Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1922-05-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 mai 1922 03 mai 1922
Description : 1922/05/03 (T21,N2044). 1922/05/03 (T21,N2044).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6217011x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
1 MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRE
-
N° 2044
Mercredi 3 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
i
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la position de l'Allemagne (Frank-
~urter Zeitung), — M. Poincaré et le
traité de Versailles (Paul Block dans
Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les délégations de
l'Europe orientale à Gênes (New York
Evening Post). — Les methodes coloni-
satrices de la France (New York Eve-
ning Post). — Les effectifs de l'armée
française (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. — M. Lloyd George et la
France (Morning Post). — Le pacte de
non-agression (H. Sidebotham dans
Daily Chronicle ; J.-G. Hamilton dans
Daily Chronicle). - Les négociations
avec les Soviets (Daily Herald). - Le
voyage de M. Barthou à Paris (H. Wil-
son Harpis dans Daily News; Wick-
ham Steed dans Times). - L'attitude de
la Bulgarie à Gênes (Daily Telegraph).
PRESSE BELGE. - Les négociations avec les
Soviets (Indépendance Belge, Peuple).
PRESSE HOLLANDAISE. - Une déclaration de
M. van Karnebeek (Maasbode).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
M. LLOYD GEORGE ET LA FRANCE. -
Sous le titre: « TARTUFFE ». - Les repré-
sentants des deux journaux du dimanche,
de Londres, qui se disputent d'une façon
presque écœurante la faveur de M. Lloyd
George
George [Sunday Express et Observer] se
sont servis, hier, dans un accès de virulence
anti-française, d'ulIl langage que l'on aurait
pu qualifier d'excessu s'il avait été employé
contre l'Allemagne au plus fort de la guerre.
Un de ces flagorneurs comparait M. Poin-
caré à Néron l' î urs comparait M. Poin.
caré à Néron l'autre. aux sous-marins al-
lemands qui torpillèrent le Lusitania. M
Lloyd George a fait preuve d'une grande
susceptibilité à l'égard des critiques diri-
gées contre lui Patr l'Echo de Paris et par
d'autres journau français pendant la con-
férence de la paix ^?58^ pendant la con-
férence de la paix. Il ne saurait donc se
plaindre si M. Poincaré prend ombrage des
messages envoyés par les corr-espondants
de journaux connus leur inspira-
tion du premier ministre et de son secré-
tariat. Si les professions faites par M. Lloyd
George au correspondant du Temps étaient
sincères, il devrait désavouer aussitôt les
attaques haineuses dirigées contre la
France par des journalistes dont le seul ti-
tre à 1 attention est la source d'où ils tirent
leur pernicieuse inspiration.
Nous ne chercherons pas, pour le mo-
ment, à examiner les motifs et les influen-
ces pour le moins étranges qui poussent M.
Lloyd George à rompre avec la France et
à entrer dans une combinaison germano-
bolcheviste. Pour la France, comme pour
la Grande-Bretagne, la question immédiate
qui se pose est de savoir jusqu'à quel point
le premier ministre représente, à Gênes,
l'opinion publique anglaise. Dans l'inter-
view accordée au correspondant du Temps,
le premier ministre a mentionné comme
pouvant, à l'occasion, trahir la cause de
l'amitié anglo-française les travaillistes, les
libéraux du clan Asquith et le parti conser-
vateur. Les leaders travaillistes ont été
trop .portés, par le passé à chercher leur
inspiration en Allemagne plutôt qu'en
France, mais des milliers de travailleurs
britanniques dorment près d'Ypres, de
même que des milliers de travailleurs fran-
çais dorment près de Verdun et le souvenir
d'un sacrifice commun n'est pas encore as-
sez effacé pour permettre, à des leaders
travaillistes en vue, d'encourager le gouver-
nement à rompre avec la France au profit
d'un ennemi commun. Quant aux libéraux
du clan Asquith, M .Lloyd George aurait-il
oublié les discours très remarquables, ré-
cemment prononcés par Lord Grey, avec
leur allure nettement francophile et l'insis-
tance mise à réclamer une entente com-
plète avec la France ? M. Runciman, d'ail-
leurs, à en juger par son discours de Sou-
thend semble - partager les vues de Lord
Grey. Pour ce qui est, enfin, des conserva-
teurs, Lord Derby a pris pour principal pi-
lier de son avenir politique non seulement
une entente, mais une alliance en règle
avec la France, et Lord Derby est un
homme d'Etat qui jouit d'une grande in-
fluence au sein du parti conservateur. Que
M. Lloyd George examine plus attentive-
ment son entourage immédiat. Que verra-
t-il dans son propre cabinet ? M. Chamber-
lain, chacun le sait, a travaillé loyalement
à la conclusion d'un pacte avec la France.
