de M. Jas-
par n'est pas une modification du texte des
experts, c'est une modification des résolu-
tions de Cannes.
On en vient dans ces conditions à deman-
der à la Russie plus qu'on ne demande à
la Tchéco-Slovaquie et à la Roumanie qui
ont toutes deux promulgué des lois de natio-
nalisation très amples.
GIORNALE D'ITALIA, 3.5.
— La thèse de M. Jaspar a soulevé un
chœur de protestations ; affirmer le prin-
cipe absolu de la restitution des propriétés,
c'est renoncer à pouvoir présenter à Tchi-
tcherine l'ensemble du mémorandum allié;
c'est faire échouer la conférence et la faire*
échouer de la pire des façons, car ce
seraient les alliés qui violeraient les pre-
miers les résolutions de Cannes. A Cannes,
en effet, personne n'avait osé poser comme
un axiome la restitution des biens.
TRIBUNA, 3.5.
- Il serait, impossible de conclure un
accord avec le gouvernement russe si l'on
s'obstinait dans une demande qu'il ne peut
accueillir. Les résolutions de Cannes disent
que la Russie doit restituer les propriétés
privées ou indemniser les anciens proprié-
taires. La demande de M. Jaspar enlève-
rait aux Russes ce droit d'option, modifie-
rait dans son fond le protocole de Cannes
et imposerait à îa. Russie des charges
beaucoup plus lourdes que celles qui ont été
imposées à la Tchécoslovaquie et à la Rou-
manie qui ont toutes deux promulgué des
lois de nationalisation très amples.
EPOCA, 3.5.
— Quelle que soit la façon dont finira le
différend anglo-français, on ne peut que dé-
plorer un vice de forme très grave dans la
délégation française, la seule qui soit venue
à Gênes sans avoir pleins pouvoirs. Cette
infériorité a placé Barthou dans une situa-
tion impossible. Si le gouvernement fran-
çais consent à signer le mémorandum, Poin-
caré n'en aura pas moins provoqué un inci-
dent de forme peu sympathique et peu agré-
able. Si la France refuse de signer, les con-
séquences seront naturellement plus gra-
ves. Le due1! Poincaré-Lloyd George entre-
rait alors dans une phase extrêmement
aiguë. C'est là en grande partie un duel par-
lementaire, mais dont les conséquences po-
litiques pourront être graves pour tous dans
le sens le plus général. La conférence est
peut-être aujourd'hui à la veille de sa fin.
DM
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
—————
N° 2046
Vendredi 5 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessons des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Le pacte de non-agres-
sion (Frankfurter Zeilung).
PRESSE AMÉRICAINE. — La réduction des ar-
mements (Chicago Daily Tribune).
PRESSE ANGLAISE. — Les négociations avec
les Soviets (Wickham Steed dans
Times; Daily Chronicle). — Les répara-
tions et les dettes interalliées : un mé-
morandum anglais (H. Wilson Harris
dans Daily News. — L'accord italo-turc
(Daily Telegraph).
PRESSE BELGE. — Les négociations avec les
Soviets : l'attitude des délégations belge
et française (Indépendance Belge, Louis
de Brouckère dans Peuple ; Stampa).
PRESSE ITALIENNE. - Les négociations avec
les Soviets (Giornale d'Italia, Tribuna,
Epoca). - L'Italie et les clauses de ré-
paration ; pour la revision (Francesco
Ciccotti dans Paese).
PRESSE SUÉDOISE - Les negociations avec
les Soviets (Dagens Nyheter).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
V LES NEGOCIATIONS AVEC LES 80
VIETS. L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE
ET FRANÇAISE. - LA PRESSE BELGE (4.5.) se ré-
jouit unanimement de la, décision de M.
Poincaré, du ton de la presse parisienne et
de l'opinion très favorable à la Belgique
dans les milieux politiques français. Elle
cite de nombreux extraits de la presse fran-
çaise. L'Indénpendance Belge écrit:
Il eonvient de :n!e IP.OIter un jugement
sur l'attitude du chef de la délégation fran-
(,'aise qu'aT>rè,« avoir examiné chacune des
raisons que lui lont didé sa conduite. M.
Barthou à obéi il des mob¡¡' t,.ès puissants
qui nïrnpijau ^es miobile& très puissants
gation des nrinJî certainement pas la né-
qui forment la base de la défense présentée
par M. Jasper. Quand, à défense présentée
nement de la Rép 'ique' se trouve un
homme comme M. Poincaré, qui est à la lois
un honnête liorriirio ~st a la .fois
est. imprudent fio SU/P0Se'r que la France
se range aux côté de ceux qui pactisent
avec les vioiat
Non , ia p ^s du rOI.
au sujet des faut réflcihir avant de l'accuser,
au sujet des effets rnOrnent-anés d'une tac-
tique que les CWCÛlnstances ont imposée.
Ces circonstances résultent des combinai-
sons germano-russes au sujet desquelles
des mesures restent à prendre. Elles dé-
coulent aussi de l'incertitude dans laquelle
sont plongées les délégations étrangères en
face de la r!nn !qU° inconsidérée mais d'une
continuité dangereuse adoptée à l'égard des
Soviets.
