Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 mai 1922 04 mai 1922
Description : 1922/05/04 (T21,N2045). 1922/05/04 (T21,N2045).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217012b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2045
Jetidi 4 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. -- Les relations gfir-
mano-russes (H. von Gerlach dans Welt
am Montag). — L échéance du 31 mai :
l'Allemagne et la Société des nations
(Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le problème des mon-
naies (New York Times). — Les Etats-
Unis et la France (Sisley Huddleston
dans New Republic).
PRESSE ANGLAISE. - Les tractations sur les
pétroles russes (Daily Telegraph, West-
minster Gazette, Daily Herald). - Les
réparations et les dettes interalliées
(Daily News). à la Rus.
PRESSE BELGE Le memorandum à la Rus-
sie : l'attitude des délégations belge et
française (Flandre Libérale Nation
BElge, XXe Siècle, Journal de Liège, Li-
bre Belgique, Peuple, Neptune, Indépen-
dance Belge).
POLITIQUE GENERALE
y
1
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES RELATIONS GERMANO-RUSSES.
- Sous le titre * 1. LE BANQUET DÉPLACÉ ». -
Les invitations à dîner sont chose agréable.
Mais souvent il est opportun de clécjiner
une invitation à dtaer de décliner
La .t situation des Allemands à Gênes
n'était pas mauvaise dès l'abord. Notre ré-
serve initiale l'améliora encore.
Vint le, funeste traité germano-russe.
D'un seul J!leSte traité germano -russe,
D'un seul coup Se trouvait constituée une
unité de front contre l'Allemagne. Il ne se
trouva pas un gouvernement qui n'ait fait
la remarque a1 1 qui n'ait fait
la rernarque qu: le congrès européen avait
servi à régler une affaire politique privée.
Nous avons rén* -
tout le monde M* une fois encore à heurter
tout ies des neutr«»« ^'°US. aliéner les sym-
pathies des neutres les mieux intentionnés.
Il ne semble pas que notre délégation se
soit rendu compote qu'elle ait commis, une
faute. En général, il est plus aisé de faire
telle. Rt dans ie la r60011 naître comme
faute s'aggrave S qui nous occupe cette
faute s'aggrave de ce fait que l'opinion pu-
blique allemande semble s'être ralli,ée
derrière le gouvernement et considère sa
bévue comme une action d'éclat.
Matériellement, nous allions à Gênes
comme de pauvres diables. Mais morale-
ment nous disposions d'un capital de con-
fiance, peut-être plus appréciable que la
puissance matérielle des militaristes fran-
çais.
Certes, il faut dire merci à ceux qui le
méritent! MM. Barthou et Poincaré ont fait
leur pos.s.Ne pour sauver une fois encore
\Ile.magne d'une situation périlleuse. Ils ont
conduit une offensive 'au bénéfice de l'Al-
lemagne. L'aide involontaire est souvent la
plus efficace, de même que l'esprit invo
lontaire est le meilleur.
Lorsque Barthou apostropha notre délé-
gation. il détourna beaucoup d'antipathies
de l'Allemagne pour les reporter sur la
France. Les excès de langage ne nuisent
jamais à celui qui les subit, ils ne nuisent
qu'à celui qui les commet.
Lorsque Poincaré, à Bar-le-Duc, annonça
ses projets d'action militaire particulière,
d'un seul coup la méfiance contre le mili-
tarisme français devint le pivot de la poli-
tique britannique.
*
A Gênes, l'air devint de plus en plus
chargé. Mais l'Allemagne trouble-paix com-
mença de disparaître derrière la France
trouble-paix. Pour Gênes, il n'y avait plus
grand chose à sauver ; c'était le contraire
pour l'Allemagne.
C'est à ce moment qu'on annonça que les
délégués allemands étaient invités par les
Rnsses à un banquet. Après le traité sé-
paré, le dîner séparé ; après l'entente éco-
nomique et politique, l'intimité. *
Sur les discours prononcés par Wirth et
Tchitcherine en cette occasion, il y a peu
de choses à dire. On s'est simplement con-
gratulé réciproquement. M. Tchitcherine
qui. en sa qualité d'ancien diplomate du
tsar, connaît les finesses du langage inter-
national, a appelé ostensiblement et non
sans motif les Russes et les Allemands
nations « amies ». Il a mesuré la répercus-
sion lointaine de cette expression sur les
personnalités qu'elle doit influencer.
Le fait du banquet est en lui-même gros
de conséquences.
Avant la conclusion du traité, il eût cons-
titué simplement un événement moi data,
un peu surprenant mais relativement inoi-
fensif. Après le traité, et après les com-
mentaires suscitée par ce traité dans le
monde entier, il donne une sorte de confir-
mation de ces commentaires.
Les Russes n'ont rien à perdre. Ils se
trouvent dans cette situation relativement
agréable d'un homme qui est nu. Nous,
nous avons encore la chemise. C'est cette
chemise que nous risquons pour les beaux
veux des Bolcheviks. Un coup d'œil sur
la situation économique de la Russie ré-
vèle que pour les années à venir, les Russes
ne peuvent donner guere plus qu'un sou-
rire.