M. Churchill a annoncé publiquement que
le seul moyen d'arriver à un accord avec
l'Allemagne est par l'entremise de la France
et à en juger d'après certaines omissions qui
ont caractérisé son récent discours à Dun-
dee, il ne semble pas enthousiaste de la po-
litique de « manchettes de Gênes ». Chose
plus extraordinaire encore, il y a le discours
de M. Shortt, de M. Shortt le libéral, en
réponse au toast porté samedi soir, « aux
ministres de Sa Majesté » au banquet de
la Royal Academy. Dans ce discours M.
Shortt insista sur le fait que, quelles que
puissent être nos divergences de vues quant
aux détails, nous sommes tous résolus à
maintenir notre grande amitié, notre al-
liance avec la France. « Nous ne voulons
pas, poursuivit-il, nous laisser diviser par
n'importe quel petit détail au sujet duquel
nous pouvons avoir une querelle de mé-
nage ». Ne pouvons-nous pas, nos amis
français et nous, voir dans cette déclara-
tion très nette un indice, peut-être un aver-
tissement, de la part du cabinet, nous don-
nant à entendre que si la Grande-Bretagne
doit rompre avec la France, c'est au cabi-
net et non pas à M. Lloyd George qu'il ap-
partiendra de prendre cette décision ! (Ed.).
MORNING POST, 1.5.
LA POSITION DE L'ALLEMAGNE. —
De Gênes, 1er mai : La situation à Gênes est
dominée par le conflit entre le désir de paix de
Lloyd George et la « politique de force » de la
France. La France repousse notamment le pro-
jet de réunion des puissances signataires :
Lloyd George maintient son point de vue et
estime qu'une telle réunion est absolument né-
cessaire avant le 31 mai si on veut éviter une
catastrophe.
En attendant, le 8 mai approche, jour où
doit se réunir à Paris la commission d'em-
prunt de la commission des réparations. Il
n'est pas exact que des négociations au
sujet d'un emprunt aient eu lieu ici ces
jours derniers, notamment, comme il a été
dit, entre Rathenau et un représentant de
Morgan. Mais l'intérêt extrême qu'a l'Alle-
magne à la réussite d'un emprunt, ce qui
serait le meilleur moyen de tranquilliser la
France, n'en subsiste pas moins et n'en
est pas moins très vif.
En attendant aussi, les informations ve-
nues d'Allemagne parlent d'impatience et
de nervosité, ce qui serait dû à la longue
durée de fa conférence et à ses résultats
médiocres jusqu'ici etc. On ne saurait
trop mettre en garde contre un pareil état
d'esprit. La situation -de la délégation alle-
mande n'est certainement pas enviable. De-
puis la conclusion du traité germano-russe,
la conférence s'occupe, en dehors de ques-
tions spéciales de caractère théorique, uni-
quement de la question russe et l'Allema-
gne est à l'écart de ces discussions. D'au-
tres problèmes importants, en particulier
celui du pacte de paix, sont imminents :
leur mise en discussion sera d'autant plus
importante pour l'Allemagne que, très vrai-
semblablement, le problème de la Société
des nations et de la situation de l'Allema-
gne vis-à-vis de la Société sera par là
évoqué. Mais, jusqu'ici, on n'a aucune in-
formation officielle à ce sujet. Lloyd George
lui-même qui, pour l'instant, concentre
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRE
-
N° 2044
Mercredi 3 mai 1922
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
i
PRESSE ALLEMANDE. — La conférence de Gê-
nes : la position de l'Allemagne (Frank-
~urter Zeitung), — M. Poincaré et le
traité de Versailles (Paul Block dans
Berliner Tageblatt).