Toutes les tractations qui se nouent à
Gênes, et celles des pét.riQ¡lelsl dont illOUS mir-
lions hier en est un exemple dissolvant
ont révélé une situation équivoque dont le
délégué français a sans doute cru devoir
tenir compte pour accepter, mais sous ré-
serve d'approbation par son gouvernement
le texte de l'article 6. C'est là qu'il faut re-
chercher l'origine du flottement qui régnait
au moment, où M. Jaspar sauvait la dignité
de la Belgique. Là, et aussi dans une tac-
tique diplomatique, dont Paris connaît les
fins que nous ne tarderons pas à connaître.
INDEPENDANCE BELGE, 4.5.
— Sous le titre : « Pourquoi la Belgique
est-elle isolée ? »
Il convient d'attendre avant de se pro-
noncer sur l'attitude prise par la délégation
belge, et dont les conséquences peuvent être
incalculables pour l'Europe entière, et plus
immédiatement pour nous. Espérons, que
l'on ne nous fera. pas attendre trop long-
temps les éclaircissements nécessaires. Ne
pourrait-on, sans plus attendre, nous ex-
pliquer ce qui suit ?
A la séance des experte, si nous en
croyons les dépêches, M. Cattier a voté,
comme ses collègues, le projet que M. Jas-
par a rejeté à: la sous-commission politi-
que. M. Cattier avait, à la vérité, expres-
sément réservé la décision du gouverne-
ment, mais son vote paraît indiquer que,
personnellement il ne considérait pas l'ar
ticle 6 comme inacceptable. Chacun sait que
M. Cattier se trouve à la tête de l'un des
groupes financiers les plus considérables de
Belgique. Le texte qu'il a considéré comme
admissible était-il vraiment attentatoire
aux droits des anciens propriétaires des-
concessions ?
Le mémorandum a été remis aux Russes
revêtu de la signature de toutes les puis-
sances, la Belgique seule exceptée. La si-
gnature de la France est conditionnelle,
mais peut à tout moment devenir définitive.
La Belgique, alors, seule exdlue d'une en-
tente générale avec les Soviets, sè trouve-
rait dans une situation singulièrement dif-
ficile. Or, le 31 mai, nous aurons à décider
quelle attitude nous prendrons devant les
initiatives que le discours de Bar-le-Duc
fait prévoir et dont la paix du monde peut
dépendre. Aurons-nous, à ce moment, la
liberté d'action nécessaire, si notre refus
de participer, par exemple, à une expédi-
tion militaire contre le bassin de la Ruhr —
expédition qui pourrait bien ne pas être
une simple « promenade » — peut avoir
pour conséquence le retrait des réserves
françaises ? — Louis de Brouckère.
PEUPLE, 4.5.
PRESSE ITALIENNE. — La thèse de M. Jas-
par n'est pas une modification du texte des
experts, c'est une modification des résolu-
tions de Cannes.
On en vient dans ces conditions à deman-
der à la Russie plus qu'on ne demande à
la Tchéco-Slovaquie et à la Roumanie qui
ont toutes deux promulgué des lois de natio-
nalisation très amples.
GIORNALE D'ITALIA, 3.5.
— La thèse de M. Jaspar a soulevé un
chœur de protestations ; affirmer le prin-
cipe absolu de la restitution des propriétés,
c'est renoncer à pouvoir présenter à Tchi-
tcherine l'ensemble du mémorandum allié;
c'est faire échouer la conférence et la faire*
échouer de la pire des façons, car ce
seraient les alliés qui violeraient les pre-
miers les résolutions de Cannes. A Cannes,
en effet, personne n'avait osé poser comme
un axiome la restitution des biens.
TRIBUNA, 3.5.
- Il serait, impossible de conclure un
accord avec le gouvernement russe si l'on
s'obstinait dans une demande qu'il ne peut
accueillir. Les résolutions de Cannes disent
que la Russie doit restituer les propriétés
privées ou indemniser les anciens proprié-
taires. La demande de M. Jaspar enlève-
rait aux Russes ce droit d'option, modifie-
rait dans son fond le protocole de Cannes
et imposerait à îa. Russie des charges
beaucoup plus lourdes que celles qui ont été
imposées à la Tchécoslovaquie et à la Rou-
manie qui ont toutes deux promulgué des
lois de nationalisation très amples.
EPOCA, 3.5.
— Quelle que soit la façon dont finira le
différend anglo-français, on ne peut que dé-
plorer un vice de forme très grave dans la
délégation française, la seule qui soit venue
à Gênes sans avoir pleins pouvoirs. Cette
infériorité a placé Barthou dans une situa-
tion impossible. Si le gouvernement fran-
çais consent à signer le mémorandum, Poin-
caré n'en aura pas moins provoqué un inci-
dent de forme peu sympathique et peu agré-
able. Si la France refuse de signer, les con-
séquences seront naturellement plus gra-
ves. Le due1! Poincaré-Lloyd George entre-
rait alors dans une phase extrêmement
aiguë. C'est là en grande partie un duel par-
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