Les Russes se servent de nous comme
d'un bouclier protecteur. Nous nous
laissons jouer.
J'ai toujours attendu peu de choses de
Gênes, et je n'attends guère plus rien main-
tenant. La question me paraît se poser
ainsi : enterrement de première ou de
deuxième classe ? L'affaire se terminera-
t-elle par un beau geste ou par un grand
krach ?
Pour nous, après Gênes, il y a le 31 mai.
Une quantité de journaux allemands par-
lent, déjà de l'imminence d'une avance
française. Si ces messieurs voulaient bien
ne pas croire Poincaré aussi borné qu'eux!
L'homme nous est assez défavorable ; mais
il est assez habile pour ne pas se mettre
formellement en désaccord avec le droit.
Nous avons encore quatre semaines
devant nous. Cela suffit pour redescendre
de l'arc-en-ciel russe sur le dur terrain
des nécessités de la politique occidentale.
Nous ne pouvons satisfaire pleinement
aux exigences de la commission des ré-
parations. Mais nous devons, négocier avec
elle sur la mesure de nos possibilités. En
répondant simplement « non ». nous ne
gagnons pas l'opinion publique du monde,
mais surtout nous ne gagnons pas l'appui
moral des socialistes français et des radi-
caux, appui dont nous avons besoin si l'on
veut que Poincaré s'abstienne des sanc-
tions militaires avec toutes leurs consé-
quences.
Wirth a mis sur le mauvais cheval à
Gênes. Pourtant, je ne connais pas de
meilleur chancelier. Il est de l'intérêt de
l'Allemagne et du monde qu'il reste. —
H. v. Gerlach.
WELT AM MONTAG, 1.5.
LE MEMORANDUM A LA RUSSIE. —
L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE ET FRAN-
ÇAISE. — Le texte proposé disait en subs-
tance que le gouvernement soviétique s'en-
gageait à restituer les propriétés confis-
quées, mais donnerait des compensations si
Moscou se trouvait dans l'impossibilité de
restituer.
M. Jaspar insista pour qu'il fût nettement
stipulé qu'il s'agit d'une impossibilité maté-
rielle. Notre délégué s'est efforcé pendant
trois quarts d'heure, de rallier la commis-
sion à sa thèse, laquelle était combattue
par les délégués anglais et italien. Le prési-
dent de la commission demanda alors si
quelque délégué soutenait la thèse belge.
Nul ne répondit, pas même le délégué fran-
çais et le ministre belge se trouva dans le
plus splendide isolement.
M. Theunis, informé téléphoniquement,
approuva son collègue et lui donna mandat
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2045
Jetidi 4 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. -- Les relations gfir-
mano-russes (H. von Gerlach dans Welt
am Montag). — L échéance du 31 mai :
l'Allemagne et la Société des nations
(Frankfurter Zeitung).
PRESSE AMÉRICAINE. - Le problème des mon-
naies (New York Times). — Les Etats-
Unis et la France (Sisley Huddleston
dans New Republic).
PRESSE ANGLAISE. - Les tractations sur les
pétroles russes (Daily Telegraph, West-
minster Gazette, Daily Herald). - Les
réparations et les dettes interalliées
(Daily News). à la Rus.
PRESSE BELGE Le memorandum à la Rus-
sie : l'attitude des délégations belge et
française (Flandre Libérale Nation
BElge, XXe Siècle, Journal de Liège, Li-
bre Belgique, Peuple, Neptune, Indépen-
dance Belge).
POLITIQUE GENERALE
y
1
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
LES RELATIONS GERMANO-RUSSES.
- Sous le titre * 1. LE BANQUET DÉPLACÉ ». -
Les invitations à dîner sont chose agréable.
Mais souvent il est opportun de clécjiner
une invitation à dtaer de décliner
La .t situation des Allemands à Gênes
n'était pas mauvaise dès l'abord. Notre ré-
serve initiale l'améliora encore.
Vint le, funeste traité germano-russe.
D'un seul J!leSte traité germano -russe,
D'un seul coup Se trouvait constituée une
unité de front contre l'Allemagne. Il ne se
trouva pas un gouvernement qui n'ait fait
la remarque a1 1 qui n'ait fait
la rernarque qu: le congrès européen avait
servi à régler une affaire politique privée.
Nous avons rén* -
tout le monde M* une fois encore à heurter
tout ies des neutr«»« ^'°US. aliéner les sym-
pathies des neutres les mieux intentionnés.
Il ne semble pas que notre délégation se
soit rendu compote qu'elle ait commis, une
faute. En général, il est plus aisé de faire
telle. Rt dans ie la r60011 naître comme
faute s'aggrave S qui nous occupe cette
faute s'aggrave de ce fait que l'opinion pu-
blique allemande semble s'être ralli,ée
derrière le gouvernement et considère sa
bévue comme une action d'éclat.
Matériellement, nous allions à Gênes
comme de pauvres diables. Mais morale-
ment nous disposions d'un capital de con-
fiance, peut-être plus appréciable que la
puissance matérielle des militaristes fran-
çais.