PRESSE AMÉRICAINE. — Les délégations de
l'Europe orientale à Gênes (New York
Evening Post). — Les methodes coloni-
satrices de la France (New York Eve-
ning Post). — Les effectifs de l'armée
française (New York Evening Post).
PRESSE ANGLAISE. — M. Lloyd George et la
France (Morning Post). — Le pacte de
non-agression (H. Sidebotham dans
Daily Chronicle ; J.-G. Hamilton dans
Daily Chronicle). - Les négociations
avec les Soviets (Daily Herald). - Le
voyage de M. Barthou à Paris (H. Wil-
son Harpis dans Daily News; Wick-
ham Steed dans Times). - L'attitude de
la Bulgarie à Gênes (Daily Telegraph).
PRESSE BELGE. - Les négociations avec les
Soviets (Indépendance Belge, Peuple).
PRESSE HOLLANDAISE. - Une déclaration de
M. van Karnebeek (Maasbode).
POLITIQUE GENERALE
LA CONFÉRENCE DE GÊNES
M. LLOYD GEORGE ET LA FRANCE. -
Sous le titre: « TARTUFFE ». - Les repré-
sentants des deux journaux du dimanche,
de Londres, qui se disputent d'une façon
presque écœurante la faveur de M. Lloyd
George
George [Sunday Express et Observer] se
sont servis, hier, dans un accès de virulence
anti-française, d'ulIl langage que l'on aurait
pu qualifier d'excessu s'il avait été employé
contre l'Allemagne au plus fort de la guerre.
Un de ces flagorneurs comparait M. Poin-
caré à Néron l' î urs comparait M. Poin.
caré à Néron l'autre. aux sous-marins al-
lemands qui torpillèrent le Lusitania. M
Lloyd George a fait preuve d'une grande
susceptibilité à l'égard des critiques diri-
gées contre lui Patr l'Echo de Paris et par
d'autres journau français pendant la con-
férence de la paix ^?58^ pendant la con-
férence de la paix. Il ne saurait donc se
plaindre si M. Poincaré prend ombrage des
messages envoyés par les corr-espondants
de journaux connus leur inspira-
tion du premier ministre et de son secré-
tariat. Si les professions faites par M. Lloyd
George au correspondant du Temps étaient
sincères, il devrait désavouer aussitôt les
attaques haineuses dirigées contre la
France par des journalistes dont le seul ti-
tre à 1 attention est la source d'où ils tirent
leur pernicieuse inspiration.
Nous ne chercherons pas, pour le mo-
ment, à examiner les motifs et les influen-
ces pour le moins étranges qui poussent M.
Lloyd George à rompre avec la France et
à entrer dans une combinaison germano-
bolcheviste. Pour la France, comme pour
la Grande-Bretagne, la question immédiate
qui se pose est de savoir jusqu'à quel point
le premier ministre représente, à Gênes,
l'opinion publique anglaise. Dans l'inter-
view accordée au correspondant du Temps,
le premier ministre a mentionné comme
pouvant, à l'occasion, trahir la cause de
l'amitié anglo-française les travaillistes, les
libéraux du clan Asquith et le parti conser-
vateur. Les leaders travaillistes ont été
trop .portés, par le passé à chercher leur
inspiration en Allemagne plutôt qu'en
France, mais des milliers de travailleurs
britanniques dorment près d'Ypres, de
même que des milliers de travailleurs fran-
çais dorment près de Verdun et le souvenir
d'un sacrifice commun n'est pas encore as-
sez effacé pour permettre, à des leaders
travaillistes en vue, d'encourager le gouver-
nement à rompre avec la France au profit
d'un ennemi commun. Quant aux libéraux
du clan Asquith, M .Lloyd George aurait-il
oublié les discours très remarquables, ré-
cemment prononcés par Lord Grey, avec
leur allure nettement francophile et l'insis-
tance mise à réclamer une entente com-
plète avec la France ? M. Runciman, d'ail-
leurs, à en juger par son discours de Sou-
thend semble - partager les vues de Lord
Grey. Pour ce qui est, enfin, des conserva-
teurs, Lord Derby a pris pour principal pi-
lier de son avenir politique non seulement
une entente, mais une alliance en règle
avec la France, et Lord Derby est un
homme d'Etat qui jouit d'une grande in-
fluence au sein du parti conservateur. Que
M. Lloyd George examine plus attentive-
ment son entourage immédiat. Que verra-
t-il dans son propre cabinet ? M. Chamber-
lain, chacun le sait, a travaillé loyalement
à la conclusion d'un pacte avec la France.