Certes, il faut dire merci à ceux qui le
méritent! MM. Barthou et Poincaré ont fait
leur pos.s.Ne pour sauver une fois encore
\Ile.magne d'une situation périlleuse. Ils ont
conduit une offensive 'au bénéfice de l'Al-
lemagne. L'aide involontaire est souvent la
plus efficace, de même que l'esprit invo
lontaire est le meilleur.
Lorsque Barthou apostropha notre délé-
gation. il détourna beaucoup d'antipathies
de l'Allemagne pour les reporter sur la
France. Les excès de langage ne nuisent
jamais à celui qui les subit, ils ne nuisent
qu'à celui qui les commet.
Lorsque Poincaré, à Bar-le-Duc, annonça
ses projets d'action militaire particulière,
d'un seul coup la méfiance contre le mili-
tarisme français devint le pivot de la poli-
tique britannique.
*
A Gênes, l'air devint de plus en plus
chargé. Mais l'Allemagne trouble-paix com-
mença de disparaître derrière la France
trouble-paix. Pour Gênes, il n'y avait plus
grand chose à sauver ; c'était le contraire
pour l'Allemagne.
C'est à ce moment qu'on annonça que les
délégués allemands étaient invités par les
Rnsses à un banquet. Après le traité sé-
paré, le dîner séparé ; après l'entente éco-
nomique et politique, l'intimité. *
Sur les discours prononcés par Wirth et
Tchitcherine en cette occasion, il y a peu
de choses à dire. On s'est simplement con-
gratulé réciproquement. M. Tchitcherine
qui. en sa qualité d'ancien diplomate du
tsar, connaît les finesses du langage inter-
national, a appelé ostensiblement et non
sans motif les Russes et les Allemands
nations « amies ». Il a mesuré la répercus-
sion lointaine de cette expression sur les
personnalités qu'elle doit influencer.
Le fait du banquet est en lui-même gros
de conséquences.
Avant la conclusion du traité, il eût cons-
titué simplement un événement moi data,
un peu surprenant mais relativement inoi-
fensif. Après le traité, et après les com-
mentaires suscitée par ce traité dans le
monde entier, il donne une sorte de confir-
mation de ces commentaires.
Les Russes n'ont rien à perdre. Ils se
trouvent dans cette situation relativement
agréable d'un homme qui est nu. Nous,
nous avons encore la chemise. C'est cette
chemise que nous risquons pour les beaux
veux des Bolcheviks. Un coup d'œil sur
la situation économique de la Russie ré-
vèle que pour les années à venir, les Russes
ne peuvent donner guere plus qu'un sou-
rire.
Les Russes se servent de nous comme
d'un bouclier protecteur. Nous nous
laissons jouer.
J'ai toujours attendu peu de choses de
Gênes, et je n'attends guère plus rien main-
tenant. La question me paraît se poser
ainsi : enterrement de première ou de
deuxième classe ? L'affaire se terminera-
t-elle par un beau geste ou par un grand
krach ?
Pour nous, après Gênes, il y a le 31 mai.
Une quantité de journaux allemands par-
lent, déjà de l'imminence d'une avance
française. Si ces messieurs voulaient bien
ne pas croire Poincaré aussi borné qu'eux!
L'homme nous est assez défavorable ; mais
il est assez habile pour ne pas se mettre
formellement en désaccord avec le droit.
Nous avons encore quatre semaines
devant nous. Cela suffit pour redescendre
de l'arc-en-ciel russe sur le dur terrain
des nécessités de la politique occidentale.
Nous ne pouvons satisfaire pleinement
aux exigences de la commission des ré-
parations. Mais nous devons, négocier avec
elle sur la mesure de nos possibilités. En
répondant simplement « non ». nous ne
gagnons pas l'opinion publique du monde,
mais surtout nous ne gagnons pas l'appui
moral des socialistes français et des radi-
caux, appui dont nous avons besoin si l'on
veut que Poincaré s'abstienne des sanc-
tions militaires avec toutes leurs consé-
quences.
Wirth a mis sur le mauvais cheval à
Gênes. Pourtant, je ne connais pas de
meilleur chancelier. Il est de l'intérêt de
l'Allemagne et du monde qu'il reste. —
H. v. Gerlach.
WELT AM MONTAG, 1.5.
LE MEMORANDUM A LA RUSSIE. —
L'ATTITUDE DES DÉLÉGATIONS BELGE ET FRAN-
ÇAISE. — Le texte proposé disait en subs-
tance que le gouvernement soviétique s'en-
gageait à restituer les propriétés confis-
quées, mais donnerait des compensations si
Moscou se trouvait dans l'impossibilité de
restituer.
M. Jaspar insista pour qu'il fût nettement
stipulé qu'il s'agit d'une impossibilité maté-
rielle. Notre délégué s'est efforcé pendant
trois quarts d'heure, de rallier la commis-
sion à sa thèse, laquelle était combattue
par les délégués anglais et italien. Le prési-
dent de la commission demanda alors si
quelque délégué soutenait la thèse belge.
Nul ne répondit, pas même le délégué fran-
çais et le ministre belge se trouva dans le
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