M. Churchill a annoncé publiquement que
le seul moyen d'arriver à un accord avec
l'Allemagne est par l'entremise de la France
et à en juger d'après certaines omissions qui
ont caractérisé son récent discours à Dun-
dee, il ne semble pas enthousiaste de la po-
litique de « manchettes de Gênes ». Chose
plus extraordinaire encore, il y a le discours
de M. Shortt, de M. Shortt le libéral, en
réponse au toast porté samedi soir, « aux
ministres de Sa Majesté » au banquet de
la Royal Academy. Dans ce discours M.
Shortt insista sur le fait que, quelles que
puissent être nos divergences de vues quant
aux détails, nous sommes tous résolus à
maintenir notre grande amitié, notre al-
liance avec la France. « Nous ne voulons
pas, poursuivit-il, nous laisser diviser par
n'importe quel petit détail au sujet duquel
nous pouvons avoir une querelle de mé-
nage ». Ne pouvons-nous pas, nos amis
français et nous, voir dans cette déclara-
tion très nette un indice, peut-être un aver-
tissement, de la part du cabinet, nous don-
nant à entendre que si la Grande-Bretagne
doit rompre avec la France, c'est au cabi-
net et non pas à M. Lloyd George qu'il ap-
partiendra de prendre cette décision ! (Ed.).
MORNING POST, 1.5.
LA POSITION DE L'ALLEMAGNE. —
De Gênes, 1er mai : La situation à Gênes est
dominée par le conflit entre le désir de paix de
Lloyd George et la « politique de force » de la
France. La France repousse notamment le pro-
jet de réunion des puissances signataires :
Lloyd George maintient son point de vue et
estime qu'une telle réunion est absolument né-
cessaire avant le 31 mai si on veut éviter une
catastrophe.
En attendant, le 8 mai approche, jour où
doit se réunir à Paris la commission d'em-
prunt de la commission des réparations. Il
n'est pas exact que des négociations au
sujet d'un emprunt aient eu lieu ici ces
jours derniers, notamment, comme il a été
dit, entre Rathenau et un représentant de
Morgan. Mais l'intérêt extrême qu'a l'Alle-
magne à la réussite d'un emprunt, ce qui
serait le meilleur moyen de tranquilliser la
France, n'en subsiste pas moins et n'en
est pas moins très vif.
En attendant aussi, les informations ve-
nues d'Allemagne parlent d'impatience et
de nervosité, ce qui serait dû à la longue
durée de fa conférence et à ses résultats
médiocres jusqu'ici etc. On ne saurait
trop mettre en garde contre un pareil état
d'esprit. La situation -de la délégation alle-
mande n'est certainement pas enviable. De-
puis la conclusion du traité germano-russe,
la conférence s'occupe, en dehors de ques-
tions spéciales de caractère théorique, uni-
quement de la question russe et l'Allema-
gne est à l'écart de ces discussions. D'au-
tres problèmes importants, en particulier
celui du pacte de paix, sont imminents :
leur mise en discussion sera d'autant plus
importante pour l'Allemagne que, très vrai-
semblablement, le problème de la Société
des nations et de la situation de l'Allema-
gne vis-à-vis de la Société sera par là
évoqué. Mais, jusqu'ici, on n'a aucune in-
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